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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
30 mai 2015 6 30 /05 /mai /2015 13:54

Quand j’étais enfant à Hénin-Liétard et que l’on parlait de déportés politiques, le nom de Martha Desrumaux revenait systématiquement.

Martha naît en 1897 à Comines, une petite ville proche de Lille. Elle commence à travailler à neuf ans comme femme de ménage puis comme ouvrière dans le textile. Elle adhère à la CGT à treize ans, puis, deux ans plus tard, aux Jeunesses socialistes. En 1921, elle rejoint le Parti communiste. En 1917, elle prend la tête d’un mouvement de grève dans le textile. En 1925, elle dénonce la guerre coloniale au Maroc. En 1927, elle est la première femme élue au Comité Central du PCF.

En 1936, elle est une figure de proue du Front populaire dans le Nord. Elle est la seule femme présente lors de la signature des accords Matignon. Elle organise la solidarité avec les forces républicaines espagnoles. Elle joue son propre rôle dans le film de Jean Renoir La vie est à nous.

En août 1940, dans le nord de la France sous administration directe de l’armée allemande, elle organise la grande grève patriotique de mai-juin 1941. 100 000 mineurs débrayent, refusant de fournir du charbon pour l’occupant. Dénoncée par le préfet, Martha est arrêtée par la gestapo. Elle est mise au secret à la prison de Loos et déportée à Ravensbrück. Elle y organise l’entre-aide et la solidarité avec Geneviève De Gaulle-Anthonioz et Marie-Claude Vaillant-Couturier. Libérée par l’Armée rouge, elle est rapatriée par la Croix-Rouge en 1945 mais revient malade du typhus. Elle réintègre les organes dirigeants de la CGT.

En 1944, elle est élue au conseil municipal de Lille. L’année suivante, elle est élue député communiste du Nord.

La maladie l’oblige à ralentir ses activités. Elle continue cependant son action auprès de la Fédération nationale des Déportés, proche du Parti communiste.

Elle meurt le 30 novembre 1982, le même jour que son mari, ouvrier métallurgiste et syndicaliste.

Trop communiste pour entrer au Panthéon ? Comme Marie-Claude Vaillant-Couturier ?

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 14:52

Publié par Michel El Diablo

LA CITATION DU JOUR  - mardi 26 mai 2015

 

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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 15:54

Publié par Michel El Diablo

La revue RUPTURES : premier numéro le 29 mai 2015

TOUTES LES INFORMATIONS SUR LE NOUVEAU MENSUEL (lien ci-dessous)

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21 mai 2015 4 21 /05 /mai /2015 14:56
par Raoul Marc Jennar
 
Paru le 11 mai 2015

Longtemps, j’ai adhéré au slogan « une autre Europe est possible ». Longtemps, j’ai cru réalisables les réformes nécessaires pour remettre le projet d’union des peuples d’Europe sur les rails d’une véritable « construction européenne ». Tous mes efforts ont donc été consacrés dans mes livres (en particulier dans « Europe, la trahison des élites ») et mes articles, à démontrer que l’Union européenne n’est pas l’Europe promise ; ce qui, implicitement, pouvait signifier que l’Europe promise était possible dans le cadre de l’UE.

Ce fut tout le sens de ma démarche lorsqu’il y a dix ans, je me suis engagé avec fougue dans le combat pour un « non de gauche » au traité constitutionnel européen – c’est-à-dire un non fondé sur la souveraineté populaire, sur la réalité des rapports de force entre intérêts opposés, sur le refus de confondre nation et nationalisme. Pour dénoncer le TCE, j’avais publié une brochure à laquelle j’avais donné un titre qui se trouve tout à fait confirmé aujourd’hui par la renaissance en force des nationalismes et le rejet d’Europe : «Quand l’Union européenne tue l’Europe».

Nous voulions provoquer une crise qui remettrait la question européenne à plat et permettrait les réformes indispensables. J’ai même, tout aussitôt après notre victoire, publié un livre intitulé « Quelle Europe après le non ? » dans lequel j’énumérais les réformes nécessaires et possibles pourvu que la volonté politique exista.

Puis vint le projet de traité de Lisbonne facilité par la forfaiture de Jacques Chirac refusant de retirer la signature de la France en conséquence du rejet du TCE par la majorité du peuple français. Ce projet, une véritable redite du TCE, put être ratifié parce que les élus PS et Verts ont apporté leur appui pour réunir la majorité qualifiée qui manquait à Sarkozy afin d’adapter la Constitution de la République aux nouveaux abandons de souveraineté.

Ce qui émergeait n’était en rien cette « autre Europe », mais l’aggravation d’une UE au service du secteur privé, acharnée au démantèlement des politiques sociales, vouée à l’organisation de la concurrence de tous contre tous, manifestant en toutes circonstances le mépris le plus total pour les principes démocratiques. Et les forces politiques qui auraient dû s’opposer à une telle orientation y adhéraient totalement.

Puis vint la crise financière qui vit les responsables de cette crise protégés par les gouvernements et les victimes punies par des politiques d’austérité. Cette crise servit de prétexte à de nouvelles avancées du pouvoir totalitaire d’institutions échappant à tout réel contrôle démocratique : la Commission européenne, la Banque centrale européenne et la Cour de Justice de l’UE. Les traités ratifiés en 2012 (MES et TSCG) ont consacré de nouveaux et insupportables abandons de souveraineté. Des traités qui furent soutenus avec la même force par la droite et par la social-démocratie européennes, toutes deux résolument au service de la dictature des marchés. On ne réformait pas l’UE, on en aggravait les orientations les plus néfastes pour les peuples.

La confirmation de l’impossibilité de réformer l’UE est venue de la bouche même de M. Juncker, l’actuel président de la Commission européenne, un homme qui, pendant dix-huit ans à la tête du gouvernement de son pays, a favorisé l’évasion des capitaux et donc l’incivisme fiscal dans les autres Etats membres : « il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens déjà ratifiés » (Le Figaro, 2 février 2015). Des propos scandaleux qui pourtant n’ont été dénoncés par aucun gouvernement, ni par le Parlement européen, ni par aucun parlement national.

Et voici que se négocie un traité transatlantique qui transformera les 28 Etats européens en 28 colonies américaines, avec la Commission européenne dans le rôle, cette fois au grand jour, de gardienne des intérêts des firmes euro-américaines.

On ne peut plus s’illusionner sur la possibilité, dans le cadre de l’UE, de ses institutions et de son mode de fonctionnement, d’une autre union des peuples d’Europe. Cette possibilité n’existe pas. Depuis 1979, à chaque scrutin européen, le PS promet l’Europe sociale. Alors qu’il sait très bien que cette Europe sociale est impossible en vertu des traités européens et des arrêts de la Cour de Justice de l’UE. A preuve : non seulement elle n’existe pas, mais l’UE est l’instrument du patronat relayé par les gouvernements pour procéder au démantèlement des politiques sociales dans chaque Etat.

Puisqu’une union démocratique et solidaire des peuples d’Europe n’existe pas dans le cadre de l’UE, c’est ce cadre, qui fait obstacle, que l’on doit combattre. On ne sortira de cette dictature d’un mode nouveau qu’en dénonçant les traités européens et les arrêts de la Cour de Justice de l’UE. On ne mettra fin à l’oligarchie technocratique qui dicte aux peuples d’Europe les volontés patronales euro-américaines qu’en faisant disparaître la Commission européenne. On ne mettra pas fin aux politiques européennes sans supprimer les institutions qui les engendrent.

Appliqué à l’UE actuelle, le slogan, « une autre Europe est possible » est devenu un mensonge. C’est une tromperie, dont seuls profitent ceux qui bénéficient de l’UE telle qu’elle est : les firmes privées dont le profit toujours plus élevé est la seule motivation. Car ce slogan retarde toute contestation fondamentale de l’UE, de ses institutions et de ses politiques.

Raoul Marc Jennar

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14 mai 2015 4 14 /05 /mai /2015 09:10
  • 12/05/2015, sur le site de l'IHSCGT 76
LA CGT INTERDITE DE FESTIVAL DE CANNES ?

Au Festival de Cannes, La CGT, pas le droit de Cité ?
C’est cette semaine que s’ouvre ce que l’on appelait le Festival international du Film de Cannes.
Faut il rappeler que LA CGT en est Cofondatrice ?
La CGT fêtera ainsi l’histoire croisée du syndicat et du cinéma au travers de différentes initiatives regroupées sous l’intitulé « 120 ans de la CGT, 120 ans du cinéma » qui sont organisées par la Fédération nationale CGT des syndicats du spectacle, de l’audiovisuel et de l’action culturelle (FNSAC), l’Avenir social, l’union départementale CGT des Alpes-Maritimes, l’union locale CGT de Cannes et la CGT des hôtels, cafés et restaurants (HCR).
C’est ainsi que le 17 mai, des précaires, des privés d’emploi, des sans-papiers, des retraités et des jeunes monteront les marches et assisteront à une projection en compagnie de Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT.
Dans cette dynamique, le 19 mai, L’Union Locale CGT de Cannes, l’Union Départementale CGT des Alpes Maritimes, la Fédération Nationale CGT des Syndicats du Spectacle, de l’Audiovisuel et de l’Action Culturelle (FNSAC) ont prévu d’organiser une initiative populaire au marché Forville, avec un spectacle musical et théâtral.
A quelques jours de cette initiative, M le Maire n’a toujours pas daigné répondre officiellement à notre demande, se contentant de nous faire signifier par un simple appel téléphonique son refus.
M le Maire de Cannes a t-il si peu de considération pour l’organisation et ses militants qui ont contribué à créé cet événement de renommée mondiale ?
Voudrait-il rayer de l’histoire de Cannes, l’importance de l’action du mouvement ouvrier, et plus particulièrement celle de la CGT qui a largement contribué au développement économique, social et culturel de notre département ?
Si ce refus venait à être confirmé, c’est toute la CGT qui ne manquerait pas de faire connaitre sa désapprobation devant de tels procédés, en organisant le même jour, le 19 Mai à 16h00 devant la mairie de Cannes, Place Cornut Gentille, un rassemblement pour défendre le droit d’expression et la liberté syndicale, l’accès à la culture vivante et populaire pour tous.

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3 mai 2015 7 03 /05 /mai /2015 22:50

Jean Lévy

Est-ce le meilleur moyen de combattre le Front national ?

Ets-ce le meilleur moyen de combattre le Front national ?

EL DIABLO [le blog]

par Stéphanie Roza
professeure 
de philosophie politique

 

Une alternative aux replis communautaires 

*****

L’heure n’est pas à hurler au fascisme : oui, le FN a changé, il a notoirement changé de stratégie. Avant de se précipiter pour faire tomber d’hypothétiques masques et dévoiler la face hideuse de la bête immonde aux yeux d’un peuple qui comprend de moins en moins bien un tel langage, la gauche radicale doit se pencher sur ces transformations, les analyser sans complaisance, mais sans l’hystérie qui trop souvent tient lieu de politique antifasciste.

Le FN n’a pas seulement changé par un phénomène naturel de remplacement par lequel, aux nostalgiques de Vichy et aux tortionnaires de la guerre d’Algérie, se substitue peu à peu une génération de politiciens toujours réactionnaires, toujours nationalistes, mais également opportunistes, technocrates…, en un mot, plus « classiques ». Les crânes rasés, les croix gammées, les amateurs de ratonnades n’ont certes pas disparu, mais ils se sont faits plus discrets. Ils font même l’objet de mesures disciplinaires parfois radicales.

Des mesures d’affichage ?

Sans doute. Mais qui disent quelque chose d’essentiel, pour qui sait l’entendre, des objectifs actuels de ce parti qui, désormais, se rêve sous les ors de la République. Qui, une fois au pouvoir, appliquerait bien évidemment une politique rétrograde, xénophobe, mais ne mettrait personne dans des chambres à gaz. Ni même n’abolirait, vraisemblablement, le suffrage universel.

 

Le FN brigue le pouvoir dans une situation qui n’a pas grand-chose à voir avec celle des années 1930. Il ne dispose pas de centaines de milliers de partisans en uniforme prêts à saccager les permanences des partis de gauche, à en assassiner les militants, à en disperser les meetings. Il dispose, en revanche, d’une base de millions d’électeurs qui, pour la plupart, ne sont pas même prêts à se déplacer à une de ses réunions publiques, mais qui ne comprennent ni n’approuvent ce qu’est devenue la France d’aujourd’hui. Qui sont remplis de méfiance et de préjugés. Qui se sentent bafoués et trahis. Et qui se vengent de tous et de tout en glissant discrètement un bulletin dans l’urne. De ces électeurs, des petits Blancs, pour la plupart, mais aussi désormais des juifs, des Arabes, des Noirs (qui l’eût cru), on a tiré des portraits divers, et qui tous contiennent une part de vérité : petits employés barricadés dans des pavillons dont ils peinent à rembourser le crédit et qui n’ont de l’Autre que l’image renvoyée par un écran de télévision ou d’ordinateur ; chômeurs des territoires saccagés par la désindustrialisation, emplis d’un sentiment de relégation ; petits patrons néo-poujadistes et racistes.

Aux opprimés parmi eux, la gauche radicale devrait avoir des choses à dire et à proposer : pour eux, elle devrait substituer à la confusion idéologique et aux stigmatisations une explication rationnelle des causes historiques et économiques de la désagrégation du tissu social, de l’agonie des solidarités, de la montée de l’individualisme consumériste ; proposer une alternative aux replis communautaires en promouvant une société basée sur l’égalité, le progrès culturel, la mixité ; mettre fin au désespoir en redessinant la perspective d’un avenir collectif meilleur.

Mais, pour cela, encore faudrait-il être, face au FN, « en ordre de marche »… comme dirait Marine Le Pen.

Or la gauche de la gauche est dans un état préoccupant. Déchirée par des dissensions d’appareils, incapable d’ouvrir un vrai et vaste débat sur des sujets brûlants comme la souveraineté nationale, la laïcité, l’école, la forme parti. Incapable de trancher ces questions, de dégager une majorité et de défendre un minimum de positions communes.

Manquant d’unité, de contenu idéologique clair, et finalement de courage politique, la gauche de la gauche, depuis la chute du mur, n’en finit plus de se chercher. Trouvons-nous donc enfin, avant qu’il ne soit trop tard.

 

SOURCE: 

 

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2 mai 2015 6 02 /05 /mai /2015 14:27

Commentaires

Chez Renault les actions sont détenues à 56,6% par des fonds de pension.  Il leur faut une rentabilité maximum sur le plus court temps possible.  Et surtout le moins de revendications sociales possibles, l'idéal pour le Capital étant "zéro revendication" ...  C'est pour ça qu'il leur faut traquer, pourchasser les militants syndicaux dans l'entreprise.  Et faire entonner par les journalistes des grands médias, arborant alors des mines faussement désolées,  la complainte bien connue du "syndicalisme en perte de vitesse".  Physiquement et idéologiquement il faut faire disparaître le réflexe syndical et de l'action collective de la mentalité des salariés.  Chez Renault Cléon la direction intimide, sanctionne les militants.  Manière de menacer ceux qui voudraient rejoindre le combat collectif.  C'est aussi ce qui se passe dans des milliers d'entreprises en France sans que le gouvernement, le Parti socialiste ne s'émeuvent.  Pire : ils donnent des armes au patronat en liquidant les acquis sociaux et en limitant l'action des élus du personnel.   La droite applaudit d'ailleurs cette politique.  Mais le Parti socialiste n'est-il pas dorénavant notre " seconde droite" ?

2 militants CGT sanctionnés à Renault Cléon

2 militants CGT sanctionnés à Renault Cléon

Les fonds de pension majoritaires chez Renault: toujours plus de dividendes pour ces actionnaires!
Les fonds de pension majoritaires chez Renault: toujours plus de dividendes pour ces actionnaires!

Les fonds de pension majoritaires chez Renault: toujours plus de dividendes pour ces actionnaires!

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29 avril 2015 3 29 /04 /avril /2015 08:15

Publié par Jean Lévy

L’ultime ligne droite !
Le lancement du mensuel Ruptures est en balance : 
 
 
il reste jusqu’à jeudi

pour atteindre la ligne d’arrivée.

Près de 55% de l’objectif (soit plus de 20 000 euros), voilà ce qui a été atteint à l’aube de cette semaine décisive. La marche peut sembler encore très haute – elle l’est, assurément – mais il faut souligner queles cinq derniers jours ont connu une accélération spectaculaire des contributions.

Là où, antérieurement, il arrivait un à cinq dons par jour, c’est près d’une trentaine qui parvient quotidiennement. La dernière semaine a permis de collecter pas loin de l’équivalent de ce qui l’avait été durant deux mois…

A ce rythme, l’objectif est à portée de main. Mais, évidemment, c’est loin d’être gagné d’avance. Car si la collecte atteignait par exemple 95% de l’objectif – la barre a été fixée très haut au départ – toutes les sommes seraient reversées aux donateurs. Et le projet resterait dans les tiroirs.

Nous nous adressons donc à chacune et à chacun : que tous ceux qui ont manifesté leur soutien soient ici chaleureusement remerciés ! Mais vous pouvez encore assurer le succès en sollicitant les potentiels donateurs autour de vous. Alors, n’hésitez pas à faire preuve d’enthousiasme… et d’imagination.

Pensez à votre famille, à vos amis. A vos collègues de travail. A vos copains/copines de foot, de ciné, de musée, de sortie-resto, de beuverie, de soirée philo – ou diapos. A votre (vos) amant(s) ou/et maitresse(s). A votre vieille arrière-cousine de province, à qui vous aviez juré de ne plus reparler, mais dont vous guignez désormais l’héritage. A votre voisin(e), dont vous êtes éperdument épris(e), mais que vous ne savez pas comment aborder – tiens, justement, ça peut être l’occasion.

Parmi tous ceux-là, il y en a bien quelques-uns qui s’intéresseraient à un mensuel en rupture avec l’idéologie dominante, radicalement eurocritique, et qui donne la priorité à l’information… Qui ne seraient pas peu fiers de contribuer à un événement dans le monde de la presse.

Téléphone, courriel, pigeon voyageur : tout est bon (sauf peut-être le courrier postal, les délais sont un peu justes maintenant).

L’équipe de Ruptures/BRN travaille d’arrache-pied… et retient son souffle : merci d’avance !

 

SOURCE: 

Ruptures - Accueil

http://ruptures-presse.fr/

Pour assurer son lancement, Ruptures a besoin de votre participation financière, et vous propose en échange un préabonnement.
Ne remettez surtout pas à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui !

 

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25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 15:15

Publié par Michel El Diablo

Appel solennel de l’équipe de Ruptures/BRN
Le 17 avril 2015
 
Le projet de lancement du mensuel Ruptures – un événement dans le monde de la presse – aborde sa dernière ligne droite. Le 29 mai, date symbolique, celui-ci devrait prendre la suite de Bastille-République-Nations (BRN).

Le projet n’est pas passé inaperçu. Dès l’annonce de celui-ci, les marques d’intérêt, voire d’enthousiasme, ont afflué. Mais pour l’heure, il reste un bémol, et de taille : la collecte des contributions, via le site de financement participatif, est loin d’avoir atteint la barre fixée à 38 000 euros.

Au 16 avril, plus de 13 500 euros ont été rassemblés. Ce n’est pas rien, loin de là ! Que tous ceux qui y ont contribué soient ici chaleureusement remerciés. Cependant, il ne reste que jusqu’au 30 avril pour franchir la ligne d’arrivée, faute de quoi les versements retourneraient à leurs expéditeurs, et le projet ne pourrait être réalisé.

Le montant déjà collecté constitue un socle solide qui doit permettre d’être au rendez-vous à l’heure dite. Car c’est toujours dans la dernière ligne droite que les versements s’accélèrent.

Mais l’objectif ne sera atteint qu’avec des efforts importants et multiples. Et pour démultiplier ceux-ci, nous avons impérativement besoin de vous !

Si vous n’avez pas encore apporté votre contribution, c’est maintenant le moment où jamais. Car l’expérience le prouve : chaque versement – par une sorte d’effet boule de neige – en entraîne d’autres.

Si vous avez déjà versé, vous pouvez continuer à soutenir le projet en le faisant connaître :
- en diffusant le lien de www.ruptures-presse.fr. Le site du projet décrit et précise le contenu et l’ambition de celui-ci. Il propose en outre une actualité quotidienne commentée
- en faisant circuler la vidéo exclusive réalisée par l’équipe de Ruptures/BRN sur le thème : la CGT et l’Europe
- en faisant connaître le plus largement possible la page de financement participatif. C’est cela qui sera décisif !

Si vous êtes déjà abonné à BRN, vous avez pu apprécier l’apport original de ce mensuel dans le paysage médiatique, avec sa ligne éditoriale « progressiste radicalement eurocritique », et une priorité : l’information.

Si ce n’est pas le cas, un versement en faveur du lancement du projet vous permettra de recevoir Ruptures (pendant une période qui dépend de la hauteur de votre contribution). C’est en quelque sorte un pré-abonnement.

En tout état de cause, ne manquez pas l’occasion d’être partie prenante de cette naissance. L’équipe du projet compte donc sur vous – maintenant !

Un grand merci d’avance !
 
SOURCE: 
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25 avril 2015 6 25 /04 /avril /2015 08:52
Petro Simonenko, Premier secrétaire du Parti Communiste d'Ukraine (KPU), était invité à Strasbourg par le groupe de la Gauche Unitaire Européenne (GUE) à l'Assemblée Parlementaire du Conseil de l'Europe - article et traduction Nico Maury
 
Petro Simonenko (KPU), à Strasbourg, obtient le soutien de la Gauche Unitaire Européenne (GUE)
 
La Gauche Unitaire Européenne (GUE), par la voix de son Président Tiny Kox, a exprimé son soutien unanime et sa solidarité au Parti communiste d'Ukraine. La représentante du KKE à l'APCE, Liana Kanelli, a souligné que les politiques anticommunistes en oeuvre en Ukraine étaient contraire aux droits de l'Homme, elle a fait une intervention allant dans ce sens lors d'une réunion plénière de l'APCE.

Petro Simonenko a décrit la psychose anticommuniste qui règne en Ukraine. Il y a une vague d'assassinats politiques, une véritable terreur morale et physique contre les communistes et d'autres forces de l'opposition.

"En Ukraine il y a une guerre, des assassinats. Le pays entre dans une phase de transition dans la répression politique puisque se déroulent des assassinats politiques. Et ces meurtres politiques visent à intimider la société tout entière. En fait, l'Ukraine est un état  terroriste" déclare le chef du Parti communiste ukrainien.

"Aujourd'hui, 400 communistes sont poursuivis dans des affaires pénales. Les communistes sont accusés de tous les péchés mortels en Ukraine. J'ai été interrogé par le SBU pendant 11h, sans interruption".

"J'ai été accusé de créer un groupe terroriste, que les communistes étaient des séparatistes et que nous financions le terrorisme. 
Ils nous ont accusés de préparer les militants sur le territoire de la Fédération de Russie. Moi et mes camarades sommes accusés d'actes terroristes à Odessa, dont celui du 2 mai de l'année dernière, ils affirment que c'est nous qui avons brûlés les militants dans la Maison des syndicats" déclare Petro Simonenko.
Nicolas Maury
 
Source
 
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