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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
25 février 2017 6 25 /02 /février /2017 11:10
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25 février 2017 6 25 /02 /février /2017 10:20

Le site dont je suis un administrateur (legrandsoir.info) est sévèrement épinglé dans votre Décodex

(http://www.hostingpics.net/viewer.php?id=274751Capturemp.jpg ) : « Le Grand Soir. Un site peu fiable qui relaie les théories conspirationnistes .
Ce site diffuse régulièrement des fausses informations ou des articles trompeurs. Restez vigilants ou cherchez d’autres sources plus fiables. Si possible, remontez à l’origine de l’information ».

Pourtant, nous satisfaisons à 100% (parfois plus, en toute modestie) aux 6 critères que vous avez choisis pour être bien notés.

1- Le site possède-t-il une page « à propos » ou « qui sommes-nous ? »
Réponse. Bien sûr. Et grâce à Google, à Wikipédia, à Youtube et à Amazon-Livres, nos lecteurs en savent même beaucoup plus sur nous que les vôtres sur vous.

2 - Avons-nous affaire à un site parodique (style Le Gorafi) ?
Réponse. Non, nous sommes sérieux, voire rébarbatifs (sauf notre collaborateur Théophraste R. qui louche vers Le Gorafi, parfois).

3- Qui se cache derrière le site en question (là, on revient sur le droit à l’anonymat) ?
Réponse. Seigneur ! Personne ne se cache derrière le site. Nos noms, photos, CV sont sur Internet.

4- Quelles sont les sources du site et des articles ?
Réponse. Nos sources sont variées (1 900 rédacteurs du monde entier, 23 000 articles), fiables et toujours citées. Tous nos articles et les noms des auteurs sont en archives libres. Il nous arrive d’écrire nous-mêmes des articles (avec parcimonie) et croyez bien qu’on les déchirerait sans même les relire si on avait l’impression que Le Monde pourrait les publier.

Nous avons aussi publié 80 000 commentaires de lecteurs, commentaires « modérés » (pour éviter les injures, propos racistes, trolls…), mais jamais en fonction des idées exprimées. Par exemple, un lecteur sera publié, même s’il écrit : « Je suis abonné au Monde, journal de référence. » C’est dire ! Bon, s’il l’écrit dix fois par jour, c’est un troll, repéré à son IP. Ou alors on demande à Pierre Bergé, Matthieu Pigasse et Xavier Niel d’arrêter de jouer à ça. Est-ce qu’ils n’ont rien de mieux à faire ?

5- L’information est-elle présentée de manière équilibrée ?
Réponse. Mieux : Notre site prétend présenter l’information de manière authentique, vérifiée, croisée. Honnête, quoi ! Oui, je sais, cela surprend, on a du mal à y croire, sur le coup. Mieux : si vous publiez cette lettre dans Le Monde, on publiera en retour votre réponse. Facile : on n’est pas sujet au vertige, virtuoses de l’équilibre sur le fil d’acier de la déontologie.

6- Est-ce que de fausses informations ont déjà été publiées ?
Réponse. Non, sauf peut-être si un jour de fatigue ou d’ivresse (les mojitos ! On ne boit que ça, dès l’aube) nous avons bafouillé que Le Monde est un journal objectif (sic). Mais nos lecteurs auront rectifié d’eux-mêmes.

Donc, voyez, on a tout bon. Envoyez-nous d’urgence la bonne étoile j le cercle avec la croix de la bonne couleur pour le revers de notre col Mao.

Ou alors, petit conseil (vous êtes jeunes) ajoutez un 7 ème critère :
7- Le site a-t-il commencé à dire du mal du président états-unien avant l’élection de Trump, a-t-il dénoncé Robert Ménard alors que toute la presse l’encensait, a-t-il commencé à dire il y a 20 ans sur Cuba ce que Obama, Ségolène Royal et Hollande ont dit l’an dernier. Pas vous, je sais, vous continuez comme avant à faire croire que les Cubains appelaient Fidel Castro « le lider Maximo ». Pour évoluer, vous attendrez que Pierre Bergé, Matthieu Pigasse et Xavier Niel aient acheté l’île.

Notre réponse « oui » à cette 7ème question mériterait alors (d’accord, d’accord) un double cercle rouge ou une dénonciation au Ministère de l’Intérieur pour une salutaire mesure de fermeture de site anti-américain primaire, conspirationniste, confusionniste, stalinien (ajoutez : antisémite, si vous ne reculez devant rien).

A part ça, est-ce qu’on pourrait avoir la liste complète de vos collaborateurs qui se cachent (sic) derrière le Décodex pour cette saine et sainte entreprise d’épuration ? Et vos sources : la liste des sites qui vous informent, car vous n’avez pas (encore) lu nos 23 000 articles, si ?

Merci de me répondre et d’entretenir ainsi la flamme vacillante de l’information pluraliste.

Maxime VIVAS

Ecrivain, journaliste, administrateur du site Le Grand Soir.

PS. « Pour monter au mât, il vaut mieux avoir le derrière propre ».
Dans un excellent article (« Décodex : le vieux Monde se meurt ») très documenté et sourcé, publié sur le site Investig’Action de notre ami Michel Collon, Grégoire Lalieu montre ce que vaut le Décodex du Monde qui a classé Investig’Action dans la rubrique « rouge » (bienvenue au club).

Mesurons, grâce à Grégoire Lalieu, le sérieux des censeurs :
« La deuxième pièce justificative du Décodex est particulièrement éloquente. Il s’agit d’un article de Libération, daté du 9 février 2012 (« Des réseaux français au service de la Syrie ») qui cite brièvement Michel Collon. Il aurait participé à un voyage de presse en Syrie aux côtés de sympathisants du Front National. Le hic ? Collon n’a jamais fait partie de cette expédition. Il n’a même jamais mis un pied en Syrie. Ainsi, le Décodex, spécialiste du fact-cheking qui invite à « vérifier une information avant de la partager », relaie un article erroné pour justifier la mise au ban d’Investig’Action. Les braconniers ne font pas les meilleurs garde-chasses !
http://www.investigaction.net/decodex-le-vieux-monde-se-meurt/

URL de cet article 31540

  

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 18:06
En Picardie, François Ruffin part à la reconquête de l’électorat populaire
18/02/2017 | 14h32 sur Les Inrocks
François Ruffin (à droite) le 17 février à Flixecourt (Somme) pour le lancement de sa campagne (photo MD)

Le réalisateur de “Merci Patron!”, candidat unique de la gauche hors-PS aux législatives dans la 1ère circonscription de la Somme, a lancé sa campagne ce 17 février, avec pour objectif de reconquérir le vote populaire, tombé soit dans l’abstention, soit dans le vote FN.

Quelque chose a changé chez François Ruffin. Ce n’est pas son verbe, toujours à mi-chemin entre la citation érudite et l’argot picard – un mélange qui fait le charme de son journal satirique, Fakir. Ni sa dégaine de militant décroissant, une paire de baskets invariablement aux pieds, en cas de match de foot à disputer. C’est son t-shirt. On ne le connaissait plus qu’avec une déclaration d’amour à Bernard Arnault inscrite au milieu d’un t-shirt blanc, depuis la sortie de Merci Patron!, son film-documentaire qui prenait pour cible le patron de LVMH.

Désormais, il l’a remisé pour un t-shirt à l’effigie de Lafleur, devenu le symbole de sa campagne pour les élections législatives de 2017, dans la 1ère circonscription de la Somme. “Quelle fleur ?”, s’enquerront les profanes de la culture picarde. Lafleur : la marionnette populaire tirée d’un personnage de la révolution, “dont la spécialité est de botter le cul aux notables!”, explique François Ruffin devant la salle comble du Chiffon rouge, à Flixecourt (Somme), à une vingtaine de kilomètres d’Amiens, ce 17 février. “Et si je suis élu, je botterai le cul aux notables de l’Assemblée nationale!”, ajoute-t-il face aux quelques 600 personnes venues le soutenir. Le lieu est symbolique : c’est le “point de départ de la fortune de Bernard Arnault”, explique Ruffin. Il sera opposé dans cette circonscription à la candidate du PS Pascale Boistard, secrétaire d’État chargée des personnes âgées. [...]

Lire la suite ci-dessous

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 17:43
Vu sur le tract de Communistes

Vu sur le tract de Communistes

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 15:17

Bonne émission, bon débat de JL Mélenchon ce jeudi 23 février. 

Honteux le parallèle appuyé avec le programme de M. Lepen commis par le journaliste F. Lenglet : bien sûr que le FN a opéré un tournant social purement électoraliste.  Cela n'a pas empêché l'hommage appuyé de M Lepen à M Thatcher et à sa politique à la mort de cette dernière. 

Quelques questions que j'aurais aimé voir approfondies :

Développer sur les critères sociaux, environnementaux des barrières douanières à mettre en place et en même temps on attend des exemples pour des coopérations équitables à établir avec les autres nations.

Ce qui suppose de présenter un plan de réindustrialisation du pays.

J'escomptais également des propositions précises sur la politique migratoire et les politiques de coopération très importantes à mettre en place avec les pays terre d'émigration.  Les premières des mesures étant bien sûr un acharnement forcené à promouvoir une politique de recherche de la paix et de négociations et non de tension comme c'est le cas actuellement.  Cette question de la paix a été fort bien présentée par le candidat de la France insoumise.  Mais il faut aussi des propositions précises en matière de coopération économique, dénoncer les accords de libre-échange conclus entre les pays africains et l'UE (APE) et promouvoir des accords équitables de pays à pays.

Sur l'Union européenne, Jl Mélenchon a réaffirmé sa proposition de renégocier les traités et redit :" L'Union européenne, on la change ou on la quitte"!  Dont acte.

C'est pourquoi il est surprenant de voir le candidat de la France insoumise sensible à la pression du sympathique Philippe Torreton pour tenter un rassemblement avec Benoit Hamon, lequel a, dans ses soutiens, des socialistes très compromis avec la politique de Hollande .  Il y perdrait tout le crédit acquis par ses positions claires contre les fausses unions de la gauche, contre le social-libéralisme et contre les politiques de l'UE favorables au capitalisme mondialisé.  Car le social-libéralisme, c'est la droite. 

Il a depuis, il est vrai, dit dans Le point qu'il ne fallait se faire "aucune illusion".

Y. Genestal

 

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 10:27

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 10:11
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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 09:53
« La seule façon de créer des richesses, c’est l’industrie »
Assises de l’Industrie

mercredi 22 février 2017

La CGT, lors des Assises de l’Industrie à Paris ce 22 février, a rappelé qu’elle convoitait toujours de doubler en dix ans la capacité de production en France.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Plus de 1 000 inscrits ce 22 février aux Assises de l’industrie à Paris, des prises de parole intelligentes et imaginatives de nos camarades, pour proposer des relances de l’industrie en France, et une conférence de presse qui a réuni Philippe Martinez, secrétaire générale de la CGT, Marie-Claire Cailletaud et Nadia Salhi, du collectif Industrie de la CGT, et Nasser Mansouri-Guilani, économiste à la CGT. Il y avait urgence pour la CGT à organiser ces Assises, tant le constat est alarmant : « Depuis 2012, 900 usines ont fermé, et nous importons maintenant 60 % de nos produits industriels. Dans la même période, les dividendes versés aux actionnaires sont passées de 5 à 25 % », énonce Marie-Claire Cailletaud. La finance, c’est un fait, étrangle le développement de l’industrie en France. Le CICE, qui a coûté 34 milliards et aurait créé 100 000 emplois, est une ruine : un emploi créé coute ainsi 340 000 euros. Le crédit impôt recherche (CIR) pour sa part a surtout permis aux entreprises de faire de l’optimisation fiscale. Bref, les solutions prônées par le gouvernement pour relancer l’emploi et l’industrie sont au mieux des leurres, au pire des outils au service de la finance.

 

Bouclier anti-dumping

La CGT ne renonce en aucune manière à ses ambitions. Elle souhaite encore doubler la capacité de production de la France en dix ans. Pour ce faire, outre la mobilisation de la capacité entrepreneuriale des salariés, la CGT avance ses propositions. Elle milite pour la mise en place d’un boulier anti-dumping social, fiscal et environnemental, afin de protéger les salariés et chasser la finance : augmentation des salaires, plafonnement des rémunérations des patrons, taxation du capital. Autre axe de la Confédération : la recherche et le développement. En se fixant cet objectif : atteindre 3 % du PIB en cinq ans. La CGT plaide également pour un accroissement des investissements publics et privés, une réduction du temps de travail, et une mise à plat de la fiscalité des entreprises : par exemple, les taux d’impôt des sociétés pourraient être modulés en fonction du respect des objectifs en matière d’investissement productif, R&D, formation des salariés… L’objectif ultime, en termes financiers, étant la création d’un pôle financier public, pour réorienter l’épargne vers l’appareil productif. Au-delà des réflexions de la Confédération, les camarades de la CGT sont eux aussi porteurs de projets industriels : en Saône-et-Loire, le projet industrie et services publics au fil de l’eau a imaginé un système qui permettrait d’éviter les émissions de gaz à effet de serre en utilisant la voie fluviale. L’industrie reste la pierre angulaire du développement de nos territoires. Car, comme l’a rappelé Philippe Martinez, « la seule façon de créer des richesses, c’est l’industrie ».

Source : le site de la CGT : http://cgt.fr/La-seule-facon-de-creer-des.html

 

Vu dans la presse à propos des Assises de l'industrie organisées par la CGT

 

 

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24 février 2017 5 24 /02 /février /2017 00:33

Sur le blog d'Anicet Lepors

Trop de fonctionnaires en France ?

Dans le débat public sur ce que représentent les services publics et la fonction publique dans notre pays, un nombre limité de données servent de repères sans qu’il soit fait beaucoup d’efforts pour en dégager la signification : la dépense publique s’élevant à 57 % du produit intérieur brut (PIB)[1], les prélèvements obligatoires en représentant 45 %[2], les effectifs de fonctionnaires s’élevant à 5,4 millions (dont, en réalité, 17 % de contractuels). Il est vrai que ces données représentent des catégories austères difficilement accessibles et parfois peu compréhensibles dans l’opinion publique. Au surplus, les démonstrations sont souvent fondées sur des comparaisons internationales alors que les concepts, les statuts et les nomenclatures varient beaucoup d’un pays à l’autre. Peu de synthèses probantes émanent de ces données disparates et chacun peut trouver dans la masse des informations les chiffres qui viennent à l’appui de sa thèse On tente néanmoins ici un regroupement aussi significatif que possible de données recueillies.

Une socialisation plus importante des dépenses de service public

 On rappellera, tout d’abord, que l’histoire longue est marquée par une sécularisation croissante du pouvoir politique, un puissant développement économique et une extension considérable de l’administration, ce qui a entrainé une forte augmentation de la dépense publique. Les prélèvements obligatoires qui en financent la plus grande part ont quadruplé au cour du XXe siècle à l’appui d’une socialisation objective de l’organisation sociale quand bien même celle-ci reste marquée par des dominations et de fortes inégalités.

En France, en 2014[3], selon Eurostat, la production des services publics ne représente que 22 % dans une dépense publique qui correspond à 57,5 % du PIB. C’est ce que l’on considère comme le produit des administrations dont, par convention de la comptabilité nationale, on le mesure par … leur coût. Ce taux est nettement supérieur à celui observé en Allemagne (14,6 %) où les services sociaux et de santé sont assurés par les églises, mais il est comparable à celui observé au Royaume Uni (22,2 %).

Si on considère maintenant, non la nature des dépenses mais les fonctions, la France se situe dans la moyenne des pays développés pour les dépenses régaliennes. En revanche, elle présente des taux élevés pour les dépenses de transferts (retraites, chômage …). En Allemagne, les retraites sont regardées comme des dépenses privées.

Le tableau ci-dessous traduit les différences existant selon les fonctions entre la France, l’Allemagne et le Royaume Uni.

[...]

Lire la suite ci-dessous

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23 février 2017 4 23 /02 /février /2017 18:26

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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