Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Manifestations à Rouen en 2020, le 14 janvier, le 16 janvier ...
LU sur LVSL
Alors que le projet de réforme des retraites de 2019 consacrait un changement total d’architecture du système, Emmanuel Macron vient récemment d’abandonner cette stratégie systémique. Le décalage de l’âge de départ à la retraite à 64 ans – proposé par le candidat E. Zemmour – ou même à 65 ans – piste privilégiée par V. Pecresse et E. Macron – a désormais le vent en poupe. Michael Zemmour est maître de conférences en économie à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et le coauteur du système français de protection sociale (La découverte, 2021). Ce dernier nous invite à reconsidérer certaines idées reçues sur le système de retraite français – insoutenabilité, hausse des dépenses… – tout en nous proposant quelques pistes de réflexion pour en améliorer l’architecture. Entretien réalisé par Jules Brion et retranscrit par Dany Meyniel.
LVSL : Dans vos travaux, vous montrez que la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron en 2019 entérinait le passage d’un régime à prestations définies à un système à cotisations définies. Ce nouveau paradigme fonctionnerait « en pilotage automatique » puisqu’aucun déficit ne serait possible en théorie. L’annonce récente du candidat Macron revient totalement sur cette volonté de changer l’architecture du système. Devons-nous pour autant nous réjouir de ce discours ?
Michaël Zemmour : L’intérêt du système en pilotage automatique est qu’il permet à la politique de se désengager des réformes. On met le système dans une trajectoire voulue et les ajustements se font automatiquement, sans débat politique. L’annonce qui vient récemment d’être faite met de côté cette volonté de changer l’architecture du système pour revenir à des discours plus habituels en France : on va faire des économies sur les retraites en décalent l’âge de pension. On assume frontalement la conflictualité. Est-ce que nous devons nous en réjouir ? Bien sûr que non, la réforme qui est proposée est plus dure dans ses paramètres que tout ce qui avait été proposé en 2019. Derrière la réforme Delevoye, il y avait une volonté de faire des économies mais celles qui sont proposées avec la retraite à 65 ans sont plus importantes. De tous les scénarios de 2019, aucun n’envisageait de décaler l’âge de la retraite à 65 ans en seulement neuf ans, comme cela a été récemment annoncé. Macron a durci sa position. C’est un véritable tournant car on va plus loin que l’objectif d’équilibre ; on veut carrément faire des économies sur les dépenses. Ceci peut s’expliquer par deux raisons. Soit c’est une sorte d’obsession pour la réduction des dépenses publiques qu’exprime souvent Bruno Le Maire, soit une volonté de mettre les gens au travail coûte que coûte, dans toutes les conditions. [...]
Alors que le projet de réforme des retraites de 2019 consacrait un changement total d'architecture du système, Emmanuel Macron vient récemment d'abandonner cette stratégie systémique. Le déca...
Septembre, octobre, novembre seront des mois clés pour les retraités. C’est à cette période que se voteront les budgets de le Sécurité sociale et de la loi des finances.
Alors mobilisons-nous le vendredi 1er octobre !
Notre Intersyndicale nationale dite “le Groupe des 9” organise cette nouvelle journée nationale d’action pour :
Augmentations des retraites, pensions de base et complémentaires
Sécurité Sociale, santé, autonomie
Services publics
3 rassemblements unitaires sont prévus dans le département : à Rouen – 10h au Palais de Justice au Havre – 10h à l’Hôtel de Ville à Dieppe – à fixer
Septembre, octobre, novembre seront des mois clés pour les retraités. C'est à cette période que se voteront les budgets de le Sécurité sociale et de la loi des finances. Alors mobilisons-nous...
La petite dernière de l'utramacronlibéralisme Rente et capital Über alles!
C'est une info sortie par Média part de ce jour : Le régime de garantie des salaires en grave danger 21 JANVIER 2021 PAR LAURENT MAUDUIT Selon nos informations, le gouvernement prépare une ordonnance qui modifierait l’ordre des créanciers privilégiés en cas de liquidation judiciaire, avec à la clef une rétrogra
En général les prêteurs sont les riches, l'impôt retombe sur les pauvres ; et comme le pauvre ne peut jamais faire la loi, il faut qu'il supporte l'impôt. Citation de Mirabeau ; Discours Assemblée nationale, 24 octobre 1790.
Chers tous, Hier [le 07/04/2020], au journal télévisé de 20 h de France 2, le 13e sujet était intitulé : "Aides de l’État à l'économie : qui paiera la facture ?". Et le sujet était ainsi déroulé : [Voix de la journaliste] : "Le coronavirus : quel sera le coût pour l'économie française et qui paiera le déficit ? Chantiers et usines à l'arrêt, restaurants fermés, un tiers de l'é
Le 21 mai dernier, l’intersyndicale avait appelé à manifester pour la défense de l’emploi chez GE. Photo d’archives ER /Christine DUMAS
"Belfort est une ville résistante. Elle espère que son gouvernement ne la livrera pas une seconde fois."
Ce matin, la direction du groupe américain General Electric a annoncé la suppression de 1 050 emplois sur Belfort, 800 dans les turbines à gaz, 250 dans le centre de services installé il y a deux ans, conformément aux engagements pris, et désormais voué à la fermeture.
Le coup est terrible pour Belfort, qui voit de surcroît l’exécution des nouvelles commandes transférée aux Etats-Unis.
Dans ce sinistre industriel, la responsabilité de l’Etat est doublement engagée. D’abord pour avoir accepté, dans la plus grande opacité, un accord déséquilibré avec General Electric en 2014. Ensuite pour n’être pas monté au capital pour y remplacer Bouygues en 2017 et ainsi donner vie aux trois « co-entreprises » prévues entre Alstom et General Electric. « Tout pour les actionnaires, haro sur les salariés ! », ainsi se résume ce bradage à 12,5 milliards d’euros.
Belfort est un grand site industriel français depuis 1878. Je n’imagine pas que le Président de la République, que j’ai accompagné à Belfort en 2015 quand il était ministre de l’Economie et qui connait parfaitement bien le dossier Alstom, ne prenne pas aujourd’hui des initiatives d’abord pour rappeler à General Electric que le slogan « America first ! » ne saurait s’appliquer en violation des engagements pris, et qu’ensuite il ne donne pas une vigoureuse impulsion aux projets de diversification industrielle qui existent en matière aéronautique comme dans la maintenance nucléaire.
Belfort est une ville résistante. Elle espère que son gouvernement ne la livrera pas une seconde fois.
Histoires d’actu. On y invoque le ras-le-bol de ces impôts que les riches ne paient pas, l’exaspération liée au pouvoir oppressant des puissants, le sentiment d’une justice de classe : c’est la Normandie de 1789, à travers ses cahiers de doléances. Morceaux choisis avec une plongée dans les archives normandes des germes de la fronde.
Il y a ceux qui mettent les formes, comme à Buchy. «À ce qu’il plaise à sa majesté étendre sa bienséance sur ses fidèles sujets pour l’encouragement et l’exploitation de leurs terres et herbages, le commerce de leurs denrées et bestiaux et par adoucissement des charges excessives qui leur sont imposées.»
Et ceux qui mettent les pieds dans le plat.
Comme aux Andelys : «Égalité proportionnelle de répartition de toute espèce d’impôt qui sera établi ou conservé soit ordonné entre tous les citoyens sans distinction d’ordre ni d’état. Qu’il soit demandé la suppression des vingtièmes, tailles, corvées, gabelles.» Car si aujourd’hui, les « gilets jaunes » revendiquent entre autres le rétablissement de l’ISF, bourgeois, employés et paysans demandent juste en 1789 que la noblesse et le clergé paient tout simplement des... impôts ! Une revendication que l’on trouve dans les villes, et dans les campagnes. Les habitants de Saâne-Saint-Just et ses quelques feux, comme on dit à l’époque pour évoquer les ménages, sollicitent «l’abolition de la gabelle (NDLR : taxe sur le sel) et de l’impôt sur le tabac. Quant à la corvée qui pèse sur les agriculteurs qui paient pour des travaux qui languissent ou sont mal faits.» Et certains de faire des propositions.
À Gournay-en-Bray, on propose «de préférer autant qu’il se pourra ceux (NDLR : les impôts) liés à la consommation d’autant qu’ils tiennent moins de l’arbitraire, qu’après tout il dépend du choix de consommer plus ou moins et que celui qui consomme est aussi censé être plus riche ou fait plus de profits.» Dans le nord de la Seine-Inférieure, on vient d’inventer sans le savoir une forme de TVA. Aujourd’hui chacun s’accorde pourtant à dire que c’est un impôt injuste. «La paroisse est surchargée dans la répartition de la taille (NDLR : impôt direct). Il serait bien que la répartition ne soit pas arbitraire et qu’elle soit dite dans chaque province et chaque baillage», assure-t-on dans la paroisse de Pavilly, «330 à 340 feux», en mars 1789.
DEHORS !... le pouvoir vertical
Alors certes, on ne demande alors ni la tête ni l’abdication du roi. Mais tout de même, on profite des cahiers de doléances pour dénoncer ce que le peuple considère comme des abus du pouvoir royal. Et de la noblesse.
À Vernon, on fait «doléance au Roy sur l’existence et l’entretien onéreux d’un trop grand nombre de demeures royales et les dépenses excessives qu’elles entraînent. Il faut que le Roy réforme l’économie de sa maison, de celle de la Reine, des princes ses enfants et des princes ses frères et autres princes et princesses»; au Havre, on demande la suppression de toute place, emploi et office qui ne sont pas nécessaires.À Buchy, aussi on demande poliment au roi de «se faire rendre compte de l’emploi des deniers afin de diminuer les dépenses, les gratifications qui forment un poids qui pèse sur les habitants de la campagne.» Aux Andelys, que l’administration des forêts soit « plus régulière» et que «les ministres soient responsables de l’emploi des sous qui leur ont été confiés.» À Pont-Audemer, on veut connaître «les sources des abus de l’État, et là aussi, que les ministres soient comptables des deniers publics.» À Charleval, on pointe du doigt les richesses du clergé : «les maisons conventuelles sans aucune utilité doivent être supprimées et les fonds employés pour la pension du curé, l’augmentation des gages du vicaire, du maître et de la maîtresse d’école.» [...]
DEHORS !...les restrictions
Quand les campagnes ont l’impression de payer pour les villes... À Saâne-Saint-Just, on veut «faire supporter les frais des grandes routes à ceux qui les dégradent» et l’on «réclame le secours du gouvernement afin qu’il fasse procurer au peuple les aliments nécessaires à la vie et arrêter le tumulte de la disette.» On préconise même des mesures radicales. «Pour faciliter l’abondance de blé, nécessaire à tous les citoyens, denrée qui leur est indispensable il sera défendu, sous peine de punition corporelle, d’exporter cette denrée hors du royaume, si ce n’est de province à province», propose-t-on à Buchy. À Gisors, c’est une régulation du prix du blé en cas de disette que l’on réclame. [...]
DEHORS !...Les pigeons
[...]
DEHORS !... L’automatisation
La fin du XVIIIe siècle voit naître les premières mécanisations, et notamment celle de la filature. Les premières peurs aussi face aux prémices du capitalisme industriel. «Les mécaniques pour la filature de coton retirent les moyens nécessaires aux pauvres et aux artisans pour leur subsistance», assure-t-on dans la paroisse de Pavilly.
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DEHORS !... LA justice à deux vitesses
Dans de nombreux cahiers de doléances, on retrouve des préoccupations plus politiques, mis en avant notamment dans les grandes villes. La liberté de la presse, sans censure, revient régulièrement. Même dans les cahiers de doléances des campagnes. [...]
DEHORS !... et après ?
Parmi les 188 000 tisserands de la région de Rouen, plus d’un tiers est au chômage et sans ressource. Le 14 juillet 1789, une foule de 300 à 400 personnes envahit une filature du faubourg Saint-Sever. Trente métiers à tisser mécaniques anglais sont brisés. Pendant ce temps-là, à Paris... [...]
Claude Mazauric, historien de la Révolution française (1)
Les «gilets jaunes» d’aujourd’hui sont-ils les sans-culottes d’hier?
Claude Mazauric: « Oui et non. Non, car l’histoire ne se répète jamais. Nous ne sommes pas dans la même organisation de la société, de l’économie, des échanges commerciaux qu’à l’époque. Tout cela nous permet de garder le sens aigu des différences.
Ce qui est vrai, c’est que les « gilets jaunes » comme les sans-culottes n’est pas un mouvement social homogène. À Rouen, on trouve dans la sans-culotterie à la fois des maîtres de métiers, des petits chefs d’entreprise, des compagnons, des portefaix, des apprentis et avec autour d’eux toute une plèbe d’habitants. Ce sont les couches populaires dominées avec au-dessus d’eux notamment la grande bourgeoisie. Aujourd’hui, les « gilets jaunes » appartiennent aussi à ces couches sociales dominées qui sont la proie des crises, comme l’étaient les sans-culottes avec la hausse du prix du pain au XVIIIe siècle. [...]
Les quatre syndicats n'ont pas ratifié l'accord de branche dans la banque sur les CDI d'opération, signé par le SNB/CFE-CGC. Une décision inédite des organisations syndicales qui dénoncent un...
"J'ai changé les plaquettes de frein et le liquide de refroidissement. 350 EUR chez Norauto..." C'est parti pour un road-movie dans la France d'aujourd'hui! Avec leur humour et leur caméra, Gille...
J'veux du soleil ! débarque dans les salles de cinéma mercredi 3 avril ! Après une mois et demi de tournée dans toute la France, avec Gilles, et plus de 25 000 entrées, "J'veux du soleil !" débarque officiellement dans 140 salles mercredi 3 avril pour vivre sa vie au cinéma ! Retrouvez : La carte des salles La bande-annonce officielle La bande-annonce non-officielle La fiche du film sur All
17 personnes, gilets jaunes ou sympathisants, comparaissaient ce matin devant le tribunal de police du Havre pour occupation illicite du domaine public. En janvier, ils avaient été contrôlés aux abords du rond-point de Saint-Romain-de-Colbosc.
Par Elise Laperdrix
Un "procès politique", pour "casser le mouvement des gilets jaunes", les mots sont de Sophie Haussetête, avocate de 16 des 17 prévenus poursuivis devant le tribunal de police.
Le 6 janvier dernier, ses clients, gilets jaunes ou sympathisants du mouvement, avaient fait l'objet d'un contrôle d'identité par la gendarmerie - alors qu'ils étaient rassemblés aux abords du rond-point de Saint-Romain-de-Colbosc - puis de poursuites judiciaires pour occupation illicite du domaine public.
Une procédure jugée disproportionnéepar l'avocate, qui a plaidé l'exception de nullité pour ces contrôles - "les gendarmes n'étaient pas habilités à faire des contrôles d'identité sur la D81" - mais aussi la dispense de peine. "Le trouble à l'ordre public a cessé, ils ne sont pas revenus sur les lieux pour manifester", explique Sophie Haussetête.[...]
Première action conjointe entre les activistes du climat et les gilets jaunes. Les uns ont bloqué le dépôt pétrolier de Feluy. Les autres ciblent les banques. Les deux sont luttes liées, disent-ils.
Les syndicats de la SNCF sont unanimes : ils exigent “un moratoire” sur le redécoupage de Fret SNCF en deux sociétés distinctes, Hexafret et Technis, qui doit prendre effet le 1er janvier 2025. Sans quoi, ils feront grève à compter du 11 décembre. Le...
Capture d'écran sur REPORTERRE
L'Allemande madame Ursula von der Leyden, patronne de la Commission européenne, adoubée à ce poste par les 27 chefs d'état et de gouvernement, vient de parapher le Mercosour en se déplaçant en Uruguay. L'Allemagne, chef...
La CGT appelle l’ensemble des salarié.e.s à se mobiliser par la Grève et à s’inscrire massivement dans les initiatives du 12 décembre ! - DIEPPE : 10H30 - Place Pierre Semard (Gare SNCF Dieppe) - Rassemblement. - FONTAINE LE BOURG : 10H30 - Devant Usine...
Deux TACTIQUES opposées pour dénouer la crise de régime en France A lors que, reconnaissons-lui ce mérite, la France Insoumise (LFI) refuse de composer avec Macron, en négociant au rabais pour entrer dans un éventuel gouvernement Lecornu, Cazeneuve ou...
Dimanche 8 décembre 2024 Une déclaration importante du Parti communiste turc pour comprendre ce qui se joue en Syrie Le gouvernement AKP, avec Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, a lancé une opération globale en Syrie. Hay’at Tahrir al-Sham,...
R ony Brauman a été président de Médecins sans frontières de 1982 à 1994. Il est actuellement membre du Centre de réflexion sur l’action et les savoirs humanitaires (CRASH) de Médecins sans frontières. Une voix importante pour nous parler de la situation...
Mis en ligne sur Ruptures le 29 novembre 2024
Les ministres des affaires étrangères des vingt-sept pays de l’Union européenne se sont réunis le 18 novembre à Bruxelles. C’était probablement la dernière rencontre présidée par Josep Borrel, le chef de la...
Douarnenez la vaillante, en prise sur l'avenir
30/11/2024. Douarnenez. Les syndicats CGT de Douarnenez, leur UL, l'UD 29 et ses syndicats, fêtent le 100e anniversaire de la grève des sardinières. Festif et combattif un beau cortège à travers la ville,...
Édité par Reynaldo Henquen 2024-12-05 09:02:30 Par María Josefina Arce La politique économique du président argentin, Javier Milei, continue de faire des ravages dans des domaines clés comme la santé, qui fait face à des coupes budgétaires et à un exode...
Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle sur fond de "suspicion d’ingérence russe" Le deuxième tour de l’élection présidentielle était prévu dimanche 8 décembre. Au premier tour, le candidat nationaliste Calin Georgescu était...