Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 18:24

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 15:11
PCF, fin d’une histoire ou fin d’une dérive ?

mercredi 12 décembre 2018 par Francis Arzalier

Depuis un siècle, le Parti Communiste Français, né en 1920 de la rupture radicale avec la Social-démocratie, coupable de collusion avec l’impérialisme guerrier et le colonialisme, avait pour mission en France d’animer de son mieux les luttes de classe, contre le Capitalisme et l’impérialisme, et d’être dans ce but l’avant-garde révolutionnaire de la classe ouvrière et de ses alliés pour l’égalité entre les hommes et entre les peuples.

Il a rempli ce rôle historique avec bonheur à de nombreuses reprises, en 1936 en étant le fer de lance des luttes sociales victorieuses durant le Front Populaire, en organisant la Résistance armée contre les occupants Nazis et leurs alliés Pétainistes de 1940 a 44, en étant l’acteur essentiel des conquêtes sociales et politiques de la France libérée en reconstruction, en pesant de tout son poids contre les guerres coloniales et contre l’alignement de la France sur l’impérialisme occidental antisoviètique aux temps qu’on dit de "guerre froide".


Durant tout ce XXème siècle, les faux pas ne manquèrent pas : ils sont inhérents à tout organisme vivant. Ce fut ainsi le cas en été 1940 quand quelques dirigeants d’un PCF interdit et pourchassé dans un pays bouleversé par la défaite crûrent bon de demander la reparution légale de l’Humanité aux occupants allemands sur injonction de la diplomatie soviétique. Erreur majeure, réparée quelques mois plus tard, mais symptomatique d’une confusion entre les aspirations révolutionnaires et les intérêts particuliers d’un état, fut il socialiste.

La plupart du temps, les erreurs étaient le fruit des tentations électoralistes, carriéristes, opportunistes, toujours présentes quand un parti révolutionnaire agit au sein d’une " démocratie parlementaire ", au sein de laquelle le suffrage universel et les alliances qu’il implique lui apportent des lambeaux de pouvoir politique, notamment sur le plan local.

Ainsi, le PCF atténua fort dès 1937 ses mots d’ordre anticolonialistes pour ne pas déplaire à ses alliés socialistes et radicaux du Front Populaire (alors même qu’il dénonçait avec pertinence la " non intervention" du gouvernement Blum en Espagne livrée aux insurgés Franquistes avec l’aide d’Hitler et de Mussolini ).

Plus grave encore, les députés PCF en 1956 votèrent les " pouvoirs spéciaux " accordés à l’armée coloniale en Algérie, dans l’espoir fallacieux d’entraîner le gouvernement du Socialiste Guy Mollet à négocier avec les insurgés anticolonialistes. Ce qui n’aboutit qu’à y multiplier exactions et tortures.

Mais ces erreurs ponctuelles (et il y en eut bien d’autres) ne changeaient pas la nature profonde du PCF, suffisamment ancré dans les luttes de classe, suffisamment adossé à la classe ouvrière, pour corriger à chaque fois les dérives, après un temps d’hésitation.
Ainsi le vote malheureux des " pouvoirs spéciaux " n’empêcha pas le PCF d’être l’animateur essentiel des luttes populaires pour la paix en Algérie et contre l’OAS de 1957 à 1962. En 1969 encore,la candidature pour le PCF de Jacques Duclos aux Présidentielles prouva qu’on pouvait mener un combat électoral sans tomber dans les dérives opportunistes : Elle obtint 21,6 pour cent des voix, score inégalé depuis.

Le temps des dérives unitaires

C’est à partir de la décennie 70 que les tendances à l’opportunisme droitier, l’électoralisme et le carriérisme conquirent progressivement le PCF, ses directions nationales, départementales et locales, ses élus nationaux, départementaux, communaux, et ceux qui en dépendaient de façon directe ou indirecte, permanents du parti et syndicaux, voire salariés de collectivités locales, souvent promus pour leur capacité à obéir plus que pour leurs qualités d’analyse militante.

La raison essentielle de cette gangrène fut le choix de la stratégie dite " d’Union de la Gauche", la recherche constante d’alliances électorales permettant de conquérir des parcelles de pouvoir politique local et national, qui se concrétisa en 1977 dans un Programme Commun de Gouvernement avec Parti Socialiste et Parti Radical de Gauche. Démarche d’alliance qui ne pouvait déboucher que sur une allégeance au partenaire social-démocrate, seul capable d’assurer l’élection et la réélection de candidats PCF aux scrutins successifs.

L’accès aux pouvoirs devenait peu à peu le but premier du Parti, justifiant l’abandon progressif de pans entiers de son programme révolutionnaire, et son alignement sur les choix d’un PS dominateur décidé à utiliser ce partenariat pour laminer les Communistes à son profit. Les exemples de ces dérives opportunistes des dirigeants du PCF sont légion, trop nombreux pour être énumérés.

Il suffira de citer le soutien du PCF a Mitterrand comme candidat unique de la Gauche à l’élection présidentielle de1965, funeste erreur renouvelée en 1974, en cachant aux jeunes militants communistes qui l’ignoraient et allaient remplir ses meetings, le passé sulfureux de ce politicien, ordonnateur en 1957 des répressions, tortures et exécutions de militants anticolonialistes algériens quand il était ministre.

C’est dans le même état d’esprit d’allégeance opportuniste que le Secrétaire général du PCF annonça en 1976 à la presse l’abandon de la notion de "dictature du prolétariat" adoptée en 1920 en référence à la Révolution russe, sans débat entre militants, avec pour seule motivation de "ne pas effrayer les électeurs de Gauche" !


Mais l’exemple le plus flagrant de cette débandade idéologique vint en 1981 après l’élection de Mitterrand, quand la plupart des dirigeants du PCF se répandaient en discours enflammés et ridicules sur "la marche au Socialisme entamée par la France " parce que le Président avait eu la bonté de choisir quelques ministres PCF, et quand les mêmes dirigeants expédiaient en secret aux élus et militants locaux (dans le Val d’Oise par exemple) ce genre de directives : " Camarades, il faut calmer le jeu sur le terrain, nous sommes au Gouvernement ! ".1

La suite ici sur le site de l'ANC : http://ancommunistes.org/spip.php?article976

1- En Seine-Maritime, le même genre de directives fut adressé aux membres du secrétariat fédéral, convoqué en toute urgence par Roland Leroy, alors directeur de l'Humanité et membre du bureau politique. 

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 14:31
Les raisons de la colère - "La violence des riches" - A l'intention des petits marquis et petites marquises de LERM - Pour qu'ils comprennent - Ouvrage pédagogique de Michel PINÇON, Monique PINÇON-CHARLOT -
La violence des riches
Chronique d'une immense casse sociale

Michel PINÇON, Monique PINÇON-CHARLOT

Sur fond de crise, la casse sociale bat son plein : vies jetables et existences sacrifiées. Mais les licenciements boursiers ne sont que les manifestations les plus visibles d’un phénomène dont il faut prendre toute la mesure : nous vivons une phase d’intensification multiforme de la violence sociale.
Mêlant enquêtes, portraits vécus et données chiffrées, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot dressent le constat d’une grande agression sociale, d’un véritable pilonnage des classes populaires – un monde social fracassé, au bord de l’implosion.
Loin d’être l’œuvre d’un « adversaire sans visage », cette violence de classe, qui se marque dans les têtes et dans les corps, a ses agents, ses stratégies et ses lieux. Les dirigeants politiques y ont une part écrasante de responsabilité. Les renoncements récents doivent ainsi être replacés dans la longue histoire des petites et grandes trahisons d’un socialisme de gouvernement qui a depuis longtemps choisi son camp.
À ceux qui taxent indistinctement de « populisme » toute opposition à ces politiques qui creusent la misère sociale et font grossir les grandes fortunes, les auteurs renvoient le compliment : il est grand temps de faire la critique du « bourgeoisisme ».

 

Version papier : 11 €
Version numérique : 9,99 €
Paru en 2013 - Très actuel ...
 

 

 

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 10:47

Cet article est reposté depuis Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges..

Partager cet article
Repost1
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 10:27

Photos collectées sur le net.

Photos actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-etienne-du-rouvray_76575/au-rond-point-vaches-pres-rouen-gilets-jaunes-ont-fait-truc-dingue_20364483.htmlPhotos actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-etienne-du-rouvray_76575/au-rond-point-vaches-pres-rouen-gilets-jaunes-ont-fait-truc-dingue_20364483.htmlPhotos actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-etienne-du-rouvray_76575/au-rond-point-vaches-pres-rouen-gilets-jaunes-ont-fait-truc-dingue_20364483.html
Photos actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-etienne-du-rouvray_76575/au-rond-point-vaches-pres-rouen-gilets-jaunes-ont-fait-truc-dingue_20364483.html

Photos actu.fr : https://actu.fr/normandie/saint-etienne-du-rouvray_76575/au-rond-point-vaches-pres-rouen-gilets-jaunes-ont-fait-truc-dingue_20364483.html

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 10:20

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 10:12
Vu sur le blog de G Filoche

Vu sur le blog de G Filoche

Macron a menti devant 23 millions de citoyens, en direct à la télévision, et il a manoeuvré pour ne pas augmenter le Smic tout en laissant croire le contraire. La raison en est son hostilité au salariat, aux salaires et au smic. Pour lui, le salaire, net et brut, c’est l’ennemi. Il veut « une société post salariale ». Sa religion actuelle est donc que ce soit l’état qui verse des primes afin d’augmenter les marges des entreprises plutôt que les salaires

C’est ce qu’a dit Edouard Philippe : « - Nous sommes contre la hausse du Smic, car nous voulons que le travail paie ». L’expression « pour que le travail paie » s’entend pour les seules marges des entreprises, pas pour les salariés. Ou Muriel Pénicaud « - Augmenter le smic c’est fabriquer du chômage ». Ce qui signifie : il faut baisser le smic pour faire de l’emploi ! Ce qu’elle a fait par ordonnances en cassant les droits des salariés pour que ca coûte moins cher de les exploiter.

Difficile de dire à 23 millions de téléspectateurs que ce sont eux et pas les patrons qui vont donner des primes a une partie des smicards qui la demanderont s’ils sont autorisés a le faire selon des critères aléatoires que le gouvernement fixera. [...]

La suite sur le blog de G. Filoche : http://www.filoche.net/2018/12/17/pourquoi-macron-a-menti-sur-le-smic-parce-que-le-salaire-est-son-ennemi/

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 10:04
Pancarte "Le SMIC à 1800, c’est maintenant !" lors de la manifestation unitaire pour la défense du pouvoir d'achat, à l'appel des syndicats CGT, FO, FSU, Solidaires et UNEF, le 14 décembre 2018 à Paris, France. Photo Humanité

Pancarte "Le SMIC à 1800, c’est maintenant !" lors de la manifestation unitaire pour la défense du pouvoir d'achat, à l'appel des syndicats CGT, FO, FSU, Solidaires et UNEF, le 14 décembre 2018 à Paris, France. Photo Humanité

L’Humanité, 18 décembre 2018

Si la hausse de la prime d’activité annoncée par le chef de l’État va bénéficier à davantage de foyers, seuls 55 % des travailleurs payés au salaire minimum en profiteront. Les autres, en majorité des femmes, n’y auront pas droit, du fait des revenus de leur conjoint.

On savait déjà que l’augmentation du Smic de 100 euros annoncée par Emmanuel Macron, lundi 10 décembre à la télévision, n’en serait pas vraiment une. On sait aussi désormais que, contrairement à la promesse initiale, celle-ci ne sera versée dans les faits, à compter du 5 février, qu’à un peu plus de la moitié des travailleurs payés à cette rémunération.

Dans les Échos datés de lundi, Édouard Philippe a achevé de doucher les espoirs d’une bonne part de ceux qui, abonnés au salaire plancher, avaient pris au mot le président de la République. Si la hausse de la prime d’activité, qui a été préférée à une revalorisation du Smic en bonne et due forme, va bénéficier à davantage de foyers qu’auparavant (5 millions, contre 3,8 millions, selon le premier ministre) grâce au relèvement du seuil pour la percevoir jusqu’à 1,5 Smic par salarié (contre 1,2 Smic), seuls 55 % de ceux qui émargent au salaire minimum la recevront. Mieux que les 35 à 45 % qui encaissent la prime actuelle. Mais très loin de la promesse de toucher 100 % des salariés payés au Smic.

Confusion entretenue « entre salaire et lutte contre la pauvreté »

Édouard Philippe met en avant d’autres exemples : « Tous les salariés célibataires sans enfant auront 100 euros de plus jusqu’à 1 560 euros net de revenus. Avec un enfant, une mère célibataire (…) pourra percevoir la prime jusqu’à 2 000 euros de salaire. Un couple (avec) deux enfants, dont l’un gagne le Smic et l’autre 1 750 euros, verra ses revenus augmenter de 200 euros. » Il n’empêche que près de la moitié (45 %) des smicards devront s’en passer, au nom des revenus que gagne leur conjoint. « La hausse de la prime d’activité devait intervenir en janvier, elle interviendra en février. Elle devait concerner tous les smicards, elle n’en concernera plus qu’un sur deux… Quand le gouvernement parle de loi sur les fake news (fausses nouvelles – NDLR), la plus grosse des fake news vient de l’Élysée », grince le porte-parole du PCF et tête de liste communiste pour les élections européennes, Ian Brossat.

Boris Plazzi, dirigeant confédéral de la CGT en charge de la question des salaires, a fait les comptes : « Cela signifie qu’environ un million de travailleurs, et en particulier de travailleuses, ne toucheront pas ce que le président de la République leur avait pourtant promis. » Les femmes, qui perçoivent une rémunération en moyenne inférieure de 24 % aux hommes et représentent 58 % des deux millions de personnes payées au Smic, sont en effet mathématiquement désignées pour être les victimes de l’arbitrage gouvernemental en faveur d’une hausse de la prime d’activité, une aide sociale calculée selon les revenus du foyer et non le salaire perçu par la ou le bénéficiaire. « Le fait que davantage de foyers touchent la prime d’activité ne peut aucunement compenser l’injustice faite à ces travailleuses et travailleurs au Smic », dénonce Boris Plazzi.

Pourtant, Édouard Philippe avait promis textuellement tout autre chose à l’Assemblée nationale, mardi dernier. « Nous voulons que l’ensemble de ceux qui sont rémunérés au Smic bénéficient d’une augmentation substantielle de 100 euros, comme l’a dit le président de la République », avait-il affirmé devant les députés. Pour justifier son revirement, le chef du gouvernement s’est livré à une sidérante réflexion dans les Échos : « Cela peut paraître étonnant, mais 1,2 million de salariés payés autour du Smic (c’est-à-dire la majorité d’entre eux – NDLR) se trouvent dans les 30 % des foyers les plus aisés. (…) Prendre en compte l’ensemble des revenus ne me paraît pas scandaleux. C’est même un sujet de justice sociale. » CQFD. Cette confusion entretenue « entre salaire et lutte contre la pauvreté » est la rançon de « la volonté de décrocher le Smic de la notion de rémunération de la force de travail, décrypte Michel Husson, membre des Économistes atterrés. Cela de manière à justifier à tout prix que le patronat ne paye pas. Mais s’il faut ‘‘que le travail paie’’, comme l’a reconnu lui-même Édouard Philippe, cela passe par des hausses de salaire et non par des compléments bricolés ».

Pour Boris Plazzi, le détail des mesures exposé par Édouard Philippe dévoile « l’escroquerie en bande organisée à laquelle on assiste sur une prétendue augmentation du Smic ». D’autant que, à « l’arnaque sur les bénéficiaires de la prime d’activité », s’ajoute l’annonce, confirmée lundi aux syndicats, que le salaire minimum « ne sera revalorisé que de 1,5 % au 1er janvier, c’est-à-dire moins que la prévision avancée par le gouvernement », s’insurge le responsable de la CGT.

Mardi, devant les députés, la ministre du Travail avait été formelle : « Quant au Smic, il sera bien revalorisé d’environ 1,8 % à la rentrée. (…) Il s’élèvera à 1 210 euros » net. Muriel Pénicaud allant jusqu’à parler de « plus forte augmentation depuis treize ans » en l’absence de tout coup de pouce, la forte inflation expliquant ce niveau de revalorisation annuelle. Lundi matin, sur RTL, la ministre a fait machine arrière, évoquant « un Smic finalement à 1 204 euros », à cause d’« une inflation plus basse que prévu ». « Ça fait à peine une vingtaine d’euros par mois », calcule Boris Plazzi, très loin des 300 euros au minimum réclamés par la CGT. « Il aurait été bien plus efficace, lisible, d’augmenter tout de suite le Smic, plutôt que la prime d’activité, argumente le syndicaliste. Car cette prime versée par l’État ne va rien changer au bas des grilles de salaires dans les branches, les entreprises et l’administration. »

Sébastien Crépel avec Julia Hamlaoui
Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 10:02

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 09:52
Photo Paris-Normandie

Photo Paris-Normandie

Lu sur Paris Nie

Un mouvement de grève a débuté hier au centre courrier de La Poste d’Yvetot - Doudeville. Les syndicats dénoncent une réorganisation qui risque de détériorer les conditions de travail et la qualité du service rendu.

Les factrices, facteurs et agents courrier du centre courrier de La Poste d’Yvetot - Doudeville sont, pour une partie d’entre eux, en grève depuis hier. Un préavis de grève illimité a été déposé par les syndicats SUD-PTT et CGT-FAPT.

Les postiers de ce centre desservant 95 communes sont opposés à la réorganisation prévue pour le 22 janvier prochain

Lire l'article intégral ici : https://www.paris-normandie.fr/actualites/societe/pays-de-caux--en-greve-les-postiers-s-inquietent-de-leurs-futures-conditions-de-travail-FG14301675?utm_source=Utilisateurs+du+site+LA+NEWS&utm_campaign=c10bd489cb-RSS_EMAIL_CAMPAIGN&utm_medium=email&utm_term=0_233027d23b-c10bd489cb-138685717

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents