Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Les défis sécuritaires dans la région indo-pacifique ont été le sujet dominant des récentes audiences au Capitole. Sans surprise, la discussion s’est concentrée sur la Chine et la Corée du Nord. Cependant, pour une nouvelle administration ostensiblement vouée à servir les classes moyennes et ouvrières américaines et à corriger les faux pas politiques de l’administration Trump, la plupart des remarques des législateurs et des témoins suggèrent que peu de choses ont changé depuis l’investiture le 20 janvier.
À son crédit, dans sa déclaration d’ouverture à la Commission des forces armées de la Chambre des représentants le 10 mars, le président Adam Smith (Démocrate-Etat de Washington) a insisté sur le fait que les États-Unis doivent éviter de tomber dans une guerre froide avec la Chine, et être suffisamment forts pour dissuader, et non dominer, Pékin militairement. Il a également affirmé que les États-Unis doivent être plus stratégiques dans l’utilisation de moyens de défense limités pour assurer la stabilité en Asie.[...]
Source : Responsible Statecraft, Michael D. Swaine Traduit par les lecteurs du site Les Crises Les défis sécuritaires dans la région indo-pacifique ont été le sujet dominant des récentes audi...
Il y a dix ans, le 19 mars 2011, les forces USA/OTAN initiaient le bombardement aéronaval de la Libye. La guerre fut dirigée par les États-Unis, d’abord via le Commandement Africa, puis par l’OTAN sous commandement USA. En sept mois, l’aviation USA/OTAN effectue 30 mille missions, dont 10 mille d’attaque, avec plus de 40 mille bombes et missiles.
L’Italie -avec le consensus multi-partisan du Parlement (Partito democratico au premier rang)- participe à la guerre avec 7 bases aériennes (Trapani, Gioia deL Colle, Sigonella, Decimomannu, Aviano, Amendola et Pantelleria) ; avec des chasseurs bombardiers Tornado, Eurofighter et d’autres, avec le porte-avions Garibaldi et d’autres navires de guerre. Avant même l’offensive aéro-navale, avaient été financés et armés en Libye des secteurs tribaux et groupes islamistes hostiles au gouvernement, et infiltrées des forces spéciales notamment qataris, pour propager les affrontements armés à l’intérieur du pays. [...]
Twitter a annoncé qu’il avait récemment suspendu des dizaines de comptes pour avoir miné la confiance en l’OTAN. Cette mesure fait partie d’une purge plus large de près de 400 comptes Twitter soupçonnés d’avoir des « liens avec la Russie, l’Arménie et l’Iran », des acteurs étatiques qui se sont avérés avoir « enfreint ses politiques de manoeuvre des plateformes », selon Reuters. [...]
Source : Zéro Hedge, Tyler Durden Twitter a annoncé qu'il avait récemment suspendu des dizaines de comptes pour avoir miné la confiance en l'OTAN. Cette mesure fait partie d'une purge plus larg...
Le sous-marin nucléaire d'attaque (SNA) Émeraude et le bâtiment de soutien Seine. Ministère des Armées (Photo vue dans Le Figaro)
Qui décide, en notre nom, en pleine pandémie, de dépenser sans compter en mer de Chine, très très loin de nos eaux territoriales, pour soutenir la croisade belliqueuse des Etats-Unis ? YG.
"Quelle est la souveraineté du peuple français que l’on peut ainsi impliquer dans des actes de guerre au coût prohibitif sans que ni lui, ni son parlement ne soit sollicité? Avec, en point d’appui l’indigne campagne xénophobe sur des fakenews sur les Ouïghours pour justifier l’alignement servile sur les États-Unis. Avec les pitreries de tous autour d’une gestion stupide du coronavirus pimenté de débats imbéciles sur la pertinence ou non de l’islamo-gauchisme. Pauvre France et malheureux esclaves français qui se croient autorisés néanmoins à donner des leçons de démocratie parce qu’ils ignorent tout du monde et des actions de leurs dirigeants. Comme le disait Bertolt Brecht :
“Celui qui ne connait pas la vérité n’est qu’un imbécile. Mais celui qui connait la vérité et la qualifie de mensonge est un criminel.” Dans quelle catégorie faut-il placer une gauche qui refuse de voir ce qui se passe au plan international et préfère censurer et reprendre d’infâmes campagnes de propagande contre la Chine ou ne pas les désavouer sous prétexte que cela n’intéresse pas les Français, voire que cela peut nuire à la tambouille électorale ?
(note de Danielle Bleitrach pour histoire et societe)"
La France a récemment envoyé un de ses sous-marins d’attaque nucléaire à plus de 10 000 kilomètres en mer de Chine méridionale pour une «patrouille ». C’est le dernier indicateur de la tension et de la crédibilité sous-jacente de la politique étrangère des États-Unis en ce qui concerne la mer de Chine méridionale et son conflit croissant avec Pékin.
Alors que Washington considère sa participation dans la région comme celui d’un « champion » pour les demandeurs d’asile en mer de Chine méridionale, il recrute des alliés de plus en plus éloignés de ses eaux réelles et semble simplement utiliser la confrontation pour saper Pékin, et non pour soutenir d’autres pays de la région.
France24 dans un article intitulé «La France patauge dans la mer de Chine méridionale avec un sous-marin d’attaque nucléaire », affirme :
La semaine en France débute par un fil Twitter de la ministre de la Défense Florence Parly révélant que le sous-marin d’attaque nucléaire SNA Emeraude faisait partie des deux navires de la marine qui ont récemment effectué une patrouille en mer de Chine méridionale.
« Cette patrouille extraordinaire vient de terminer un passage en mer de Chine méridionale. Une preuve frappante de la capacité de notre marine Français à se déployer loin et pendant longtemps avec nos partenaires stratégiques australiens, américains et japonais « , a-t-elle tweeté avec une photo des deux navires en mer.
Quelle est la souveraineté du peuple français que l'on peut ainsi impliquer dans des actes de guerre au coût prohibitif sans que ni lui, ni son parlement ne soit sollicité? Avec en point d'appu...
Le sous-marin nucléaire d'attaque français Émeraude a effectué un passage en mer de Chine, a confirmé lundi la ministre de la Défense, Florence Parly. Une opération qui peut sembler étonnan...
La ministre des Armées, Florence Parly, a annoncé lundi que deux bâtiments, dont un sous-marin nucléaire d'attaque, avaient effectué des manœuvres dans ces eaux revendiquées par Pékin. Deux...
Texas - Des habitants de Houston ont attendu plus d'une heure sous la pluie verglaçante pour remplir leur réservoir de gaz propane. Photo : Associated Press / David J. Phillip - Des centrales obsolètes ...
Extraits
"Seuls les forts survivront et les faibles vont périr."( maire de Colorado City, message à l'intention de ses administrés avant d'être contraint à la démission)
Il est libre, le marché
"Cette absence de régulations a donc autorisé les acteurs du marché de l’énergie à ne pas entretenir leurs installations ni à les préparer à des vagues de froid. Les installations n’étant pas prêtes, de nombreuses centrales électriques ont dû être arrêtées, dont une nucléaire, mais aussi des sites d’extraction de ressources fossiles. "
"... une aversion viscérale à tout ce qui relève de l’intervention et de la dépense publique"
Cette aversion a été illustrée avec une brutale honnêteté par le maire de Colorado City, Tim Boyd, qui a posté le message suivant sur Facebook, avant de démissionner face aux réactions d’indignation.
« […] personne ne vous doit rien à vous ni à votre famille, et ce n’est pas non plus de la responsabilité du gouvernement de vous soutenir dans une période aussi difficile que celle-ci ! Marche ou crève, à vous de choisir ! Ni la Ville, ni le Comté, ni les fournisseurs d’énergie ou autre ne vous doivent RIEN ! Les gens qui mendient, ça me rend malade ! Si vous n’avez pas d’électricité, bougez-vous le cul et trouvez une solution pour garder votre famille au chaud et en sécurité. Si vous n’avez plus d’eau, débrouillez-vous sans et trouver comment survivre et fournir de l’eau à votre famille. […] Seuls les forts survivront et les faibles vont périr. Dieu nous a donné les outils pour nous débrouiller par nous-mêmes dans les périodes difficiles. Cette attitude est la triste conséquence d’un gouvernement socialiste qui bourre le crâne des gens pour leur faire croire qu’une MINORITÉ va travailler pour faire vivre une majorité de mendiants. […] En résumé : ARRÊTEZ DE FAIRE PARTIE DU PROBLÈME, FAITES PARTIE DE LA SOLUTION !! »
A u moins 58 morts, des hôpitaux débordés, des supermarchés vides, 14 des 28 millions de Texans privés d’eau, 4,5 millions d’entre eux privés d’électricité par -18 °C. Le Texas a connu une vague de froid exceptionnelle. Mais le refus idéologique de politiques de dépenses publiques, ici pour entretenir ou développer les infrastructures du plus grand marché dérégulé d’électr
VICTORIA NULAND : LE RETOUR - LIBYE, SYRIE, UKRAINE - ELLE FUT DE TOUS LES MAUVAIS COUPS - LESQUELS NOUS PREPARE-T-ELLE ?
Au moins, c’est clair. Ceux qui nourrissaient encore quelque illusion sur les vertus apaisantes de l’arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche sont désormais fixés : en matière de politique étrangère, le « retour à la normalité » vanté ici et là apparaît sous son vrai visage : la volonté américaine assumée de reprendre le contrôle des affaires du monde et de « remuscler » – les mots ont un sens – l’alliance atlantique. « America is back » (« l’Amérique est de retour »), tel est le slogan du nouveau président, qui proclame ainsi vouloir rompre avec « l’Amérique d’abord » de Donald Trump. Non pas que la politique étrangère de ce dernier ait été particulièrement aimable – au Moyen-Orient en particulier. Mais avec son mot d’ordre recopié de Ronald Reagan, le nouveau maître de Washington renoue délibérément avec l’esprit de guerre froide.
Dans son discours tenu le 4 février, M. Biden affirme que la « domination américaine » (« leadership ») se doit désormais d’« affronter la montée de l’autoritarisme, notamment les ambitions croissantes de la Chine pour rivaliser avec les USA, et la détermination de la Russie visant à abîmer et faire dérailler notre démocratie ». Si les dépendances économiques réciproques le contraignent à quelque prudence de langage vis-à-vis de Pékin, il n’en est pas de même vis-à-vis de Moscou : « l’époque où nous reculions devant l’agressivité de la Russie – interférences dans nos élections, cyber-attaques, empoisonnement de ses citoyens – est terminée. Nous n’hésiterons pas à faire grimper le coût (de ce comportement) » de Moscou. [...]
Au moins, c'est clair. Ceux qui nourrissaient encore quelque illusion sur les vertus apaisantes de l'arrivée de Joseph Biden à la Maison Blanche sont désormais fixés : en matière de politique ...
Le 15 février 2011, Hillary Clinton, alors secrétaire d’Etat, déclara « qu’Internet est devenu l’espace public du XXIe siècle » et que « les manifestations en Égypte et en Iran, alimentées par Facebook, Twitter et YouTube, reflétaient la puissance des technologies de connexion en tant qu’accélérateurs du changement politique, social et économique » [1]. Elle annonça également le déblocage de 25 millions de dollars « pour soutenir des projets ou la création d’outils qui agissent en faveur de la liberté d’expression en ligne », et l’ouverture de comptes Twitter en chinois, russe et hindi, après ceux en persan et en arabe.
Ces déclarations tonitruantes représentaient l’apogée d’une politique menée tambour battant mêlant les médias sociaux avec l’exportation de la démocratie « made in USA ». Les relations entre le département d’État américain et Google ont été tellement bien tressées que le fameux moteur de recherche a été qualifié d’« arme de la diplomatie américaine » [2].
Selon une étude détaillée menée par le « Google Transparency Project », les employés de Google ont été reçus 421 fois à la Maison Blanche pendant la période qui s’étale entre la prise de fonction de Barack Obama et le 31 octobre 2015, soit plus d’une fois par semaine pendant les deux mandats du 44e président des États-Unis [3]. De son côté, le président Obama a reçu les hauts responsables de la firme de Mountain View pas moins de 21 fois [4].
Ces interactions étaient tellement fortes que le rapport mentionna : « Une étude détaillée de ces registres démontre à quel point Google a entremêlé ses intérêts d’industriel avec ceux du gouvernement américain. Sur beaucoup de questions, cette relation est si intime qu’il est souvent difficile de déterminer exactement où s’arrête le gouvernement fédéral et quand Google prend l’initiative » [5].
Le 15 février 2011, Hillary Clinton, alors secrétaire d'Etat, déclara " qu'Internet est devenu l'espace public du XXIe siècle " et que " les manifestations en Égypte et en Iran, alimentées pa...
UNE BARRICADE N'A QUE DEUX CÔTES C'est avec un immense plaisir que Ça n'empêche pas Nicolas publie de notre ami Gilles Questiaux. Courageusement, celui-ci traduit au mieux l'attitude naturelle que devraient avoir tous ceux qui sont victimes de l'ordre établi et imposé par le clan des fidèles du CAC 40 partout sur cette terre où ceux-ci tiennent le guidon du capital. Camp contre camp, victim
"Le choix entre Navalny et les autorités est une impasse. Parce que leur idéologie est essentiellement la même. Tant les navalnistes que le pouvoir actuel sont favorables au capitalisme. Cela garantit à la Russie le statut de périphérie des matières premières, la dégradation et l’extinction, qui durent depuis 30 ans."
A priori cette position du vice président du comité central du KPRF concernant Navalny est celle qui se rapproche le plus de la nôtre. En effet face à cet opposant qui ne représente qu'entre 2...
Ci-après un long article qui fait le bilan 2020 des relations entre Cuba et les Etats-Unis et qui montre comment pendant ces 12 mois l’administration du Président Trump a « détricoté » tous les mesures favorables prises par son prédécesseur et a aggravé lourdement les sanctions contre Cuba. Et il vient d’utiliser ses dernières semaines à la Maison Blanche pour en rajouter !
Rien ne s’oppose maintenant à ce que le nouveau Président Biden mette en oeuvre une politique de relations respectueuses de la souveraineté de son voisin Cuba !
Principaux événements qui ont marqué les relations entre Cuba et les Etats-Unis en 2020
L’administration Trump a inversé pratiquement toutes les politiques d’Obama envers Cuba. Par des décrets exécutifs, Obama a élargi les voyages à Cuba ; Trump a annulé les licences people to people (peuple à peuple), les échanges culturels et interdit aux résidents des États-Unis de séjourner dans des hôtels gérés par les militaires.
Obama n’a pas fixé de limites aux envois de fonds : Trump les a d’abord limitées, puis a rendu presque impossible pour les Cubains américains d’envoyer de l’argent à leurs familles. Obama a accordé des licences à des entreprises américaines pour opérer à Cuba : Trump les a supprimées. Obama rétablit des relations diplomatiques complètes et dota l’ambassade et le consulat de personnel à La Havane : Trump réduisit le personnel au minimum et ferma le consulat, affectant les services migratoires et le regroupement familial des Cubains.
1.Vols
10 janvier : Le ministère des Transports a annoncé que tous les vols charter à l’intérieur de Cuba en provenance des États-Unis seraient suspendus « jusqu’à nouvel ordre ».
Comme l’a indiqué dans un communiqué le secrétaire d’État Mike Pompeo, citant l’existence d’une lettre à la secrétaire des Transports, Elaine L. Chao, l’objectif est de « renforcer l’impact de la politique de l’administration de pression économique sur le régime cubain » dans des domaines comme les droits de l’homme et les libertés fondamentales en raison, du soutien cubain au gouvernement du Venezuela.
2.Envois de fonds
27 février. La Western Union a confirmé avoir annulé les transferts monétaires à Cuba en provenance de tous les pays, à l’exception des États-Unis.
La société a justifié sa décision par les difficultés rencontrées pour réaliser ce type d’opérations, en faisant apparemment référence à l’embargo/blocus imposé par Washington à La Havane, durci par l’administration Trump avec de nouvelles sanctions qui ont généré un fort impact sur l’économie cubaine.
28 février. Le président cubain, Miguel Diaz-Canel, a répondu à la suspension des envois de fonds vers l’île depuis l’extérieur des États-Unis, décision qu’il a attribuée aux politiques du président américain Trump. ’Une autre mesure contre le peuple cubain. C’est ainsi que l’empire agit, avec une arrogance et un mépris total, mais nous ne sommes pour personne »,
a-t-il écrit sur Twitter.
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La Havane, 13 avril (RHC)- Le gouvernement espagnol a confirmé son désaccord avec le renforcement des sanctions économiques contre Cuba sous l'administration Trump. «Nous rejetons l'application extraterritoriale des mesures de sanction nationales car...
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D es militants d'Attac ont mené une action d'affichage dans le métro parisien pour dénoncer ceux qui, selon l'association, se sont enrichis grâce à la crise sanitaire. Elle annonce que d'autres initiatives seront menées dans les prochaines semaines. Le...
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Ce que les chômeurs vont perdre sur tous les tableaux
LAURENT JEANNEAU 06/04/2021 Facebook Twitter WhatsApp Partager sur ... LinkedIn Mail Imprimer Non seulement la nouvelle réforme va faire chuter les allocations des chômeurs les plus précaires, mais...
Par Anicet Le Pors, ancien ministre (1981-1984) L ors de la première annonce d’Emmanuel Macron de supprimer l’ENA j’avais publié dans « l’Humanité » du 25 avril 2019 l’article suivant que je n’ai aucune raison de modifier sinon pour souligner le caractère...