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Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Les syndiqués du territoire elbeuvien lancent une nouvelle fois un appel à marcher contre la réforme des retraites, le 7 mars.
Manifestation le 7 février à Elbeuf - Photo "Journal d'Elbeuf"
La CGT distribuera des tracts explicatifs le jeudi 2 et le dimanche 5 mars, dans l’agglomération. (©Le Journal d’Elbeuf) [...]
La suite ci-dessous :
Elbeuf : Une nouvelle manifestation contre la réforme des retraites le 7 mars
Le rendez-vous est donné devant la mairie d'Elbeuf, le 7 mars à 17h. Les habitants et les personnes travaillant dans l'agglomération sont invités par l'union locale de la CGT, à défiler dans ...
MANIFESTATIONS EN SEINE-MARITIME le 7 MARS !
Voir le site de la CGT-Chapelle Darblay ci-dessous :
CGT Chapelle Darblay Grand Couronne
Avec près de 250 manifestations organisées aujourd'hui dans tout le pays, à l'appel de l'intersyndicale nationale et des organisations de jeunesse, le rejet du projet de réforme des retraites d...
Vu sur le site de la CGT 76
DIEPPE : 10 H 30 Place Pierre Semard
LE TREPORT : 15 H Esplanade salle Reggiani
FECAMP : 14 H 30 Espace Henri Dunant
LE HAVRE : 10 H Cercle Franklin
LILLEBONNE : 14 H 30 Esplanade de la Mairie
ROUEN : 10 H Cours Clemenceau
Photos recueillies sur internet - 11 Février 2023 - Rouen - Le Havre - Dieppe ...
Le Gouvernement veut mettre en œuvre une réforme des retraites qui va maltraiter l’ensemble des salariés, les retraités, la population.
Depuis trois semaines, le mouvement social est massif et ne désarme pas, démonstration que nos concitoyens rejettent catégoriquement ce projet injuste et injustifié défendu par le gouvernement.
Samedi 11 février, 2,5 millions de personnes ont encore manifesté partout en France contre la réforme des retraites, dont 50.000 en Seine-Maritime, tous profils confondus, lors de cette 4ème séquence de mobilisation.
Malgré cela, le gouvernement s’arque boute sur sa mesure phare, le recul de l’âge légal de départ à 64 ans et l’augmentation du nombre d’annuités, qui cristallisent les oppositions.
Contre la réforme des retraites, face à un gouvernement borné et empêtré dans ses paradoxes, nous devons poursuivre, amplifier et durcir le mouvement !
Ainsi, l’intersyndicale reste en ordre de bataille et durcit le ton en appelant à deux nouvelles mobilisations les 16 février et 7 mars 2023, au moment de la deuxième semaine d’examen du texte de la réforme à l’Assemblée nationale. Puis le 7 mars quand il arrivera devant le Sénat.
Dans le contexte, à partir du 7 mars, la CGT et l’intersyndicale posent la question des grèves reconductibles, si le gouvernement et le parlement continuent à rester sourds au rejet massif du projet.
Entre le 16 février et le 7 mars… Ni pause, ni trêve !
Partout dans les territoires, des initiatives seront organisées, avec la CGT et les intersyndicales, pour maintenir la pression et la mobilisation initiée depuis le 19 janvier.
De même, la CGT demande à ses organisations d’interpeller députés et sénateurs dans les territoires pour qu’ils ne votent pas le projet de loi.
Également, il convient de continuer à faire signer massivement la pétition intersyndicale en ligne qui vient d’atteindre le million de signatures, pendant que les sondages montrent une opposition à 72% des Français et 90% des travailleuses et travailleurs.
L’intersyndicale appelle aussi à agir le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, pour mettre en évidence l’injustice sociale majeure de cette réforme envers les femmes !
La population est hostile au projet de loi, les manifestations sont massives, l’unité syndicale avec les organisations de jeunesse est très large. Les ingrédients d’une victoire sont donc réunis !
Pour autant, le gouvernement contrôle les institutions et il peut imposer son projet de loi à l’Assemblée Nationale, malgré les sondages, car il est dans un rapport de forces. Pour l’en empêcher, il faut amplifier les manifestations, mais il faut aussi activer d’autres leviers dont disposent les salariés : l’arrêt de la production par la grève !
En faisant grève, nous avons un vrai pouvoir sur l’économie. En la reconduisant, nous élevons au maximum la pression. C’est ce niveau de pression qui sera nécessaire pour faire reculer le gouvernement.
Nous devons gagner le retrait de ce funeste projet, et une réforme plus sociale de notre système des retraites, avec le financement par la répartition des richesses et la répartition du temps de travail.
Car de l’argent, il y en a largement, pour financer un départ en retraite à 60 ans à taux plein (et même moins !) avec une pension de 2.000 euros minimum (et même plus !), en prenant réellement en compte la pénibilité avec des départs anticipés, ou encore en comptabilisant les années d’étude.
Les revendications sociales de la CGT restent complètement d’actualité pour gagner :
Le Jeudi 16 Février, je fais grève et je manifeste :
=> contre tout recul de l’âge légal de départ en retraite,
=> contre tout allongement de durée de cotisations,
=> pour le maintien de TOUS les régimes de retraites,
=> pour l’emploi, l’augmentation générale des salaires et des pensions.
Ci-dessous le tract intersyndical en format PDF
Les salariés en grève depuis un mois, à la raffinerie Total de Gonfreville-l’Orcher, en Normandie, votent, le jeudi 27 octobre 2022, la poursuite de la grève © Ouest-France
Initiative Communiste – Quel bilan tirer de la grève dure de la classe ouvrière des raffineries en termes de résultats revendicatifs et de modification du rapport des forces ?
Emmanuel Lépine – La grève dans les raffineries n’est pas un coup de tonnerre dans un ciel clair. Les syndicats CGT des différents sites ont alerté de longue date, à minima depuis début 2022, sur la nécessité d’augmenter les salaires rapidement face à l’inflation qui a augmenté voilà plus d’un an. La réponse des travailleurs et des travailleuses a été au-delà de ce qui était attendu, avec une mobilisation incluant des personnels peu souvent en grève comme les salariés travaillant à la journée. Chez ExxonMobil le 20 septembre, le mouvement est parti spontanément dans deux secteurs de la raffinerie de Gravenchon (76), alors que la réunion sur les salaires avec la direction était encore en cours : c’est ce type de situation que nous cherchons à organiser en permanence, à savoir le contrôle des négociations directement par les salariés. Organisés avec leur syndicat CGT, les grévistes ont décidé la grève reconductible et l’arrêt des installations de raffinage. Chez TotalEnergies, la grève a démarré le 27 septembre. Les sites qui ont décidé l’arrêt des installations sont restés chacun plus de trois semaines en grève reconductible.
Le résultat a été bien sûr des augmentations salariales qui n’auraient jamais été de ce niveau sans cette puissante mobilisation. C’est aussi pour les acteurs de ces grèves une fierté d’avoir participé à cette grande grève qui a créé un électrochoc dans le pays, qui a permis d’ouvrir les yeux de beaucoup, sur le fait qu’il était possible et nécessaire de lutter dans les entreprises, lieux d’exploitation, pour imposer des revendications.
Face à cela, les patrons n’ont pas hésité à reprendre les pires méthodes que certains croyaient révolues mais qui resurgissent dès que la classe dominante perçoit un danger, et notamment les mensonges repris médiatiquement, comme le « fake » des salariés qui seraient payés 5000 euros, ou l’intox permanente annonçant l’ouverture de négociations pour des réunions qui, en réalité, n’existaient pas. Également toute la rhétorique des supposés « blocages » alors qu’il n’y avait aucun blocage, simplement des grévistes qui refusaient de tourner les vannes ou de charger les camions. Plutôt que négocier avec les acteurs à savoir les grévistes et leurs représentants, les directions apportaient des réponses médiatiques pour tenter de monter l’opinion et les autres travailleurs contre les raffineurs, ce qu’elles ont manifestement échoué à faire. Enfin, bien sûr, le patronat n’a pas hésité à user de la répression contre le droit de grève avec les réquisitions, le recours au travail forcé plutôt que répondre aux revendications, avec toute la puissance de l’Etat au secours des actionnaires des grands groupes, ainsi que du pouvoir judiciaire qui a rejeté les référés de suspension des réquisitions. Comme on pouvait le prévoir, cette attaque a créé une réaction massive, qui s’est manifesté par la journée du 18 octobre dans toute la France.[...]
La suite ci-dessous :
1 - Les salariés du groupe pharmaceutique Sanofi sont en grève pour 3 jours et 3 nuits. • © France Télévisions 2 - Les labos affichent une profitabilité que n'atteignent que quelques majors du tabac, du luxe ou de la finance, loin devant le taux de profit moyen de 7 % des autres secteurs. SOURCE : YAHOO ! FINANCE
14 sites de l'industriel pharmaceutique sont en grève lundi 21 novembre, dont les 3 normands : Lisieux, Le Trait et Val-de-Reuil.
Ils bloquent plusieurs sites de stockage en France. Les salariés du groupe pharmaceutique Sanofi sont en grève pour 3 jours et 3 nuits, afin de peser dans la négociation annuelle sur les salaires.
Ce lundi matin, sur le site eurois à Val-de-Reuil, celui qui fabrique les vaccins antigrippaux, plus de 200 salariés ont répondu à l'appel des syndicats pour bloquer la sortie du site. Parmi eux, des cadres, employés de la direction ou de la production.
Jeudi dernier, lors des négociations annuelles, la direction leur a fait des propositions d'augmentations de salaires, loin de compenser l'inflation pour les syndicats. "On demande 10% d'augmentation générale pour tous. La direction nous propose une enveloppe de 3%, alors qu'elle distribue chaque année 4 milliards de dividende aux actionnaires. C'est du mépris le plus total", lance Morad Zerrouali, délégué syndical central CGT chez Sanofi Val-de-Reuil.
La suite ici : FR3 Normandie
18 Octobre - Le Havre
Vu sur le site de l'UD-CGT 76
Le 27 octobre, je participe aux rassemblements et manifestations :
• DIEPPE 10h30 Sous-Préfecture
• LE HAVRE 10h00 Franklin
• ROUEN 11h00 Préfecture
Le 18 octobre, la journée unitaire de mobilisation a réuni 300 000 personnes dans les manifestations et plus d’un million de travailleur·ses en grève dans tout le pays.
La question des salaires est au cœur du débat public. De nombreux·ses salarié·es rejoignent cette lutte dans leur entreprise pour une autre répartition des richesses.
La CGT appelle à intensifier ce mouvement pour gagner des augmentations de salaires pour toutes et tous avec deux journées nationales d’action interprofessionnelle le 27 octobre et le 10 novembre.
La CGT revendique :
Moi aussi, je me mobilise avec la CGT !
Pour vivre dignement de mon salaire et de ma pension, pour de meilleures conditions de travail et de vie, pour le droit à la protection sociale et à une retraite décente :
Le 27 octobre, je participe aux rassemblements et manifestations :
Le 10 novembre, je rejoins le mouvement social par l’action de grève dans mon entreprise et mon administration