pour la liberté d’expression
pour la liberté de manifester
samedi 16 janvier
14h30 Théâtre des Arts
Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Le 29/4/22, le journal « Rizospastis », Organe du CC du KKE, présente le ciblage inacceptable et dangereux des communistes grecs, encouragé par l'État ukrainien. Les noms et les informations personnelles de trois cadres du Parti, Giorgos Lambroulis, député et vice-président du Parlement, Sotiris Zarianopoulos, ancien député européen, et Giorgos Magganas, cadre du KKE, sont affichés sur une « liste noire » sur l’Internet, qui prétend mettre en évidence les informations personnelles des « ennemis de l'Ukraine » et des collaborateurs des « organisations terroristes », des« mercenaires », etc. !
Il existe notamment un site Internet appelé « myrotvorets.center », qui publie les données personnelles de milliers de personnes (nom, photo, adresse, téléphone, e-mail !) qui ont été identifiées soit par l'État ukrainien, soit par la administrateurs comme « ennemis de l'Ukraine », collaborateurs des « organisations terroristes » etc.
Ce site était officiellement sous les « auspices » des ministères du gouvernement ukrainien, alors qu'il s'agit d'une base de données qui est encore utilisée aujourd'hui par les autorités judiciaires et policières d'Ukraine, afin de poursuivre des individus.
En effet, il y a quelques années, des personnes qui figuraient sur cette liste ont été victimes d'actes meurtriers, alors qu'un certain nombre de plaintes ont été déposées au sujet de menaces reçues par des personnes qui figurent sur la liste ... [...]
Lire la suite ci-dessous ci-dessous :
Le ministère de l'Intérieur accusait ces deux associations d'"appel à la haine, à la discrimination, à la violence" et de "provocation à des actes terroristes".
Le Conseil d'Etat a suspendu vendredi 29 avril l'exécution des décrets de dissolution du "Comité Action Palestine" et du "Collectif Palestine Vaincra" publiés en mars par le ministère de l'Intérieur. Ce dernier accusait ces associations d'"appel à la haine, à la discrimination, à la violence" et de "provocation à des actes terroristes".
S'agissant du "Comité Action Palestine", la mesure de dissolution "porte une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d'association et à la liberté d'expression", écrit dans sa décision le Conseil d'État, saisi en référé par l'association. Celle-ci s'était notamment vu reprocher par les autorités de "relayer les communiqués" et de "rendre compte de l'activité d'organisations terroristes palestiniennes, notamment le Hamas, le Mouvement du Jihad islamique en Palestine et le Hezbollah".
"Les prises de positions énoncées par les publications de l'association (...) ne peuvent (...) être regardées comme provoquant à la discrimination, à la haine ou à la violence envers un groupe de personnes", selon la plus haute juridiction administrative. Elles ne peuvent pas non plus être "qualifiées d'agissements en vue de provoquer des actes de terrorisme", à ce stade de l'instruction, selon les magistrats.
[...]
Concernant le "Collectif Palestine Vaincra", le ministère de l'Intérieur l'accusait de "cultiver le sentiment d'oppression des 'peuples musulmans' (...) dans l'objectif de diffuser l'idée d'une islamophobie à l'échelle internationale", "sous couvert de défendre la cause palestinienne". Le ministère lui reprochait également d'appeler "à la discrimination et à la haine envers Israël et les Israéliens", notamment à travers des campagnes de boycott.
L'appel au boycott "traduit l'expression d'une opinion contestataire et ne saurait par lui-même (..) être regardé comme une provocation ou une contribution à la discrimination, à la haine ou à la violence envers un groupe de personnes", souligne la décision du Conseil d'État.
[...]
La suite ci-dessous et aussi l'intervention de l'AFPS en conseil d'Etat contre la dissolution abusive du "Collectif Palestine Vaincra"
L'AFPS intervient en Conseil d'État contre la dissolution abusive du Collectif Palestine Vaincra
Le Collectif Palestine Vaincra (CPV) a décidé de contester sa dissolution devant le Conseil d'Etat. La première étape, celle d'un référé demandant la suspension de l'application du décret, ...
Le conseil des ministres du mercredi 9 mars vient de prononcer la dissolution de deux organisations de soutien à la Palestine. C’est un acte grave par lequel le gouvernement impose des critères de bienséance au-delà desquels l’expression de la solidarité avec le peuple palestinien serait interdite en France. C’est une atteinte intolérable à la liberté d’expression et à la liberté d’association.
Ainsi, le décret de dissolution du Collectif Palestine Vaincra, relève que le droit de contester la politique d’Israël est possible, à condition de ne pas « excéder les limites de la liberté d’expression ». Parmi ces limites qui tendent à prouver que ce collectif « appelle régulièrement à la discrimination et à la haine envers l’État d’Israël et les Israéliens », le décret cite ses appels réguliers à boycotter les produits israéliens ou à soutenir le droit au retour des réfugiés palestiniens sur leurs terres !
Le gouvernement, reproche à ces collectifs de se déclarer solidaires de la résistance palestinienne sous toutes ses formes et les accuse de se rendre complices « d’organisations reconnues comme terroristes par l’Union européenne ». Alors même que l’Union européenne a supervisé en 2006 des élections en Palestine avec la participation de ces organisations palestiniennes...
[...]
La suite ci-dessous :
Non à la dissolution de deux organisations de solidarité avec la Palestine
Le conseil des ministres du mercredi 9 mars vient de prononcer la dissolution de deux organisations de soutien à la Palestine. C'est un acte grave (...)
Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.
Le point de vue de Jean Lévy
Nous publions les communiqués et les commentaires des organisations et mouvements qui appellent ce samedi 12 juin à manifester contre l'extrême droite.
Cependant, cette initiative, telle qu'elle est présentée, pourrait laisser croire que seuls "l'extrême-droite" menace nos libertés. Certes des groupuscules qui se revendiquent de la violence et des idées racistes développent des idées dangereuses dans notre pays.
Nous les combattons avec vigueur.
Cependant, le pouvoir macronien aux affaires depuis 2017 s'est illustré au quotidien par ses offensives multiples contre nos libertés.
Du saccage du Code du Travail qui prive les salariés des moyens de défense dont ils disposaient, à la répression sanglante du mouvement des gilets jaunes, jusqu'aux mises en cause des libertés citoyennes de manifester - au point que même le Conseil d'Etat a annulé certains articles des lois votées par la fraction macronienne de l'Assemblée avait votés comme contraires au droit constitutionnel ! [...]
Lire la suite ci-dessous
Le communiqué du PCF:
Extraits
Pour une nouvelle République sociale et démocratique, laïque, écologiste, féministe et antiraciste.
Notre pays vit un moment particulièrement dangereux.
Exploitant les peurs qu'a aggravées l'épidémie de Covid-19, les replis que provoquent les licenciements et la précarité, les divisions d'une société que ravagent les reculs de la République et la casse des services publics, l'insécurité qui mine le vivre-ensemble et le terrorisme islamiste qui endeuille régulièrement la nation, le pouvoir macronien et la droite se livrent une surenchère calamiteuse avec l'extrême droite. Ils nourrissent les divisions de la société française en remettant en cause les libertés publiques, en concentrant toujours plus les pouvoirs institutionnels et économiques, en criminalisant les militant·e·s syndicaux et associatifs et en alimentant les assignations identitaires qui favorisent le racisme et l'antisémitisme, la stigmatisation de secteurs entiers de la population en raison de leurs origines, religions, de leur genre ou de leur orientation sexuelle.[...]
Lire l'intégral avec le point de vue de Jean Lévy ci-dessous :
Ça n'empêche pas Nicolas Nous publions les communiqués et les commentaires des organisations et mouvements qui appellent ce samedi 12 juin à manifester contre l'extrême droite. Cependant, cette initiative, telle qu'elle est présentée, pourrait laisser croire que seuls "l'extrême-droite" menace nos libertés. Certes des groupuscules qui se revendiquent de la violence et des idées racistes
Sur actu.fr. Extraits
"Elles sont une vingtaine d’organisations – associations et syndicats – à appeler à marcher « pour les libertés et contre les idées d’extrême-droite« , samedi 12 juin 2021 au Havre (Seine-Maritime) à 15h30, au départ de l’hôtel de ville. À Rouen également, un défilé est prévu pour répondre à cet appel national. Il partira à 14h30 de Saint-Sever."
Les signataires havrais de l'appel dénoncent
« Depuis un an, associations et syndicats subissent une vague de restrictions de leurs libertés, permise par quatre projets de loi successifs depuis le début de la pandémie (loi contre le séparatisme, loi sécurité globale notamment). Sur certaines manifestations, on a bien senti des pressions sur les organisateurs pour qu’elles ne se fassent pas »
Lire l'intégral ci-dessous :
Un appel à marcher pour les libertés et contre l'extrême-droite, au Havre et à Rouen
Elles sont une vingtaine d'organisations - associations et syndicats - à appeler à marcher " pour les libertés et contre les idées d'extrême-droite" , samedi 12 juin 2021 au Havre (Seine-Marit...
Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.
La Grèce, c'est bien en Europe, et même dans l'Union Européenne ?
Depuis quelque temps de puissantes manifestations s'y déroulent contre la politique du gouvernement de droite. Elles rassemblent des milliers de Grecs contre les restrictions de libertés, prises à la faveur des mesures de confinement. Elles mobilisent le secteur de la santé mis à mal par les "réformes" libérales imposées par la commission européenne appuyée par le conseil européen et la BCE.
Les grandes chaînes, celles d'"informations" en continu ont fait silence. Le feuilleton de la monarchie anglaise est beaucoup plus important ...
Jeudi 18 mars 2021 Manifestations en Grèce : "Donnez de l'argent pour la santé et l'éducation, pas pour la répression et le terrorisme". Avec de grandes manifestations à Athènes, Thessalonique et d'autres grandes villes grecques mercredi soir, des milliers de travailleurs, d'étudiants, de retraités, de jeunes hommes et de femmes ont envoyé un message militant de lutte contre l'escalade de
Du "Roi-père" au "Roi-cochon"
Par Annie Duprat
Références de l'article : DUPRAT Annie, « Du Roi-père au roi-cochon » in BOURDERON Roger, (dir.), Le Jugement dernier des rois. Actes du colloque tenu à Saint-Denis du 2 au 4 février 1989, La Garenne-Colombes, Editions de l'Espace Européen, 1992, p. 81-90.
On s'attachera tout d'abord aux différents sens que peut prendre l'expression « roi-père », c'est-à-dire
Le roi de France, père de son peuple ;
Louis XVI, le père du dauphin ;
Louis XVI, père de la Constitution.
Lorsque, en juin 1791, les insultes explosent : ogre royal, ogre, tigre, anthropophage, cochon... les estampes se multiplient et, si le roi n'est pas toujours représenté sous la seule forme animale du cochon, il est troublant d'en constater la présence fréquente, dans un coin d'image. On analysera successivement les textes, puis les estampes, sous le rapport de cette identité polémique roi/cochon.[...]
La suite ci-dessous :
Par Annie Duprat Références de l'article : DUPRAT Annie, " Du Roi-père au roi-cochon " in BOURDERON Roger, (dir.), Le Jugement dernier des rois. Actes du colloque tenu à Saint-Denis du 2 au 4 ...
http://www.caricaturesetcaricature.com/article-11666874.html
La FSU 76 a communiqué un nouveau lieu de manifestation :
ROUEN - Théâtre des Arts à 14h30
Suite à l'arrêté préfectoral interdisant le centre-ville rouennais, la manifestation de samedi partira du Théâtre des Arts à 14h30. Un nouveau parcours a été décidé et un communiqué adressé pour dénoncer la décision de la préfecture !
APPEL de l'UD-CGT 76
100 Milliards pour l'emploi
Pas pour le CAC 40
La crise sanitaire, mal gérée par ce gouvernement, se transforme en grave crise économique, sociale, écologique et démocratique.
Pas un seul jour ne passe sans qu’un plan de suppression d’emplois ne soit annoncé par des grands groupes pourtant peu impactés par la crise sanitaire et inondés d’aides publiques
Chaque jour, des milliers de personnes basculent dans une extrême pauvreté. Elles sont de plus en plus nombreuses à ne plus pouvoir subvenir à leurs besoins essentiels et vitaux.
Les rangs de celles et ceux privés d’emploi grossissent inexorablement.
La colère extrême des victimes des politiques menées depuis des décennies, agrégée au refus de l’accaparement d’une très grande partie des richesses par les actionnaires, est grandissante et légitime
Face aux multiples mobilisations et actions revendicatives, le gouvernement multiplie les lois liberticides et crée de nouveaux délits pour les manifestant.es et celles et ceux qui s’organisent et se mobilisent pour l’amélioration des conditions de vie et de travail. Les syndicalistes payent le prix fort de la répression et sont de plus en plus sanctionnés et entravés dans leur activité militante sur les lieux de travail
Le projet de loi sécurité globale, le nouveau schéma national du maintien de l’ordre pour les manifestations, la loi de programmation pour la recherche et celle contre les « séparatismes » sont les nouvelles armes au service d’un gouvernement autoritaire et représentent de graves atteintes aux libertés essentielles pour les conquêtes sociales
Le 5 décembre, journée annuelle de lutte contre le chômage, pour l’emploi et les droits des privé.es d’emploi constitue une occasion pour exiger d’autres politiques sociales, le retrait pur et simple de la réforme de l’assurance chômage et un vrai plan de développement de l’emploi. Il est l’occasion aussi de défendre et d’exiger le renforcement des libertés, des droits de presse et d’expression, des droits de manifester et de faire grève pour contrer les violences sociales infligées à la population
L’UD CGT 76 invite les militants , les organisations , les syndiqués de la CGT à participer nombreux et nombreuses aux initiatives avec les Unions locales le 5 décembre 2020 .
Ils ne feront pas taire les revendications de la jeunesse et des travailleurs
Ils ne confisqueront pas nos libertés .
Retrait du projet « sécurité globale »
La démocratie c’est la justice sociale !
Alors tous ensemble dans la rue samedi
Cet article est reposté depuis Le blog de Lucien PONS.
Les trois fautes d’Emmanuel Macron. Par jacques Sapir, le 25 juillet 2018
Les trois fautes d’Emmanuel Macron Jacques Sapir · Mercredi 25 juillet 2018 La déclaration faite le 24 juillet au soir par le Président de la République, M. Emmanuel Macron, est grave[1]. Elle est grave d’un point de vu constitutionnel. Elle est grave d’un point de vue politique. Elle est grave d’un point de vue moral. Nous devons toujours nous souvenir que le Président de la Républi