Lu dans la lettre de l'IHS CGT 76
Pour les amoureux du Havre - Un cadeau pour les fêtes
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Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Lu dans la lettre de l'IHS CGT 76
Pour les amoureux du Havre - Un cadeau pour les fêtes
Cet article est reposté depuis ROUGE CERISE.
"Quel est le but où nous tendons? la jouissance paisible de la liberté et de l’égalité ; le règne de cette justice éternelle, dont les lois ont été gravées, non sur le marbre et sur la pierre, mais dans les cœurs de tous les hommes, même dans celui de l’esclave qui les oublie et du tyran qui les nie.
La suite ci-dessous :
Notre but: discours de Robespierre du 18 pluviose an II - 5 février 1794
Blog des communistes d'Arras "Quel est le but où nous tendons? la jouissance paisible de la liberté et de l’égalité ; le règne de cette justice éternelle, dont les lois ont été gravées, non sur le marbre et sur la pierre, mais dans les cœurs de tous les hommes, même dans celui de l’esclave qui les oublie et du tyran qui les nie. Nous voulons un ordre de choses où toutes les passion
Mis en ligne une première fois le 8 décembre
L'histoire de la police est éclairante pour comprendre ce qui s'y passe aujourd'hui. Cet article y aide.
Extraits
"Dans sa courte histoire, moins de 80 ans, la police nationale a compté dans ses rangs des fonctionnaires attachés à la République, à ses valeurs et à ses principes, et prêts à les défendre. Ce constat est-il suffisant pour utiliser le concept de « Police Républicaine » ? La réponse est loin d’être évidente car l’histoire démontre que l’engagement républicain dans cette institution a toujours été le fait de nombreux militants certes courageux… mais minoritaires."
"La police nationale est née par le décret du 14 août 1941 de « l’État français » dirigé par Philippe Pétain. Auparavant, seules existaient les polices municipales. Les trois premières années de son existence ont été corrompues par la collaboration organique avec les occupants allemands et les services nazis tels que la Gestapo ou le SD, le service de renseignement de la SS."
"Rappelons que l’opposition entre les militants républicains et ceux des milieux factieux et des ligues d’extrême-droite ne datait pas d’hier et fut une réalité structurante du combat politique dans la police dans les années 30 et sous l’occupation allemande."
"Pour faire simple, de la Libération aux années de la guerre d’Algérie, être « policier républicain » voulait dire être « policier antifasciste ». Cette opposition entre la gauche républicaine et l’extrême-droite dans le corps policier était largement admise, y compris par l’exécutif du gouvernement provisoire juste après la Libération."
Lire l'article intégral ci-dessous
Pour la police nationale, il faut aussi " partir du réel pour aller vers l'idéal "
Nous vivons une séquence dans laquelle la polémique s'est déchaînée sur les violences policières. Récemment, un témoignage accablant de plus d'un journaliste infiltré dans la police a fait...
Le Parti communiste français célèbre ses 100 ans d’existence. Adhérant à la IIIe Internationale lors du congrès de Tours de 1920, quelques années après la Révolution russe, la Section française de l’Internationale communiste fait alors scission avec la SFIO et devient le PCF. Julian Mischi, sociologue spécialiste des classes populaires et du militantisme, publie une riche synthèse de cette histoire centenaire, au plus près du renouveau historiographique. À l’heure où les classes populaires s’abstiennent massivement de voter et où les partis politiques traversent une véritable crise de confiance, l’histoire du PCF pourrait permettre de remettre au goût du jour l’idéal d’émancipation collective. Entretien réalisé par Maxime Coumes.
Le Vent Se Lève – Dès l’introduction du livre, vous écrivez que « le fait de chercher à comprendre l’histoire du mouvement communiste […] résonne fortement avec les préoccupations politiques et théoriques de celles et ceux qui ne se satisfont pas aujourd’hui de l’ordre des choses néolibéral. » Selon vous, en quoi l’histoire du Parti communiste français peut-elle alimenter une force et une énergie, alors même que l’importance des partis, dans la vie politique française, semble se désagréger ?
Julian Mischi – Ce livre a beau être un livre d’histoire, il traite en effet d’enjeux politiques actuels, tout particulièrement concernant la place des classes populaires dans notre société. Le PCF a été, il faut le rappeler, un parti de masse très puissant qui a dominé le paysage politique à gauche, de la Libération aux années 1970. Dès les années 1930, il a su développer des réseaux militants au sein du monde ouvrier urbain mais aussi dans les campagnes et parmi les fractions intellectuelles de la population. Or la capacité à prendre en compte et à relayer les intérêts des couches sociales dominées est l’un des principaux défis auquel doit faire face une gauche radicale et écologique largement dépourvue de liens solides avec les milieux populaires. [...]
La suite sur le site "Le Vent Se Lève":
Un débat s’est instauré au sujet des documentaires sur la colonisation diffusés récemment à la télévision par les chaines Arte et France 2. Les films « Décolonisations. Le bouleversement mondial », réalisés par Karim Miské et Marc Ball, accompagnés dans l’écriture par l’historien Pierre Singaravélou, diffusé le 7 janvier 2020 sur Arte. Et ceux de David Korn-Brzoza et Pascal Blanchard, respectivement auteur réalisateur et co-auteur et conseiller historique, « Décolonisations. Du sang et des larmes », diffusée par France 2 le 6 octobre 2020. Nous publions ci-dessous l’article de Nedjib Sidi Moussa publié par le site Middle East Eye, « Du sang et des larmes pour mémoire ? Pourquoi la série “Décolonisations” pose problème ». Ainsi que la chronique d’Anaïs Kien dans « Le journal de l’Histoire » sur France culture : « Comment raconter l’histoire des décolonisations aujourd’hui ? Le débat est ouvert ! ».
La suite ci-dessous, sur le site "Histoire coloniale et post-coloniale" :
Des réactions à deux documentaires sur la colonisation diffusés par Arte et par France 2
Les films " Décolonisations. Le bouleversement mondial ", réalisés par Karim Miské et Marc Ball, accompagnés dans l'écriture par l'historien Pierre Singaravélou - qui comprend trois volets s...
Le quotidien l’Humanité du 23 au 25 octobre 2020 a publié une table ronde sur le problème de l’utilisation par l’administration de la notion de « secret défense » pour faire obstacle à l’accès aux archives des guerres de décolonisation, en particulier à celles de la guerre d’Algérie. Elle a réuni Céline Guyon, présidente de l’Association des Archivistes de France (AAF), Pierre Mansat, président de l’Association Josette et Maurice Audin (AJMA) et Clément Thibaud, président de l’Association des historiens contemporanéistes de l’enseignement supérieur et de la recherche (AHCESR). Ces trois associations ont déposé un recours devant le Conseil d’Etat pour qu’il lève ces obstacles administratifs qui contredisent la loi en vigueur. La pétition à l’appui de ce recours, dont nous donnons ci-dessous le lien, ne cesse de recueillir des signatures.
Une chape de plomb sur les archives historiques des guerres de décolonisation ?
Le quotidien l'Humanité du 23 au 25 octobre 2020 a publié une table ronde sur le problème de l'utilisation par l'administration de la notion de " secret défense " pour faire obstacle à l'accè...
La pétition ci-dessous en cliquant sur le lien :
Le massacre des manifestants algériens désarmés du 17 octobre 1961, longtemps dissimulé par les autorités françaises et dont la connaissance n’a commencé à émerger que dans les années 1980, est commémoré en 2020, cinquante-neuf ans après, par un nombre croissant de rassemblements et d’initiatives diverses. Cette multiplication des commémorations de cet épisode tragique qui remonte à la fin de la guerre d’Algérie doit être probablement mis en rapport avec l’indignation que suscite la persistance aujourd’hui au sein d’une partie des forces de l’ordre de comportements manifestement hérités du racisme colonial. Ci-dessous, à Paris, en banlieue parisienne, à Lille, Rennes, Lyon, Marseille et ailleurs, les annonces de quelques unes de ces multiples initiatives, y compris en ligne sur l’internet.
[...]
La suite ici :
Nombreuses commémorations en banlieue parisienne et en régions du massacre du 17 octobre 1961
d'autant que le racisme qui persiste dans une partie de la police est un sujet de préoccupations aujourd'hui Le massacre des manifestants algériens désarmés du 17 octobre 1961, longtemps dissim...
On ne peut que partager le point de vue de cet historien.
Et tout cela avec le soutien du maire socialiste de Rouen ...
A qui profitent donc les effacements de mémoire ?
L'historien Paul Le Trévier sera devant le Palais de Justice de Rouen (Seine-Maritime) lundi 5 octobre 2020, pour exprimer sa désapprobation contre le projet artistique des LEGO®.
Paul Le Trevier sera présent le lundi 5 octobre devant le Palais de Justice de Rouen -Seine-Maritime) pour marquer sa réprobation contre les LEGO®. (©Le Bulletin)
Extraits d'un article paru sur 76 actu
"Le projet de nos édiles fraîchement en poste est en effet de boucher les impacts de bombes subsistant sur le Palais de Justice par des ... LEGO® ! Quelle honte et quelle indignité ! Même temporaire et partielle, cette dégradation de la mémoire est réellement affligeante"
"Le Palais de Justice est l'un des derniers monuments grâce auxquels on peut mesurer la souffrance de toute une ville et même de toute une agglomération. À demi détruit lors du 19 avril 1944, il sera encore durement frappé le 27 août 1944, juste avant la Libération. C’est ce que montrent les impacts sur la façade de la rue Jeanne d'Arc. Peut-on oublier aussi que le Palais de Justice servait de geôle à la Gestapo de Rouen et que de nombreux Résistants y furent torturés ?"
La totalité ci-dessous :
Le projet artistique de boucher les trous du Palais de justice avec des LEGO® agace cet historien
Dans le cadre du festival d'art urbain Rouen Impressionnée, l' artiste franco-allemand Jan Vormann va installer des briques colorées d'origine danoise pour remplir les trous de la façade du Pala...
Depuis de longs mois, des archivistes, des juristes, des historiennes et des historiens, relayés par une pétition signée par plus de 15 000 personnes, dénoncent une restriction inadmissible dans l’accès aux archives contemporaines de la Nation. Le 23 septembre 2020, l’Association des archivistes français, l’Association des historiens contemporanéistes de l’enseignement supérieur et de la recherche et l’Association Josette et Maurice Audin, ainsi qu’un collectif d’historiennes et historiens, d’archivistes et de juristes, ont saisi le Conseil d’État pour obtenir l’abrogation de l’article 63 de l’Instruction générale interministérielle n° 1300, une mesure réglementaire qui entrave l’accès aux archives contemporaines de la Nation.
La suite ci-dessous :
Un recours a été déposé au Conseil d'Etat pour demander l'ouverture des archives
" Comment faire confiance à un document qui ne cesse d'être en mouvement " ? Accès aux archives classifiées " secret-défense ". Un collectif d'associations et de personnalités saisissent le C...
La Grande peur précéda la nuit du 4 Août 1789
Par Joël Perichaud, Secrétaire national du Parti de la démondialisation chargé des relations internationales.
Le 4 août 2020
An 1789, la révolution est en marche. En effet, la réunion des « États Généraux » à Versailles le 5 mai doit être considérée comme le 1er acte révolutionnaire. Non pas la réunion en elle-même car la réunion d’États Généraux n’est pas une nouveauté même si les précédents remontent assez loin (les derniers s’étaient réunis en 1614), mais c’est la nouvelle composition de cette Assemblée et son nouveau fonctionnement qui sont sans conteste révolutionnaires.
Les « États Généraux » étaient composés d’environ 900 membres, chaque ordre de la Nation (clergé, noblesse et Tiers état) y déléguant 300 des leurs. Lors des votes, chaque ordre ayant 1 voix, le résultat ne posait aucun problème à la royauté, les députés du clergé étant en large majorité des membres du haut clergé issus de la noblesse.
Mais, grâce à des actions soutenues, le Tiers état a réussi, en 1789, à arracher au pouvoir royal deux réformes capitales : le « doublement du tiers » et « le vote par tête ». Les États Généraux de 1789 comportent donc environ 1 200 députés dont 600 représentants du Tiers état, et désormais lors des votes, chaque député comptera pour 1 voix. Le Tiers état, par ses pressions incessantes et résolues, s’est donné les moyens de mener à bien son projet, à savoir « ne pas se séparer avant d’avoir donné une Constitution à la France » (serment du Jeu de Paume).
Une révolution juridique vient de s’accomplir : la souveraineté nationale s’est substituée à l’absolutisme royal grâce à l’union de tous les députés conscients de la nécessité de réformes.
[...]
Lire la suite ci-dessous ;:
Une nuit du 4 août ne nous suffira pas !
Par Joël Perichaud, Secrétaire national du Parti de la démondialisation chargé des relations internationales.Le 4 août 2020 An 1789, la révolution est en marche. En effet, la réunion des " ...
https://pardem.org/actualite/1061-une-nuit-du-4-aout-ne-nous-suffira-pas