Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
14 janvier 2025 2 14 /01 /janvier /2025 00:00
Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."

Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."

Le Rassemblement national (RN, fréquemment étiqueté extrême droite) a soif de respectabilité. Et il ne s’en cache guère. Il rêve de paraître acceptable vis-à-vis des dirigeants actuels du système politique, système que son discours continue pourtant de dénoncer.

Ce n’est pas tout à fait nouveau. Il y a quelques années déjà, ce parti renonçait à mettre en cause l’euro, alors qu’il avait jadis, en paroles du moins, combattu le principe de la monnaie unique. Les stratèges de Marine Le Pen estimèrent après coup que cette opposition avait contribué à la défaite de cette dernière lors de l’élection présidentielle de 2017.

Ce renoncement avait suivi l’alignement du RN (qui s’appelait alors Front national) sur l’idéologie dominante concernant l’appartenance de la France à l’UE. En réalité, le « Frexit » n’avait jamais fait partie du programme officiel du parti. Mais, en cultivant l’ambiguïté, ses dirigeants tentaient de séduire les électeurs résolument opposés à l’intégration européenne. Ce n’est plus qu’un vieux souvenir… [...]

Pour lire la suite et s'abonner au site de Rupture, cliquez ci-dessous :

Partager cet article
Repost0
28 novembre 2024 4 28 /11 /novembre /2024 17:19
La victoire de Trump plonge les dirigeants de l’UE dans le désarroi… [Ruptures]

Pour eux, ce fut un choc. Les dirigeants européens, réunis à Budapest en deux sommets successifs, respectivement les 7 et 8 novembre, venaient d’apprendre la victoire de Donald Trump lors de l’élection américaine du 5 novembre. La plupart d’entre eux avaient du mal à cacher leur désarroi, leur sidération, voire leur angoisse.

Certes, cet événement n’était pas imprévisible. Mais l’ampleur du triomphe du candidat républicain qui a devancé sa rivale de 5 millions de voix, et la majorité qu’il a finalement conquise dans les deux chambres du parlement, dessinent un scénario qui dépasse leurs pires cauchemars.

A partir de janvier prochain siègera donc à la Maison Blanche un homme qui, plus encore qu’en 2016, menace de prendre les dirigeants occidentaux et leur idéologie à contre-pied. Cela vaut pour le rôle et l’avenir de l’OTAN, pour l’attitude sur l’environnement et le climat, pour le libéralisme économique et politique, entre autres. A court terme deux dossiers provoquent des sueurs froides dans les capitales européennes : l’aide militaire massive à Kiev, à laquelle M. Trump a annoncé vouloir mettre fin ; et la guerre commerciale que ce dernier entend mener, non seulement vis-à-vis de la Chine, mais aussi de l’UE.

Si le futur président est en partie imprévisible, il est peu probable qu’il renonce à ces deux intentions là, sauf à passer pour un faible – ce qui n’est pas vraiment son genre. Cela a provoqué ce commentaire énoncé anonymement par un haut diplomate de Bruxelles : « nous sommes dans un bateau qui va affronter une énorme tempête ». Cité par le site Euractiv, l’un de ses collègues a confirmé à sa manière : « nous sommes relativement calmes et concentrés, et nous avons du temps jusqu’à janvier pour nous préparer au maximum ».

Ironie amère : l’hôte des deux sommets n’était autre que le premier ministre hongrois. Or Viktor Orban (photo) est le seul parmi ses collègues de l’Union européenne à avoir exprimé un sentiment opposé : il avait ouvertement proclamé qu’il déboucherait le Champagne si son ami Donald Trump l’emportait. Dans la période récente, il avait déjà multiplié ce que ses homologues ont perçu comme des provocations, notamment en rencontrant Vladimir Poutine et Xi Jiping. Quelques jours avant la victoire de Donald Trump, M. Orban avait même fait enrager ses collègues en estimant que, « si l’Amérique devient favorable à la paix (en Ukraine), l’Europe ne pourra pas rester favorable à la guerre »…

Suite et abonnement sur le site de Ruptures

Partager cet article
Repost0
9 novembre 2024 6 09 /11 /novembre /2024 01:05

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Partager cet article
Repost1
29 avril 2024 1 29 /04 /avril /2024 15:03
Joe Biden(AP Photo/Alex Brandon)  : Paquet d'aide pour Israël, Taiwan, et l'Ukraine : Joe Biden salue une loi qui rendra "le monde plus sûr"

Joe Biden(AP Photo/Alex Brandon) : Paquet d'aide pour Israël, Taiwan, et l'Ukraine : Joe Biden salue une loi qui rendra "le monde plus sûr"

Le Congrès USA a approuvé une loi de 95 milliards de dollars pour les “aides” à l’Ukraine, Israël et Taïwan.

La Loi, votée par une grande majorité bi-partisane de Démocrates et Républicains, prévoit 60,8 milliards des dollars pour l’Ukraine, 26,4 milliards pour Israël et 8,1 milliards pour Taïwan dans la région de l’Indo-Pacifique.

[...]

La suite en cliquant ci-dessous :

Partager cet article
Repost0
19 avril 2024 5 19 /04 /avril /2024 09:58

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Partager cet article
Repost0
14 avril 2024 7 14 /04 /avril /2024 15:05

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Publié et écrit par Jean Lévy sur le blog d'El Diablo en Juillet 23.

Depuis le 24 février 2022, plus de 11.500 mercenaires étrangers sont arrivés en Ukraine pour prendre part aux hostilités, a annoncé le 10 juillet le ministère russe de la Défense. Il s’agit de ressortissants de 84 pays. Plus d'un tiers d'entre eux ont été tués et le même nombre a quitté le pays.

Ce n'est pas la première fois que des Français se sont engagés volontairement dans une guerre contre la Russie. En 1941, les dirigeants collabos avec Déat et Doriot, avec Pierre Laval, Premier ministre de Pétain créent la LVF, la Légion des Volontaires Français contre le Bolchevisme, pour combattre, sous l'uniforme allemand sur le  front de l'Est aux côtés des soldats du Reich… [...]

La suite sur le blog d'El Diablo

Partager cet article
Repost0
11 avril 2024 4 11 /04 /avril /2024 23:07
Conseil européen de printemps : qui va payer pour les armes ?…

Le spectre d’un échec occidental en Ukraine a plané sur les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-sept réunis à Bruxelles les 21 et 22 mars. Au point que ce Conseil européen de printemps a été presque exclusivement consacré à la guerre et aux dossiers qui y sont liés.

« La Russie ne doit pas l’emporter » affirme la déclaration finale dès son premier paragraphe. Cette proclamation pourrait sembler banale de la part de l’UE. Pourtant, il y a quelques mois encore, les dirigeants européens ne jugeaient pas utile de la marteler, tant la victoire de Kiev, massivement soutenu par les Occidentaux, semblait aller de soi.

Désormais, l’ambiance a radicalement changé. L’armée russe avance, notamment sur le front du Donbass. Et les forces ukrainiennes paraissent chaque jour en plus mauvaise posture. Quelques jours avant le sommet, Emmanuel Macron résumait l’état d’esprit de la plupart de ses collègues : « si on laisse l’Ukraine seule, si on la laisse perdre cette guerre, la Russie menacera à coup sûr la Moldavie, la Roumanie, la Pologne ». Le président du Conseil européen, le Belge Charles Michel, enchérissait peu après, dans le quotidien français Libération : « si nous n’apportons pas suffisamment d’aide à l’Ukraine pour arrêter la Russie, nous serons les suivants ».

Dans ces conditions, le sommet a pris des allures de conseil de guerre, sans cependant réussir à effacer les divergences et contradictions entre Etats membres. A propos notamment de cette question particulièrement sensible en période de restriction budgétaire : où trouver l’argent ?  [...]

La suite en vous abonnant sur le site de Ruptures

Partager cet article
Repost0
26 mars 2024 2 26 /03 /mars /2024 00:46
Nouveau rendez-vous important entre Scholz, Tusk et Macron pour évoquer l’aide à l’Ukraine. © Photos AFP, montage NR

Nouveau rendez-vous important entre Scholz, Tusk et Macron pour évoquer l’aide à l’Ukraine. © Photos AFP, montage NR

La visite éclair d’Emmanuel Macron au chancelier Scholz, le 15 mars, a permis aux deux hommes, flanqués du premier ministre polonais, d’échanger force sourires. De façade.

Car en réalité, entre Berlin et Paris, le torchon brûle. Bien sûr, les relations franco-allemandes n’ont jamais été sans nuage. Les contradictions et les frictions ont rarement manqué, et ce, dans une multitude de dossiers. Parmi ceux-ci, trois sont particulièrement connus : l’énergie (notamment nucléaire), les finances publiques (la mise en œuvre du Pacte de stabilité), et le commerce international (avec la Chine, le Mercosur…).

Mais c’est aujourd’hui un autre thème, et pas des moindres, qui enflamme les rapports entre les deux gouvernements : la manière de soutenir Kiev, et plus généralement la posture stratégique et militaire. Naturellement, l’appui au pouvoir ukrainien réunit les deux rives du Rhin, de même que l’espoir – irréaliste – d’infliger une défaite historique à la Russie. Mais l’opposition apparaît dès qu’il est question de la manière d’atteindre cet objectif – et accessoirement de défendre ses intérêts industriels et géostratégiques.

 [...]

Sur le site de Ruptures : Abonnez-vous !

Partager cet article
Repost0
9 mars 2024 6 09 /03 /mars /2024 14:14
Déjà en 2019 ... Un méthanier livrant du gaz naturel liquéfié (GNL) dans un port espagnol. - RAFA RIVAS / AFP

Déjà en 2019 ... Un méthanier livrant du gaz naturel liquéfié (GNL) dans un port espagnol. - RAFA RIVAS / AFP

L’année 2023 s’est terminée avec la COP28 de Dubaï, dont l’une des lignes directrices principales était la sortie des énergies fossiles. Cet objectif est contrecarré les importations croissantes de gaz de schiste en Europe – sous la forme de Gaz naturel liquéfié (GNL) -, en pleine expansion depuis le conflit ukrainien. Sa nocivité climatique concurrence celle du charbon. Tandis qu’une série d’acteurs privés, notamment américains, s’enrichissent par ces ventes, l’Union européenne multiplie les renoncements en matière de transition énergétique.

 

Article originellement publié sur le site de notre partenaire Lava Media.

Il était une fois l’histoire d’une énergie fossile trop chère et jugée incompatible avec les objectifs climatiques mais qui, en l’espace de quelques années, est devenue une énergie d’avenir. À tel point qu’on signe des contrats d’importation sur trente ans à plusieurs milliards d’euros. Ce récit est celui du gaz de schiste des États-Unis – qui établit à quel point leur hégémonie sur le Vieux continent constitue une menace pour le climat.[...]

Extraits

Lors de la fracturation de la roche visant à extraire le gaz de schiste, des pertes de méthane – au pouvoir de réchauffement global 25 fois plus important que le CO2 – sont fréquentes.

Suite à la guerre en Ukraine, le prix du gaz a été multiplié par dix par rapport au niveau moyen des années précédentes. Vendre du gaz américain en Europe est ainsi devenu incroyablement rentable.

 

Et ci-dessous la suite de l'article sur "Le vent se lève.

Partager cet article
Repost0
5 février 2024 1 05 /02 /février /2024 07:44

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

L'Empire occidental rêve d'une guerre mondiale contrôlée pour réinstaurer son millénaire
Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents