Le gouvernement AKP, avec Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, a lancé une opération globale en Syrie. Hay’at Tahrir al-Sham, le principal acteur de l’opération jusqu’à présent, est considéré comme une organisation terroriste même par la Turquie et les États-Unis. L’Armée nationale syrienne, autre auteur des attaques, est un groupe recruté dans divers groupes jihadistes et payé par le gouvernement du Parti de la justice et du développement. Avec ces organisations et d’autres, ni la paix ni le calme ne parviendront dans la région.
Depuis des mois, le Parti communiste turc affirme que des préparatifs sont en cours pour attaquer la Syrie sous prétexte d’une « menace à la sécurité », et prévient que cela entraînerait la région dans de nouvelles guerres sanglantes sans fin. Une fois de plus, il s’avère que le gouvernement du Parti de la Justice et du Développement ne se lasse pas de travailler en coordination avec Israël.
Le drapeau turc à Alep et les vantardises de l’invasion par des écrivains pro-AKP ne changent rien au fait que la Turquie, aux côtés des États-Unis et d’Israël, est engagée dans un effort de démantèlement d’un pays voisin.
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