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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 12:57

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23 mai 2015 6 23 /05 /mai /2015 12:55

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 23:42

La CGT déplore « un manque de personnel », demande une « revalorisation des salaires », et lance un appel à la grève, samedi 23 mai 2015, au Monoprix de Rouen. Explications.

Mise à jour : 19/05/2015 à 16:26 par Fabien Massin sur Normandie-actu

 

Un appel à la grève a été lancé au Monoprix de la rue du Gros-Horloge, à Rouen, pour la journée de samedi 23 mai 2015. (photo DR)

Un appel à la grève a été lancé au Monoprix de la rue du Gros-Horloge, à Rouen, pour la journée du samedi 23 mai 2015. (Photo : DR)

Le syndicat CGT lance un appel à la grève au Monoprix de la rue du Gros-Horloge, à Rouen (Seine-Maritime), pour la journée du samedi 23 mai 2015. « Une grève sera organisée toute la journée pour manifester contre les conditions de travail, à savoir le manque de personnel, et pour une revalorisation de nos salaires », indique le syndicat.

« La grève sera suivie »
Le manque de personnel est particulièrement criant lors des congés ou des arrêts maladie, précise un délégué du personnel/délégué syndical. Soit il n’y a pas de remplacement, soit il est insuffisant. Cela désorganise le travail, et le temps d’attente pour la clientèle est de plus en plus important. C’est un cercle sans fin, et nous voulons tirer la sonnette d’alarme. Cela fait longtemps que ça dure, et le ras-le-bol grandit. La dernière grève remonte à 2011, elle portait déjà sur les conditions de travail. Elle avait été bien suivie, mais là, je suis sûr qu’elle le sera encore plus. La majorité des 80 salariés seront en grève, même si le magasin restera ouvert.
Le premier Monoprix de France

Le Monoprix de Rouen est le premier à avoir vu le jour en France, en 1932. La philosophie d’alors était : « mettre le bon et le beau à la portée de prix ». Le concept de magasin « à prix uniques » trouvait alors son inspiration outre-Atlantique.
Ces dernières années, une seconde boutique rouennaise avait vu le jour, au centre commercial Docks 76, mais l’aventure n’avait pas duré très longtemps.

Fabien Massin
Journaliste à Côté Rouen -
« Mauvaises conditions de travail » : grève des salariés de Monoprix à Rouen
Publié le 21/05/2015 á 22H37sur Paris-Normandie

Mouvement. À l’appel de la CGT, et pour protester contre « de mauvaises conditions de travail », des salariés seront en grève samedi.

« Mauvaises conditions de travail » : grève des salariés de Monoprix à Rouen
Le magasin Monoprix devrait tout de même être ouvert demain, samedi (photo Stéphanie Péron)

Samedi 23 mai, les salariés du magasin Monoprix de Rouen sont appelés à cesser le travail par le seul syndical représenté dans l’entreprise, la CGT. « Les conditions de travail se sont détériorées depuis 2/3 ans », explique le délégué syndical CGT Patrick Richard. « Mais là, c’est le ras-le-bol ». Selon lui, l’entreprise compte entre 75 et 80 salariés (hôtesses de caisse, employés, agents de maîtrise, encadrement...). « Un nombre en baisse », assure le délégué syndical. « Les arrêts maladie et les congés ne sont plus remplacés et il y a eu plusieurs départs en retraite non remplacés. Parfois, il arrive que la direction remplace des 35 h par des 20 h, ce qui n’est pas la même chose ! ».

« Les clients s’énervent »

Patrick Richard se fait l’écho de la lassitude des salariés. « Nous avions une opération commerciale récemment, mais par exemple au rayon poisson, il y a trop de file d’attente, les clients partent... Aux caisses, il y a des queues trop importantes, les clients s’énervent... Avant, Monoprix avait le monopole en ville, mais ce n’est plus le cas... ». Selon Patrick Richard, « le mouvement de grève de samedi sera suivi, mais le magasin ne devrait pas fermer ses portes ».

Contacté hier, le service communication de la direction parisienne de Monoprix indique que la politique de l’enseigne « est de remplacer les absences - sauf courtes absences non prévisibles - tout en tenant compte de l’activité du magasin ». Par exemple, précise-t-il, « sur les quatre premiers mois de l’année 2015, nous avons procédé à 10 % de remplacement supplémentaires par rapport à la même période de l’année précédente. C’est bien la preuve que la situation ne s’est pas dégradée ».

Quant à l’augmentation de 100 euros par salarié demandée par la CGT, « les négociations salariales annuelles obligatoires auront lieu au plan national début 2016. Il n’y aura pas d’autres négociations d’ici là ».

Samedi, selon la direction, comme selon le syndicat, le magasin de la rue du Gros-Horloge ne devrait pas fermer ses portes.

PA. B.

p.buffet@presse-normande.com

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 22:09

Altuglas licencie à Bernouville.  C’est pourtant une entreprise prospère
Altuglas International, filiale d’Arkema, développe des résines acryliques à base de matières premières renouvelables. Elle commercialise 20% de la production mondiale de PMMA (polyméthacrylate de méthyle) sous forme de plaques et de résines acryliques.

Arkema, une puissante multinationale développée à partir de la France
Le groupe Arkema est né en octobre 2004, lors de la réorganisation de la branche Chimie du groupe Total et est introduit à la Bourse de Paris en 2006. À force d’acquisitions ciblées, d’investissements dans les pays émergents, il est devenu une puissante multinationale de la chimie. Le capital est à 34% français, 19% européen, 8% britannique et 35% étatsunien.  Les pays émergents se partagent le reste.  Les capitaux anglo-saxons sont maintenant majoritaires. Premier chimiste en France, acteur de la chimie mondiale, présent dans plus de 40 pays Arkema   réalise en 2014 un chiffre d’affaires de 5,7 milliards d’euros.  Rien d’une entreprise en difficulté financière. C’est au contraire une de ces grandes multinationales cotées sur les places boursières et à la recherche du profit maximum.

Réorientation vers les pays émergents, à forte croissance, à bas salaires et droits sociaux réduits
Récemment le groupe a orienté ses investissements vers les pays à forte croissance et à bas salaires.  Il envisage d’y réaliser 30 % de son chiffre d’affaires d'ici à 2017.  Il s’est récemment implanté en Chine et en Malaisie, début 2015. Il est également présent au Brésil et cherche à s’implanter en Arabie saoudite.

En conséquence, baisse de l’activité en France et en Europe
Le groupe a pour objectif atteindre un chiffre d’affaires de 10 milliards d’euros et une marge d'excédent brut d'exploitation de 17 %, avec un équilibre par région (Europe, Amérique du Nord et Asie) à trois parts égales d’en 2020.
Le rééquilibrage géographique des activités d’Arkema se traduit par une baisse du poids de l’Europe et de la France. Sa part des ventes en Europe est descendue à 41 % en 2014, contre 60 % en 2005, au profit des Etats-Unis et de l’Asie, dont les parts ne cessent de croître depuis cinq ans.  Ainsi l’Union européenne que les europhiles nous présentait, au temps des campagnes électorales pour le traité de Maastricht puis pour le traité constitutionnel, comme un moyen de résister à la concurrence mondiale permet au contraire aux multinationales françaises ou européennes de se redéployer au niveau mondial et d’organiser le dumping social et la concurrence des travailleurs entre eux.


Pour faire flamber les dividendes : redéploiement, délocalisation, dumping social et licenciements
Cette stratégie est clairement donc celle de la délocalisation pour rapidement rémunérer les actionnaires.  Il ne s’agit nullement de difficultés économiques mais d’une stratégie de redéploiement et de restructuration capitaliste : les dividendes ont presque doublé entre 2006 et 2014 !  La demande de l’entreprise de procéder à des licenciements économiques est un vol.  D’abord parce que les difficultés économiques avancées sont un mensonge.  Ensuite parce que c’est sur l’exploitation du travail des générations d’ouvriers et de salariés de Total puis d’Arkema depuis des dizaines d’années qu’Arkéma a construit un groupe mondial.  Et maintenant il jette ses salariés à la rue.

Les multinationales et les fonds de pension détruisent les emplois en France
Arkema n’est pas seul à procéder ainsi : c’est ce que fait aussi UPM avec les Papeteries de Chapelle Darblay, c’est ce qu’on fait les actionnaires du pétrole et de Petroplus, c’est ce que font les actionnaires de Vallourec.  Les multinationales entreprennent soigneusement de détruire l’emploi en France pour se restructurer à l’échelle mondiale.  

Il faut interdire ces licenciements et s’opposer au traité transatlantique qui livrera les travailleurs à ces multinationales
Or non seulement les socialistes ne prennent aucune mesure contre ces licenciements  mais ils votent et ont voté tout ce qui renforce le pouvoir de ces groupes mondiaux.  Hier ils ont voté le traité de Lisbonne qui consacre le dogme de la « concurrence libre et non faussée ».   Aujourd’hui ils font campagne pour le traité transatlantique qui donnerait des pouvoirs exorbitants à ces mêmes multinationales.  Demandons leur des comptes là-dessus aussi.

 

 

Bernouville De 700 à...36 salariés. Dans l'Eure, après 15 plans sociaux, l'usine Altuglas ferme

À Bernouville (Eure), le fabriquant de plastiques transparents, Altuglas, filiale d'Arkema, va arrêter sa production. Les 36 salariés devraient être reclassés en interne.

Mise à jour : 21/05/2015 à 15:11 par Timothée L'Angevin sur le site de Normandie Actu

 

L'usine Altuglass produit des plastiques transparents (photo : L'Impartial)

L'usine Altuglas produit des plastiques transparents. (Photo : L'Impartial)

L’usine d’Altuglas de Bernouville (Eure), près de Gisors, va arrêter sa production. La filiale du chimiste Arkema, qui produit des plastiques transparents, emploie 36 salariés. Un Comité central d’entreprise (CCE) doit se tenir vendredi 22 mai 2015 pour confirmer l’annonce faite par la direction, le 13 mai 2015, de cesser les « activités de l’établissement », relate L’Impartial.
Joint par Normandie-actu, Marc Onolfo, le directeur du site, pointe du doigt la « forte concurrence européenne » sur le marché des plaques extrudées. « Nous sommes en surcapacité, ce qui rend la situation économique très difficile. » Si l’usine ferme ses portes, il assure que des mesures sociales de reclassement seront proposées aux salariés. Il n’a pas souhaité donner plus de précisions, préférant attendre le CCE.

Une quinzaine de plans sociaux en 40 ans

Du côté des employés, la lassitude l’emporte. Le site d’Altuglas, qui employait jusqu’à 700 personnes, a vécu une quinzaine de plans sociaux ces 40 dernières années. En 2009, la masse salariale a été réduite des deux tiers, passant de 110 à 36 employés. « Six ans après, le constat s’impose : la direction a fini par obtenir ce qu’elle voulait avec la fermeture définitive du site », soupire Walter Girard, représentant CGT de l’usine.

Arkema ferme son usine Altuglas de Bernouville dans l’Eure

Par  - Publié le

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Altuglas International a informé par courrier les représentants du comité central d’entreprise de son intention de fermer son usine de verre acrylique de Bernouville (Eure) qui emploie 34 salariés.

Le 13 mai, chaque membre du comité central d’entreprise d’Altuglas International, filiale d’Arkema France, s’est vu remettre par un huissier de justice une lettre annonçant l’arrêt de l’activité de l’usine de Bernouville (Eure) qui emploie 34 salariés. Cette usine jugée non rentable, qui a frôlé la fermeture en 1997 et supprimé 76 emplois en 2009, fabrique des plaques extrudées en PMMA (polyméthacrylate de méthyle) à partir de résine ; ce "verre acrylique" est destiné aux marchés de la construction, du transport et de la communication visuelle (présentoirs, etc).

La restructuration ne concerne ni le site Altuglas de Saint-Avold en Moselle (60 salariés), qui fabrique des plaques et blocs coulés de "verre acrylique" de qualité supérieure aux produits extrudés de Bernouville, ni le siège social d’Alutglas International à la Garenne-Colombes dans les Hauts-de-Seine (52 salariés).

Walter Girard, délégué syndical central CGT, estime que la direction d’Altuglas International a beau jeu de dire que "Bernouville fait un produit low-cost qui n’est pas rentable". Cela résulte, selon lui, d’un "choix stratégique de ne pas faire de véritable R&D dans l’extrudé". Le syndicaliste pointe par ailleurs la décision de spécialiser Bernouville dans l’extrudé, alors que l’usine était "un site pilote pour les nouveaux process" ainsi qu’un site réalisant tous les produits dont ceux coulés à partir de la matière première, le méthacrylate de méthyle (MAM).

L’usine de Bernouville produit aujourd’hui 8 000 tonnes par an pour une capacité de 20 000 tonnes, selon Walter Girard.

La mise en place d’une procédure de "licenciement collectif pour motif économique" sera à l’ordre du jour lors d'un prochain CCE extraordinaire.

Claire Garnier

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 22:00

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 14:38

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 14:20

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 14:13

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 14:12

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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 14:10

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