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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
28 février 2017 2 28 /02 /février /2017 09:39

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28 février 2017 2 28 /02 /février /2017 09:38

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:50
Image d'archive

Posté par 2ccr le 16 février 2017

 

CouvertureLe 26 janvier 2017, le ministère des Transports a confirmé un plan d’investissement autoroutier de 800 millions d’euros portant sur une cinquantaine d’opérations. Elles s’ajoutent à la vingtaine de chantier déjà annoncés durant l’année 2015 par Emmanuel Macron. Ces grands travaux profiteront-ils à l’emploi et aux utilisateurs des autoroutes ? Ou en premier lieu aux sociétés autoroutières, grandes bénéficiaires des privatisations de 2005 ? L’État se révèle en tous cas incapable de défendre les intérêts des citoyens, qui financent d’un côté les travaux comme contribuables, et assurent les dividendes exorbitants des actionnaires de Vinci ou d’Eiffage lorsqu’ils passent à la caisse du péage.

À défaut d’enrayer l’augmentation régulière des tarifs des péages, l’État semble apprécier d’investir dans les travaux autoroutiers. Après une vingtaine de chantiers annoncés en 2015, le gouvernement vient d’enclencher, ce 26 janvier, un nouveau plan d’investissement de 800 millions d’euros portant sur une cinquantaine d’opérations supplémentaires. La « création » de nombreux emplois est mise en avant. Cette annonce intervient quelques jours à peine avant l’entrée en vigueur, le 1er février, d’une nouvelle hausse du prix des péages.

Ces deux événements se réaliseront-ils au double bénéfice des sociétés de concession autoroutière – trois géants du BTP – qui encaisseront d’un côté les bénéfices générés par le trafic, tout en attribuant les chantiers à leurs propres filiales de travaux ? Tout indique que les recettes tirées des autoroutes constituent une rente particulièrement rémunératrice pour les sociétés autoroutières… et pour leurs actionnaires.

En 2005, la privatisation d’une rente publique

[...]

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:35
Sur le site d'Initiative communiste

Les survivants – militants anti fascistes victimes du du 2 mai 2014 à , quand les nationalistes – contrôlés par la junte de – ont brulés vivants des dizaines de personnes assiégées dans la maison des syndicats de la ville, croupissent en prison depuis plus de deux ans et demis.

Un « tribunal », sans examiné aucun des éléments de l’affaire, ne cesse de prolonger les détentions provisoires. C’est ce qui s’est à nouveau passé le lundi 13 février 2017, quand le tribunal a reconduit sa décision habituelle sans autre forme de procès.

Il convient d’ajouter que les investigations menées jusqu’à présent ne concernent pas réellement la partie principale du massacre, lorsque des dizaines de militants antifascistes, syndicalistes et jeunes communistes, ont été assassinés et brulés vifs dans l’incendie de la Maison des Syndicats d’Odessa, mais des événements se déroulant auparavant.

Il faut surtout souligner que dans le procès du massacre du 2 mai, s’il n’y a aucun des militants antifascistes d’Antimaidan qui sont directement suspectés de meurtres, ce n’est pas le cas des militants fascistes et nazis de Maidan, mais ces derniers eux ne sont pas en prison. Au contraire, ils sont libres et sont même armés par la junte d’oligarques mise en place à Kiev avec le soutien diplomatique, financier et militaire de l’Axe Union Européenne / Etats Unis.

Odessa, nous n’oublions pas !

Pour l’ex député du conseil régional d’Odessa, Alexey Albu, qui a été témoin direct de ce qui s’est passé le 2 mai 2014 place Koulikovo à Odessa :

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:21
La CGT sauve l'honneur du mouvement social et politique
La nécessaire réindustrialisation de la France, absente de la campagne présidentielle
mercredi 22 février 2017
Par
Co-animateur du Réseau Éducation Populaire (REP). Co-auteur de : Néolibéralisme et crise de la dette ; Contre les prédateurs de la santé ; Retraites, l'alternative cachée ; Laïcité: plus de liberté pour tous ; Penser la République sociale pour le 21e siècle ; Pour en finir avec le "trou de la Sécu", repenser la protection sociale du 21e siècle.
 

Alors que l’on parle de plus en plus de « révolution citoyenne », on peut se demander si l’urgence n’est pas d’en définir les conditions exhaustives sans lesquelles ce mot d’ordre ne serait qu’incantation. Respublica a donc décidé de dialoguer avec ses lecteurs sur l’ensemble de ces conditions. La réindustrialisation de la France en est un indispensable parmi d’autres.

En effet, la réindustrialisation de la France avec transition énergétique et écologique (TEE) et maintien à haut niveau du « développement humain durable » est un passage obligé de toute politique alternative au mouvement réformateur néolibéral. Mais les discours de la campagne électorale font tout pour esquiver cette question. Seule la Confédération CGT en fait une urgence (ce que nous développerons en fin d’article).

Histoire succincte d’une désindustrialisation de la France à marche forcée

Fin des années 60-début des années 70, les taux de profit dans l’économie réelle et dans l’industrie diminuent. L’oligarchie capitaliste française choisit la voie de la désindustrialisation, d’un renforcement des services et de se jeter corps et âme dans la spéculation financière internationale. La charnière Pompidou-Giscard d’Estaing en est l’expression politique initiale. La transformation du groupe sidérurgique de Wendel en société financière internationale en est le symbole.

Tous les présidents de la République qui suivent, de François Mitterrand à François Hollande, poursuivent comme un seul homme la même politique de désindustrialisation forcenée. Aujourd’hui l’emploi industriel français représente 18 % des emplois pour 30 % en Allemagne, la part de l’industrie dans le PIB est tombée à 10 % et la part de l’industrie achetée hors de France est de plus 60 %.

Même la majorité de la gauche de la gauche de gouvernement et même une partie des gauchistes s’est laissée convaincre par le mouvement réformateur néolibéral, en développant les idées mortifères de la fin du travail, des robots qu’il faudrait taxer pour éviter le développement scientifique et économique, que toute action dans la production est vaine et qu’il faut remplacer tout cela par le revenu universel, etc. Ce sont les mêmes qui proposent de se tirer une balle dans le pied pour courir plus vite en développant des pensées et des pratiques communautaristes qui divisent les couches populaires et le peuple tout entier. L’oligarchie capitaliste française exulte de joie face à de tels soutiens indirects !

Ceux qui ne sont pas encore touchés par l’amnésie historique de la période 81-82 peuvent se rappeler l’épisode grotesque de cette période, à savoir les magnétoscopes et téléviseurs nouvelle génération importés stockés plusieurs mois à Poitiers pour retarder le déficit de la balance commerciale.

Que s’est-il passé ? Des mesures de gauche keynésienne sont appliquées par application de la dynamique du Programme commun. La relance keynésienne française crée de l’emploi… mais à l’étranger, car l’oligarchie française a détruit les filières industrielles qui auraient pu fabriquer en France les produits désirés par le peuple.  Suit une succession de dévaluations qui n’arrive pas à relancer la machine France. Cela devient un jeu d’enfant pour le néolibéral Delors de convaincre Mitterrand et Mauroy d’engager le tournant libéral de 1983, qui est le point de départ en France de la politique du mouvement réformateur néolibéral au plus haut niveau de l’État.

Aujourd’hui avec la monnaie unique, une dévaluation de la monnaie n’étant plus possible, l’oligarchie capitaliste, ne peut résoudre ce dilemme que par la « dévaluation interne », c’est-à-dire la casse des salaires, directs et socialisés, c’est-à-dire l’intensification des politiques d’austérité.

Déjà, en 2006, l’intensité de la dépense intérieure en recherche-développement (DIRD en pourcentage du PIB) pour la France était de 2,16  %, contre 2,68 pour les États-Unis, 3,13 pour le Japon, 2,49 pour l’Allemagne, 2,85 %pour la Corée, 2,56 pour Taïwan, 3,95 pour la Suède, et même inférieur à la moyenne de l’OCDE 2,26 !

Le mandat du solférinien Hollande se termine avec un déficit de la balance commerciale 2016 de 48,1 milliards contre 45,7 milliards en 2015 et on prévoit même un déficit de la balance commerciale 2017 de 48,9 milliards, sans doute sous-estimée. Les exportations françaises reculent de 0,6  % en un an. Pire, l’excédent des services diminue rapidement et n’est plus que de 0,4 milliards d’euros contre 8,8 un an plus tôt. Les services devaient se substituer à l’industrie, ils l’accompagnent dans sa chute.

Tout cela montre que la compétitivité de l’économie française diminue malgré les dizaines de milliards de cadeaux solfériniens au patronat via le CICE et le pacte dit de responsabilité. Pas étonnant quand on sait maintenant, et c’était prévisible, que la grande majorité de cet argent s’est retrouvée dans les dividendes pour les actionnaires ! En fait, le mouvement réformateur néolibéral, qu’il soit aidé par la droite néolibérale ou par les solfériniens tout aussi néolibéraux, a plombé la France par une insuffisance de compétitivité-coût vis-à-vis de son flanc sud et par une insuffisance de compétitivité hors coût vis-à-vis de son flanc est (l’Allemagne). Et c’est bien là que le bât blesse : la désindustrialisation de la France l’a empêchée de faire sa montée en gamme. Pire encore, la politique française autour de « grands groupes » n’a pas axé sa politique sur les filières industrielles ou sur des écosystèmes productifs. Il était plus facile de les financiariser par le haut avec la connivence de la direction politique française.

LA CGT sauve l’honneur du mouvement social et politique !

[...]

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:09

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:08

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 15:00

Ces institutions ont permis de marginaliser les forces communistes et de promouvoir les partis politiques de droite ou de "gauche" qui soutiennent les forces du Capital tant dans l'Union européenne qu'en France.  Elles confient l'arme nucléaire à un seul ( ou une seule) : le ou la présidente de la République qui est également "chef des armées".  François Mitterrand avait combattu ces institutions avant d'en revêtir l'habit.  Les socialistes au pouvoir ne les ont jamais remis en question.  Pis, ils les ont renforcées en alignant les élections législatives sur les élections présidentielles et en renforçant ainsi davantage le pouvoir présidentiel.  Avec la complicité du PCF, dirigé par Robert Hue, qui appela à l'abstention ( active ...) lors du référendum sur le quinquennat en 2000 ( voir ici : http://www.humanite.fr/node/229426 ).

La Vème République est ainsi faite pour Marine Le Pen et pour son parti qui préconisent un pouvoir présidentiel fort.  Et ceux qui ont voté la Vème constitution, ou qui l'ont utilisée (49-3), prolongée et renforcée, crient maintenant "au loup", "à l'unité", pour "faire barrage à l'extrême-droite". Y.G.

Le marronnier de Marine Le Pen
, par  André Bellon

sur Le canard républicain

« Les institutions de la Ve République sont tout à fait aptes à exprimer la démocratie pour le peuple français » estime Marine Le Pen, interrogée à l’Assemblée nationale par la presse parlementaire ce mercredi 18 février 2015. Pour elle, l’idée de VIe République est un « marronnier », c’est-à-dire un de ces sujets sans importance qui reviennent périodiquement dans le débat public pour distraire l’attention des électeurs. La présidente du Front national n’y voit rien à critiquer, tout au plus trouve-t-elle que l’Assemblée nationale représente mal son parti qui mériterait, selon elle, d’y disposer de « 150 députés »1. Elle ne se montre pas non plus choquée « en soi » par l’usage de l’article 49-3 de la Constitution auquel elle n’exclue pas d’avoir elle-même recours si elle accède au pouvoir. Avec des positions telles que celles-ci, le Front national révèle sa nature autoritaire ; il confirme que ses discours sur la souveraineté du peuple ne sont que des outils tactiques, des arguments de tribune sans conséquence.

En considérant que nos institutions ne posent aucun problème politique, Mme Le Pen confond la République avec le bonapartisme. Elle nie surtout la nécessité de refonder notre démocratie et l’impératif de reconstituer le peuple en tant que corps souverain. Son attitude est cohérente avec la défense des intérêts du Front national qui, comme tous les partis actuels, défend son existence et son positionnement dans le jeu politique.

L’élection d’une Constituante au suffrage universel en France est devenue un enjeu central pour l’avenir de notre nation. Elle seule permet de sortir du jeu délétère des partis et des manœuvres électorales. Elle seule permet de dépasser l’alternative mortifère entre les partis conformes et traditionnels et un Front national qui se prétend différent tout en acceptant le cadre qui étouffe la démocratie. Elle seule permet de redonner au peuple son rôle souverain.

Article également publié par l’Association pour une Constituante :
http://www.pouruneconstituante.fr/
et par Agoravox.

1 - Marine Le Pen a une conception très majoritaire du scrutin à la proportionnelle.  Elle propose l'élection des députés à la proportionnelle, certes, mais avec une majoration de 30% pour le parti arrivé en tête.

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 14:08

Le point de vue de la CGT

Une rencontre impromptue avec la CGT
« Si on avait su, on n’aurait pas voté François Hollande en 2012 », a lancé l’un des membres de la petite délégation de syndicalistes qui, pancarte sur l’épaule pour réclamer l’embauche de davantage de salariés en CDI, n’avait pas que des amabilités à formuler à l’égard du président de la République. « Avec votre accord de compétitivité, nous avons perdu 21 jours de RTT par an depuis 2013 », enchaînait un autre, tandis que le leader CGT Pascal Le Manach disait à François Hollande tout le bien qu’il pense de la loi Travail et de l’usage qui a été fait du 49-3. Pour les manifestants, qui ont provoqué l’arrêt du cortège au beau milieu du site, il s’agissait aussi de dénoncer le recours « massif » à la main d’œuvre intérimaire sur les chaînes d’assemblage de l’usine. Selon les comptes présentés sur un tract, le site aurait perdu en trois ans 441 emplois en CDI, sur 3 684 à la fin mars 2013, tandis que le nombre d’intérimaires serait passé dans le même temps de 314 à 1 662. Une situation qui place les travailleurs, affirme la centrale syndicale, dans une grande précarité. « Les 200 embauches, si elles sont les bienvenues, ne compenseront pas les départs et surtout, elles ne régleront pas le problème des intérimaires employés sur les lignes d’assemblage », estiment les syndicalistes. ( Paris-Normandie )

Tract distribué par le syndicat CGT de Renault-Cléon à l'occasion de la venue de F. Hollande

Félicitations réciproques entre la CFDT et François Hollande

Un délégué CFDT lui a remis un tract plutôt favorable aux accords de compétitivité signés avec certains partenaires sociaux. « Merci de vous être engagés», lui a lancé François Hollande.

Manifestation de la CGT après le refus du chef de l'Etat de les recevoir

Mais le ton a très vite changé avec l’apparition de syndicalistes de la CGT qui avaient demandé a être reçus par le chef de l’État. La demande ayant été refusée, le syndicat a décidé de manifester durant la visite présidentielle.

"On a pu s’entretenir avec lui de manière un peu forcée. On a voulu lui dire, qu’il ne se passe pas que ça à Cléon. Nous avons aussi 1 720 intérimaires et nous avons perdu 451 CDI," précise à Normandie-actu, William Audoux, délégué CGT à Renault Cléon.
Source : Normandie actu
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26 février 2017 7 26 /02 /février /2017 22:31
60 milliards d'économies, 120.000 fonctionnaires en moins... Macron détaille son programme économique

Le candidat d'En Marche propose des baisses de dépense mais critique l'austérité tout en prônant une croissance "juste et soutenable".

23/02/2017 21:45
Philippe Wojazer / Reuters
60 milliards d'économies, 120.000 fonctionnaires en moins... Macron détaille son programme économique

POLITIQUE - L'ancien ministre de l'Economie Emmanuel Macron a dévoilé ce jeudi 23 février dans Les Échos le cadrage économique de son projet pour la présidentielle, promettant 60 milliards d'économies dans les dépenses publiques et 50 milliards d'euros d'investissement public pendant le quinquennat.

Tout en critiquant l'austérité en Europe, "une politique économique inadaptée" et "à contretemps", le candidat d'En Marche! se dit pour "le respect de nos engagements européens en restant dans l'épure des 3% de déficit" et déclare que le "poids de la dépense publique devra être progressivement ramené vers la moyenne de la zone euro" (57% du PIB en 2015, contre 48,5% en zone euro en moyenne).

L'ex-ministre prévoit donc "une baisse de 3 points de la part des dépenses dans la richesse nationale", soit 60 milliards d'économies sur le quinquennat, un objectif en ligne avec celui que s'était fixé François Hollande en 2012.[...]

La suite ci-dessous

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