Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
– l’éditorial consacré aux projets pour l’UE d’Emmanuel Macron tels qu’il les a présentés lors de son discours du 9 mai à Strasbourg – un retour vingt ans en arrière…
– une interview d’Andreas Wehr, politologue allemand, qui analyse les évolutions et les contradictions du gouvernement fédéral et du chancelier dans le contexte de la guerre
– une analyse des sanctions, en cours et prévues par Bruxelles contre Moscou, notamment la fin des importations d’hydrocarbures russes – avec à la clé, une perspective de nouvelle flambée des prix de l’énergie
– un tour d’horizon de la situation politique au Royaume-Uni, avec le recul des Conservateurs aux élections locales du 5 mai, et la victoire des nationalistes du Sinn Fein en Irlande du Nord
– une analyse des deux élections régionales qui se sont déroulées outre-Rhin avec les deux partis les plus anti-russes, les Verts et les chrétiens-démocrates, qui progressent, mais une abstention en hausse qui reflète le désarroi des électeurs pacifistes
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
Pour recevoir cette édition, il n’est pas trop tard pour s’abonner.
Imprudence ? Le 12 avril, dans son discours de Strasbourg, le président-candidat estimait que le second tour serait « un référendum sur l’Europe ». Et en conclusion du débat télévisé, il précisait même : ce sera un référendum « pour ou contre l’Union européenne ». Certes, il a pu finalement renouveler son bail à l’Elysée. Pour autant, si l’on suit la logique macronienne au pied de la lettre, 41,5% des votants ont adressé un bras d’honneur à l’UE.
On objectera que tous les électeurs de Marine Le Pen ne sont pas des partisans assumés du Frexit. La candidate elle-même avait dépensé beaucoup d’énergie pour assurer que tel n’était nullement son objectif. Pourtant, à y réfléchir un instant, il y a un point sur lequel le sortant n’avait sans doute pas tout à fait tort : si la championne du RN avait été élue et si elle avait effectivement eu le cran d’appliquer son programme, l’appartenance de la France à l’Union se serait très vite retrouvée sur la sellette. Par exemple, la mise en place de la supériorité du droit national sur le droit européen est en elle-même explosive. En effet, l’UE n’a de sens, pour ses concepteurs, que si elle est en position d’imposer à tel ou tel pays le maintien d’une orientation inscrite dans « le cercle de la raison » jadis cher à Alain Minc. [...]
Imprudence ? Le 12 avril, dans son discours de Strasbourg, le président-candidat estimait que le second tour serait " un référendum sur l'Europe ". Et en conclusion du débat télévisé, il pr...
La prochaine édition de Ruptures sera sous presse le 27 avril
Au sommaire :
– l’éditorial consacré au résultat de la présidentielle française et à ses conséquences en Europe
– un tour d’horizon planétaire qui dément l’image occidentale d’une Russie qui serait isolée
– une analyse de l’évolution de la guerre en Ukraine : Washington et Bruxelles se sont désormais placés en co-belligérants par des livraisons massives d’armes lourdes à l’Ukraine, et projettent des sanctions énergétiques… qui pourraient se retourner contre leurs auteurs
– une analyse des élections hongroises du 3 avril, qui ont vu le premier ministre Viktor Orban triompher alors que l’opposition coalisée gauche-droite pro-UE soutenue par Bruxelles s’effondre
– une analyse des scrutins en Serbie le même jour, où les électeurs ont massivement reconduit le président Vucic qui avait fait campagne pour la paix et l’amitié avec la Russie, alors que le pays, candidat à l’UE, est sommé par Bruxelles d’appliquer les sanctions européennes
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
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L’édition de Ruptures de mars est entièrement consacrée à la guerre en Ukraine. Elle a été expédiée le 29 mars aux abonnés
Au sommaire :
– l’éditorial qui souligne que la dangereuse décision russe d’entrer en Ukraine ne justifie en rien l’hystérie russophobe ; et qui relève que la France pourrait jouer un rôle de médiateur si elle n’était pas prisonnière de l’UE et de l’OTAN
– un entretien, à propos de l’interdiction par les Vingt-sept des chaînes RT et Spoutnik, avec Emmanuel Pierrat, avocat à la Cour et spécialiste du droit des médias : ce dernier montre que la décision n’a pas de base juridique et relève qu’un tel arbitraire est particulièrement inquiétant pour la liberté de la presse
– une analyse du contexte et des conséquences de la guerre en Ukraine, avec notamment le resserrement des liens transatlantiques, mais aussi les contradictions entre les Vingt-sept qui n’ont pas tardé à refaire surface en matière d’intégration politique, militaire et énergétique
– un entretien avec l’économiste Jacques Sapir à propos des sanctions édictées par l’UE contre la Russie qui sont sans précédent, mais qui avaient été largement anticipées par Moscou, et qui pourraient bien avoir un effet boomerang sur les pays européens
La prochaine édition de Ruptures sera sous presse le 25 janvier
Au sommaire :
– l’éditorial qui pointe l’arrogance lyrique d’Emmanuel Macron : le maître de l’Elysée vante l’Europe comme « une civilisation à part » et rêve de conjurer le « grand doute européen » exprimé par les peuples depuis 2005
– un bilan de l’euro – calamiteux en matière de croissance, d’investissements publics, d’inégalités entre pays, et de souveraineté – au moment où les Vingt-sept s’apprêtent à s’écharper sur l’avenir du Pacte de stabilité
– une analyse des tensions qui s’aiguisent entre les Occidentaux et la Russie accusée de vouloir envahir l’Ukraine, tandis que l’actuel ballet diplomatique laisse poindre des divergences parmi les Vingt-sept, également entre Paris et Berlin, et au sein même des dirigeants allemands
– un coup de projecteur sur la Tchéquie et la Bulgarie : leurs gouvernements viennent d’être laborieusement formés avec l’appui de majorités hétéroclites qui pourraient donner des maux de tête à Bruxelles malgré leurs options pro-occidentales
– une analyse de la reconduction à l’identique de la coalition néerlandaise
Lisez bien : Tout y est ! Plus de 60 ans qu'il a été signé. Tous les autres traités européens en découlent. Leurs auteurs ont mis 60 ans, et ce n'est pas fini, à construire une véritable prison des peuples et des couches populaires. Si on le réécrit, c'est comme si on déclarait que l'actuel UE est morte ! Alors pourquoi tergiverser ? On attend encore 100 ans ?
Extraits des principes du traité de Rome. Ce sont ceux qui régissent l'Union Européenne !
" l'abolition,entreles Étatsmembree,desobstaclesà lalibrecirculationdespersonnes,des servicesetdescapitaux, "l'instaurationd'unepolitiquecommunedansledomainedel'agriculture," "l''instauration d'une politique commune dans le domaine des transporte," "l'établissementd'unrégimeassurantquelaconcurrencen'estpas faussée"
Il faut vraiment tout changer ... La concurrence libre et non faussée est déjà dans le traité de Rome ... ainsi que la "libre" circulation des marchandises, des capitaux, des services et des hommes ...
Texte de R. Palao sur le site de l'ANC
Questions réponses entre R.Palao (ANC) et Fabien Roussel
Bonjour, J’ai questionné l’équipe de campagne de F. Roussel au sujet de sa position sur l’UE, je te fais suivre sa réponse qui me semble éloquente...
Le commentaire de Richard Palao :
Roussel dit ne pas vouloir sortir des traités de l’UE, ce que nous avons pourtant entendu de sa bouche à plusieurs reprises, mais les réécrire !!! en précisant qu il s agit d'une nuance importante !!!
Roussel comme Melenchon sème des illusions sur cette possibilité de modifier ou de changer les traités, ils mentent en toute conscience car ils savent que les traités actuels ne peuvent être changes ou modifiés que si il y a unanimité des états membres, unanimité impossible à réaliser sur ce sujet vital pour la survie de l’Europe capitaliste.
Il est donc hautement regrettable que Roussel comme Melenchon se fassent les complices de cette UE en continuant de répandre l’illusion de l'Europe sociale au lieu de se saisir de la période électorale pour démontrer que la politique de L’UE n’est pas la fin de l'histoire et qu'il est possible de la remplacer par des accords économiques multilatéraux gagnants gagnants y compris avec la Chine, Cuba, la Russie, l’Iran etc...
Il ne faut visiblement pas compter sur ceux qui ont renoncé à la lutte idéologique contre le grand capital pour éclairer notre peuple sur la nature de l’UE... Fraternellement.
Lire la réponse de l'équipe de F Roussel ci-dessous.
Bonjour, J'ai questionne l'équipe de campagne de F. Roussel au sujet de sa position sur l'UE, je te fais suivre sa réponse qui me semble éloquente... Le commentaire de Richard Palao : Roussel di...
La prochaine édition de Ruptures sera routée le 23 novembre
Au sommaire :
– l’éditorial qui met en relief la duplicité des dirigeants européens : ces derniers re-sanctionnent la Biélorussie en l’accusant de vouloir « déstabiliser l’Europe en instrumentant les migrants », mais portent une lourde responsabilité dans les crises migratoires
– un entretien avec Bernard Borgialli, responsable du syndicat SUD-cheminots, qui pointe les dégâts prévisibles de l’ouverture de la ligne Marseille-Nice à la concurrence, et rappelle le processus de déréglementation européen
– une analyse approfondie de l’envolée des prix de l’énergie, du fait de la libéralisation et des politiques climatiques, deux orientations pilotées par Bruxelles, mais dans le contexte où les divergences au sein des Vingt-sept s’aiguisent
– un point sur la crise aiguë à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie, où l’UE est unanime pour condamner Minsk mais se divise sur les suites, alors que Bruxelles (et Paris) projettent une « boussole stratégique » et une force d’intervention européenne rapide
– Une analyse du double scrutin bulgare, législatif et présidentiel : moyennant une abstention massive, c’est un nouveau parti, hors classe politique, qui arrive en tête : il se réclame de la lutte anti-corruption, mais est conduit par deux hommes d’affaires formés aux Etats-Unis
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
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Qu’est-ce que l’UE ? L’UE est un processus historique délibérément très lent dont la limite asymptotique est la formation des « États-Unis d’Europe », grand empire capitaliste continental, à tendance de plus en plus oligarchique, sur le modèle réalisé outre-Atlantique, processus dont les peuples concernés ne veulent pas, et dont il s’agit de contourner patiemment la volonté.
– l’éditorial qui pointe le désarroi des élites européennes visible à travers deux projets trompeurs et pathétiques : l’« Europe sociale », et la « Conférence sur l’avenir de l’Europe »
– un panorama de la catastrophe qu’est en train de vivre la filière industrielle de la fonderie, prise en tenaille entre délocalisations et exigences de la « transition écologique » européenne, dans un secteur automobile de plus en plus sinistré
– une analyse détaillée des récentes élections locales et régionales britanniques : en Angleterre, Boris Johnson confirme son triomphe de décembre 2019, les électeurs populaires validant une nouvelle fois le Brexit
– un point sur les conflits actuels non résolus entre Londres et Bruxelles
– un compte rendu du Conseil européen du 24 mai, où les Vingt-sept se sont déchaînés contre le président biélorusse, et ont fait monter encore la tension vis-à-vis de la Russie
– une analyse des élections régionales à Madrid, qui ont été marquées la victoire de la droite la plus ultralibérale au détriment du PS, déstabilisant quelque peu le gouvernement national du socialiste Pedro Sanchez
– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves
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1) - Une grenouille nage dans une marmite remplie d’eau FROIDE. Un feu est allumé sous la marmite pour faire monter progressivement la température. La température monte, l’eau est tiède, la grenouille s'agite moins mais ne s’affole pas. La température de l'eau grimpe, l’eau est vraiment chaude, la grenouille trouve ça désagréable, elle s’affaiblit mais supporte la chaleur. La température monte encore, jusqu’au moment où la grenouille finit par cuire et mourir. Morale de l’histoire : lorsqu’un changement s’effectue d’une manière lente, il échappe à la conscience et ne suscite aucune réaction, aucune opposition, aucune révolte. Controversée et sujette à discussion, la parabole de la grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite traduit le phénomène d'habituation et de passivité dans un environnement qui se dégrade progressivement au point de mettre sa propre vie en péril.
Par Joël Perichaud, Secrétaire national du Parti de la démondialisation chargé des relations internationales
Mollement critiquée par ceux qui voudraient s’auto-instituer « Grands chefs à plumes » de l’UE, la Commission a présenté, dès novembre 2020, une liste de propositions visant à « mieux préparer l’Europe face aux crises sanitaires à venir ».
Ces propositions constituent un pas important vers une véritable Union européenne de la santé dont on constate chaque jour la nocivité. L’objectif est, encore et toujours, de déposséder les États membres de leurs prérogatives en matière sanitaire.
La grande destruction des nations par l’UE se fait toujours selon la même méthode appelée couramment « Métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu'elle était cuite (1)», et par le même truisme : unis on est plus fort. Mais au fait, contre qui et pour qui ?
Nouvelle autorité sur le modèle US
Acte I : Étendre les pouvoirs des organisations supranationales
Pour commencer, il est donc prévu de renforcer le rôle du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) et de l’Agence européenne des médicaments (EMA).[...]
Avec ces deux mesures, c’est bien la main-mise de la Commission, non élue, sur les traitements (vaccins, médicaments), les matériels médicaux, la réponse sanitaire d’urgence… Bref, la fin des instruments nationaux de politiques de santé publique est actée.
Acte II : Créer une nouvelle « autorité » sur le modèle financier américain
Pour les europiomanes, l’exemple à suivre, même s’il est inefficace et destructeur pour les peuples, est celui des Etats-Unis. Il est donc prévu de créer d’ici fin 2023, sur le modèle de la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) américaine, une autorité pour la réaction aux urgences sanitaires. Il faut bien sûr la donner d’un nom qui fleure bon le globish. Ce sera « Health Emergency Response Authority » (HERA) et elle fonctionnera comme sa source étatsunienne.
Créée en 2006, la BARDA est l’agence US responsable des contre-mesures médicales contre le bioterrorisme, les menaces chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires, les pandémies et les maladies émergentes.[...]
Ne ratez pas les chapitres 2 et 3 à venir. Ça vaut le coup :
Echecs répétés de l’Union européenne
Ecolo l’UE ? Honteuse fumisterie !
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