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Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
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Chômage record chez les médecins en Grèce
Repris du « Zeitung vum Letzebuerger Vollek », quotidien communiste luxembourgeois, daté du 3 avril 2018. Traduction ML pour « Solidarité internationale PCF – vivelepcf ». La crise économique et financière capitaliste et les mesures d’austérité du gouvernement de Syriza en Grèce ont aussi lourdement touché les médecins. Dans l’agglomération d’Athènes, 28% des médecins serai
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Bangladesh : solidarité avec les sept dirigeants du PC et du syndicat de la confection emprisonnés.
Communiqué du Parti communiste du Bangladesh, 2 avril 2018, traduction ML pour « Solidarité internationale PCF – vivelepcf ». Sept dirigeants du Parti communiste du Bangladesh (PCB) et du Syndicat des travailleurs de la confection (STC) ont mis en prison dans l’après-midi du 1er avril 2018. Ils se rendaient au Tribunal de première instance de Dacca, après la fin de la période de libert
L'Union européenne entreprend de faciliter les déplacements militaires sur son territoire
Voici une vingtaine de citations illustrant notre état d'esprit, et présentant nos inspirateurs : " L'ennui dans ce monde, c'est que les idiots sont sûrs d'eux et les gens sensés pleins de dout...
Macron chahuté par des manifestants à Rouen : la fin de l'état de grâce ?
Des huées, des sifflets et une foule composite en colère. Pour son premier déplacement en province depuis le début de la grève à la SNCF, le président de la République a été rattrapé par...
De Vincennes à Bruxelles
par Jean LEVY
Chacun ressent au quotidien une détérioration continue de ses conditions de vie.
Par exemple, la population qui doit emprunter un bus en banlieue ou (et) à Paris pour se rendre ou revenir du travail constate une diminution drastique du nombre d'autobus sur sa ligne habituelle.
Le fait est général, aussi bien dans la capitale que dans l'ensemble de la région parisienne, encore plus perceptible dans les lointaines banlieues.
A Vincennes, par exemple, le bus qui m'est familier, le 118 qui relie le Château de Vincennes à Rosny, se fait de plus en plus rare. On attend parfois jusqu'à 20 minutes d'attente en heures creuses. Mais le soir, au retour du boulot, ou le matin en s'y rendant, on doit patienter jusqu'à 15 minutes. Et dans Vincennes, en direction du Château, donc du métro comme du RER A, le bus arrive plein à craquer, les gens sont tassés comme des harengs dès la porte avant. Il arrive même qu'il brûle des arrêts, faute de place !
La suite ici sur le blog "canempechepasnicolas":http://canempechepasnicolas.over-blog.com/-92
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Insécurité, sentiment d’abandon, d’impuissance, d’inefficacité, trafiquants apparemment tout puissants... Dans les assemblées générales de conseils de quartiers, face au trafic de stupéfiant et ses conséquences sur le quotidien, les habitants expriment souvent leur ras le bol. Ils connaissent le travail important réalisé par la Ville, par la police, pour qu’il n’y ait pas de zo
Publié 05/04/2018
Le collectif "Les blouses noires" ( Hôpital psychiatrique Saint-Etienne du Rouvray ) - Photo PNie
Social. Salariés des administrations, hospitaliers, étudiants, dockers, salariés de l’industrie, de la poste, les retraités, les enseignants, ils étaient nombreux hier à venir porter leurs revendications à Emmanuel Macron.
La visite d’Emmanuel Macron n’a pas ravi tout le monde hier. De nombreux corps de métier sont venus manifester devant le CHU contre l’actuel président de la République, certains pour porter leurs revendications, d’autres en soutien avec leurs camarades.
Les plus représentés étaient les étudiants et le personnel hospitalier du centre du Rouvray. Au milieu d’eux, le collectif Blouses noires, tout récemment constitué, est parvenu à discuter avec le chef de cabinet de la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn. « Un syndicaliste et un membre du collectif l’ont rencontré. Ils ont exposé nos revendications », détaille Anaïs Lange, infirmière au centre hospitalier du Rouvray et membres des Blouses noires. « Nous avons demandé 197 postes. C’est le nombre minimum fixé par deux cabinets d’expertises pour un fonctionnement correct des services, soit 56 postes pour le pôle remplacement, 58 postes pour les effectifs cibles et deux postes par unité pour pouvoir faire des activités thérapeutiques avec les patients. Nous avons également demandé une enveloppe pour la création d’une unité pour les adolescents et une UHD ou unité hospitalière pour les détenus. » Le collectif a exigé des réponses à ces revendications lundi, au plus tard. De ces réponses dépend la suite du mouvement.
Les hospitaliers protestaient contre le manque de lit, le manque de personnel, les conditions d’accueil qui se détériorent : « on est en sous-effectif. Cela devient dangereux pour nous et dangereux pour les patients », affirme l’infirmière.
De leur côté, les étudiants, très remontés, ont animé l’assemblée à coup de « Macron, t’es foutu, la jeunesse est dans la rue ». Les jeunes, réunis à l’arrêt du Téor, se sont fait refouler vers le reste de la manifestation : « on s’est pris des coups de matraques dans les genoux », assure Yohann Bis, jeune militant.
Des employés du conseil départemental se sont également mêlés à la manifestation. « Macron a la volonté de supprimer 120 000 postes. Macron casse le Code du travail, les cheminots, le service public », s’agace Christine Boulier, agent du Département et militante CGT. « Pascal Martin est membre du comité Action Publique 2022 (CAP 22), tout comme Frédéric Sanchez. Le Département de Seine-Maritime est un serviteur de la casse du service public. »
Les employés de la Poste sont également venus au-devant du Président : « on a des réformes tous les dix-huit mois avec des suppressions de postes. À terme, l’État veut passer de 9 000 à 4 000 bureaux de poste. Tout est remplacé par des automates. On ne doit faire que du bancaire », se désole Corinne Havel, employée au bureau de poste d’Yvetot.
Les agents de la TCAR, qui lançaient leur grève hier après-midi, ont prôné la « convergence des luttes pour avoir des lendemains meilleurs. La France est devenue une grande entreprise. Il faut préserver les emplois pour nos enfants », soutient Franck Legendre, de UL Rouen, et agent de maîtrise à la TCAR.
Le collectif Vieux Debout, qui s’est formé récemment, est aussi venu soutenir les manifestants : « On en a assez de cette politique de replâtrage. On veut un vrai respect des gens dans leur travail et dans leur fin de vie », résume Alain Quebel, membre du collectif qui représente autant les personnes âgées que leurs soignants.
Brigitte se promène
Brigitte Macron a accompagné son Président de mari à Rouen. Si elle l’a suivi sur la visite protocolaire au CHU, elle a aussi profité de la journée pour visiter l’atelier de Claude Monet. À l’office de tourisme (photo Rouen Normandie Tourisme et Congrès), on a immortalisé et tweeté l’instant. La première dame a aussi été vue au palais de justice (photo F. Vanhove).
Faites de la place !
La venue d’un président de la République nécessite toute une organisation. Une partie du personnel du CHU se stationnant sur ce parking privé qui leur est réservé en ont fait les frais. Quatre voitures ont été délogées pour faire de la place...
Mouvement des dockers
en marge de la visite
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VIDEO. Discussion tendue entre Emmanuel Macron et des soignantes du CHU de Rouen
franceinfo France Télévisions Dialogue difficile entre Emmanuel Macron et des salariées du CHU de Rouen (Seine-Maritime), jeudi 5 avril. Le président de la République était en visite dans un ...
Visite à Rouen : Emmanuel Macron sur une poudrière ?
L'OEIL - Une aide-soignante du CHU de Rouen a profité de la visite d'Emmanuel Macron pour lui reprocher la baisse des moyens des hôpitaux. La venue d'Emmanuel Macron au CHU de Rouen jeudi, dans l...
https://www.lci.fr/politique/visite-a-rouen-emmanuel-macron-sur-une-poudriere-2083781.html
Macron hué à son arrivée au CHU de Rouen
POLITIQUE - Période délicate pour l'exécutif. Alors que le mouvement social des cheminots se durcit, obligeant le Premier ministre Édouard Philippe a reporter un déplacement à l'étranger, et...
" On a besoin de moyens ": au CHU de Rouen, une aide-soignante interpelle Macron
En ce printemps de contestations sociales, des comités d'accueil remontés attendent le président de la République à chacun de ses déplacements: c'était le cas ce jeudi au CHU de Rouen, où E...
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Violences policières à Strasbourg : un pouvoir inquiet tenté par l'extension de la répression !
Cette utilisation de la répression n'est sans doute pas un signe de force. La convergence des luttes montante comme le montre la protestation qui a accompagné le déplacement de Macron à Rouen où l'importante initiative des syndicats, partis, associations à Marseille pour les 14 et 19 avril atteste de l'isolement de plus en plus grand du pouvoir et du rejet de sa politique.
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les Nouvelles du Venezuela Nous sommes tous Venezuela ! Du 06 au 7 mars 2018 s’est tenue à Caracas une journée internationale de solidarité avec le Venezuela. Des délégués de mouvements sociaux, d’organisations de société civile, de partis politiques, intellectuels, artistes, religieux, autres, sont venus de tous les continents et régions du monde. Amérique latine : 116, Amérique du
http://canempechepasnicolas.over-blog.com/2018/04/todos-somos-venezuela.html