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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
21 février 2021 7 21 /02 /février /2021 16:05
FARIDA, C. : le procès de l’infirmière en
colère s’ouvre lundi 22 Février

 

 

PÉTITION : VIOLENCE DE LA POLICE, SOUTIEN À FARIDA C., INFIRMIÈRE EN LUTTE
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15 février 2021 1 15 /02 /février /2021 18:20
1ère photo - Moscou, aujourd'hui. Ce pourrait être Amsterdam, Turin, ou ... Paris. (Photo prise sur le blog de Boyer Jakline) - 2ème photo : photo prise sur Marianne.fr sous le titre : "Violences policières : "C’est bien en France que la police a tiré sur des civils non-armés" "
1ère photo - Moscou, aujourd'hui. Ce pourrait être Amsterdam, Turin, ou ... Paris. (Photo prise sur le blog de Boyer Jakline) - 2ème photo : photo prise sur Marianne.fr sous le titre : "Violences policières : "C’est bien en France que la police a tiré sur des civils non-armés" "

1ère photo - Moscou, aujourd'hui. Ce pourrait être Amsterdam, Turin, ou ... Paris. (Photo prise sur le blog de Boyer Jakline) - 2ème photo : photo prise sur Marianne.fr sous le titre : "Violences policières : "C’est bien en France que la police a tiré sur des civils non-armés" "

Un texte superbe comme Marianne sait les dénicher… Un jeune homme de jadis qui a participé à la fin de l’URSS sans y prêter garde comme beaucoup de soviétiques sort à peine du traumatisme et devant ceux qui se rassemblent autour de Navalny sans cautionner cet homme s’interroge sur la manière la plus juste de dire. Il nous dit à quel point l’URSS était peu répressive simplement fatiguée… mais lisez plutôt il le dit mieux que moi. (note de Danielle Bleitrach - traduction de Marianne Dunlop)

http://www.sovross.ru/articles/2084/50797


Comme beaucoup de Russes, j’ai suivi la série de rassemblements non autorisés qui ont balayé le pays en janvier. L’Internet était rempli de vidéos de différentes villes de Russie, où, en gros, on voyait toujours la même chose : des foules de manifestants scandant des slogans, des responsables de la sécurité vêtus de costumes futuristes – comme s’ils sortaient de “Star Wars” – se produisant dans un ballet brutal, battant des manifestants avec leurs matraques, des cris, des gémissements … Ici une personne inconsciente est jetée dans un fourgon de police. Là, les policiers mettent les détenus à genoux. Voici un policier anti-émeute qui passant près d’un retraité, lui donne un coup de pied au ventre. Un autre, se retournant, frappe avec sa matraque un journaliste muni d’une caméra et d’un gilet avec l’inscription “Presse”… Dans une ruelle de Moscou, la police anti-émeute tabasse des filles qui hurlent: “Nous ne sommes pas armées!” Tandis que sur la Place aux Foins à Saint-Pétersbourg, un policier, voyant des manifestants qui le suivaient, dégaine son pistolet… 

Moscou, Pétersbourg, Ekaterinbourg, Kazan, Irkoutsk, Tomsk, Vladivostok … Devant mes yeux défilent aussi des images de ma ville natale. Des rues qui me sont familières depuis l’enfance, des immeubles… Et je me surprends involontairement à penser comment il y a 30 ans, je marchais moi aussi dans ces rues avec une foule de jeunes protestataires. 
C’était en 1989, j’étais en première année d’université, j’avais le même fatras pro-perestroïka dans la tête que la majorité des jeunes de cette époque… On n’aimait pas les réunions ennuyeuses du Komsomol, les slogans rebattus sur les murs des maisons, même ceux dont c’était la fonction de les proclamer n’y croyaient plus. Nous condamnions les privilèges de la nomenklatura qui roulait en Volgas noires (nous ne pouvions imaginer que ces humbles gens seraient remplacés par des propriétaires de leurs propres avions, yachts et palais!). Nous voulions du changement. Plus de liberté, de démocratie, des rayons pleins dans les magasins, mais surtout l’émancipation spirituelle, l’abolition de toute censure, la possibilité de lire Berdiaev, Boukharine, Freud, Nietzsche et de décider par nous-mêmes ce qui dans les écrits était juste et ce qui ne l’était pas. Il y a des choses dont j’ai atrocement honte aujourd’hui: nous étions jeunes, naïfs, notre compréhension était limitée. Mais quand même, nous étions animés par un désir sincère d’améliorer la situation dans notre pays, même si nous n’avions qu’une idée très vague de la façon de procéder…

 
Oui, nous descendions nous aussi dans les rues et sur les places, nous rassemblant en foule près du bâtiment du comité régional local, scandant: “A bas!” et “Liberté!” Permettez-moi de souligner qu’il s’agissait de rassemblements non autorisés. C’était devenu une véritable “mode”. Le poète Andrei Voznessensky, dont j’ai beaucoup aimé les œuvres dans ma jeunesse, a même écrit un poème selon lequel Pouchkine aurait certainement participé à ces actions non autorisées, il a été publié, semble-t-il, dans la revue Younost’.

 
Et, bien sûr, ces manifestations et rassemblements étaient encadrés par des policiers. Ils nous regardaient, semblaient fatigués, anxieux, peut-être mécontents d’avoir été conduits là à cause du désir des jeunes de faire du chahut. Mais je ne me souviens pas d’un cas où ils se soient précipités sur des manifestants pour les battre, les traîner hors de la foule et les embarquer. Et ils avaient l’air assez paisibles: sans armes, dans leur uniforme habituel. Je ne me souviens même pas qu’ils aient eu des matraques.[...]

La suite ci-dessous sur le blog de Danielle Bleitrach

Et aussi :

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30 janvier 2021 6 30 /01 /janvier /2021 14:13

Et ça ne date pas d'hier ...

 

Juin 2016 - Manif contre la Loi travail - Boulevard du Montparnasse, en début d’après-midi mardi. A l’issue de la journée, 58 personnes avaient été interpellées par la police et la préfecture dénombrait 40 blessés. Photo Albert Facelly pour «Libération»

Juin 2016 - Manif contre la Loi travail - Boulevard du Montparnasse, en début d’après-midi mardi. A l’issue de la journée, 58 personnes avaient été interpellées par la police et la préfecture dénombrait 40 blessés. Photo Albert Facelly pour «Libération»

Rouen 9 janvier 2020

Rouen 9 janvier 2020

Depuis le mouvement des Gilets jaunes, les peines d’interdiction de manifester se sont multipliées. Le dispositif s’ajoute à un arsenal de plus en plus fourni pour empêcher les rassemblements et la contestation sociale. Témoignages.

« Je vis à la campagne, où on est isolé les uns des autres ici. Quand on est en manif, on voit qu’on est là ensemble. Étant privée de manifestation, je suis aussi privée de cette euphorie. » Maria, boulangère, habitante de la région de Die (Drôme) est interdite de manifestation depuis le 26 décembre 2018, pour trois ans. Elle aurait pourtant aimé participer aux rassemblements pour la sauvegarde de la ligne ferroviaire de la vallée de la Drôme et contre la fermeture de la maternité de Die. « Cela me révolte, je ne peux pas rester inactive face à cette injustice. Mais je ne peux plus m’exprimer dans la rue aux côtés des autres habitants. » [...]

La suite, sur le site de Basta :

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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 23:52
Gilets jaunes éborgnés, blessés - Toulouse - Acte 9

Gilets jaunes éborgnés, blessés - Toulouse - Acte 9

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9 décembre 2020 3 09 /12 /décembre /2020 17:51

Cet article est reposté depuis Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges..

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3 décembre 2020 4 03 /12 /décembre /2020 07:23
  Violences policières : les forces de l’ordre victimes des “pièges” de l’extrême gauche  Photomontage

Violences policières : les forces de l’ordre victimes des “pièges” de l’extrême gauche Photomontage

Pour comprendre leur acharnement : il n'y a pas que l'article 24 ...

La loi comprend tout un arsenal juridique qui pourra être utilisé en cas de contestation sociale généralisée.  D'autres gilets jaunes ou rouges ... Des syndicats trop contestataires ... Des politiques qui voudraient changer vraiment la société ... Des complotistes en quelque sorte qui verraient dans les lois votées, décrets décidés par une minorité, des mesures prises sous la pression des multinationales et des tenants de la "concurrence libre et non faussée".  Des salariés, des  précaires, des chômeurs,  des indépendants prennent conscience que les actionnaires, les capitalistes veulent toujours plus d'argent.  La colère monte face à la désindustrialisation, aux entreprises liquidées, aux privatisations, aux profits qui explosent, aux services publics exsangues. La crise  du Covid, tout à la fois, masque et exacerbe le ressentiment des Français. Elle met en lumière les défaillances et les scandales du système.  Et le pouvoir, politiques et capitalistes confondus, craint l'après Covid.  

YG

Il y a, dans ce projet de loi 32 articles tous plus dangereux les uns que les autres.

Par exemple :

Article 8 autorisant les employés des sociétés de sécurité privée à dresser des procès-verbaux, autorisant ainsi tous les agents de la sécurité SNCF, RATP, de magasins… à détenir un citoyen simplement en passant un coup de téléphone à un policier.

 

par Samuel Gontier

Jamais il n’aura régné un tel consensus dans notre pays. Présentateurs, éditorialistes, élus du Rassemblement national, des Républicains, de La République en marche, ministre, syndicalistes policiers ou gradé des forces de l’ordre… Tous sont d’accord avec Zemmour : les associations d’extrême gauche qui manipulent les migrants ont tendu un piège à nos pauvres policiers sans défense lundi dernier place de la République. Même le tabassage du producteur Michel Zecler pourrait avoir été téléguidé par des ennemis de la loi Sécurité globale.

La suite sur le blog de S. Gontier ( Télérama)

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2 octobre 2020 5 02 /10 /octobre /2020 16:15
La séance débat sur les violences policières à l’Omnia de Rouen affiche complet. (©Le Bureau – Jour2fête) - 9 janvier à Rouen : un manifestant est matraqué sans retenue et sans raisons par des policiers
La séance débat sur les violences policières à l’Omnia de Rouen affiche complet. (©Le Bureau – Jour2fête) - 9 janvier à Rouen : un manifestant est matraqué sans retenue et sans raisons par des policiers

La séance débat sur les violences policières à l’Omnia de Rouen affiche complet. (©Le Bureau – Jour2fête) - 9 janvier à Rouen : un manifestant est matraqué sans retenue et sans raisons par des policiers

« Les billets se sont vendus très rapidement. » Le programmateur de l’Omnia de Rouen (Seine-Maritime) Jean-Marc Delacruz n’en doutait pas une seconde : la séance-débat autour du documentaire de David Dufresne relatif aux violences policières et intitulé Un pays qui se tient sage allait attirer les foules. 

La manif du 9 janvier 2020

Extraits du reportage sur ce blog

"Et une provocation policière que Paris-Normandie qualifie d'" affrontements avec les forces de l’ordre".  J'ai vu les policiers entrer dans la manif à la hauteur de la rue Jeanne d'Arc.  Sans raison aucune.  Les slogans étaient vigoureux, agressifs à l'égard du gouvernement et du patronat.  Normal quand ça fait 30 ans qu'on vit des contre-réformes contre les salariés, en faveur des plus grandes entreprises.  Les manifestants étaient en colère mais défilaient dans le calme.  C'est au niveau du cortège des gilets jaunes qu'ils sont entrés bottés, casqués, dans leur uniforme de Robocop et ont ciblé quelques manifestants ni casqués, ni cagoulés, ni protégés par un masque.  Ils ont matraqué sans retenue puis ils ont envoyé des gaz lacrymogènes ...

Le sang froid des manifestants a permis que tout rentre dans l'ordre.  la provocation a fait long feu.  Le prétexte donné a posteriori : un tag ... Et pour un tag allégué par la police, deux blessés et une garde à vue.  Il y a longtemps que les forces de police ne sont plus des gardiens de la paix mais les forces de l'ordre dominant.  Mais qui a donné l'ordre ?" : http://www.actioncommuniste.fr/2020/01/greve-du-9-janvier-des-dizaines-de-milliers-de-manifestants-en-seine-maritime-determines-vigilants-revoltes.html

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5 juin 2020 5 05 /06 /juin /2020 14:50
Des esclaves en fuite à bord du «USS Vermont», en 1862. Photo The Granger Collection. Rue des Archives

Des esclaves en fuite à bord du «USS Vermont», en 1862. Photo The Granger Collection. Rue des Archives

Plus de deux siècles de mensonges sont maintenant révélés. Des histoires bizarres au sujet de la liberté et de la démocratie s’effondrent comme des châteaux de cartes. La mort d’un homme déclenche une avalanche de rage chez ceux qui, pendant des années, décennies et siècles, ont été humiliés, ruinés et exterminés. Cela se produit toujours de cette même façon tout au cours de l’histoire de l’humanité – une simple mort, une simple “dernière goutte”, un incident qui déclenche toute une chaîne d’événements et, soudain, rien n’est plus le même. Plus rien ne peut être le même. Ce qui encore hier semblait inimaginable devient “la nouvelle norme” en une nuit, littéralement.

[...]

La suite ci-dessous :

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3 juin 2020 3 03 /06 /juin /2020 22:52
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27 février 2020 4 27 /02 /février /2020 17:27

Que voulait donc la police ? Pourquoi la préfecture a-t-elle justifié l'intervention ? Quand l'ordre de dispersion a-t-il été donné ?  Après ou avant les coups de matraques ? 

Le motif est plutôt surprenant : "non dispersion après sommation".  Nous étions tout de même environ 30000 le 9 janvier ... Comme si le procureur de la république voulait après coup et après la préfecture, justifier les 24 heures de garde à vue et l'intervention policière.  Rappelons que la manifestation était autorisée, que tout était calme.  J'ai vu les policiers arriver, se précipiter au milieu du défilé et matraquer un manifestant à terre.  Je n'ai pas entendu à  ce moment de sommation ... En outre il est plutôt incohérent d'appeler à "dispersion" au coin d'une rue, au milieu du cortège, en plein déroulé très pacifique d'une manifestation autorisée.  Il faudra que le procureur et les policiers s'expliquent.  A moins qu'il soit d'usage maintenant, quoique contraire à la loi, de matraquer d'abord, d'attendre que les manifestants se laissent matraquer tranquillement, puis d'appeler à dispersion s'ils se défendent.  Auquel cas, ça s'appelle une provocation policière.

https://actu.fr/normandie/rouen_76540/nouveau-rassemblement-soutenir-vianney-arrete-lors-dune-manifestation-rouen_31789213.html

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