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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 15:58
17ème congrès de la FSM (fédération syndicale mondiale)  à Durban en Afrique du Sud - 5 au 8 octobre : Un événement d’une portée historique
Un événement d’une portée historique

mercredi 19 octobre 2016, par Charles Hoareau, Président de l’A.N.C

Ne nous y trompons pas, le 17ème congrès de la FSM (fédération syndicale mondiale) qui vient de se dérouler à Durban en Afrique du Sud du 5 au 8 octobre, est un évènement d’une portée historique considérable. Tellement considérable, et ce n’est pas le moindre des paradoxes, qu’hormis, à notre connaissance, les 4 articles d’ambiance parus sur Rouge Midi
 [1] aucun média français n’a trouvé utile d’en parler alors que d’une part il s’agit d’un congrès concernant directement 92 millions d’adhérent-e-s (une paille !) et au-delà la classe ouvrière du monde entier et que d’autre part tant par la participation que par son contenu ce congrès est le signe qu’une étape nouvelle dans l’organisation des travailleurs du monde vient d’être franchie.

Pour mesurer la portée de ce qui s’est passé à Durban il convient de replacer les choses dans leur contexte historique.

Quelques éléments d’histoire

En 1945 la FSM fut créée, sous l’impulsion en particulier des TUC britanniques et de la CGT française, avec l’ambition de rassembler tous les syndicats du monde. Rapidement les syndicats chrétiens refusèrent de s’associer à cette construction et créèrent ce qui plus tard s’appellera la CMT (confédération mondiale du travail).

Puis les syndicats américains, sous l’impulsion de l’AFL-CIO, et avec le financement de la CIA créèrent une autre centrale internationale, la CISL (confédération internationale des syndicats libres), à laquelle FO s’affilia immédiatement…évidemment. Le temps passant la CISL qui ne fit guère la preuve de son efficacité que dans les coups d’état qu’elle aida à fomenter en Amérique du Sud (grèves au Chili sous Allende, participation au coup d’état contre Chavez…), sombra en termes d’effectifs malgré l’armada de « dirigeants » syndicaux grassement payés par les institutions mondiales, tant elle apparut en tous points aux ordres du capitalisme international.

La FSM, elle, perdit peu à peu de son influence et de ses forces organisées pour un faisceau de raisons convergentes et en particulier la question du rôle du syndicalisme, sa nécessaire indépendance, dans les républiques dites socialistes ou dans nombre de pays d’Afrique dirigés par d’anciens militants des luttes de libération devenus, une fois au pouvoir, de parfaits dictateurs.

Cette question prit tellement d’importance et les divergences furent tellement fortes que la CGT, après avoir quitté le conseil présidentiel, décida en 1995 de se désaffilier purement et simplement. Ce faisant elle rejoignait la cohorte des organisations syndicales nationales non affiliées au point qu’à la fin des années 90 seuls 20% des syndicats mondiaux étaient affiliés à l’une des 3 centrales internationales alors existantes : la CISL, la CMT et la FSM.

Après la chute du mur de Berlin, le capital international étant persuadé qu’il se trouvait devant ce qu’il a appelé lui-même « la fin de l’histoire » convoqua le sommet du millénaire de l’ONU pour bâtir un grand projet de « gouvernance » mondiale au nom des droits de l’homme et du droit d’ingérence…toutes joyeusetés et bonnes intentions qui nous ont amenés, entre autres, aux guerres actuelles toujours au nom de la démocratie. Pour mener à bien ce projet, le secrétaire général de l’ONU d’alors, Koffi Annan expliqua à la tribune qu’il avait besoin d’un dialogue social mondial et d’une organisation syndicale mondiale crédible.

Dans la même période la FSM, consciente de la situation de grand discrédit dans laquelle se trouvait le syndicalisme international, tint en 2005 à La Havane, un conseil mondial du renouveau. Y étaient représentés 500 délégués de 73 pays (dont plusieurs non affiliés en tant qu’observateurs) qui décidèrent de donner un nouveau souffle au syndicalisme international.[...]

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26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 15:27

mardi 25 octobre 2016

UNION FÉDÉRALE DES RETRAITES CGT DE LA POLICE NATIONALE

MALAISE DES POLICIERS : POUR UN VÉRITABLE UN ÉTAT DE DROIT !

Depuis quelques jours, à la suite d’évènements qui témoignent de dérives graves et incontrôlées dans notre société, un mouvement de mécontentement s’exprime fortement dans la police.
Si cette réaction de colère et de « ras-le-bol » est parfaitement compréhensible et légitime face à une dégradation constante des conditions de travail et à une évolution permanente de la société, l’Union Fédérale des retraités CGT de la POLICE ne peut cautionner de démonstrations martiales à l’heure où l’action syndicale est criminalisée, des syndicalistes condamnés et des manifestations pacifiques réprimées.
Si les dangereux agresseurs de nos malheureux collègues doivent être effectivement rapidement identifiés et punis il ne nous apparait pas toutefois judicieux, dans un climat terriblement dégradé par les politiques de casses sociales permanentes menées ces dernières années, de revendiquer des pleins pouvoirs déjà largement concédés dans le cadre de l’état d’urgence, et de brocarder la Justice, confrontée aux mêmes difficultés en terme de moyens matériels et humains.
Nous rejetons vigoureusement l’intrusion policière dans la fabrication de la loi et le cours de la justice qui conduirait plus à l’Etat policier qu’à l’état de droit et préférons nous référer strictement aux valeurs républicaines.
Nous condamnons toute violence illégitime quels qu’en soient les auteurs, nous réclamons un changement radical de politique en matière de service public, de management car les limites du supportable ont été atteintes.
La reprise en main des troupes est programmée via les audiences prévues mais le fond des problèmes sera encore une fois éludé.
Nous allons prochainement développer cette prise de position et exposer point de vue et propositions.
Annie JOUAN Secrétaire Générale UFR POLICE

263 rue de Paris 93100 MONTREUIL 06 61 33 47 67

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26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 13:52

La « petite » Wallonie plus peuplée que 7 Etats souverains de l’UE. Et plus démocratique que 27.

Les chiens de garde des firmes privées, indûment dénommés « journalistes, » rivalisent pour exprimer leur mépris de la : « petite province », « petite région »,  qui « ose défier 500 millions d’Européens », qui « prend en otage » toute l’Europe (la « prise en otage » est une formule souvent utilisée par ces ennemis de la démocratie et de la justice sociale ; elle équivaut à traiter hier les grévistes, aujourd’hui les Wallons  de terroristes – on voit la violence du propos). On les entend sur les chaînes de télé et les stations de radio publiques et privées ; on les lit dans 99 % de la presse quotidienne et 90% de la presse hebdomadaire.

Comme ces propagandistes, le plus souvent largement incultes, méprisent aussi la réalité des faits, voyons  ce qu’il en est en comparant la population de la Wallonie à celle de certains Etats souverains, membres de l’ :

la Wallonie : 3.589.744 habitants .

Lituanie : 2.921.262

Slovénie : 2.062.874

Lettonie : 1.986.096

Estonie : 1.313.271

Chypre : 847.008

Luxembourg : 562.958

Malte : 429.344

Si on ajoute à la population wallonne celle de Bruxelles (dont le Parlement est lui aussi hostile au ) : 3.589.744 + 1.175.173 = 4.764.917

[...] La suite en cliquant ci-dessous

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26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 13:47
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26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 13:39
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25 octobre 2016 2 25 /10 /octobre /2016 21:55
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22 octobre 2016 6 22 /10 /octobre /2016 09:46

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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22 octobre 2016 6 22 /10 /octobre /2016 09:45

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 21:53
Barak Obama s'engage pour le Oui au référendum italien
Barak Obama s'engage pour le Oui au référendum italien
Barack Obama s’engage pour le Oui au référendum italien ( sur le site de Ruptures)

Barack Obama a reçu, le 19 octobre, le chef du gouvernement italien pour le dernier dîner d’Etat avant la fin de son bail à la Maison-Blanche. Le président américain a multiplié les éloges sur son hôte : « regardez-le, il est jeune, il est élégant, et sa vision du progrès n’est pas ancrée dans les peurs des gens, mais dans leurs espoirs ».

Il  lui a surtout apporté son appui dans la perspective du référendum qui se tiendra le 4 décembre dans la Péninsule. Celui-ci porte sur un projet institutionnel (relégation du Sénat, notamment) censé permettre de réformer plus facilement le pays, et de mieux promouvoir les réformes européennes, a insisté M. Renzi.

Le président Obama n’a pas hésité à s’engager fortement pour une victoire du Oui, et ce, afin que le pays puisse promouvoir « une économie plus dynamique, de même qu’un système politique plus réactif ».

Mais pour l’heure, le Non est en tête dans les sondages, et M. Renzi avait imprudemment juré qu’il se retirerait de la vie politique en cas d’échec. Barack Obama lui a suggéré d’oublier cette promesse imprudente, et affirmé : « je pense que Matteo appartient à celle nouvelle génération de chefs, pas seulement pour l’Italie mais aussi pour l’Europe ».

Le président du Conseil italien était aux anges, et s’est fendu de ses propres compliments. Peut-être s’est-il senti réconforté, alors que la bataille politique fait rage dans la Péninsule.

La dernière fois que Barack Obama s’était directement immiscé dans un affrontement à l’intérieur d’un pays européen, c’était pour dissuader les électeurs britanniques de quitter l’UE. Avec le succès que l’on sait.

http://ruptures-presse.fr/renzi-obama-referendum/

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21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 21:35
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