Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Une fois de plus, les « élites » politiques et intellectuelles de notre pays donnent un spectacle parfaitement déplorable. Comme ce fut le cas en 2003 avec l’agression americano-britannique de l’Irak, pays souverain et reconnu comme tel à l’ONU. Un « crime contre la paix » en droit international depuis 1945.
Les petits télégraphistes de l’Empire
Toute une cohorte d’hommes politiques sans principe et d’intellectuels dévoyés apporta alors un soutien sans faille à cette guerre d’agression, en relayant sans vergogne une propagande dont le caractère totalement mensonger est aujourd’hui avéré. Mais dès cette époque l’imposture relevait également de l’évidence. On se rappellera les noms de ceux qui se sont alors illustrés en se comportant alors et publiquement en complices d’un acte de brigandage. Et on se souviendra de ceux de ces politiques qui se rendirent discrètement à l’ambassade des États-Unis pour se désolidariser du président Chirac qui s’opposant à cette aventure, sauvait l’honneur de la France. On les retrouve aujourd’hui, les mêmes ou leurs héritiers, mais avec cette différence qu’ils ont été rejoints par une grande partie de la classe politique. Celle-ci, n’étant plus gênée par la position du chef de l’État, en rajoute sur la double servilité vis-à-vis des États-Unis et de l’Allemagne. Il est vrai qu’Emmanuel Macron donne l’exemple, multipliant de façon ridicule, rodomontades et coups de menton. C’est d’ailleurs à cette occasion que l’on constate les conséquences de l’activisme américain sur notre territoire, et le rôle délétère de la fameuse French-American Foundation. Qui délivre ces qualifications avantageuses de « young leader » qui aident les carrières et garantissent un atlantisme sans faille pour la suite. D’Alain Juppé à Amélie de Monchalin en passant par Macron naturellement, Édouard Philippe, Laurent Joffrin, Arnaud Montebourg, Alain Minc, Jacques Attali, François Hollande, Pierre Moscovici, etc. etc. etc. Il ne manque personne de l’oligarchie économique, politique, administrative, médiatique et de ceux qui la servent. Alors c’est sans surprise que l’on assiste à un total alignement sur les positions américaines les plus extrémistes.
Une fois de plus, les " élites " politiques et intellectuelles de notre pays donnent un spectacle parfaitement déplorable. Comme ce fut le cas en 2003 avec l'agression americano-britannique de ...
Édité par Francisco Rodríguez Aranega 2022-01-26 10:02:37 Les États-Unis sont le seul pays du monde où un mineur peut être condamné à vie. La Havane, 26 janvier, (RHC)- Le président cubain, Miguel Díaz-Canel, a vivement réagi aux tentatives de Washington d’accuser notre pays de «violations présumées des droits des enfants». «Le double standard de l'empire n'a pas de limites», a
La phrase du candidat communiste à la présidentielle est pourtant impeccable, en ce qu’elle pointe la nouvelle forme que prend l’écrasement des prolétaires dans un monde régi par le capitalisme consumériste et le modèle du low cost.En ce mois de janvier, certains se désolent de voir la gauche réduite à la portion congrue dans un pays dont beaucoup diagnostiquent l’état de « droitisation » avancée. D’autres attendent que « sainte Christiane », entre deux paraboles inspirées, descende de son Olympe pour la rédemption ultime. Et chacun de s’interroger : comment a-t-on pu en arriver là ? La faute aux médias qui « banalisent l’extrême droite » et « usent de son vocabulaire » ? La faute aux « populistes » qui manipulent des électeurs par conséquent manipulables ? Et puis surgit un épisode, tout juste une anecdote, et tout s’éclaire. Et l’on est pris d’une pensée émue pour Jean Jaurès, Léon Blum ou Jean Zay.On avait déjà remarqué que Fabien Roussel, candidat communiste à l’élection présidentielle, faisait entendre une musique nouvelle. Déjà, il est candidat, quand son parti, depuis longtemps, avait renoncé à toute forme d’existence et s’était rangé derrière des Insoumis chez qui les transfuges du NPA ont pris le pas sur les grognards du Parti de gauche. Et le voilà qui déclare tout de go, en un week-end où Emmanuel Macron et Valérie Pécresse se sont lancés dans un concours de Kärcher : « Un bon vin, une bonne viande, un bon fromage : c’est la gastronomie française. Le meilleur moyen de la défendre, c’est de permettre aux Français d’y avoir accès. » Un esprit naïf considérera qu’il n’y a pas là matière à s’émouvoir et que la proposition n’est pas d’une audace ébouriffante. C’est oublier ce qu’est devenue la gauche. [...]La suite ci-dessous :
Affiches de campagne de Fabien Roussel L a phrase du candidat communiste à la présidentielle est pourtant impeccable, en ce qu’elle pointe la nouvelle forme que prend l’écrasement des prolétaires dans un monde régi par le capitalisme consumériste et le modèle du low cost. En ce mois de janvier, certains se désolent de voir la gauche réduite à la portion congrue dans un pays dont beau
Les Etats-Unis ont toujours été très actifs pour "défendre la démocratie et les droits humains ", objectif de Joe Biden qui a organisé le "Sommet pour la démocratie"
1 - 2017-Trump envoie des troupes en Afghanistan ainsi que des avions de combat "pour aider Kaboul" 2 - : Pour promouvoir la démocratie l'OTAN bombarde le ministère de l'Intérieur à Belgrade 3 - Idem en Irak : Explosion après un raid américain sur le ministère de l'Information à Bagdad le 8 avril 2003. Reuters/Faleh Kheiber 4 - Et l'agent orange de Monsanto au Vietnam très efficace pour promouvoir la démocratie
Les 9-10 décembre le Président Biden accueillera le “Sommet pour la Démocratie” qui réunira, par liaison mondiale en ligne, des “leaders de gouvernement, de la société civile et du secteur privé”. La liste des invités comprend 111 pays. Parmi eux 28 des 30 membres de l’OTAN : manquent la Turquie et la Hongrie mais, en compensation, on a Israël et Ukraine, avec 26 des 27 membres de l’Ue sauf la Hongrie. Le Sommet “leur fournira une plate-forme pour défendre la démocratie et les droits humains à l’intérieur et à l’extérieur, pour affronter à travers une action collective les plus grandes menaces que les démocraties ont aujourd’hui devant elles”. De cette façon va être lancée “une année d’action pour rendre les démocraties plus réactives et résiliantes”, qui culminera avec un second Sommet en présence pour “construire une communauté de partenaires engagés dans la rénovation démocratique mondiale”.
Joe Biden maintient ainsi ce qu’il a annoncé dans son programme électoral (il manifesto, 10 novembre 2020) : un Sommet mondial des “nations du monde libre”, avant tout pour “contrecarrer l’agression russe, en gardant le tranchant des capacités de l’Alliance et en imposant à la Russie des coûts réels quant à ses violations des normes internationales”” et, en même temps, pour “construire un front uni contre les actions offensives et les violations des droits humains de la part de la Chine”. Ce faisant les États-Unis reviendront “jouer le rôle de guide dans l’écriture des règles”.“La défense des valeurs démocratiques -a rappelé Biden en habit de président- est inscrite dans notre ADN de nation”.[...]
La climatologie est une discipline scientifique qu'il est urgent de traiter à nouveau comme telle : en respectant les normes de la rigueur scientifique et en prenant en compte le large spectre de tous les avis critiques. Pascal Acot, historien de l'écologie scientifique et du climat, chargé de recherche honoraire au CNRS, fait le point sur le niveau navrant du débat.
L'hystérie climatomaniaque ne cesse de battre des records : voici maintenant « la fin du monde » souvent évoquée dans la presse, qui se veut désormais capable d'assigner une date à la catastrophe. En ce moment, c'est le XXIIe siècle qui tient la corde. On a même inventé une « science de l'effondrement du monde » : la « collapsologie ». Mais c'est avec la jeune Greta Thunberg (16 ans) que l'on atteint des sommets. Enfant chérie des médias, cette jeune fille inspire dans certains pays avancés la grève « climatique » de nombreux lycéens, dont le niveau de rigueur scientifique laisse pantois. Ainsi, ils fondent leurs certitudes sur une prétendue « unanimité » des climatologues. Or même si cette unanimité était avérée, ce qui est loin d'être le cas, l'argument serait irrecevable car l'unanimité n'a rien à voir avec la vérité. N'est-ce pas Charles Darwin (1809-1882), grand scientifique s'il en fut, qui fit quasiment l'unanimité en affirmant qu'il convenait de placer dans l'échelle des êtres certains « peuples inférieurs » entre les singes anthropomorphes et les êtres humains « civilisés » ?
Greta Thunberg sur le voilier à destination de New-York, mardi 13 aoûtCrédit : Ben STANSALL / AFP
Greta Thunberg devrait retourner à l'école
Notons que le discours habituel de Greta Thunberg est stupéfiant de naïveté. En voici la structure :
1. La science, c'est la vérité.
2. Le discours climatologique du GIEC est le seul à être scientifique donc vrai.
3. Il s'ensuit que les critiques formulées à l'égard du GIEC ne doivent pas être prises en compte puisqu'elles ne sont pas vraies.
Difficile de descendre si bas. Quand tu auras passé ton bac, Greta, tu n'oseras peut-être plus confondre une pétition de principe avec un raisonnement valide.
Jadis en 1425, en Lorraine, Jeanne d'Arc qui avait à peu près le même âge que Greta Thunberg, entendait « des voix ». L'adolescente suédoise, c'est l'invisible qu'elle voit (comme naguère Bernadette Soubirous) : ses capacités hors du commun lui permettraient de percevoir visuellement le CO2 dans l'atmosphère, écrivait fièrement sa mère. Il est sans importance que ces visions soient souvent ravalées au rang de simples métaphores : il suffit de savoir que la voyante extra-lucide a été faite Docteur honoris causa de l'Université de Mons (en Belgique), que son nom est fréquemment cité comme possible Prix Nobel de la Paix et qu'elle navigue en ce moment vers le siège des Nations-Unies sur un bateau « zéro-carbone »... Quelle farce ! Quant aux députés de la République française qui ont récemment assisté à la prestation de l'adolescente, ils ont une fois de plus ridiculisé leur écharpe en reculant dans le spectacle une question qui aurait mérité infiniment mieux.
Pourquoi GIEC ne tient pas compte des climatologues critiques ?
Cela dit, après plus de quinze années de stabilité de la température moyenne sur la Terre (chiffre du GIEC) et après plusieurs scandales qui ont affaibli la crédibilité de cette agence des Nations-Unies, des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent désormais contre les thèses dominantes sur le réchauffement climatique. Il existe une méthode simple pour tester la validité des arguments qui annoncent un réchauffement dramatique causé par les émissions de gaz à effet de serre (GES) d'origine humaine. Il s’agit de poser des questions précises et d'attendre des réponses qui se départiraient des insultes habituelles : les « climato-réalistes » ou « climato-critiques » étant fréquemment traités de « climatosceptiques », de « soutiens de Donald Trump et de Jair Bolsonaro », de « populistes » et même de « négationnistes ».
La première question est celle de la cause des réchauffements climatiques pré-industriels rapides. Ainsi, entre 1550 et 1850, le climat est détérioré par rapport à l’optimum médiéval graduellement installé à partir du XIe siècle. L'expression « Petit âge glaciaire » est souvent utilisée pour qualifier cette période moins clémente que la précédente. Emmanuel Le Roy Ladurie, fondateur majeur de la climatologie historique, a montré que deux réchauffements pré-industriels rapides et provisoires ont marqué le petit âge glaciaire.
Dès lors, pour quelles raisons scientifiques le réchauffement actuel est-il désormais exclusivement attribué aux activités humaines ? Les causes « pré-industrielles » auraient-elles cessé d'agir, et pourquoi ? L'activité solaire a été évoquée, mais la vérification rigoureuse de cette hypothèse est impossible en raison du caractère primitif des technologies d'observations solaires au XVIe siècle. Le volcanisme a également été considéré comme cause de ces réchauffements. Or, en règle générale, les éruptions majeures entraînent un refroidissement (et non un réchauffement) du globe pouvant atteindre plusieurs degrés centigrades. L'hypothèse d'un effet de serrre augmenté par les poussières volcaniques dans la haute atmosphère, phénomène qui serait strictement « naturel », est à ma connaissance ignorée dans les rapports du GIEC.
La seconde question qu'il convient de poser en matière de changement climatique, porte sur le recul spectaculaire des glaciers. Pourtant, les glaciologues considèrent que ce recul est principalement lié au manque de neige hivernal lié à un déficit de pluviosité plutôt qu'à l'augmentation des chaleurs estivales. Dans ce cas, pourquoi avancer exclusivement l'augmentation de la température « moyenne » du globe ? Surtout que le GIEC a retenu le chiffre de 0,7°C en cent-vingt ans (1860-1980), ce qui revient à se tirer une balle dans le pied : ce chiffre dérisoire (puisque l'augmentation est mesurée à partir de la fin du petit âge glaciaire), suffirait-il à expliquer les reculs actuellement constatés ? D'autant que ces reculs sont un simple retour aux langues glaciaires de l'optimum médiéval antérieur.
Pour ce qui concerne les conséquences sur la faune du recul des glaces de l'arctique, il convient de s'abreuver à des sources sérieuses : ainsi, entre 1950 et aujourd'hui, la population des ours blancs est passée de 6 000 à plus de 20 000 individus. On se prend à souhaiter que toutes les espèces en voie de disparition de la planète connaissent une telle réussite populationnelle. On aimerait aussi que les vidéos de vêlages spectaculaires comme celui du glacier d'Illulisat au Groënland cessent de laisser entendre qu'il s'agirait de conséquences inhabituelles du réchauffement : ces extraordinaires vêlages sont observés tous les ans depuis le XVIIIe siècle. J'ai ainsi eu l'occasion d'observer plusieurs effondrements en mer de la langue terminale de ce même glacier, à une époque où le réchauffement climatique était loin d'être à l'ordre du jour médiatique.
Réchauffement d'origine anthropique : pourquoi Le GIEC fuit-il le débat ?
Passons sur le fait qu'un rapport du GIEC (4e rapport, Groupe II, résumé technique, 2007) indiquait que les glaciers de l'Himalaya « pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant ». Cette estimation ahurissante pour les glaciologues sérieux fut reprise à la fin de l'année 2009 dans le cadre de la préparation de la Conférence de Copenhague et de sa médiatisation alarmiste du réchauffement climatique. Il fallut attendre janvier 2010 pour que le GIEC reconnaisse son « erreur », liée au fait que les règles de validation des travaux scientifiques n'auraient pas été observées. Quant à l'estimation de la superficie des glaciers himalayens, les chiffres les plus fantaisistes continuent de circuler. Il convient également de noter que le GIEC est maintenant dirigé par le sud-coréen Hoesung Lee, qui n'est pas du tout climatologue, mais économiste et qui a commencé sa carrière en 1975 dans le développement stratégique et la planification des affaires de la compagnie pétrolière Exxon. Rappelons que son prédécesseur, Rajendra Pachauri, était ingénieur des chemins de fer.
La troisième question porte sur la préférence accordée, par les défenseurs de la thèse officielle, au CO2 d'origine humaine (3,6 % seulement des émissions totales de CO2). Ces émissions se répartissent ainsi : 40 % proviennent des océans et 56 % des forêts. A noter que la vapeur d'eau représente 95 % de tous les GES. Enfin, le taux de CO2 dans l'atmosphère existe seulement à l'état de « traces » (0,037 %). Source : Météo-France. Certes, des causes apparemment dérisoires peuvent produire de grands effets mais encore faudrait-il montrer sur quelles bases scientifiquement rigoureuses sont estimés les rejets dûs aux seules activités humaines.
Les questions qui précèdent en soulèvent une autre, qui pèse lourd : comment l'idée d'un réchauffement cataclysmique d'origine anthropique peut-elle avoir tant de succès alors qu'aucune preuve n'a jamais été présentée pour l'étayer, et que les « experts » du GIEC ont depuis toujours balayé d'un revers de main les nombreuses analyses critiques de ce qui pourrait bien devenir un jour un dogme sans fondement ?
Un point pourrait avoir de l'importance : il est impossible d'incriminer les êtres humains dans le processus « naturel » de changements climatiques qui a été mis en évidence pendant les 420 000 dernières années par les carottages du forage de Vostok (1999) en Antarctique (avec, pendant cette longue période, des moments de forte concentration de GES). Si ce processus multimillénaire est encore à l'oeuvre, on ne peut lever la moindre taxe supplémentaire puisqu'on ne taxe pas « la nature ». En revanche, c'est possible dans un cadre climatologique où les activités humaines fortement carbonées sont retenues comme cause majeure du réchauffement actuel, ce qui est aujourd'hui (comme par hasard) le dogme dominant. Demandons-nous pourquoi ?
L'économie verte contre la climatologie critique ?
Un retour sur l'idée d'« d'économie verte » permet de répondre à cette question. Cette idée a été développée par la banque Goldman Sachs qui, a partir de 2002, a investi des milliards de dollars dans les investissements « écologiques ». Cinq ans plus tard, Barack Obama s'en est emparé pour l'intégrer à sa campagne pour la présidence des Etats-Unis, lui donnant ainsi un puissant essor idéologique. Les géants du bâtiment et des Travaux Publics, également champions de l'isolation, se sont alors lancés dans l'aventure afin de profiter de la manne. Le juteux marché des éoliennes, grosses machines à produire peu d'électricité et seulement quand il y a du vent, a également séduit quelques financiers. Et les panneaux photovoltaïques ont été tenus pour prometteurs en matière d'économie verte… jusqu'à ce que la Chine s'empare de 95 % du marché européen. Or l'idée d'économie verte continue à servir de catalyseur idéologique pour « sauver la planète » en laissant espérer au plus grand nombre qu'elle représente la solution miracle aux maux dont souffre la Terre.
L'hystérie médiatique actuelle est donc en train de précipiter le rationalisme dans l'abîme. L'argument des réchauffistes, décliné sous toutes les formes, est toujours le même : « La climatologie, c'est-à-dire le GIEC, a prouvé que le réchauffement climatique actuel est causé par les activités humaines. » Or cette affirmation est un mensonge : le GIEC est loin d'être La Science. Pour mieux servir la cause du réchauffement climatique d'origine humaine, le GIEC a écarté de ses rangs les milliers de climatologues qui s'interrogent sur le bien-fondé du discours climatologique devenu dominant. Ainsi, après que le GIEC eut prédit la fonte imminente des glaciers himalayens sans aucune preuve scientifique sérieuse, il fut accusé non seulement de sensationnalisme par les scientifiques mais aussi par les médias. En février 2010, le Secrétaire général de l'ONU de l'époque, Ban Ki-moon qui, d’après mes connaissances, n’avait aucune compétence scientifique, a envoyé un message au Forum ministériel mondial sur l'environnement à Bali, exhortant ministres et experts de l'environnement présents à ignorer les thèses de ceux qui doutent des dangers du changement climatique : « Dites au monde que vous considérez unanimement que le changement climatique est un danger évident et actuel. »
Le réchauffisme anthropique met la science aux oubliettes
Où est la science dans tout cela ? Aux oubliettes. Ainsi, par exemple, sans remettre en cause le rapport existant entre GES et réchauffement, beaucoup suggèrent que l'augmentation de la température moyenne de l'atmosphère ne serait pas la conséquence de l'augmentation des rejets de GES mais sa cause. Cela mériterait au moins d'être débattu. Mais il est plus facile de psalmodier les mantras de la pensée dominante : d'où le psittacisme actuellement triomphant, avec son cortège d'excommunications et d'insultes.
Comment ne pas voir que ces niaiseries pérennisent l'impérialisme capitaliste actuel qu'on appelle « mondialisation » ? En effet, la charge de la neutralité-carbone des activités humaines incombe principalement à des personnes qui n'ont aucune responsabilité en cette matière : ainsi, « l'empreinte carbone » peut être rigoureusement la même pour un agriculteur bio que pour un membre du conseil d'administration de BP – il suffit de faire le test sur n'importe quel calculateur d'empreinte écologique.
Pendant ce temps, les habitants les plus humbles de l'Europe occidentale paient des taxes « écologiques » supplémentaires, des impôts nouveaux ou de nouvelles taxes à la consommation. Cela permet d'augmenter les cadeaux fiscaux et financiers aux entreprises responsables du chômage de masse qui infeste la vie publique de cette partie du continent européen depuis plus de quatre décennies.
Pascal Acot
Historien du climat
Chargé de recherche honoraire
IHPST-CNRS
Hausse des prix de l'électricité entre 2008 et 2019 - Source : La Marseillaise
Augmentation des salaires proposée par le républicain Guillaume Peltier ? Ceci est une fausse nouvelle ! Et une grosse arnaque. Si nous ne payons plus, si les patrons ne paient plus de cotisations sociales, nous n'aurons plus ni de sécurité sociale, ni de retraites ! Les économies réalisées par les patrons seront énormes et les dividendes exploseront !
Voir l'article d'Acrimed ainsi que les explications ci-dessous :
Coup de comm’ et suivisme à l’AFP : la désinformation, ça ruisselle !
Le 18 avril, le JDD est en interview programmatique avec Guillaume Peltier, le vice-président délégué des Républicains : « "En cent jours, nous romprons avec le macronisme" ». Illico presto, l’AFP en reproduit une partie du contenu et joue la carte du choc en titrant sa dépêche « 2022 : Peltier (LR) propose une augmentation de 20% des salaires ». Même le JDD n’avait pas osé.
« Choc » donc… et désinformation. Car comme le précise Guillaume Peltier lui-même – cité dans la suite de la dépêche – ce « choc de pouvoir d’achat » prend tout bonnement la forme d’une suppression de « toutes les cotisations sociales, pour les salariés comme pour les employeurs » [1]. Les salaires nets augmenteraient, mais ce ne serait donc pas du tout le cas des salaires tout court.
Et ce serait rien de moins que… la mort du salaire socialisé. Ce qui n’empêche pas l’AFP, dans un bel élan de suivisme et sans aucun recul vis-à-vis de la communication de député, d’affirmer que « Guillaume Peltier propose […] d’augmenter les salaires de 20% dans son "programme de rupture radicale avec le macronisme" ».
Pointant en outre de lourdes erreurs de calculs, L’Humanité (23/04) traduit plus justement : la proposition revient à « s’attaquer au salaire socialisé et différé, et à couper tout lien entre le travail et la protection sociale ». [...]
Coup de comm' et suivisme à l'AFP : la désinformation, ça ruisselle ! Le 18 avril, le JDD est en interview programmatique avec Guillaume Peltier, le vice-président délégué des Républicains ...
Il y a dix ans, le 19 mars 2011, les forces USA/OTAN initiaient le bombardement aéronaval de la Libye. La guerre fut dirigée par les États-Unis, d’abord via le Commandement Africa, puis par l’OTAN sous commandement USA. En sept mois, l’aviation USA/OTAN effectue 30 mille missions, dont 10 mille d’attaque, avec plus de 40 mille bombes et missiles.
L’Italie -avec le consensus multi-partisan du Parlement (Partito democratico au premier rang)- participe à la guerre avec 7 bases aériennes (Trapani, Gioia deL Colle, Sigonella, Decimomannu, Aviano, Amendola et Pantelleria) ; avec des chasseurs bombardiers Tornado, Eurofighter et d’autres, avec le porte-avions Garibaldi et d’autres navires de guerre. Avant même l’offensive aéro-navale, avaient été financés et armés en Libye des secteurs tribaux et groupes islamistes hostiles au gouvernement, et infiltrées des forces spéciales notamment qataris, pour propager les affrontements armés à l’intérieur du pays. [...]
Extrait : "La déportation des « 45 000 » s’inscrit dans la politique des otages mise en place par l’occupant pour tenter de mettre un terme aux attentats commis, à partir d’août 1941, par de jeunes communistes contre des officiers et des soldats de la Wehrmacht. Des otages, pour la plupart communistes, sont fusillés. Hitler ordonne le 9 avril 1942, comme mesure supplémentaire d’intimidation, la déportation de 500 otages communistes, juifs et « asociaux » pour chaque nouvel attentat. Ces représailles sont placées sous la bannière de la croisade contre le « judéo-bochevisme », dans le contexte de la guerre hitlérienne contre l’Union soviétique."
Source
Chapitre 1. combattre le « judéo-bolchevisme »
Claudine Cardon-Hamet
Dans Triangles rouges à Auschwitz (2005), pages 23 à 56
Paris-Soir: le 30 novembre 1940, en pleine occupation nazie et sous le régime collaborationniste de Pétain Le Figaro: aujourd'hui, journal historique des droites et du capital Sous Macron, madame Frédérique Vidal est ministre de la Recherche et de l'Innovation. A vrai dire, elle ne recherche plus un vaccin de la part des labos pharmaceutiques français. En revanche, également ministre de l'En
Prison de Belmarsh où Julian Assange est détenu, à Londres, Grande-Bretagne, le 6 janvier 2021. RT France
Le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, tient un exemplaire du journal Guardian lors d'une conférence de presse au Frontline Club, dans le centre de Londres, le 26 juillet 2010.
Julian Assange ne bénéficiera pas de plus de clémence sous Biden que sous Trump. La nouvelle administratio
1944-1946 : Penser le monde d’après Le 30 novembre 2024. La fondation Gabriel Péri et l’institut d’histoire sociale de la CGT ont organisé à Gennevilliers une table ronde sur ce thème. Ont participé à cette table ronde sous la présidence de Serge Volikow,...
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L a question actuelle n’est pas de savoir qui sera Premier ministre mais bien celle du programme. Les négociations de couloir et de compromis qui ne seront que des compromissions ne sont pas à la hauteur des enjeux et de l’urgence. Notre système de santé...
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Deux TACTIQUES opposées pour dénouer la crise de régime en France A lors que, reconnaissons-lui ce mérite, la France Insoumise (LFI) refuse de composer avec Macron, en négociant au rabais pour entrer dans un éventuel gouvernement Lecornu, Cazeneuve ou...
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Les ministres des affaires étrangères des vingt-sept pays de l’Union européenne se sont réunis le 18 novembre à Bruxelles. C’était probablement la dernière rencontre présidée par Josep Borrel, le chef de la...
Douarnenez la vaillante, en prise sur l'avenir
30/11/2024. Douarnenez. Les syndicats CGT de Douarnenez, leur UL, l'UD 29 et ses syndicats, fêtent le 100e anniversaire de la grève des sardinières. Festif et combattif un beau cortège à travers la ville,...