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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 16:03
Grève du 19 mars en Seine-Maritime : revivez la manifestation à Rouen et au Havre

Les organisations syndicales, lycéennes et étudiantes ont appelé à une journée de grève et de mobilisation mardi 19 mars 2019. Un appel entendu à Rouen et au Havre.

Sur France actu :

Paris-Normandie n'a vu que 2000 manifestants à Rouen et 3000 au Havre ... Moins que la police ... qui prévoit toujours ses chiffres à l'avance ...

Mais c'est bien 5000 manifestants avec qui j'ai manifesté à Rouen.  Très très nombreux.  Beaucoup d'organisations et de drapeaux de la CGT, beaucoup d'enseignants, la FSU, des écoles fermées à Rouen, des "stylos rouges", des étudiants, des militants de Sud, de FO.  Mais aussi beaucoup de salariés venus à l'appel des syndicats, sans pour autant se revendiquer de l'un ou l'autre.

Le gouvernement et les médias ont beau minorer cette journée d'action, sa réussite, malgré le quasi silence des médias, en amont et en aval, est le signe d'un mécontentement qui couve.  Les lois sécuritaires votées par la droite classique et la droite macronienne sont le signe que le gouvernement craint de nouvelles explosions de colère.  Les dominants, capitalistes et leurs commis, gouvernement et Union européenne n'en ont pas fini avec la résistance de ceux à qui ils tondent la laine sur le dos.

Mais E Macron, avec Bruxelles, trouveront les responsables de cette colère sociale : les Russes !

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 14:59

Michaël Zemmour

19/03/2019 sur Alternatives économiques

Période "sans emploi, ni retraite" importante : incapacité physique à soutenir des conditions de travail de plus en plus pénibles et arrêts maladie plus fréquents, attitude des entreprises qui licencient plus facilement les seniors et répugnent à les embaucher ...

Une majorité de seniors s’arrêtent de travailler avant l’âge légal de départ en retraite et beaucoup connaissent une période de flottement « sans emploi, ni retraite ».

Faudra-t-il travailler plus longtemps ? La borne de 62 ans, l’âge légal de départ en retraite, qui devait survivre à la future réforme des retraites, sera-t-elle finalement repoussée ? Après le « coefficient majorant » évoqué en février dernier par le Haut commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye – plus le salarié attendrait pour partir, plus il bénéficierait d’une valeur du point plus élevée – c’est au tour de la ministre des Solidarités de plaider pour un allongement de la durée du travail. Mais sous une autre forme qui a surpris, voire profondément agacé, les partenaires sociaux lancés dans un cycle de concertation avec le haut-commissariat à la réforme des retraites. Agnès Buzyn a ainsi déclaré le 17 mars qu’elle n’était pas « hostile », « à titre personnel » à un report de l’âge légal de départ en retraite. « Les Français l’évoquent, c’est sur la table. À partir du moment où toutes les propositions qui sont amenées par le Grand débat vont être étudiées, nous étudierons celle-là comme les autres », a-t-elle expliqué sur RTL.

Un débat qui intervient alors qu’il y a une confusion entre « l’âge moyen de la retraite », qui atteint désormais presque 63 ans, et « l’âge moyen de fin de carrière ». En effet, nombre de seniors ne passent pas directement de l’emploi à la retraite, mais connaissent une période intermédiaire. Sans compter que les réformes qui allongent la durée du travail ne sont pas sans effets. Depuis 2010, l’augmentation de l’âge légal minimum de la retraite a eu des conséquences diverses : des carrières plus longues pour certains, mais une plus longue période sans emploi ni retraite pour un quart d’une génération.

 

 

Un chiffre livré sans grand commentaire

Tout le monde ne travaille pas jusqu'à l'âge de la retraite ...

Au mois de mars, comme chaque année, la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) a publié ses statistiques annuelles sur les retraites en France. Et comme chaque année, un chiffre a fait la une de nos journaux et radios : l’âge moyen de la retraite augmente, pour atteindre 62 ans et 8 mois en moyenne (63 ans pour les femmes), soit 3 mois de plus qu’en 2017.[...]

Or ce n’est pas ce que nous dit cette statistique. Car ce que la Cnav publie, c’est l’âge moyen de liquidation. Il ne s’agit pas de l’âge auquel les salariés cessent leur activité professionnelle, mais de l’âge auquel ils font valoir leurs droits et touchent leur première pension. Or tout le monde ne travaille pas jusqu’à l’âge de la retraite.

En effet pour être en mesure de rester en emploi jusqu’à la retraite, il faut bien sûr le vouloir, mais aussi le pouvoir.

Physiquement d’abord : la difficulté des conditions de travail est de moins en moins supportable l’âge avançant et la santé se dégradant.

Professionnellement ensuite, car les entreprises sont promptes à se séparer des seniors par des licenciements ou des ruptures conventionnelles, et peu enclines à les embaucher. [...]

La suite sur le site d'Alternatives économiques si vous êtes abonné : https://www.alternatives-economiques.fr//non-on-ne-travaille-moyenne-jusqua-63-ans/00088735?utm_source=emailing&utm_medium=email&utm_campaign=NL_Quotidienne%2F19032019

Ou en fichier attaché, sans les illustrations, ci-dessous :

Et aussi :

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 14:32

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 09:58

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 09:57

Cet article est reposté depuis Front Syndical de Classe.

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 00:35

, par  Bollmann Yvonne

Dans la série d’émissions « Moi Président 2017 » sur Franceinfo, l’invité du 15 novembre 2016 avait été Joachim Bitterlich, un diplomate allemand, qui fut conseiller du chancelier Helmut Kohl pour la politique européenne. Sa mesure phare était de créer « une grande région transfrontalière entre la France et l’Allemagne », qui « engloberait l’Alsace, la Lorraine mais aussi la Sarre allemande et le pays de Baden » [1].

Ce qui était de la politique-fiction en 2016 est devenu réalité par la signature du traité d’Aix-la-Chapelle – du moins un début de réalité, puisque le traité n’est pas ratifié.

 Cœurs battants

Le 11 novembre 2017, trois membres du Bundestag ont publié dans Frankfurter Allgemeine Zeitung et Le Monde une réponse au discours sur l’Europe prononcé en septembre à la Sorbonne par Emmanuel Macron [2]. Ils ont proposé « que l’Assemblée nationale et le Bundestag allemand adoptent, le 22 janvier 2018, pour le 55e anniversaire du Traité de l’Élysée, une même résolution, qui soit à la fois l’expression de l’amitié de nos deux peuples et un mandat pour agir adressé à leurs gouvernements respectifs ». Un nouveau traité devait selon eux « revêtir deux dimensions, européenne et bilatérale, l’accent étant mis sur la force des régions frontalières » (Le Monde). L’article en version originale allemande dit qu’ « au cœur » du nouveau traité doit se trouver « une profession de foi en faveur de régions frontalières fortes » (« mit einem Bekenntnis zu starken Grenzregionen als Herzstück  »). C’est une vision quasi religieuse du transfrontalier.

On n’est pas loin, par le caractère organique des métaphores (cœur, pouls), de l’esprit qui anime l’association Pulse of Europe, décrite dans le rapport de la commission des Affaires européennes de l’Assemblée nationale sur les conventions démocratiques de refondation de l’Europe (décembre 2017) : « Née dans le contexte particulier du Brexit, cette association a commencé, il y a près d’un an et demi, à tenir des conventions spontanées sur les grandes places des villes allemandes. Issu d’abord de Francfort, ce mouvement a essaimé, de telle sorte que, de manière assez inattendue, un grand nombre de citoyens, d’abord allemands, puis européens, y ont participé. Sans relayer une expression politique particulière, sinon de parler positivement de l’Europe à chaque fois que cela était possible, ce mouvement de citoyens a pu concerner, lors de son pic d’activité précédant les élections présidentielles en France, 130 villes dans 20 États, dont 4 à 5 en France. » [3]. Tout cela n’est pas sans rapport avec le projet de loi relatif aux compétences de la Collectivité européenne d’Alsace, enregistré à la Présidence du Sénat le 27 février 2019, dont la première phrase affirme que « soixante ans après l’entrée en vigueur des traités de Rome, l’Alsace demeure l’un des cœurs battants de l’Europe » [4].[...]

La suite ici : https://www.lecanardrépublicain.net/spip.php?article866

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20 mars 2019 3 20 /03 /mars /2019 00:21

Une partie de la manifestation à Rouen le 19 Mars 2019

Les trois-quarts des Français (73%) soutiennent le mouvement de mardi auquel ont appelé la CGT, FO, Solidaires, la FSU et les organisations de jeunesse Unef (étudiants) et UNL (lycéens), selon le baromètre des services publics Odoxa pour la Banque Française Mutualiste, l'Obs, France Inter et la presse régionale.

Le retour des corps intermédiaires ? Alors que le mouvement des Gilets jaunes ne connaît plus le même engouement, la journée de grève nationale de ce mardi 19 mars, organisée par les syndicats (CGT, FO, Solidaires, FSU et les organisations de jeunesse Unef et UNL), est approuvée par 73 % des Français. C'est ce qui ressort du baromètre des services publics Odoxa pour la Banque Française Mutualiste, l'Obs, France Inter et la presse régionale, publié ce mardi.

Dans ce sondage, 35% des personnes trouvent ce mouvement pour « l'augmentation des salaires, des pensions et des minima sociaux, l'égalité femmes-hommes et un véritable droit à l'éducation et à la formation » « tout à fait justifié » et 38% « plutôt justifié », contre 27% qui l'estiment « pas justifié »

Dans le secteur public, ils sont 88% à juger ce mouvement « justifié »

Le soutien est encore plus fort au sein des agents du secteur public qui sont 88% à juger ce mouvement « justifié », contre 12% qui considèrent qu'il ne l'est pas. 

Parmi les Français qui trouvent ce mouvement justifié, 12% disent prévoir d'y participer, tandis que 69% ont de la sympathie mais n'y participeront pas.

14% y sont indifférents et 5% y sont opposés, même s'ils comprennent la mobilisation. Au sein des salariés du service public, ils sont 18% à dire qu'ils ont prévu d'y participer, et 72% qu'ils ont de la sympathie, mais n'y participeront pas. [...]

La suite ici sur le site de "Ouest-France" : https://www.ouest-france.fr/economie/greve/greve-nationale-les-3/4-des-francais-soutiennent-la-journee-d-action-de-ce-mardi-19-mars-6269522

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19 mars 2019 2 19 /03 /mars /2019 21:59

Guerre d’Algérie

« L’idée internationaliste était primordiale dans notre engagement »
, par  Henri Alleg

Cet interview de notre camarade Henri Alleg est extrait d’un numéro hors-série de l’Humanité dédié au cinquantième anniversaire de la fin de la guerre d’Algérie. C’est la journaliste Rosa Moussaoui qui a réalisé l’entretien.

Un demi-siècle après l’indépendance de l’Algérie, pour laquelle vous avez combattu, que représente, pour vous, ce pays ?

Henri Alleg. Cela va sans dire : je suis très heureux que l’Algérie soit indépendante (rires). Je suis heureux et fier d’avoir pris part au combat pour l’indépendance. Bien sûr, j’aurais souhaité que les aspects sociaux pour lesquels nous avons combattu prennent plus d’importance. Je regrette que les batailles que nous avons menées pour l’avenir, pour le socialisme, n’aient pas pris plus de place. Mais je suis heureux que l’Algérie soit aujourd’hui ce qu’elle est, avec toutes les possibilités qui s’offrent à ce pays. Quand je pense au passé, je crois que notre combat a marqué la lutte du peuple algérien. C’est en ce sens que l’Algérie reste pour mois une référence du combat des communistes.

Lorsque vous avez écrit « La Question », pensiez-vous que votre témoignage sur la torture puisse avoir un tel impact ?

Henri Alleg. Ce n’était pas seulement un livre que j’écrivais. Il fallait faire connaître ce qu’était la guerre en Algérie. Il fallait témoigner des pratiques des colonialistes français, du sort atroce réservé au peuple algérien, de la réalité de cette guerre coloniale. Je dois dire que j’ai été surpris de l’écho rencontré par ce texte, lorsqu’il est devenu un livre. Un demi-siècle plus tard, ce témoignage reste utile. Lorsque je suis invité pour des conférences aux États-Unis, au Royaume-Uni, je peux mesurer sa résonance. Les atrocités commises par l’armée française pendant la guerre d’Algérie ne diffèrent pas des atrocités commises par l’armée américaine en Irak, en Afghanistan et ailleurs. Le combat continue. Rétrospectivement, je suis heureux d’avoir écrit ce livre, parce qu’il conserve un sens dans le monde d’aujourd’hui, même si le contexte a changé. La Question a par exemple circulé parmi les détenus dans des prisons turques où était pratiquée la torture.[...]

La suite sur:  lepcf.fr

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19 mars 2019 2 19 /03 /mars /2019 18:45

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19 mars 2019 2 19 /03 /mars /2019 18:43

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