19 janvier 2019
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Avec le sens de la formule choc et du mépris de classe assumé qu’on lui connaît, M. Emmanuel Macron a encore frappé lors de sa rencontre avec des maires réunis dans l’Eure, le mardi 15 janvier : « Les gens en situation de difficulté, on va davantage les responsabiliser car il y en a qui font bien et il y en a qui déconnent. »
Au premier rang des « déconneurs », les chômeurs que le président entend « responsabiliser » à coup de sanctions financières inédites en France. Tel est le sens du décret signé en catimini le 28 décembre 2018 en application de la si mal nommée « loi sur la liberté de choix de son avenir professionnel ». Les chômeurs auront dorénavant le choix : accepter n’importe quel emploi, à n’importe quelle distance de leur domicile ; ou ne plus bénéficier de leur droit aux indemnités. Ramper ou périr d’inanition en somme.
Promettant de débarrasser la France de ses archaïsmes, le gouvernement assure que le dispositif permettra de faire entrer le pays dans la modernité. Foin d’innovation, pourtant : le système a déjà été mis en œuvre en Allemagne (Hartz IV) ; il est expérimenté au Royaume-Uni, avec des conséquences que relate le film du réalisateur Ken Loach Moi, Daniel Blake (Sixteen films, 2016), palme d’or au Festival de Cannes.
Afin d’illustrer les dégâts humains et sociaux d’une réforme alliant dérives arbitraires et boursouflures bureaucratiques, Ken Loach met ici à la disposition des lecteurs du Monde diplomatique plusieurs extraits de son film dont voici un résumé : [...]
Lire la suite ci-dessous et voir l'extrait du film de Ken Loach sur le site du Monde diplomatique :
19 janvier 2019
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Dans la matinée, samedi 19 janvier 2019, les manifestants étaient entre 1 400 (police) et 2 500 (76actu) dans les rues de Rouen, pour l’acte X. (©Mathieu Normand/76actu)
Entre 2 et 4 000 personnes manifestaient en Seine-Maritime, dans la matinée du samedi 19 janvier 2019, pour l’acte X initié par les Gilets jaunes. La plus forte mobilisation a été constatée à Rouen.
« Au moins 2 500 manifestants » à Rouen
Sur l’ensemble du département, samedi matin, « les manifestations se passent bien », a constaté le directeur de cabinet de la préfète, Benoît Lemaire. Militants CGT et Gilets jaunes se sont massivement donnés rendez-vous à Rouen. La police a compté au moins 1 400 manifestants, lorsque nos journalistes sur place dénombraient « au moins 2 500 personnes » à 11h30, dans les rues de la capitale normande. Vers midi, le porte-parole des Gilets jaunes de Rouen, François Boulo ne souhaitait pas donner d’estimation, « pour le moment ». « La manifestation devrait être encore plus importante cet après-midi, nous attendons encore du monde », a précisé le porte-parole rouennais.
GILETS JAUNES ET GILETS ROUGES - PHOTOS Y.GENESTAL
19 janvier 2019
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Published by anonyme
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Published by El Diablo
18 janvier 2019
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Published by El Diablo
18 janvier 2019
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Published by El Diablo
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Published by aragon 43
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16:46
E. Mactron avec Bernard Arnault, Maurice Lévy, Carlos Ghosn ...
POLITIQUE - Ça ne tombe pas vraiment bien. Et cela risque surtout de pas apporter beaucoup de sérénité autour du grand débat national qui va débuter mardi 15 janvier. Quelques jours plus tard, lundi 21, Emmanuel Macron recevra à Versailles environ 150 patrons de grandes multinationales françaises et étrangères.
Il s'agira, comme l'a annoncé Challenges ce vendredi, de la deuxième édition du "Choose France Summit", un événement censé vanter les atouts de la France vis-à-vis des investisseurs internationaux; l'an passé, les 140 responsables (parmi lesquels Toyota, Google, Facebook ou les banques JP Morgan et Goldman Sachs) avaient promis d'investir 3,5 milliards d'euros sur cinq ans en France.[...]
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18 janvier 2019
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Paysans : le message de la Coordination rurale pour 2018
Mercredi, 10 Janvier, 2018 dans l'Humanité
Moins médiatisé que la FNSEA, le syndicat Jeunes Agriculteurs et la Confédération paysanne, la Coordination rurale, second syndicat paysan lors des élections de 2013 aux Chambres d’Agriculture, veut faire entendre sa différence.
Bernard Lannes et Véronique Le Floc’h, président et secrétair générale de la Coordination rurale, présentaient hier leurs vœux de leur syndicat à la presse. Historiquement, la Coordination rurale était une coordination qui faisait agir ensemble des syndicalistes soucieux de revendiquer en commun. Certains étaient des paysans affiliés au MODEF, d’autres à la Confédération paysanne, d’autres étaient des dissidents de la FNSEA qui trouvaient que leur syndicat était trop impliqué dans la cogestion des dossiers agricoles avec le représentants du pouvoir politique. Certains observateurs en font un syndicat situé à la droite de la FNSEA. Mais les choses ne sont jamais aussi simples dans le monde paysan en grande souffrance.
Ce sont surtout ces militants dissidents de la FNSEA qui ont crée à Coordination rurale dans la dernière décennie du XXème siècle. Après avoir recueilli 18,70% aux élections pour envoyer des élus aux chambres d’Agriculture en 2007, la Coordination rurale passait au dessus des 21% en 2013, ravissant ainsi la seconde place à la Confédération paysanne tandis que la FNSEA et le syndicat Jeunes Agriculteurs, rassemblés sur des listes communes, restaient majoritaires dans presque tous les départements.[...]
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18 janvier 2019
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16:03
Sur RT France
Ils veulent dire «stop» aux «distorsions de concurrence» et en particulier à celle venue d'Ukraine : les agriculteurs céréaliers de la Coordination rurale se sont donné rendez-vous à Dunkerque pour une opération coup de poing : #BalanceTonPort.
A l'appel de la Coordination rurale (CR) des Hauts-de-France, des agriculteurs se sont réunis dans le port de Dunkerque dans le Pas-de-Calais ce 16 janvier. L'idée est simple : bloquer le port pour «dire STOP aux importations massives qui plafonnent le prix de nos céréales.» Et le syndicat agricole de préciser : «Consommons notre blé plutôt que le maïs Ukrainien !» [...]
La suite ci-dessous :
Published by Action communiste
-
dans
Europe supranationale
Capitalisme