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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
9 mars 2021 2 09 /03 /mars /2021 18:38

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9 mars 2021 2 09 /03 /mars /2021 18:34

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

Documents pour comprendre la situation au Sénégal
Documents pour comprendre la situation au Sénégal

Derniers développements au Sénégal- Ce que dit la presse

  • Sénégal : L’opposant Sonko appelle à une mobilisation « beaucoup plus importante » mais « pacifique »

https://www.20minutes.fr/monde/2994247-20210309-senegal-opposant-sonko-appelle-mobilisation-beaucoup-plus-importante-pacifique

  • Explosion sociale au Sénégal : les raisons de la colère

https://www.humanite.fr/explosion-sociale-au-senegal-les-raisons-de-la-colere-701115

https://www.huffingtonpost.fr/entry/au-senegal-lopposant-sonko-appelle-a-une-mobilisation-plus-importante_fr_60468e69c5b6e29350b264a0

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9 mars 2021 2 09 /03 /mars /2021 17:17

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

Martha Desrumaux,  ouvrière,  militante de la CGT,  résistante, communiste

 

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9 mars 2021 2 09 /03 /mars /2021 17:08
Manifestation à Vitry le 4 mars 2021 contre les 400 licenciements

Manifestation à Vitry le 4 mars 2021 contre les 400 licenciements

Le était présent le 4 mars 2021 à Vitry pour soutenir les salariés qui manifestaient contre le plan de licenciements de près de 400 personnes en R&D. En 2021, Sanofi va verser 4 milliards d’euros à ses actionnaires, comme en 2020. De plus, le groupe a reçu plus d’un milliard d’euros d’aides publiques en 10 ans ! Malgré tout, ils continuent à licencier à tour de bras et à détruire la production industrielle française pour ne garder que les programmes de recherche les plus rentables. Nous avons interrogé Pascal Collemine, délégué central CGT Sanofi R&D France, pour qu’il nous informe de l’actualité de la engagée. Le PRCF apporte tout son soutien aux salariés de Sanofi et se battra à leur côté contre Macron, le MEDEF et l’UE, pour le maintien des emplois industriels en France, et pour la immédiate du groupe, sans contreparties et sous contrôle démocratique des salariés ! [...]

La vidéo et l'intégralité de l'article sur le site d'Initiative communiste ci-dessous :

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 18:32

A New Dehli en Inde, des centaines d'agricultrices se sont rassemblées pour célébrer la journée internationale des droits des femmes et rappeler leurs revendications concernant le projet de libéralisation des marchés agricoles dans le pays.

(IMTIYAZ KHAN /ANADOLU AGENCY VIA AFP)

A PARIS, des milliers de manifestantes défilent pour les "premières de corvées"

 

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 16:47
La barricade de la place Blanche tenue par des femmes, mai 1871.

La barricade de la place Blanche tenue par des femmes, mai 1871.

Femmes de la Commune de Paris - Paule Minck - Andre Leo - Louise Michel -Elisabeth Dimitrieff - Nathalie Le MelFemmes de la Commune de Paris - Paule Minck - Andre Leo - Louise Michel -Elisabeth Dimitrieff - Nathalie Le Mel
Femmes de la Commune de Paris - Paule Minck - Andre Leo - Louise Michel -Elisabeth Dimitrieff - Nathalie Le Mel
Femmes de la Commune de Paris - Paule Minck - Andre Leo - Louise Michel -Elisabeth Dimitrieff - Nathalie Le MelFemmes de la Commune de Paris - Paule Minck - Andre Leo - Louise Michel -Elisabeth Dimitrieff - Nathalie Le Mel

Femmes de la Commune de Paris - Paule Minck - Andre Leo - Louise Michel -Elisabeth Dimitrieff - Nathalie Le Mel

Compte-rendu de l'intervention de Françoise Bazire, Secrétaire de l’association des Amies et amis de la Commune sur le site "Les Clionautes"

Rendez-vous de L'Histoire, n°21, Blois, 2018

L’action des femmes a été très importante durant La Commune

Extraits

Le 18 mars au soir, le Comité central de la Garde nationale s’installe à l’Hôtel de Ville.  Pendant une semaine, il assumera toute la responsabilité de la gestion politique, sociale et économique de la ville de Paris. Il assure la sécurité en occupant les fortifications et les forts de la périphérie. Il remet les rouages de l’état en route en occupant les ministères et les bâtiments publics.

→ Pour répondre à une volonté de démocratie très forte, il organise des élections. Elles ont lieu le 26 mars.  Mais les femmes n'y participent pas.

[...]

Louise Michel a déclaré : « Si l’égalité entre les deux sexes était reconnue, ce serait une fameuse brèche dans la bêtise humaine ».

[...]

Début avril, les femmes lancent un appel à aller à Versailles.

→ Le 3 avril, elles se retrouvent à 1200 femmes au pont de Grenelle. Les dirigeants de la Commune leur enjoignent de ne pas sortir de Paris. Ils rappellent la brutalité des répressions versaillaises. En fait, ils sont hésitants sur cette action.

La sortie n’a pas eu lieu mais devant une telle volonté féminine la nécessité de s’organiser s’impose.

11 avril, c’est la Création de « l’Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés ».

Dès le 11 avril, l’Union publie par voie d’affiches, sur les murs de Paris, un texte disant que : la lutte pour la défense de la Commune, c’est la lutte pour le droit des femmes.

Elles écrivent :

– «nos ennemis, ce sont les privilèges de l’ordre social actuel, tous ceux qui ont vécu de nos sueurs, qui toujours se sont engraissés de nos misères»

– «nous voulons le travail pour en garder le produit, plus d’exploiteurs, plus de maîtres».

– «toute inégalité et tout antagonisme entre les sexes, constituent une des bases du pouvoir des classes gouvernantes».

→   l’Union des Femmes et ses comités siégeaient dans les mairies d’arrondissements sauf dans les IIe et XVe. Ces femmes s’organisent remarquablement, ce qui est méritoire dans cette période très tourmentée.

Les statuts de l’association sont publiés dans le journal « La Sociale » le 12 avril, par André Léo. Les nouvelles seront très souvent relayées dans ce journal.

→ Les deux principales dirigeantes de l’Union sont Nathalie Le Mel et Élisabeth Dmitrieff. Il y a aussi Marceline Leloup, Aline Jacquier, Thérèse Collin, Aglaé Jarry et Blanche Lefevre.

→ Si elles ne sont ni électrices, ni éligibles aux élections du 26 mars, la Commune les associe à des fonctions politiques et sociales importantes.

→ La participation des femmes dans les clubs et sections de l’Internationale marque l’histoire de la Commune. Elles président les séances et n’hésitent pas à intervenir. Elles obtiennent la mixité des clubs. Elles écrivent dans les journaux.

→ Les femmes sont associées, dans quelques quartiers à la gestion municipale.

ce que veulent les femmes ?

 → Le droit au travail pour elles et l’égalité des salaires.

→ L’école laïque gratuite pour les filles et les garçons.

→ La pleine participation au combat de la Commune, y compris dans la Garde nationale : le club de la rue d’Arras recueillera 300 inscriptions pour « les légions des femmes ».

→ des Pensions pour les veuves de fédérés tués au combat qu’elles soient mariées ou non mais également pour les enfants légitimes ou naturels.

→Les femmes vont œuvrer auprès des différentes commissions la Commune pour obtenir ces changements profonds et participer activement à leur mise en place.

La laïcité

→ Elles sont en pointe dans la lutte pour la laïcisation des écoles et des hôpitaux.

Elles assument souvent dans les mairies la nouvelle mission d’assistance laïque. Ainsi dans le XIIe arrondissement, le 26 avril, « il est fait appel aux Citoyennes de bonne volonté » pour former :

« Un comité de républicaines du XIIe dont la mission sera de rechercher toutes les misères cachées et d’en faire immédiatement rapport aux membres de la Commune » .

Les femmes agissent pour l’éducation et la culture

La Commune adopte comme base de son programme scolaire, le manifeste de la société « L’éducation nouvelle » qui veut :

«- que l’instruction soit gratuite et complète pour tous les enfants des deux sexes ;

– que l’instruction religieuse ou dogmatique soit immédiatement et radicalement supprimée pour les deux sexes » dans les écoles publiques.

La commune met en pratique ce programme. Dans le VIIIe arrondissement, l’école des filles de la rue de la Bienfaisance est la première des écoles nouvelles où l’admission se fait dès l’âge de 3 ans.

[...]

Elles mettent en place des écoles professionnelles pour les filles.

Elles agissent pour la création de crèches populaires.

Marie Laverdure qui participe au mouvement de l’Éducation nouvelle présente un mémoire pour la création de crèches. Celui-ci débute par cette affirmation :

« L’éducation commence le jour de la naissance. Elle demande des jardins, des fleurs et des jouets pour les enfants ».

Victoire Tynaire, a obtenu son brevet de capacité pour être institutrice, elle organise des écoles libres et protestantes. Elle se met au service de la Commune. Édouard Vaillant lui confia le rôle d’inspectrice des écoles du XIIe. Elle assumera cette tâche de façon remarquable.

→ Les femmes sont aussi associées au travail de la commission de l’enseignement qui crée le 22 mai :

« une commission pour organiser et surveiller l’enseignement dans les écoles de filles. Elle est composée des citoyennes André Léo, Jaclard, Périer, Reclus, Sapia »

→ elles mènent la lutte contre la prostitution qu’elles considèrent « comme une forme d’exploitation commerciale de l’être humain par d’autres êtres humains ».

→ les femmes sont à l’origine de l’organisation d’ateliers coopératifs.

[...]

La Commune multiplie les mesures pour assurer du travail aux femmes. Outre l’application du programme général de l’Union des femmes pour la réouverture des ateliers, d’autres instances communardes proposent des emplois, comme la Délégation scientifique ou des municipalités d’arrondissement qui affectent des salles en ateliers de travail pour les femmes.

La Commune prend des mesures audacieuses qui consacrent de profonds changements, d’une grande modernité, dans les rapports familiaux.

* Par décret du 10 avril, la pension accordée aux enfants des Gardes nationaux tués est désormais versée à « chacun des enfants, reconnus ou non ».

Le décret de la Commune du 13 mai stipule :

« En matière de séparation de corps, le président du tribunal pourra allouer à la femme demandant la séparation une pension alimentaire, qui lui sera servie jusqu’à ce qu’il en ait été décidé par le tribunal ».

* Par décret du 17 mai, l’indemnité aux femmes des Gardes nationaux qui remplissent leurs devoirs de citoyens est accordées aux « femmes légitimes ou non »  Le Cri du peuple, 21 mai 1871

Édouard Vaillant, à la commission de l’enseignement décide l’égalité des salaires :

* La Commune de Paris (…) Considérant que les exigences de vie sont nombreuses et impérieuses pour la femme autant que pour l’homme décide que le salaire des institutrices sera la même que celui des instituteurs.  Le cri du peuple, 22 mai 1871

Les femmes continuent leur action pour aider à la défense de Paris

Créer des syndicats

Le 18 mai, le Comité central avec l’aide de Léo Fränkel, délégué de la commission du travail et d’échange, lance un appel aux ouvrières afin de nommer des déléguées de chaque corporation pour qu’elles se réunissent le 21 mai afin de constituer leurs chambres syndicales.

Pendant cette période qui voit naître toutes ces mesures, les communards doivent faire face à la lutte armée qui s’accentue.

L’armée versaillaise veut se venger de sa défaite contre les Prussiens, elle bombarde régulièrement Paris dès le mois d’avril.                                                                                                                

Durant cette semaine, les femmes continuent à tenir la rue face aux versaillais, elles vont défendre les barricades.

De la Commune, on ne retient que le nom de Louise Michel, mais les femmes sont nombreuses à lutter. Elles sont tombées dans l’oubli.

Article intégral ci-dessous :

 

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 16:37

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 16:34

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 00:22

Lu sur le site de CGT Education - Appel de la CGT

8 mars : Premières de corvées, nous voulons l’égalité maintenant !
appel de la CGT pour la journée du 8 Mars

 

Rouen : rassemblement le 8 mars à 17h30 au Palais de justice (attestation pour manifester hors couvre feu en pièce jointe)
le Havre : de 11h00 à 15h00 devant la gare SNCF
Evreux : rassemblement à partir de 12h00 devant la préfecture

Le 8 mars, ce n’est pas la journée de LA femme, ce n’est pas non plus la Saint Valentin ou la fête des mères… C’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, c’est le moment de se mobiliser pour gagner enfin l’égalité !
Cette lutte est indispensable, car nous sommes encore très loin de l’égalité entre les femmes et les hommes, particulièrement au travail : les femmes gagnent, en moyenne, toujours 25 % de salaire en moins ! Chaque jour, c’est comme si les femmes arrêtaient d’être payées à 15 h 40.


Revaloriser les métiers essentiels
Lorsque pendant le confinement, les applaudissements aux fenêtres saluaient les salarié·e·s en première ligne, il s’agissait très majoritairement de femmes : les infirmières, aides-soignantes, aides à domiciles, caissières, agentes d’entretien, assistantes maternelles ou ouvrières dans l’agroalimentaire… et aussi enseignantes, administratives… Pourtant, les promesses de revalorisation de leur métier ont fondu comme neige au soleil : la majorité des salarié·e·s n’ont même pas vu la couleur des primes Covid ! Pour mettre fin aux écarts de salaires et de retraites, il faut impérativement revaloriser les métiers à prédominance féminine, reconnaître les qualifications, la technicité du travail, les responsabilités et la pénibilité des métiers… et avoir la volonté politique d’appliquer « simplement » la loi qui prévoit un salaire égal pour un travail de valeur égale !


Temps partiels/précarité : ce n’est pas aux salarié·e·s de payer la crise !
80 % des salarié·e·s à temps partiel sont des femmes, avec des salaires souvent en dessous du seuil de pauvreté et une flexibilité maximum (travail le soir, le dimanche, horaires variables, amplitudes horaires énormes…).
Il faut instaurer :

  • un droit automatique au passage à temps plein ;
  • une surcotisation patronale retraite sur les emplois à temps partiel ;
  • une majoration de toutes les heures complémentaires à 25 % et 50 % ;
  • une rémunération des temps de trajet entre deux emplois.

index « égalité salariale » : stop à l’hypocrisie
Comment expliquer le fait que 90 % des entreprises aient obtenu une bonne note, ce qui les exonère de sanction, alors que les femmes gagnent en moyenne 2 5 % de moins que les hommes ? C’est parce que l’index « égalité salariale » comporte des biais qui invisibilisent les inégalités et qu’il n’y a aucune transparence : les syndicats et l’inspection du travail ne peuvent pas vérifier le calcul de l’employeur. La CGT exige qu’il soit modifié au plus vite !


Non, on ne peut pas garder ses enfants tout en télétravaillant !
Mis en place sans encadrement, le télétravail ou ce qu’il conviendrait mieux d’appeler le travail à la maison, a exacerbé les inégalités entre les femmes et les hommes. Les études montrent que les femmes sont moins bien équipées et installées… et cumulent le « télé travail » avec les tâches domestiques et la garde des enfants.
La CGT revendique : L’arrêt pour « enfant malade » ou « cas contact » doit être accessible aussi aux salarié·e·s en télétravail ! Le télétravail doit être encadré pour garantir la prise en charge des frais, le respect des horaires de travail, le droit à la déconnexion et des critères objectifs et transparents pour l’accès et la réversibilité du télétravail.


Violences et sexisme au travail : stop !
Ouvrières, employées ou cadres, les femmes sont toutes confrontées au sexisme et aux violences dans le travail. Ce qui a notamment pour conséquences une remise en cause de leur professionnalisme, de les assigner à une position d’infériorité, à des tâches subalternes. Trop souvent, c’est la victime qui est sanctionnée, déplacée ou licenciée, pas l’agresseur. En 2019, la CGT, avec la Confédération syndicale internationale, a gagné l’adoption de la première loi mondiale contre les violences et le harcèlement dans le monde du travail, la 190e Convention de l’Organisation internationale du travail. Pour qu’elle s’applique, il faut maintenant qu’elle soit ratifiée par la France et qu’elle s’accompagne de la mise en place de nouveaux droits :

  • sanction pour toutes les entreprises qui n’ont pas de plan de prévention ni de dispositif interne de signalement (comme ce que la CGT a obtenu à TF1) ;
  • formation de tou·te·s les RH, managers, représentant·e·s du personnel et sensibilisation de tou·te·s les salarié·e·s (comme ce que la CGT a obtenu à la Tour Eiffel ou à la CAF) ;
  • protection des victimes, y compris de violences conjugales :
  • interdiction de licenciement, droits à absences rémunérées, à la mobilité géographique ou fonctionnelle choisie.

« Partout dans le monde, les femmes se mobilisent et de plus en plus d’hommes refusent d’être enfermés dans des rôles stéréotypés et aspirent à sortir des rapports de domination. Le 8 mars, syndicats et associations féministes appellent à une grève féministe pour exiger l’égalité, au travail comme dans la vie. » Le 8 mars, femmes comme hommes, faisons grève, manifestons et débrayons à 15 h 40 ou deux heures avant la fin de la journée pour dénoncer les inégalités salariales !

Rouen : rassemblement le 8 mars à 17h30 au Palais de justice (attestation pour manifester hors couvre feu en pièce jointe)
le Havre : de 11h00 à 15h00 devant la gare SNCF
Evreux : rassemblement à partir de 12h00 devant la préfecture

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7 mars 2021 7 07 /03 /mars /2021 16:58

Des victoires

Les femmes de chambre mettent la sous-traitance au tapis - Humanité

À force de luttes, les femmes de chambre de plusieurs hôtels Campanile ont obtenu leur internalisation. Un soulagement indicible pour ces travailleuses ultraprécaires soumises à un travail harassant, et une avancée porteuse d’espoir pour leurs consœurs. 

Devant la porte de l’hôtel Campanile du Bourget (Seine-Saint-Denis), les salariés réunis se sont abrités de la pluie fine sous le petit chapiteau dressé pour l’occasion. Certains ont fait plusieurs heures de route, d’autres sont même venus de Marseille pour l’occasion. Malgré la grisaille et la fraîcheur du mois de février, les masques peinent à dissimuler les sourires et l’enthousiasme.[...]

La suite sur le site de l'Humanité

 

Des luttes encore, contre la précarité, pour la reconnaissance des indispensables mais sous-payées, pour l'égalité au travail ...

La CGT avec d'autres syndicats et des associations féministes appelle à la mobilisation et à la grève : « Indispensables mais invisibilisées et sous payées, le 8 mars des premières de corvées »
 
Grève le 8 Mars

Le 8 mars, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes

Le 8 mars, ce n’est pas la journée de LA femme, ce n’est pas la Saint Valentin ou la fête des mères, le jour où nous faire des cadeaux ou, exceptionnellement, faire la vaisselle à notre place, le 8 mars, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes, le moment de se mobiliser pour gagner enfin l’égalité. 

Et c’est indispensable parce que l’égalité on en est très loin, notamment au travail : les femmes gagnent, en moyenne, toujours 25 % de salaire en moins.

Chaque jour, c’est comme si nous arrêtions d’être payées à 15 h40.
Toujours un salaire d’un quart en moins pour les femmes

[...]

Le 8 mars, syndicats et associations féministes appellent à une grève féministe pour exiger l’égalité, au travail comme dans la vie. Le 8 mars, femmes comme hommes, faisons grève, manifestons et débrayons à 15h 40 ou deux heures avant la fin de la journée pour dénoncer les inégalités salariales!

Vigilance : Rien n'est jamais acquis

La Pologne : Reculs sur le droit à l'IVG

Après trois mois de tergiversations, le gouvernement conservateur a publié mercredi 27 janvier à minuit la décision du Tribunal constitutionnel qui interdit l’avortement en cas de malformation grave de l’embryon. Les femmes polonaises sont de nouveau dans la rue et s’organisent.  28 janvier 2021 - La Croix

Une longue histoire pour les femmes polonaises : INA.fr - 28/10/2020

1993, durcissement de la loi anti-avortement en Pologne

Extrait :

"Le 20 mars 1993, dans le JT de 20h, Hervé Claude décrit ainsi la situation, "la Pologne, maintenant, la très catholique Pologne qui hésite dans ses relations avec l'Eglise. D'un côté l'Eglise perd un peu de son influence dans la vie quotidienne, mais d'un autre côté, l'Eglise pèse toujours très fortement sur la vie politique. Ainsi, l'avortement, qui était autorisé depuis 1956, est maintenant illégal depuis cette semaine. 600.000 avortements ont pourtant lieu chaque année dans ce pays".

Dans le monde - Droits des femmes et égalité entre les femmes et les hommes : unissons-nous pour mieux combattre

10/12/2020 - Déclaration de la FIDH - Extrait

 

La FIDH, forte de ses 192 ligues membres, dénonce et alerte de la régression des droits des femmes qui frappe la moitié de l’humanité. A travers cette régression, c’est l’humanité toute entière et l’universalité des droits humains qui sont atteints.

Depuis le début de la pandémie Covid-19 et partout dans le monde, les atteintes aux droits des femmes se sont accentuées. Derrière cette pandémie, se cache une autre pandémie, celle des violences à l’égard des femmes qui s’est aggravée. Les inégalités femmes-hommes se sont creusées. Les droits économiques et sociaux des femmes reculent et une explosion des violences liées au genre est enregistrée. Le Fonds des Nations Unies pour la population alerte sur l’impact de la Covid-19, qui a renforcé la précarité économique et sociale frappant spécifiquement les femmes du fait des freins, voire de l’arrêt, de certaines activités économiques et la faiblesse, voire l’absence, de protection sociale dédiée. ONU Femmes estime, dans son rapport de 2020, que « 47 millions de filles et de femmes entreront dans la pauvreté, en 2021 des suites de la pandémie ». [1]

En outre, le 23 octobre 2020, à Genève, 35 États, parmi lesquels les Etats-Unis, le Brésil, l’Egypte ou encore la Hongrie, se prononçaient contre le droit à l’avortement au nom du « bien être de la femme » et de la « préservation de la vie humaine ». [...]

 

En France, des inégalités salariales qui perdurent

Données 5 mars 2021 INSEE

En moyenne, les femmes gagnent 23 % de moins que les hommes. À temps de travail équivalent, elles touchent 16,8 % de moins que les hommes. Plus on s’élève sur l’échelle des salaires, plus les écarts entre femmes et hommes sont grands.

Femmes et hommes  Salaires 

Tous temps de travail confondus, les femmes gagnent en moyenne 1 515 euros net par mois, les hommes 1 968 euros net, selon les données 2017 de l’Insee. Ces montants portent sur l’ensemble des salariés : des personnes qui travaillent toute l’année à temps complet et d’autres qui travaillent à temps partiel ou par intermittence. L’écart entre femmes et hommes est de 453 euros par mois en moyenne. Les femmes touchent 23 % de moins que les hommes. Ou encore, ce qui revient au même, les hommes reçoivent 30 % de plus que les femmes . [...]

L'intégral sur le site de l'Observatoire des inégalités.

 
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