Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
À Saint-Avold, en Lorraine, des Gilets jaunes se sont mobilisés dès le 17 novembre 2018, et ont tenu jusqu’à présent. Un livre, qu’ils ont écrit collectivement, retrace leur mouvement.
En Lorraine, ancienne région minière, région industrielle où les entreprises ferment les unes après les autres, des Gilets jaunes se sont mobilisés dès le 17 novembre 2018. Et ils sont restés, sur les ronds-points, dans les cabanes. Le livre Le rond-point de Saint-Avold. Nous, Gilets jaunes, nos 600 premiers jours, publié aux éditions Syllepse, retrace cette mobilisation, en textes et en photos, à travers les voix de ceux qui l’ont vécue. Fait de de photos et de souvenirs rassemblés, le livre a été écrit à une centaine de mains. C’est le « nous » qui s’y exprime. Extraits.
À Saint-Avold, en Lorraine, des Gilets jaunes se sont mobilisés dès le 17 novembre 2018, et ont tenu jusqu'à présent. Un livre, qu'ils ont écrit collectivement, retrace leur mouvement. En Lor...
« Les billets se sont vendus très rapidement. » Le programmateur de l’Omnia de Rouen (Seine-Maritime) Jean-Marc Delacruz n’en doutait pas une seconde : la séance-débat autour du documentaire de David Dufresne relatif aux violences policières et intitulé Un pays qui se tient sage allait attirer les foules.
" Les billets se sont vendus très rapidement. " Le programmateur de l' Omnia de Rouen (Seine-Maritime) Jean-Marc Delacruz n'en doutait pas une seconde : la séance-débat autour du documentaire de...
"Et une provocation policière que Paris-Normandie qualifie d'" affrontements avec les forces de l’ordre". J'ai vu les policiers entrer dans la manif à la hauteur de la rue Jeanne d'Arc. Sans raison aucune. Les slogans étaient vigoureux, agressifs à l'égard du gouvernement et du patronat. Normal quand ça fait 30 ans qu'on vit des contre-réformes contre les salariés, en faveur des plus grandes entreprises. Les manifestants étaient en colère mais défilaient dans le calme. C'est au niveau du cortège des gilets jaunes qu'ils sont entrés bottés, casqués, dans leur uniforme de Robocop et ont ciblé quelques manifestants ni casqués, ni cagoulés, ni protégés par un masque. Ils ont matraqué sans retenue puis ils ont envoyé des gaz lacrymogènes ...
On est là Aux fenêtres et aux balcons Nous on est là On applaudit les soignants Mais pas le gouvernement Solidaires à 100% Des gens d’en bas
Les camarades de la troupe de théâtre Jolie Môme ont pensé à chanter au balcon et voici ce que ça donne ...sur le rythme "on est là...". À PARTAGER LARGEMENT On est là Aux fenêtres et aux balcons Nous on est là On applaudit les soignants Mai
TRÈS IMPORTANT - Communiqué de Priscillia Ludosky, François Boulo et Jérôme Rodrigues
Le 22 février dernier, Emmanuel Macron a déclaré être prêt à recevoir un groupe de gilets jaunes à l’Elysée.
Sandrine, la citoyenne gilet jaune qui l’avait interpelé (qui ne souhaite pas divulguer plus que son prénom pour ne pas être exposée) a pris notre contact pour nous demander de l'accompagner, le cas échéant, participer avec elle à cette réunion.
Nous souhaitons vous présenter les choses telles que nous les voyons, ainsi que l’état d’avancement où nous nous trouvons.
La proposition d’Emmanuel Macron est habile. Si, comme il le pense certainement, nous ne réussissons pas à nous mettre d’accord pour constituer un groupe pour cette réunion, il aura le champ libre pour continuer à expliquer que notre mouvement n’est composé que de contestataires violents opposés à tout dialogue. L’autre risque serait qu’il finisse par choisir lui-même les « gilets jaunes » qu’il recevrait en sorte que cette réunion ne serait qu’une opération de communication à l’avantage du pouvoir. [...]
"Des trois outils de répression dont dispose le pouvoir, à savoir les médias caporalisés, les forces de police, et l’autorité judiciaire, c’est bien celui-ci qui est le plus important et aujourd’hui le plus utile. "
Régis de Castelnau
Policiers républicains ou dévoyés ?
La grande journée du 5 décembre dont personne à part quelques militants déguisés en journalistes, n’a pu nier qu’elle était un grand succès a pourtant encore été marquée par d’intolérables violences policières. Aux quatre coins de la France, des caméras nous ont montré des forces de l’ordre utiliser sans aucun complexe une violence parfois sans frein faisant rejaillir sur l’ensemble du corps de la police un déshonneur qui mettra très longtemps à se dissiper.
Depuis un an, des policiers dévoyés, s’en donnent à cœur joie et utilisent tranquillement des méthodes dignes de milices de nervis, contre des manifestants voulant user de leurs libertés constitutionnelles. Le tout sous le regard des caméras, des témoins, et de la presse étrangère effarée, sans que cela émeuve beaucoup la presse mainstream. À longueur de plateaux et de colonnes, les éditocrates se relaient pour stigmatiser les violences des manifestants et rester muets sur l’effarant bilan d’un an de violences policières. Et Emmanuel Macron aura beau dire «ne parlez pas de ‘répression’ ou de ‘violences policières’, ces mots sont inacceptables dans un Etat de droit.», le catastrophique Castaner « qu’il faut arrêter de parler de violences policières » et Laetitia Avia proférer sur Mediapart devant un Plenel complaisant cette vilenie : «apportez-moi une violence constatée et je serais la première à la condamner », il n’est personne pour douter de l’existence de ces violences. Et pas grand monde ne peut se faire d’illusions sur leur caractère politiquement délibéré et organisé, probablement sur ordre comme l’a démontré l’opération de la place d’Italie le 16 novembre dernier avec le comportement du préfet de police de Paris dont Jean-Luc Mélenchon dit à juste titre « qu’il a des méthodes de psychopathe ».
Sous la pression des réseaux où circulent témoignages des exactions, et commentaires de la presse étrangère, une partie de la grande presse nationale s’est sentie contrainte changer un peu son fusil d’épaule et de rapporter de façon beaucoup plus exacte ce qui se passe. Mention spéciale au journal le Monde qui a commencé à se pencher sur ces dérives avec honnêteté.
L’impression désastreuse laissée par l’installation de cette répression violente se nourrit bien sûr, de son bilan épouvantable en termes de décès, d’amputations, de blessures souvent gravissimes, mais aussi et surtout de cette impression d’une violence complètement débridée, utilisée absolument sans complexe et nourrie par un sentiment d’impunité qui pousse à la surenchère.
Comment en est-on arrivé là ?
Pour une raison très simple : ceux dont c’est la mission de contrôler l’utilisation par les forces de police de la violence légitime de l’État, ce sont les magistrats du service public de la justice. Ce sont eux qui sont chargés de notre protection face à ces débordements. Toutes ces violences dont le remarquable travail réalisé par David Dufresne nous permet d’avoir idée de l’importance, sont autant d’infractions sévèrement réprimées par le code pénal.
Il y a les violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique prévues et réprimées par les articles 222-7 et suivants du code pénal. Une lecture rapide montre bien que les violences volontaires comme le fait d’éborgner en visant la tête avec un LBD ou un lance-grenade sont des crimes relevant de la cour d’assises ! Comment qualifier autrement que de « tentative de meurtre » l’attentat dont a été victime le malheureux Olivier Beziade, pompier volontaire bordelais le 12 janvier 2019. Et il y a bien sûr aussi des violences volontaires moins importantes pour lesquelles dans toutes les incriminations du code, le fait qu’elles soient commises par des forces de l’ordre sont des circonstances aggravantes ! Ce sont donc bien les violences policières que le législateur a entendues réprimer particulièrement.
Un groupe d'une centaine de personnes a bloqué l'accès au pont Flaubert, à Rouen, entre 6 heures et 8h30 ce vendredi matin 13 décembre, dans le cadre du neuvième jour de mobilisation sociale c...
Au lendemain d'une journée de mobilisation dans le cadre de la grève contre la réforme des retraites, où plus de 2500 personnes étaient présentes à Rouen, des manifestants mènent une action...
Salariés, retraités, jeunes Pour les revendications, rendez-vous à Rouen le samedi 7 septembre à 11 h à l’Hôtel de ville.
Un appel à une manifestation régionale à Rouen le 7 septembre a été lancé par les Gilets Jaunes.
Depuis 10 mois, l’UD agit pour l’unité des salariés et des jeunes afin de résister à MACRON, aux patrons et à leurs plans destructeurs.
Ces derniers mois, y compris en juillet – août, les mobilisations et grèves sont nombreuses avec les hospitaliers, les pompiers, les enseignants et agents de l’éducation nationale, les agents des finances, les salariés de TOTAL et du commerce…
Pourtant, Gouvernenement et patronat prétendent poursuivre, dérèglementation, privatisation, atteinte aux services publics et casse sociale. Ce sont maintenant les retraites qui sont dans leur viseur.
Depuis 10 mois, le gouvernement répond aux revendications légitimes par la répression la plus brutale. Le Gouvernement répond par la matraque, les gaz et les LBD, entrainant blessures, humiliations, mutilation et morts.
L’UD CGT 76 était présente le 3 août à Rouen, dans la manifestation exigeant « Justice pour Steve ». De même, le 27 août, au Havre devant le Tribunal, aux côtés des syndicalistes et Gilets Jaunes, contre la remise en cause du droit de manifester.
Dans la continuité de ces actions menées depuis 10 mois, nous invitons les syndicats CGT, les militants, les salariés à être présents le 7 septembre à Rouen pour : les revendications, Défendre les libertés et le droit de manifester Défendre les 42 régimes de retraite. Préparons la grève le 24 septembre. Non à la retraite par points
Rouen, le 2 septembre 2019
Un GILET JAUNE mis en garde par la Sécu pour avoir géré une page Facebook pendant un arrêt maladie D imitri Alleaume a reçu un rappel à la réglementation de la part de la Sécurité sociale, qui lui reproche d'avoir administré une page Facebook pendant son arrêt maladie. Une démarche qui s'apparente selon lui à une «tentative d'intimidation». La Sécurité sociale garde un œil attent
Commentaire : Il faudra que la direction de la Sécurité sociale de l'Eure nous explique si tous les salariés sont ainsi suivis et surveillés, qu'elle précise quelles activités on a le droit de mener chez soi pendant un arrêt maladie, à qui on peut téléphoner, quel DVD on est autorisé à visionner, si on peut regarder la télévision ( et quelles émissions ... peut-être Christophe Barbier ...) et si la lecture de Karl Marx est formellement proscrite ...
Une telle surveillance laisse pantois. Dans l'Eure, les responsables de la Sécurité sociale doivent ignorer que la France est censément être le pays des droits de l'Homme.
Il est vrai que les tirs de LBD, les violences policières ont pu leur laisser croire qu'on en avait fini avec ces vieilleries qui datent quand même de 230 ans et qu'on ne devrait plus enseigner dans les cours d'histoire.
Cabale et intimidation contre les " gilets jaunes ". C'est du moins l'interprétation que fait Dimitri Alleaume, un gilet jaune de l'Eure du courrier qui lui a été adressé par le service de lutt...
image d'illustration Que fait la Russie à la frontière ukrainienne ? «On y vit», dit Moscou en épinglant Washington Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a vivement critiqué la position de Washington dans la crise en Ukraine. Le diplomate...
Impressionnante et brillantissime leçon de russe de Zakhar Prilépine sur la chaîne privée NTV. La 136e. En lien, l'original. Le 7 avril dernier, en prévision du 12, 60e anniversaire du fameux vol dans l’espace, Zakhar Prilépine, très remonté contre les...
Lavrov a fait état de son intention d'abandonner les systèmes de paiement contrôlés par l'Occident. Comme d'habitude le ministre des affaires étrangères russe est à l'offensive sur les quest...
La Havane, 13 avril (RHC)- Le gouvernement espagnol a confirmé son désaccord avec le renforcement des sanctions économiques contre Cuba sous l'administration Trump. «Nous rejetons l'application extraterritoriale des mesures de sanction nationales car...
Pour la première fois depuis vingt ans , UN CANDIDAT DU PCF A L'ELETION PRESIDENTIELLE ?
La Conférence nationale du PCF s’est majoritairement prononcée, samedi 10 avril, en faveur d’une candidature autonome à la prochaine élection présidentielle et d’un...
D es militants d'Attac ont mené une action d'affichage dans le métro parisien pour dénoncer ceux qui, selon l'association, se sont enrichis grâce à la crise sanitaire. Elle annonce que d'autres initiatives seront menées dans les prochaines semaines. Le...
Pour mémoire, les 10 parasites les plus riches du monde sont : 1. Jeff Bezos (Amazon), 177 milliards de dollars. 2. Elon Must (Tesla, SpaceX), 151 milliards de dollars. 3. Bernard Arnault (LVMH), 150 milliards de dollars. 4. Bill Gates (Microsoft), 124...
Ce que les chômeurs vont perdre sur tous les tableaux
LAURENT JEANNEAU 06/04/2021 Facebook Twitter WhatsApp Partager sur ... LinkedIn Mail Imprimer Non seulement la nouvelle réforme va faire chuter les allocations des chômeurs les plus précaires, mais...
Par Anicet Le Pors, ancien ministre (1981-1984) L ors de la première annonce d’Emmanuel Macron de supprimer l’ENA j’avais publié dans « l’Humanité » du 25 avril 2019 l’article suivant que je n’ai aucune raison de modifier sinon pour souligner le caractère...