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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
9 septembre 2018 7 09 /09 /septembre /2018 14:24

"Les pêcheurs normands dénoncent en outre un deux poids deux mesures pour la taille des flottes, la pêche côté français se pratiquant de manière artisanale sur 300 bateaux d'une quinzaine de mètres en moyenne, alors que les Britanniques exercent une pêche industrielle sur des bâtiments de plus de 30 mètres, dont le plus gros peut surgeler les coquilles à bord.

"La coquille en Normandie, c'est le produit phare, une ressource primordiale, un sujet très sensible", souligne Dimitri Rogoff. Le Brexit, s'il est dur, pourrait mettre un terme au problème. "Normalement, après le 29 mars 2019, ils seront considérés comme un pays tiers et n'auront plus accès à ces zones-là", pointe le pêcheur normand." Huffingtonpost - Extrait

"Pêche traditionnelle contre pêche industrielle

Les pêcheurs normands qui n'ont le droit de pêcher la coquille que du 1er octobre au 15 mai, demandent aux Britanniques, dont la pêche n'est pas réglementée dans le temps, de respecter le même calendrier au large des côtes françaises.[...]

Les pêcheurs normands dénoncent en outre un deux poids deux mesures pour la taille des flottes, la pêche côté français se pratiquant de manière artisanale sur 300 bateaux d'une quinzaine de mètres en moyenne, alors que les Britanniques exercent une pêche industrielle sur des bâtiments de plus de 30 mètres, dont le plus gros peut surgeler les coquilles à bord."  France Inter - Extraits

 

A cela se mêle la définition des zônes de pêche dans l'UE.  Il n'existe plus de zône exclusive nationale mais, de fait, une ZEE européenne qui se compose des ZEE nationales.  Ce qui explique que les pêcheurs anglais peuvent se prévaloir de leur juridiction nationale pour pêcher en dehors du calendrier français, et revendiquer les règles européennes pour pêcher dans la ZEE de la France qui appartient à la ZEE de l'UE.

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9 septembre 2018 7 09 /09 /septembre /2018 13:04

« Le numérique est utilisé dans une logique de dégradation du service public ! », estime Jacques Maréchal.  Photo Pierre HECKLER

« La gare est à nous ! Rien n’est à eux ! » Le slogan, scandé par Jacques Maréchal, secrétaire départemental du Parti communiste français, au moment de pénétrer dans le hall de la gare, résume le ton du rassemblement initié hier par la CGT cheminots et le PCF, à Hayange. Il y a de la défiance dans l’air.

L’objet de cette mobilisation : la disparition de l’accueil humain au guichet. En clair, fini les renseignements donnés de vive voix. Il faudra désormais se familiariser avec un guichet automatique. L’employée, partie à la retraite, ne sera pas remplacée.

« On a vu ce que ça a donné à Sierck, déplore Christophe Achoub, secrétaire général CGT cheminots Thionville. Sans personnel, les anciens sont perdus. Plus moyen d’avoir un conseil, un renseignement. Sauf que l’usager, lui, paye cher son billet. Pour un service qui se dégrade. »

La suite sur le site du Républicain Lorrain ici :https://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-thionville-hayange/2018/09/01/il-n-y-a-plus-d-humain-au-guichet-de-la-gare

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9 septembre 2018 7 09 /09 /septembre /2018 10:10

Par Jacques Pezet

 

Check News a traduit pour vous plusieurs extraits d'interviews et de discours, où Sahra Wagenknecht expose sa vision d'une politique d'immigration en Allemagne.

[...]

Pour un respect du droit d’asile, dont il faut combattre les causes, mais critique d’une immigration de travailleurs étrangers

On peut résumer ses positions ainsi. Sahra Wagenknecht défend le droit d’asile dans sa forme actuelle et s’est opposée à son durcissement. Elle estime cependant que pour régler la crise des réfugiés, il ne suffit pas d’ouvrir les frontières du pays, mais de traiter les causes, qui justifient que des personnes quittent leur pays en guerre. Ainsi elle est contre la vente d’armes à des pays étrangers, notamment la Turquie ou l’Arabie Saoudite.

En ce qui concerne les immigrés, qui ne relèvent pas du droit d’asile, elle estime qu’une position d’ouverture totale des frontières n’est pas une position de gauche, car l’immigration de main-d’œuvre étrangère augmente la concurrence entre les travailleurs allemands et immigrés et tire, selon elle, les salaires vers le bas. Elle y voit une politique souhaitée par le patronat pour baisser le coût de la main-d’œuvre.

Aussi Sahra Wagenknecht considère que cette main-d’œuvre supplémentaire pour l’Allemagne, notamment les travailleurs qualifiés, est un manque à gagner pour les pays d’origine de ces immigrés. Elle défend la mise en place de «limites à la libre circulation des marchandises» pour que ces pays en voie de développement ne soient pas abusés par les pays industrialisés.

 

Elle commence ce discours par se féliciter des résultats de Die Linke en progrès lors des élections fédérales du Bundestag, puis insiste sur le fait que Die Linke doit capter l’électorat ouvrier, qui s’est éloigné du parti dans des zones sinistrées, telles que le bassin ouvrier de la Ruhr ou les Länder de l’Allemagne de l’Est. Les propos traduits ici, font suite à un passage, où elle explique qu’elle est fière que son parti s’oppose à la livraison d’armes aux pays étrangers.

«Chers camarades, nous sommes également d’accord pour dire que les guerres sont une cause majeure des mouvements de migration mondiaux. Et nous convenons que les personnes persécutées doivent se voir accorder l’asile. Je suis fier que le groupe parlementaire au Bundestag ait voté contre tout durcissement de la loi sur l’asile et qu’il continuera à le faire. Je pense que cela montre où nous en sommes dans ce dossier.

Et nous sommes également d’accord sur le fait que les réfugiés de guerre doivent être aidés. Il n’y a personne dans Die Linke qui s’interroge à ce sujet. Et je ne pense pas qu’il soit élégant de toujours prétendre que c’est différent. Non, ce n’est pas différent.

Ce dont nous discutons, c’est de savoir si un monde sans frontières dans des conditions capitalistes peut vraiment être une revendication de gauche. Même là, il y a quelque chose qui n’est pas controversé. Nous défendons le droit des pays pauvres de défendre et de protéger leurs marchés, leurs économies, avec des tarifs douaniers contre nos exportations agricoles. Mais cela signifie aussi fixer des limites à la libre circulation des marchandises. Nous exigeons un contrôle des capitaux pour empêcher les spéculateurs financiers de décider des devises, des taux d’intérêt et du sort d’économies entières. C’est pourquoi nous voulons bien entendu fixer des limites à la libre circulation des capitaux.

Oui, beaucoup d’entre nous sont probablement d’avis qu’il est irresponsable d’éloigner les pays pauvres de leurs spécialistes qualifiés parce que la pauvreté et la misère sur le terrain ne font qu’augmenter. Oui, nous discutons de la question de savoir s’il devrait y avoir des limites pour la migration de main-d’œuvre et, si tel est le cas, quelles sont-elles. Mais pourquoi ne pouvons-nous pas le faire objectivement, sans diffamation ?

Le politicien de gauche Bernie Sanders a également une opinion très tranchante à ce sujet. Je cite Bernie Sanders : «Ouvrir les frontières. Non. C’est une suggestion des frères Koch.» Ce sont de grands industriels avec 40 milliards d’actifs. Je cite Bernie Sanders : «Ce que la droite aime dans ce pays, c’est une politique d’ouverture des frontières. Amenez beaucoup de gens qui travaillent pour deux ou trois dollars de l’heure. Ce serait formidable pour eux. Je n’y crois pas. Je crois que nous devons travailler avec le reste des pays industriels pour lutter contre la pauvreté dans le monde. Mais nous ne pouvons pas le faire en appauvrissant la population de ce pays.» Voilà ce que dit Bernie Sanders. Et quand Jeremy Corbyn parle sur le sujet, ça sonne pareil. Vous n’avez pas à partager cette opinion, mais Bernie Sanders et Jeremy Corbyn ne sont en aucun cas des gens qui courent après la droite et adoptent leurs arguments. Qu’est-ce que c’est que cette non-culture du débat!

Je ne m’attends pas à ce que tout le monde soit d’accord avec moi non plus. Bien sûr que non. Mais ce que j’attends, c’est une discussion solidaire. Et si moi et d’autres camarades de mes propres rangs sommes accusés de nationalisme, de racisme et de proximité avec l’AfD, ou si l’on suppose que nous cédons à l’ère du temps droitiste, alors c’est le contraire d’un débat solidaire !»

Interview avec la Frankfurter Rundschau le 11 août 2018  [...]

La suite et l'intégralité de l'article ici : http://www.liberation.fr/checknews/2018/09/04/que-dit-exactement-sahra-wagenknecht-sur-l-immigration_1676492

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9 septembre 2018 7 09 /09 /septembre /2018 10:04

Le rédacteur en chef du mensuel Ruptures Pierre Levy décrypte pour RT France l'émergence du mouvement Aufstehen. Qu'implique-t-il pour la politique allemande et pour l'Europe?

Remettre le social au cœur du débat politique ; montrer les dangers d’une immigration de masse voulue par les grandes entreprises pour faire pression sur le prix du travail ; pointer la nocivité des orientations impulsées par l’Union européenne : tels sont quelques uns des thèmes qu’entend promouvoir le mouvement Aufstehen («debout» ou «se lever»), porté officiellement sur les fonds baptismaux le 4 septembre, et qui pourrait peut-être bouleverser le paysage politique allemand.

L’initiative était en gestation depuis plusieurs mois, notamment à travers un site internet qui fut rapidement couronné de succès. Elle en revient notamment à la dirigeante du groupe parlementaire de Die Linke («La Gauche»), Sahra Wagenknecht, quelque peu en délicatesse avec l’appareil de son propre parti. Lors du dernier congrès de cette formation, cette dernière avait été copieusement huée par la majorité des cadres du parti, dont elle est pourtant la figure la plus populaire auprès du public : elle fut (et reste) accusée de tenir un discours «populiste», voire d’imiter le parti Alternative pour l’Allemagne (AfD, souvent étiqueté extrême droite). Sahra Wagenknecht et ses amis s’en défendent, et précisent au contraire qu’il faut renouer avec les couches populaires, manifestement délaissées par les partis traditionnels (y compris Die Linke) afin de récupérer des électeurs en déshérence, souvent séduits par l’AfD, tout particulièrement dans l’est du pays.[...]

Lire la suite ici sur le site de RT  : https://francais.rt.com/opinions/53772-quel-avenir-pour-aufstehen

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8 septembre 2018 6 08 /09 /septembre /2018 14:53

La pension à points est une tendance européenne. C’est une recette que les patrons et gouvernements européens veulent généraliser. En effet, pour eux, c’est tout bénef d’avoir un système qui fait automatiquement travailler plus longtemps pour moins de pension. Tour d’horizon.

Espagne

Manifestation pour les pensions en Espagne. (Photo Jorge Lizana / Fotomovimiento)

Depuis l’automne 2017, des dizaines de milliers de « pensionistas » descendent régulièrement dans les rues de plus de 70 villes de toute l’Espagne. Les deux plus grands syndicats aussi ont organisé de grandes actions dans tout le pays, notamment lors du 1er Mai.

Ils réclament le retrait d'un ensemble de réformes antisociales prises il y a plusieurs années et dont les effets se font sentir pleinement aujourd'hui. Notamment une réforme proche du système à points, qui a introduit ce que le gouvernement appelle un « facteur de soutenabilité ». Concrètement, le pouvoir d'achat des pensions baisse en fonction de l’état de l’économie, du budget, et de l’espérance de vie.

France

La prochaine étape, c’est la France. Le président Macron a annoncé fin mai vouloir lancer les travaux pour mettre en place un système de retraites à points.

Cette réforme s’inscrit dans la continuité de la casse des statuts amorcée par le gouvernement, et notamment celui des cheminots, qui a donné lieu à un des plus grands mouvements de lutte sociale en Europe de ces dernières années. C'est cette logique qu'a dénoncée le sénateur du Parti communiste français (PCF) Fabien Gay au Sénat français le 30 mai : « Vous voulez le scalp [du statut] des cheminots, mais en vérité, vous voulez vous attaquer à la retraite. Parce que le statut va avec la retraite et que demain, vous voulez mettre toutes les retraites de ce pays au plus bas niveau. »

Les repoussoirs : la Suède et l’Allemagne

[ ...]

La suite ici : https://ptb.be/articles/pension-points-la-mobilisation-reussit-faire-reculer-le-gouvernement

 

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8 septembre 2018 6 08 /09 /septembre /2018 14:51

On entend parfois dire que « cela ne sert à rien de se mobiliser car le gouvernement n’écoute de toutes façons pas ». Et c’est vrai qu’il préfère écouter les quelques voix de l’élite plutôt que celle des travailleurs. Par contre, il réagit face à la pression de la mobilisation venue d'en bas. Mais pour cela des conditions sont nécessaires.

Laissons parler les faits :

  • Le 28 octobre 2017, le ministre des Pensions Daniel Bacquelaine (MR) déclare : « J’introduirai un projet de loi sur la pension à points avant la fin de l'année. » (Het Belang van Limburg)
  • Le 19 décembre 2017, le jour de la première manifestation pour les pensions, il déclare qu'il introduira un texte au printemps. (La Libre)
  • Le 15 janvier 2018, il déclare dans la presse qu'il introduira un texte en juin.
  • Le 28 avril 2018, il déclare dans La Libre : « Il ne faut pas absolument voter les textes avant la fin de la législature. Il y a d’abord un effort pédagogique à faire. »
  • Le 27 mai dernier, quelques jours après la manifestation du 16 mai, Vincent Van Quickenborne - député libéral flamand et ancien ministre des Pensions - déclare à la télévision : « Mon impression est qu’elle ne viendra plus [la pension à points]. Et le ministre l’a confirmé il y a deux semaines. D’où cela vient-il ? C’est une réforme drastique du système. Il y a hélas des insécurité et des incertitudes. Des gens ont laissé entendre que les pensions pourraient baisser en fonction de la conjoncture économique. (…) Le système à points comme il est présenté va dans la bonne direction. (…) Mais ce n’est apparemment pas encore mûr. Et, pour le dire honnêtement, nous sommes trop proches des élections pour prendre encore une décision sur ce point. »

Traduction : avec la mobilisation sociale, il y a trop de gens qui ont compris que la pension à points est une pension tombola qui - en fonction de la conjoncture économique et de l’espérance de vie - nous fera travailler automatiquement plus longtemps pour moins de pension. Vouloir forcer les choses avant les élections risque nous faire perdre trop de plumes.[...]

La suite ici : https://ptb.be/articles/pension-points-la-mobilisation-reussit-faire-reculer-le-gouvernement

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8 septembre 2018 6 08 /09 /septembre /2018 14:35
 
 
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5 septembre 2018 3 05 /09 /septembre /2018 23:24

 

le 05 septembre 2018

 

 

 

 

 

Chapeau, Jean-Claude !

Le président de la Commission européenne vient de mener avec succès une brillante opération de communication. Ce n’est pas si souvent que Jean-Claude Juncker passe aux journaux télévisés et radiophoniques « grand public ». Non que les patrons de presse, tant dans le service public que sur les chaînes privées, veuillent censurer Bruxelles – au contraire.

Mais, aussi désagréable que soit pour eux le constat, la réalité est rude : évoquer l’Union européenne, c’est à coup sûr risquer une chute brutale de l’audimat, tant la cuisine bruxelloise reste étrangère aux citoyens des différents pays membres.

C’est d’ailleurs regrettable. Le rôle souvent déterminant des décisions, orientations ou consignes de l’UE est largement sous-estimé par les peuples, car traité avec grande discrétion par nombre d’organisations ou de syndicats. Pourtant, il y a peu de politiques nationales qui ne soient impulsées par la machine communautaire. Derniers exemples en France : la déstabilisation du code du travail, tout comme la réforme du rail.[...]

La suite sur le site de Ruptures ici :https://ruptures-presse.fr/actu/juncker-changement-heure-discours/

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1 septembre 2018 6 01 /09 /septembre /2018 22:04

Les pensions de retraite vont être revalorisées de 0,3 % l’année prochaine puis en 2020, mais elles vont diminuer au regard de la hausse des prix.

Image trouvée sur CGT-Dieppe

Les pensions de retraite de base vont, tout comme les allocations familiales et les aides au logement, augmenter de 0,3 % le 1er janvier 2019 et en 2020, a annoncé le Premier ministre, Edouard Philippe, dans un entretien publié le 26 août par Le Journal du dimanche. Mais cette mesure cache une baisse réelle des pensions de retraite par rapport à la hausse des prix, malgré le démenti du ministre de l’Economie et des finances, Bruno Le Maire, lundi au micro de RTL.

Car l’inflation se situe largement au-delà du niveau de revalorisation qui doit être inscrit dans le projet de loi de finances pour l’année prochaine. Les prix à la consommation ont progressé de 2,3 % sur un an en juillet dernier, évalue l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). L’inflation doit cependant ralentir dans les prochains mois. Sur toute l’année, elle doit atteindre 1,8 %, selon l’organisme. [...]

La suite ici :https://www.dossierfamilial.com/retraite/regime-de-base/retraites-combien-allez-vous-perdre-de-pouvoir-d-achat-86649

Et ci-dessous :

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31 août 2018 5 31 /08 /août /2018 13:47

Déjà en 2014, les personnels soignants se plaignaient du manque de personnel en gériatrie.  Photo Humanité.

Le Parisien| 26 août 2018

Ivry. Le personnel de l’hôpital Charles-Foix estime ne plus pouvoir s’occuper correctement des patients, faute de personnel suffisant. DR

Le directeur de l’AP-HP s’est rendu sur place ce jeudi soir, trois jours après l’avis de danger déposé par la CGT.

Une semaine après avoir déposé un avis de danger grave et imminent, le personnel de l’hôpital Charles-Foix est toujours en attente de moyens supplémentaires. Jeudi soir, Martin Hirsch, le directeur de l’AP-HP s’est rendu sur place.

« Il a pu constater que les OSIRIS (les fiches remplies par le personnel pour signaler un événement NDLR) étaient réels. Les collègues ont expliqué la situation et l’impossibilité d’exécuter les soins en raison du manque d’effectifs », a fait savoir la CGT. Le syndicat a demandé une nouvelle fois une trentaine d’infirmiers et une vingtaine d’aides-soignants.

La suite ici :http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/ivry-ale-personnel-de-charles-foix-toujours-en-attente-de-moyens-26-08-2018-7865358.php

Déjà en 2014, les personnels se plaignaient de ne pouvoir venir en aide aux malades dépendants.  Voir ci-dessous.

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