Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
L’Algérie commémorerait ce mercredi le 74e anniversaire des massacres du 8 mai 1945, qui ont fait plus de 45 000 martyrs, victimes de crimes contre l’humanité dont la responsabilité historique hante l’État français qui a annoncé, sous le pression de la rue, l’ouverture du dossier de ses crimes coloniaux.
Ces crimes commis par l’armée française durant la colonisation de l’Algérie se sont invités dans le « grand débat national » lancé par le président Emmanuel Macron dans le but de résoudre la crise sociale devenue politique.
L’opportunité de ce débat a été l’occasion de mettre à nu la face hideuse du colonialisme français que les autorités de la France se sont attelées, quelques années auparavant, à en consacrer la glorification à travers un texte de loi avant de se trouver, à présent, contraintes de dévoiler son côté sombre.
C’est dans ce cadre que l’anticolonialiste Henri Pouillot a adressé, en tant que témoin de la Guerre de libération nationale, une lettre au chef d’État français soulignant le besoin impérieux pour « leur génération d’anciens combattants que les crimes contre l’humanité (tortures, viols, crevettes Bigeard et corvées de bois), les crimes de guerre (600 à 800 villages rasés au napalm et utilisation du gaz VX et Sarin…) et les crimes d’État (massacres de Sétif/Guelma/Kherrata en mai 1945 et massacres du 17 octobre 1961 à Paris) soient reconnus comme tels et condamnés et qu’ils ne soient plus considérés comme ayant été les responsables de leur exécution." [...]
L'Algérie commémorerait ce mercredi le 74e anniversaire des massacres du 8 mai 1945, qui ont fait plus de 45 000 martyrs, victimes de crimes contre l'humanité dont la responsabilité historique ...
Paris - Commémoration des massacres du 17 Octobre 1961 - Pour la reconnaissance de du crime d'Etat
Soixante ans après la répression meurtrière, le 17 octobre 1961, vers la fin de la guerre d’Algérie, de la manifestation désarmée des Algériens de la région parisienne, un appel à la reconnaissance par les plus hautes autorités de la République française des responsabilités dans ce drame a été lancé par plus d’une centaine d’associations, syndicats et partis politiques. Ci-dessous, après cet appel et ses signataires, une émission de Mediapart qui fait le point avec la journaliste Samia Messaoudi et l’historien Fabrice Riceputi sur ce qu’on peut dire de cet événement. De nombreuses initiatives auront lieu dans toute la France, dont une marche dans Paris le 17 octobre 2021 après-midi, annoncée le 13 octobre par une conférence de presse. [...]
Lire la suite sur le site "Histoire coloniale et postcoloniale" :
pour demander la reconnaissance de ce crime d'Etat Soixante ans après la répression meurtrière, le 17 octobre 1961, vers la fin de la guerre d'Algérie, de la manifestation désarmée des Algér...
1. Comment expliquer les causes des incendies en Kabylie ?
Il faut rappeler que Kabylie est une région montagneuse plus boisée que le reste du pays (taux de boisement de plus de 30% contre 11% au niveau du territoire national), avec des densités de population très élevées (parfois jusqu’à 800 habitants au km2) et que la plupart des 1500 villages (ceux de la wilaya de Tizi-Ouzou) sont proches de ces espaces boisés. En résumé, les populations résidentes qui font partie de l’écosystème forestier développent des activités, qui exercent aujourd’hui une forte pression sur des ressources naturelles (sol, eau et forêts) de plus en plus rares et dégradées. [...]
2. Qu’en est-il alors de l’action de l’Etat pour les prévenir ou y faire face ?
Il y a bien sûr une responsabilité écrasante de l’Etat que le ministre de l’intérieur a voulu évacuer dès le premier jour en pointant du doigt « des mains criminelles ».
Les moyens mobiles affectés aux brigades des forestiers, les camions citernes, les emplois, les postes de vigie, les pistes d’accès, les points d’eau, l’aménagement de pare-feu ont été insuffisants. Les experts ont souligné qu’ils étaient aujourd’hui bien en dessous des normes standards exigées, ce qui constitue un sérieux handicap dans la prévention des incendies et la lutte contre les feux. Je ne parle pas ici de l’absence de matériel de télédétection récoltant des données pour alimenter les modèles climatiques, de stations météo leur fournissant des données quotidiennes précises sur les endroits à risque potentiel de départ de feux. La crise politique que traverse le pays, le déficit de confiance et l’effondrement de la mobilisation sociale sont des facteurs qu’il faut bien évoquer pour expliquer les raisons de ces incendies de forêts, qui même s’ils ont connu une ampleur exceptionnelle, étaient pour de nombreux experts de la question prévisibles. L’on savait que Tizi-Ouzou était la wilaya qui avait enregistré le plus grand nombre d’incendies ces dernières années, l’on savait aussi que les indices du risque fréquentiel d’incendies (qui traduisent le rapport de la fréquence annuelle des incendies rapporté à la surface du massif forestier) des communes de la wilaya de Tizi-Ouzou étaient qualifiés d’élevés à très élevés et notamment pour les communes de Larba Nath Irathèn ou de Aïn-el-Hammam mais le régime en place était par sa nature même incapable de faire face à tout cela ! [...]
Par Omar Bessaoud - Economiste agricole 1. Comment expliquer les causes des incendies en Kabylie? Il faut rappeler que Kabylie est une région montagneuse plus boisée que le reste du pays (taux de...
En juillet 2020 le président Emmanuel Macron confie à l’historien Benjamin Stora la mission de produire « un rapport sur les questions mémorielles portant sur la colonisation, et la guerre d’Algérie » dans l’objectif d’affirmer « une volonté nouvelle de réconciliation des peuples français et algériens » [1] ancrée sur un « travail de mémoire, de vérité et de réconciliation ». La veille de la remise du rapport les services de la présidence précisaient : « Des "actes symboliques" sont prévus mais il n’y aura "ni repentance ni excuses" . » [2]
Le président de la République reprend dans ces précisions le vocabulaire de l’extrême-droite qui dénonce depuis des décennies les exigences de vérités historiques comme constituant une demande de « repentance ».
L’exigence légitime de « reconnaissance » de la colonisation comme « crime contre l’humanité » est ainsi transformée en exigence de « repentance ». La question bascule ainsi du champ du politique et de la caractérisation d’une des formes les plus ignobles de l’exploitation à celle de la morale et d’une posture de contrition.
Le peuple algérien [ pas plus que les militants anticolonialistes de France] n’a jamais massivement été demandeurs d’excuses mais a toujours exigé que toute la vérité sur les horreurs de la colonisation [et non seulement sur celles de la guerre d’Algérie ] soit reconnue. [...]
En juillet 2020 le président Emmanuel Macron confie à l'historien Benjamin Stora la mission de produire " un rapport sur les questions mémorielles portant sur la colonisation, et la guerre d'Alg...
“Nous avons mené la guerre à la France coloniale et nous l’avons gagnée. Nous ne sommes pas demandeurs d’excuses. Mais la morale et l’éthique exigent, de mon point de vue, que la France officielle franchisse ce pas…”, estime Mme Chitour-Boumedjel
ADHILA CHITOUR-BOUMENDJEL, NIÈCE D’ALI BOUMENDJEL
Cette position, sans accabler Stora, dit simplement ce que beaucoup d’entre nous pensent : mais qu’est-il allé faire dans cette galère? En matière politique quelle que soit l’ardeur de notre engagement intellectuel dans une cause la meilleure manière de la faire avancer n’est pas de cautionner un pouvoir dont tous les actes prouvent qu’il agit a contrario du but que nous recherchons. Ce qui peut unir le peuple algérien et le peuple français n’admet pas plus hier qu’aujourd’hui le moindre compromis avec ceux qui font tout pour rendre impossible ce lien. Il ne s’agit pas seulement du passé. Ausseresses et les tortionnaires ne se sont pas contentés d’Ali Boumendjel, ni d’Henri Alleg et Maurice Audin, ils ont continué à enseigner la torture en Amérique latine et ceux à qui ils ont appris sous la direction de Barbie, continuent leur sale boulot avec la caution du gouvernement français actuel. Ceux qui les dénoncent comme Assange subissent à leur tour l’innommable. (note de Danielle Bleitrach)
Liberté : Comment avez-vous accueilli la recommandation du rapport de Benjamin Stora préconisant la reconnaissance de l’assassinat de votre oncle, Ali Boumedjel ?
Fadhila Chitour-Boumendjel : Mon premier sentiment est que cette “reconnaissance” est tellement tardive, près de 65 ans après l’assassinat “masqué en suicide !” de mon oncle. Encore, faut-il le préciser, il ne s’agit, pour l’instant, que d’une éventuelle “reconnaissance”, puisque cela reste au stade d’une recommandation, parmi d’autres, du rapport de l’historien Benjamin Stora. Toutes les personnes victimes indirectes, dans ma famille, de ce psycho- traumatisme irréparable, et dont un grand nombre d’entre elles ont disparu (père, mère, épouse), n’auront pas connu cette reconnaissance qui est donc venue, comme je le disais, plus de 60 ans après son assassinat. Dans un deuxième temps, à la lecture du rapport, j’ai trouvé étonnant que l’historien français parle particulièrement d’Ali Boumendjel. Pourquoi le distinguer, alors que le Mouvement national algérien et la Bataille d’Alger particulièrement ont donné d’autres Ali Boumendjel ! Il existe tellement d’anonymes qui ont subi le sort affreux des assassinats et de la torture. Pourquoi le singulariser dans la communauté des martyrs algériens ? Ensuite, que représente cette reconnaissance concrètement ? Mon oncle aura une rue à son nom en France ? Je ne le sais pas. J’estime que le fait que la date de son assassinat soit dédiée à la Journée de l’avocat dans son pays a une portée plus symbolique !
ADHILA CHITOUR-BOUMENDJEL, NIÈCE D'ALI BOUMENDJEL Cette position, sans accabler Stora, dit simplement ce que beaucoup d'entre nous pensent : mais qu'est-il allé faire dans cette galère? En mati...
Dans le Courrier de l'Atlas sous le titre "Les massacres de Sétif, l'autre 8 mai 1945"
Le 8 mai 1945 : jour de liesse. Un vent nouveau se lève, annonciateur d’une ère de liberté ! Mais alors que la France fête la Victoire, l’un des plus effroyables épisodes de la répression coloniale débute à Sétif, Guelma et Kherrata.
Pour comprendre, il faut se reporter cinq années en arrière. En 1940, dans ce département français nommé Algérie, le monde colonial, qui s’était senti menacé par le Front populaire, accueille avec enthousiasme Vichy et le pétainisme. Le Parti du peuple algérien (PPA) et le Parti communiste algérien (PCA) sont dissous. Avec le débarquement américain de 1942, le climat évolue. Alger devient la capitale de la France libre, le siège du gouvernement provisoire de la République française (GPRF) et celui de l’Assemblée consultative provisoire (ACP). La revendication nationaliste reprend. "Les nationalistes prennent au mot l’idéologie anticolonialiste de la Charte de l’Atlantique (12 août 1942), écrit Mohammed Harbi.(1) Ferhat Abbas(2), transmet aux Américains le 10 février 1943, avec le soutien du PPA de Messali Hadj(3) un « Manifeste du peuple algérien ». A l’exception de Messali Hadj, placé en résidence surveillée, les prisonniers politiques sont libérés en avril 1943. Les tirailleurs algériens, dont plusieurs milliers sont tués, s’illustrent à la bataille de Montecassino, participent à la libération de la Corse, de la Provence. Ils sont les premiers à franchir le Rhin le 31 mars 1945. Ce qui fait dire à Ferhat Abbas : "L’opinion musulmane veut être associée au sort commun autrement que par de nouveaux sacrifices."
Le 8 mai 1945 : jour de liesse. Un vent nouveau se lève, annonciateur d'une ère de liberté ! Mais alors que la France fête la Victoire, l'un des plus effroyables épisodes de la répression col...
Le 8 mai 1945, les Alliés l'emportent définitivement sur l'Allemagne nazie. Une date que la France commémore depuis 1953 et qui reste le souvenir d'un moment de liesse populaire sans exemple dan...
12 décembre 2019. Cette date sera gravée dans la mémoire de la nouvelle génération de citoyens réfractaires à la perpétuation d’un régime basé sur la corruption, le pillage des richesses nationales, l’exploitation de la classe ouvrière, les inégalités sociales, combinés au verrouillage de la vie politique, à la fraude, au mépris.
Elle marque une nouvelle étape dans la mobilisation des masses populaires. Des millions d’hommes et de femmes, l’immense majorité de la population, rejettent le scrutin présidentiel imposé par les autorités, au mépris des revendications démocratiques clamées de façon ininterrompue depuis le 16 février. Ils sortent dans la rue pour le faire savoir.
Quel bond en avant quand on compare cette levée en masse à l’abstentionnisme passif des années précédentes !
Il y a quelques années, une toute petite minorité dénonçait inlassablement le régime des prédateurs et sa démocratie de façade. La masse des citoyens et des jeunes en particulier manifestait un certain fatalisme. Elle cherchait son dérivatif dans la « harga », ou se laissait manipuler par les diversions de toutes sortes. La plus efficace d’entre elles se jouait dans les stades où le foot-ball faisait oublier à la jeunesse populaire ses tourments face à un avenir bouché. Paradoxe, les stades se sont transformés match après match en foyers d’éruption de l’immense colère longtemps contenue. [...]
Au lendemain d'une présidentielle très largement boycottée par les Algériens, une marée humaine a envahi vendredi 13 novembre le centre d'Alger pour conspuer le nouveau chef de l'Etat élu ...
Il ne fait aucun doute que l’arrestation, samedi dernier, de Lakhdar Bouregaâ, commandant de l’ALN, dans l’ex-Wilaya 4 durant la guerre de libération, est à mettre sur le compte d’une répression pour délit d’opinion. Le grief invoqué par le parquet pour mettre sous les verrous cet homme âgé de 86 ans : « participation, en temps de paix, à une entreprise de démoralisation de l’armée ayant pour objet de nuire à la défense nationale et à un corps constitué » ne convainc personne. Au train où vont les choses depuis le 22 février - disons plus exactement depuis la mémorable manifestation de Kherrata du 16 février contre le 5e mandat de BouteflikaA - ce sont des milliers de citoyens de toutes les régions du pays qu’il faudrait jeter en prison chaque mardi et chaque vendredi en application de ce genre d’accusations que rien de sérieux n’étaye. Après tout, Lakhdar Bouregaâ et les jeunes placés sous mandat de dépôt, ont-il ourdi un complot avec un groupe du régime contre un autre pour qu’ils soient coffrés sans même bénéficier ne serait-ce que de la liberté sous contrôle judiciaire en attendant que les juges finissent leurs investigations ?
Lakhdar Bouregaâ est un personnage réputé pour son tempérament fougueux. Qu’on les partage ou pas, il agit depuis l’indépendance selon ses convictions intimes, ce qui l’avait conduit à s’associer à la sédition armée d’Aït Ahmed en septembre 1963 pour exprimer son désaccord avec Ben Bella et les dirigeants politiques de l’époque, puis à s’élever contre le coup d’Etat du 19 juin 1965 qui avait renversé ce dernier. Des positions qui l’ont conduit à passer sept ans en prison avant de goûter de nouveau à la liberté pour se consacrer paisiblement à sa vie familiale. Il y a des années de cela déjà, lors de l’inhumation du regretté Mustapha Saadoun, Lakhdar Bouregaâ exprimait devant la tombe du défunt aux membres d’Alger républicain son indignation de constater que l’Algérie, telle que l’envisageaient secrètement les responsables du pouvoir, allait être « transformée en porte-avions de l’OTAN »*.[...]
Il ne fait aucun doute que l'arrestation, samedi dernier, de Lakhdar Bouregaâ, commandant de l'ALN, dans l'ex-Wilaya 4 durant la guerre de libération, est à mettre sur le compte d'une répressio...
La puissante Organisation nationale des Moudjahidine (ONM) a dénoncé lundi une campagne de diffamation visant un des leurs, le célèbre vétéran Lakhdar Bouregaâ, placé dimanche en détention...
Actualité - Lakhdar Bouregaâ, a porté de lourdes accusations contre Bedoui, des tentatives d'entrave à la justice dans les dossiers liés à la corruption
Parallèlement aux manifestations qui se déroulent à travers toute l'Algérie, les jeunes des masses populaires mais aussi les moins jeunes ont décidé d'investir la rue mais pas uniquement pour...
À Sotteville-lès-Rouen, ce qui fut la plus grande gare de triage d’Europe dans les années 1980 est aujourd’hui un cimetière. Photo 2018
Pour le bureau de la Convergence Nationale Rail, Aurélien Djament, vice-président. L’articulation d’une politique anti-ferroviaire...
A force d’entendre à longueur d’antenne que le droit du travail est « très protecteur en France », on ne s’imagine pas que le droit n’existe que s’il est appliqué.
Le 28 avril dernier, le journal l’Humanité sortait les statistiques d’Eurostat (l’INSEE...
Nous exhortons la France et l’UE à mettre fin à l’impunité dont bénéficie Israël en prenant des sanctions immédiates contre les crimes de guerre et pour protéger les libertés fondamentales d’expression et d’information. >> Signez la pétition sur Change.org...
Image: studiostoks via shutterstock.com -
Les États-Unis dépassent de loin tous les autres contributeurs alors que des menaces pressantes comme le changement climatique et les conflits nucléaires, qui nécessitent des stratégies diplomatiques, reçoivent...
Vendredi, 20 mai 2022 Le régime soudanais arrête des dirigeants du parti communiste Dans un message publié sur les médias sociaux, le Parti communiste soudanais informe que les forces de sécurité ont procédé à l'arrestation du secrétaire politique du...
Le Parti communiste de l'Inde condamne l'arrestation du député Binoy Viswam 18/5/22 10:39 AM New Delhi, 18 mai 2022 Communiqué de presse Le Parti communiste de l'Inde condamne l'arrestation du député Binoy Viswam Le Secrétariat national du Parti communiste...
L ors du départ d’un responsable politique, il est toujours utile d’effectuer le bilan de son action à son poste de responsabilité. Olivier Véran, médecin, ancien député socialiste, nouvel élu sous l’étiquette LREM et homme ambitieux, a été nommé ministre...
Édité par Francisco Rodríguez Aranega 2022-05-18 19:43:38 La Havane, 18 mai, (RHC)- Une réunion de solidarité avec Cuba et contre le blocus économique, commercial et financier imposé au pays caribéen par le gouvernement des Etats-Unis se tient depuis...