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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
9 décembre 2024 1 09 /12 /décembre /2024 21:13

Une déclaration importante du Parti communiste turc pour comprendre ce qui se joue en Syrie

Le gouvernement AKP, avec Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, a lancé une opération globale en Syrie. Hay’at Tahrir al-Sham, le principal acteur de l’opération jusqu’à présent, est considéré comme une organisation terroriste même par la Turquie et les États-Unis. L’Armée nationale syrienne, autre auteur des attaques, est un groupe recruté dans divers groupes jihadistes et payé par le gouvernement du Parti de la justice et du développement. Avec ces organisations et d’autres, ni la paix ni le calme ne parviendront dans la région.

Depuis des mois, le Parti communiste turc affirme que des préparatifs sont en cours pour attaquer la Syrie sous prétexte d’une « menace à la sécurité », et prévient que cela entraînerait la région dans de nouvelles guerres sanglantes sans fin. Une fois de plus, il s’avère que le gouvernement du Parti de la Justice et du Développement ne se lasse pas de travailler en coordination avec Israël.

Le drapeau turc à Alep et les vantardises de l’invasion par des écrivains pro-AKP ne changent rien au fait que la Turquie, aux côtés des États-Unis et d’Israël, est engagée dans un effort de démantèlement d’un pays voisin.
[...]

Suite sur le site "Faire vivre le PCF"

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12 août 2024 1 12 /08 /août /2024 13:05
Julian Assange est libre ! N’oublions pas les crimes de guerre qu’il a révélés

Contrairement à ce que prétend le gouvernement américain, les révélations de WikiLeaks ont en réalité permis de sauver des vies et ont obligé les États-Unis à rendre des comptes.

Source : LAProgressive, Marjorie Cohn

Après un combat de 14 ans, dont cinq passés à Belmarsh, une prison de très haute sécurité à Londres, l’éditeur de WikiLeaks Julian Assange est finalement libre. Dans le cadre d’un accord de plaider coupable conclu avec le ministère américain de la Justice, Julian Assange a reconnu sa culpabilité pour un chef d’accusation de complot en vue d’obtenir des documents, des écrits et des notes liés à la défense nationale relevant de la loi sur l’espionnage (Espionage Act). Assange encourait une peine de 175 ans de prison pour les 18 chefs d’accusation retenus dans l’acte d’accusation dressé par l’administration Trump et maintenu par l’administration Biden.

Le ministère de la Justice a accepté cette négociation un peu plus d’un mois après que la Haute Cour d’Angleterre et du Pays de Galles a décidé que Assange serait autorisé à faire appel dans le cadre d’un mandat d’extradition. La Haute Cour a estimé que le gouvernement américain n’avait pas fourni de garanties satisfaisantes pour que Assange puisse invoquer le Premier amendement pour sa défense s’il était extradé et jugé aux États-Unis. Le ministère de la Justice, redoutant alors de perdre l’affaire, s’est empressé de conclure un accord avec Assange.

L’accord prévoit qu’avant de plaider coupable, Assange doit avoir fait tout ce qui est en son pouvoir pour restituer ou détruire « toute information non publiée encore en sa possession, sous sa garde ou sous son contrôle, ou sous celui de WikiLeaks ou de toute société affiliée à WikiLeaks.»

Comme stipulé dans l’accord de plaider coupable, Ramona Manglona, Première Juge du tribunal de district des îles Mariannes du Nord, a condamné Assange à 62 mois de prison, en tenant compte du temps qu’il a passé à la prison de Belmarsh. Selon la directive américaine sur les peines, la fourchette pour un tel « délit » va de 41 à 51 mois. Assange a donc purgé une peine de 11 à 21 mois de plus que ce que ce type d’affaire devrait normalement entraîner.

Assange était poursuivi pour avoir dénoncé sur WikiLeaks des crimes de guerre commis par les États-Unis en Irak, en Afghanistan et à Guantánamo Bay. En 2010, Chelsea Manning, analyste du renseignement de l’armée américaine et titulaire d’une habilitation de sécurité TOP SECRET, a fourni à WikiLeaks 700 000 documents et rapports, dont un grand nombre étaient classifiés SECRET.[...]

La suite ci-dessous :

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29 avril 2024 1 29 /04 /avril /2024 15:26

Les exportations américaines d’armes ont atteint le niveau record de 238 milliards de dollars en 2023

« 78% des 100 milliards de commandes d’équipements passées par des États membres de l’Union européenne [UE] depuis février 2022 ont été conclues auprès de pays tiers à l’UE » et « 63% des commandes européennes ont été passées au bénéfice des seuls États-Unis ».                                  

                                                           ***

Durant la période 2018-22, les ventes d’équipements militaires américains ont représenté 40% des exportations mondiales, selon des chiffres compilés dans une étude publiée par l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm [SIPRI] en mars dernier. On peut parier, sans prendre le moindre risque, que les États-Unis conforteront leur place de premier exportateur d’armes dans les années à venir. C’est, en tout cas, ce que suggère le bilan que vient d’établir le département d’État pour le seul exercice 2023. [...]

La suite ci-dessous :

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22 avril 2024 1 22 /04 /avril /2024 16:29
Gaza - Vocabulaire et contrôle idéologique aux Etats-Unis ... et dans le monde occidental

Le New York Times a demandé aux journalistes couvrant la guerre d'Israël contre la guerre de Gaza de limiter l'utilisation des termes comme "génocide" et nettoyage ethnique" et d' "éviter" d'utiliser l'expression "territoire occupé" lorsqu'ils décrivent la terre palestinienne, selon une copie d'une note internet obtenue par The Intercept.

La note demande également aux journalistes de ne pas utiliser le mot Palestine « sauf dans de très rares cas » et d’éviter le terme « camps de réfugiés » pour décrire les zones de Gaza historiquement occupées par des Palestiniens déplacés à l’intérieur de leur pays, qui ont fui d’autres parties de la Palestine lors des précédentes guerres israélo-arabes. Ces zones sont reconnues par les Nations unies comme des camps de réfugiés et abritent des centaines de milliers de réfugiés enregistrés.

La note, rédigée par Susan Wessling, rédactrice en chef du Times, Philip Pan, rédacteur en chef international, et leurs adjoints, « donne des indications sur certains termes et d’autres questions avec lesquelles nous avons été aux prises depuis le début du conflit en octobre« .

Alors que le document est présenté comme une ébauche pour maintenir des principes journalistiques objectifs dans les reportages sur la guerre de Gaza, plusieurs employés du Times ont déclaré à The Intercept que certains de ses contenus témoignent de la déférence du journal pour les récits israéliens. [...]

Lire la suite sur le site d' "Investig'action" :

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14 avril 2024 7 14 /04 /avril /2024 15:01

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Conflit en UKRAINE - L'élargissement de l'OTAN : un des buts politiques des États-Unis
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13 mars 2024 3 13 /03 /mars /2024 00:35
Ursula von der Leyen ou la voie de l’atlantisme forcené [ Investig'action]
Malgré de grosses casseroles et de nombreux abus de pouvoir, les médias
annoncent la reconduction d’Ursula von der Leyen à la tête 
de la Commission européenne comme probable, et quelque part souhaitable. 
Elle a su faire face aux multiples crises nous dit-on (Brexit, covid, 
crise énergétique et guerre en Ukraine) ; cela enverrait un signe 
de stabilité. C’est surtout l’assurance de suivre toujours plus la folie 
guerrière de Washington qui mène les peuples européens et le monde 
à la ruine.

Si Ursula rempile pour un second mandat comme cheffe de la Commission européenne, sa promesse aux citoyens n’est autre que de “renforcer la démocratie et défendre nos valeurs”. Quel programme original ! Garanti sans langue de bois ! D’ailleurs son parcours l’incarne à merveille. Rappelons que l’ancienne ministre de la Défense d’Angela Merkel s’est envolée de justesse à Bruxelles avant que n’éclate le scandale de ses cadeaux faramineux aux cabinets de conseil. En effet, un an après son départ du ministère, l’opposition participant à la commission d’enquête du Bundestag publiait un rapport accablant. Il qualifiait la gestion du ministère « d’échec complet » et pointait la responsabilité directe de von der Leyen dans la dilapidation de près de 100 millions d’euros auprès de consultants et sous-traitants privés, en dehors des règles habituelles d’appels d’offres et de contrôle. Plus choquant encore, notre fervente démocrate a tout bonnement effacé l’ensemble des messages de ses deux téléphones professionnels réquisitionnés pour l’enquête ! Une habitude du secret qui ne la quittera pas à Bruxelles.

Plus médiatisé chez nous, vous vous souvenez sûrement du SMSgate avec le PDG de Pfizer. Ursula aura toujours refusé de divulguer ses échanges avec Albert Bourla, malgré les demandes de la médiatrice européenne Émilie O’Reilly en charge de la transparence des institutions. L’UE était alors en pleine négociation du 3e contrat avec la firme pharmaceutique américaine dont la plupart des clauses sont protégées par le secret des affaires. C’est le plus important jamais négocié par l’Europe : 1,8 milliards de doses pour un montant estimé à 35 milliards d’euros. Qu’y avait-il de si inavouable à cacher ? Ce qui est sûr, c’est qu’au moins 215 millions de doses ont été gaspillées, soit l’équivalent de 4 milliards de dollars, d’après les données publiées par 19 pays. Le chiffre réel doit même tourner autour des 300 millions de doses jetées étant donné que l’information n’est pas disponible pour certains pays peuplés comme la France.  [...]

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11 mars 2024 1 11 /03 /mars /2024 00:05

Notre camarade Robert Brun nous transmet cet article écrit par Jaakko Laakso, du Left Party, député et membre de la commission de la défense du Parlement entre 1991 et 2011. Laakso a également été vice-président de la commission de la défense entre 1991 et 2007.

La Finlande a ouvert son espace aérien le long de toute sa frontière orientale aux vols de renseignement électromagnétique des forces aériennes américaines et suédoises, qui cartographient l’activité militaire russe dans les zones voisines.

Les États-Unis établissent au total 47 bases dans les pays nordiques.

La décision concernant les bases militaires est basée sur les accords DCA entre les pays nordiques et les États-Unis, c’est-à-dire ce que l’on appelle accords de coopération en matière de défense. La Finlande, la Suède, la Norvège et le Danemark cèdent leurs propres zones à l’usage souverain des forces armées américaines comme bases.
L’accord DCA est un accord bilatéral de coopération militaire entre chacun des pays nordiques et les États-Unis. Ces accords constituent un élément clé du nouveau système de défense stratégique américain, qui concerne principalement la région arctique, mais aussi la mer Baltique.

Les États-Unis ne cachent nullement que la construction d’un nouveau réseau de bases dans les pays nordiques est une question de dissuasion stratégique, d’abord contre la Russie, mais aussi contre la Chine. L’intérêt de la Chine pour la région arctique s’est accru ces dernières années.

Dans les années à venir, les États-Unis devraient transférer des soldats, des armes et des systèmes d’armes, ainsi qu’un grand nombre de logistiques diverses vers les pays nordiques. Il s’agit également du pré-stockage d’armes lourdes et de systèmes d’armes dans les bases américaines. La « dissuasion stratégique » peut également être utilisée pour une attaque si nécessaire. [...]

Lire la suite sur le site "Faire vivre et renforcer le PCF :

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9 mars 2024 6 09 /03 /mars /2024 14:14
Déjà en 2019 ... Un méthanier livrant du gaz naturel liquéfié (GNL) dans un port espagnol. - RAFA RIVAS / AFP

Déjà en 2019 ... Un méthanier livrant du gaz naturel liquéfié (GNL) dans un port espagnol. - RAFA RIVAS / AFP

L’année 2023 s’est terminée avec la COP28 de Dubaï, dont l’une des lignes directrices principales était la sortie des énergies fossiles. Cet objectif est contrecarré les importations croissantes de gaz de schiste en Europe – sous la forme de Gaz naturel liquéfié (GNL) -, en pleine expansion depuis le conflit ukrainien. Sa nocivité climatique concurrence celle du charbon. Tandis qu’une série d’acteurs privés, notamment américains, s’enrichissent par ces ventes, l’Union européenne multiplie les renoncements en matière de transition énergétique.

 

Article originellement publié sur le site de notre partenaire Lava Media.

Il était une fois l’histoire d’une énergie fossile trop chère et jugée incompatible avec les objectifs climatiques mais qui, en l’espace de quelques années, est devenue une énergie d’avenir. À tel point qu’on signe des contrats d’importation sur trente ans à plusieurs milliards d’euros. Ce récit est celui du gaz de schiste des États-Unis – qui établit à quel point leur hégémonie sur le Vieux continent constitue une menace pour le climat.[...]

Extraits

Lors de la fracturation de la roche visant à extraire le gaz de schiste, des pertes de méthane – au pouvoir de réchauffement global 25 fois plus important que le CO2 – sont fréquentes.

Suite à la guerre en Ukraine, le prix du gaz a été multiplié par dix par rapport au niveau moyen des années précédentes. Vendre du gaz américain en Europe est ainsi devenu incroyablement rentable.

 

Et ci-dessous la suite de l'article sur "Le vent se lève.

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5 janvier 2024 5 05 /01 /janvier /2024 18:14

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

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12 décembre 2023 2 12 /12 /décembre /2023 09:33

Ce texte nous aide à y voir un peu plus clair sur  le referendum au Venezuela concernant l'Esequibo,  ce territoire que le Guyana dispute depuis longtemps au Venezuela. Mais les grandes compagnies pétrolières des USA aimeraient se l'accaparer.  Et le Guyana semble plus accommodant que son voisin, tant avec ces grosses multinationales  qu'avec les Etats-Unis auxquels il promet des bases militaires. Les Vénézuéliens ont approuvé à plus de 95% l'intégration de cette région.  Un peu d'histoire pour comprendre car, comme à l'accoutumée, nos journalistes semblent  frappés d'amnésie.  Incultes, paresseux, ou soucieux d'obéir ?

YG.

Photo : ExxonMobil extrait du pétrole au large du Guyana (Photo : Keith Wood).

Photo : ExxonMobil extrait du pétrole au large du Guyana (Photo : Keith Wood).

« Le-Venezuela-veut-envahir-le-Guyana ! ». L’internationale médiatique inverse (une fois de plus) les rôles pour occulter une énième stratégie états-unienne contre le Venezuela. Exxon Mobil et le Pentagone, après avoir acheté le gouvernement du Guyana, déploient un plan médiatico-militaire pour tenter de s’emparer de l’Esequibo – zone riche en pétrole, qui fait historiquement partie du Venezuela. Le Guyana affirme que ce territoire lui appartient, et a officiellement exprimé son intention d’y établir des « bases militaires états-uniennes ». « Nous devons protéger nos intérêts nationaux », a déclaré le vice-président du Guyana, Bharrat Jagdeo, « nous travaillons avec nos alliés pour mettre au point un plan pour toutes les éventualités et nous aurons la visite de deux équipes du ministère états-uniens de la défense la semaine prochaine, puis plusieurs visites en décembre et une représentation de haut niveau. » Les grands médias inversent les rôles, mais qu’attendre d’autre de leur part ? N’ont-ils pas relooké les violences d’extrême droite de ces dernières années en « manifestations-populaires-réprimées-par-Maduro » ? N’ont-ils pas occulté le blocus pétrolier et les sanctions de l’Occident pour imputer l’exode de population à « l’échec-du-socialisme-bolivarien » ? Ou sacré le putschiste d’extrême droite Juan Guaido « président du Venezuela » ?

Explications de María Páez Victor, sociologue et Docteure en philosophie d’origine vénézuélienne vivant au Canada.

Les attaques des États-Unis et de leurs alliés contre le Venezuela comprennent 930 sanctions illégales qui excluent le pays des financements internationaux et l’empêchent d’acheter des médicaments, de la nourriture, de produire ou de vendre son pétrole. Il y a également eu un soutien direct et indirect à des tentatives de coup d’État, des violences de rue entraînant des meurtres et des blessures, des cyberattaques sur le réseau électrique, le sabotage du pétrole et des infrastructures, le financement de bandes criminelles, la corruption de fonctionnaires, des tentatives d’assassinat contre le président et son cabinet. Mais aussi la mise en place d’une fausse présidence, l’appropriation de la compagnie pétrolière CITGO et de milliards d’actifs vénézuéliens dans les banques, l’impossibilité pour le pays d’obtenir des vaccins Covid-19 en cas de pandémie, ainsi qu’une attaque brutale contre la monnaie. On estime qu’au moins 100.000 Vénézuéliens ont perdu la vie à cause des sanctions illégales [1]. Il semble que cela n’ait pas suffi. Les États-Unis, par l’intermédiaire de leur créature Exxon Mobil, et main dans la main avec leur allié impérial, la Grande-Bretagne, s’apprêtent à réaliser le plus grand accaparement de terres depuis que les États-Unis se sont emparés d’un quart du Mexique, au moyen d’un tour de passe-passe judiciaire.

Des problèmes de longue date : la terre et l’or

Toutes les anciennes cartes du Venezuela, depuis l’époque où il a été cartographié pour la première fois sous la domination espagnole, montrent que sa frontière orientale est le fleuve Esequibo (en rouge sur la carte ci-dessous, le Rio Esequibo limitrophe avec le Guyana).

La suite sur le site "Faire vivre le PCF"

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