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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
20 mai 2017 6 20 /05 /mai /2017 15:45

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20 mai 2017 6 20 /05 /mai /2017 15:39

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 16:08

"En choisissant Muriel Pénicaud, Macron met en service des responsables aux ordres des grands groupes transnationaux. "

 

Une "Danoneurs" au travail. Soyons sérieux !
jeudi 18 mai 2017

 

En désignant Muriel Pénicaud ministre du Travail, le couple Macron-Philippe se donne un atout fort, au service du maître du jeu, le grand patronat. Il veut de plus s’afficher social. Soyons sérieux. Il y a belle lurette que le « double projet économique et social » de Riboud Antoine, par ailleurs, à l’époque, poudre de perlimpinpin, a été jeté aux oubliettes. Une avant-garde de managers débarquant d’outre-Atlantique, qui sème la terreur au sein du groupe Danone, en est une démonstration éclatante.

Muriel Pénicaud est dans la droite ligne des politiques antisociales et de sacrifices imposés aux salariés sur l’autel des profits et de la stratégie de « course à la valeur » pour les actionnaires. Lors de son passage dans le groupe, elle a su au nom de la compétitivité, organiser la casse des emplois et des conditions de travail.

C’est sous son « régime minceur » que Lean management, appelé, en love langue Damaway, ou CAP ou WISE, a connu son apogée qui se concrétise par flicage permanent, non remplacement des départs, baisse des effectifs, réorganisation permanente, augmentation des cadences, stress causant de nombreux troubles musculo-squelettiques et psychosociaux… Les conditions de travail se sont gravement dégradées.

A toutes fins utiles, ses « bons et loyaux services », ont participé de la casse des emplois. Elle estampille en 2013 un plan de suppression de 900 emplois en Europe, dont plus de 200 en France. Vendu à l’époque à ceux qui voulaient bien accompagner les charrettes de licenciements, comme un plan de départs volontaires, ce plan dit d’économie, instauré au nom de la crise, a été une véritable bérézina pour les salariés. Elle a imposé des sacrifices [...]

La suite sur le texte attaché en PDF ci-dessous

 

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 15:49

Mis en ligne le 19 mai 2017

Le général Curtis Scaparrotti à la tête du Commandement européen des Etats-Unis a déclaré devant le Sénat américain:

« Le théâtre européen reste d’une importance cruciale pour nos intérêts nationaux » et « l’Otan nous donne un avantage unique sur nos adversaires ».

« De significatifs investissements sont nécessaires -souligne le général- pour augmenter dans toute l’Europe notre présence avancée, le pré-positionnement de matériels militaires, les exercices pour la préparation aux conflits ».

 

En préparation de la visite du président Trump en Europe -le 24 mai à Rome, le 25 au Sommet Otan de Bruxelles, les 26-27 au G7 de Taormina- le Pentagone a présenté son plan stratégique pour le « théâtre européen ». Il l’a fait par la voix du général Curtis Scaparrotti qui, étant à la tête du Commandement européen des Etats-Unis, est automatiquement à la tête de l’Otan avec la charge de Commandant suprême allié en Europe. Au Sénat des Etats-Unis, le 2 mai, le général rappelle que « le théâtre européen reste d’une importance cruciale pour nos intérêts nationaux » et que « l’Otan nous donne un avantage unique sur nos adversaires ». Cet avantage se trouve cependant à présent mis en danger par « une Russie résurgente, qui essaie de miner l’ordre international sous conduite occidentale et de se réaffirmer comme puissance mondiale ».

Général Curtis Scaparrotti à la tête du Commandement européen des Etats-Unis

Le Commandant suprême appelle les alliés européens à serrer les rangs autour des Etats-Unis pour défendre par tous les moyens l’ « ordre international » -celui qui est fondé sur la suprématie économique, politique et militaire de l’Occident- mis en péril par l’émergence de nouveaux sujets étatiques et sociaux.

Il concentre le feu sur la Russie, en l’accusant d’ « activités malignes et actions militaires contre l’Ukraine » (juste au troisième anniversaire du massacre de dizaines de Russes perpétré à Odessa le 2 mai 2014 par des néo-nazis ukrainiens sous direction USA/Otan). Mais la « menace » ne provient pas que de la Russie : les Etats-Unis -déclare l’amiral Harris, chef du Commandement Pacifique- sont défiés dans cette région simultanément par « une Chine agressive et une Russie revancharde ».

En réponse à ces défis, annonce Scaparrotti, le Commandement européen des Etats-Unis « est en train de revenir à son rôle historique de combat, en adaptant ses plans aux menaces que nous avons face à nous ». Il demande donc au Congrès d’augmenter les fonds pour la «European Reassurance Initiative », l’opération lancée par les USA en 2014 officiellement pour « rassurer » les alliés Otan et partenaires européens, pour laquelle 3,4 milliards de dollars ont été attribués en 2017. « De significatifs investissements sont nécessaires -souligne le général- pour augmenter dans toute l’Europe notre présence avancée, le pré-positionnement de matériels militaires, les exercices pour la préparation aux conflits ».

Le plan est clair et il est déjà en acte : transformer l’Europe en première ligne de la confrontation avec la Russie. C’est ce que confirme l’annonce, faite le 4 mai, que l’Armée USA en Europe a constitué un nouveau quartier général à Poznan, en Pologne, pour commander les plus de six mille soldats étasuniens basés en Pologne, Estonie, Lettonie, Lituanie, Allemagne, Slovaquie, Hongrie, Roumanie et Bulgarie, dans le but de « renforcer le flanc oriental de l’Otan comme dissuasion envers la Russie ».

Au déploiement sur le flanc oriental -comprenant forces blindées, chasseurs-bombardiers, navires de guerre et unités de missiles y compris nucléaires- participent les puissances européennes de l’Otan, comme le démontre l’envoi de troupes françaises et de chars d’assaut britanniques en Estonie.

Et l’armée européenne ? Dans la rencontre avec les ministres de la défense de l’Union européenne, le 27 avril à Malte, le secrétaire général de l’Otan Stoltenberg n’a laissé aucun doute :

« Il a été clairement convenu par l’Union européenne que son objectif n’est pas de constituer une nouvelle armée européenne ou des structures de commandement en compétition avec celles de l’Otan, mais quelque chose qui soit complémentaire à ce que fait l’Otan ».

Le bâton de commandement reste donc solidement dans les mains du Commandant suprême allié en Europe, un général étasunien nommé par le président des Etats-Unis.

Manlio Dinucci

Ecco il piano del Pentagono per l’Europa

Edition de mardi 9 mai 2017 de il manifesto

https://ilmanifesto.it/ecco-il-piano-del-pentagono-per-leuropa/

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 15:20

Désigné chef de l’exécutif, ce sera donc à Edouard Philippe de porter la « loi travail puissance 10 » qu’Emmanuel Macron appelle de ses vœux. Le choix du maire du Havre qui a œuvré à réprimer les militants actifs dans cette « capitale de la lutte contre la loi travail » au printemps 2016 est à ce titre hautement symbolique.

Hier on apprenait la nomination d’Edouard Philippe, maire Républicain du Havre, à la tête de Matignon.

Au même moment, s’organisait près du Havre, point chaud de la lutte contre la loi Travail au printemps dernier, un rassemblement de soutien à Reynald Kubecki, co-secrétaire de l’Union Locale CGT du Havre. Ce dernier, et pour la 12ème fois en 6 ans, était convoqué dans les bureaux de la gendarmerie. Et c’est au poste que les syndicalistes CGT et leurs soutiens apprenaient la nomination à la tête de Matignon d’Edouard Philippe, qui n’a eu de cesse que de stigmatiser les militants du Havre, victimes d’un acharnement judiciaire pour avoir été les fers de lance de la contestation contre la Loi Travail au printemps dernier.

Le tout répressif pour clore un mouvement

En mai 2016, face à aux autorités locales, prenait place une incroyable mobilisation des travailleurs de la zone du Havre – dockers, ouvriers de la métallurgie, de la chimie – avec le blocage du terminal pétrolier et la mise en pénurie de carburant de la zone Grand-Ouest durant près d’un mois. La Havre, rebaptisée capitale de la lutte contre la loi travail, était à l’avant-garde du mouvement de contestation. « La zone industrialo-portuaire a été bloquée » actait le 25 mai 2016, l’actuel Premier Ministre et député-maire LR Edouard Philippe lors d’une de ses rares interventions à l’Assemblée pour une question au gouvernement.

A cette occasion, en plus de remettre en cause la fermeté du gouvernement à l’égard des « bloqueurs », il dénonçait, en référence à l’usage du 49.3, « un processus législatif qui ne vous fait pas honneur » et une « représentation nationale […] privée de débat » et l’incapacité du gouvernement à mener à bien un « dialogue social apaisé ». Il y a de quoi s’étonner de la part de Philippe, qui s’apprête à faire passer par ordonnance et en l’absence de concertation avec les syndicats la nouvelle mouture de la réforme du marché du travail. Il faut dire qu’à l’époque la droite, qui voit son programme être mis en place par un gouvernement PS, est en peine d’arguments.

Pour ce qui est du terrain et de la gestion de la contestation sociale, c’est par la force que les autorités s’emploient à casser le mouvement, dans la région du Havre comme dans le reste du pays. Le 27 mai, le terminal pétrolier de Donges est débloqué avec l’envoi des forces de l’ordre. Le 14 juin, lors d’une journée de mobilisation appelée à l’échelle nationale à Paris, les autorités cherchent à criminaliser les dockers du Havre. La fédération Nationale des Ports et des Docks CGT tout comme Philippe Martinez dénoncent alors les agissements des forces de l’ordre, qui ont « sans aucune explication possible, agress[é] notre cortège en faisant usage de leur matraque et de gaz lacrymogène ».

Manifestation au Havre contre la loi Travail

Au Havre, dès le mois de juin, ce sont les principaux acteurs de la contestation de loi Travail qu’on essaye de mettre au banc des accusés. D’abord, Laurent syndicaliste condamné par le tribunal du Havre à une peine de six mois de prison avec sursis, mise à l’épreuve pendant 18 mois avec obligation de réparer les dégâts commis à la permanence du PS du Havre.

Le 27 juillet, deux dockers comparaissent devant la justice, mais sont relaxés ; le 2 septembre, deux autres sont interpellés par la police à leurs domiciles respectifs, en plein congrès CGT avec la présence de Philippe Martinez sur la ville du Havre, et passent plusieurs heures en garde à vue. Puis la décision est prise de s’en prendre à la tête du mouvement : c’est alors au tour de Reynald Rubecki, co-secrétaire de l’UL CGT du Havre, d’être convoqué par la police, le 28 octobre, puis récemment le 15 mai. Un véritable acharnement judiciaire et une criminalisation du mouvement syndical s’inscrit, au Havre peut-être plus qu’ailleurs, dans la durée. Il est clairement question de déstabiliser l’organisation syndicale locale, de « couper les têtes » du mouvement de 2016 contre la loi Travail, de faire des exemples, pour prévenir les prochaines mobilisations. Dans cette gestion de la répression pour clore le mouvement contre la loi travail, Edouard Philippe, ex-Conseiller régional de Haute-Normandie (2004-2008), ex-conseiller général de la Seine maritime (2008-2012), maire et député local depuis 2010 et 2012, a certainement sa part de responsabilité. Une gestion qui lui a certainement valu, en plus de ses multiples accointances idéologiques avec le nouveau chef de l’État, son nouveau poste.

La réforme du marché du travail comme cheval de bataille

Preuve qu’il avait de quoi s’entendre avec le nouveau chef de l’État, à l’époque, Edouard Philippe se disait en accord avec la première version de la loi Travail. Et c’est par loyauté envers son parti, Les Républicains, et contre ses convictions, qu’il accepte bon an mal an de voter la motion de censure. Il faut dire que la réforme du marché du travail, c’est son cheval de bataille.

Face à Léa Salamé, invité sur le plateau d’On n’est pas couché en décembre 2014 pour discuter de la loi Macron, il montrait du doigt ses limites : « il faut revenir sur les 35 heures », il faut lever « les pesanteurs considérables qui pèsent sur le marché du travail », comme les « juridictions sur les lois prud’homales ». Du Macron tout craché. Concernant les 35 heures, Emmanuel Macron s’est déjà épanché sur la question : il est clairement pour une augmentation du temps de travail, tout comme pour l’insertion d’un plafonnement des indemnités prud’homales, points clefs de son programme pour le quinquennat.

Ces propositions, ce ne sont ni plus ni moins que les recommandations du rapport Attali, commandé sous Nicolas Sarkozy, que le gouvernement Hollande a entrepris de mettre en place et celui de Macron de renforcer. A ce titre, Jacques Attali, penseur de l’orthodoxie libérale à la française, proche d’Emmanuel Macron, n’est autre que l’animateur du Forum « Positive Economy » qu’Edouard Philippe a organisé au Havre.

Avec la nomination d’Edouard Philippe, ce que le gouvernement Macron en cours de constitution révèle déjà au grand jour, ce sont les profondes accointances idéologiques que partage le personnel politique français, du PS aux Républicains, par-delà le faux clivage partisan, véritable écran de fumée du pluralisme politique.

A la rhétorique du « changement », on opposera les similitudes de parcours entre le nouveau premier ministre et l’actuel président – passés tous les deux par l’ENA et par le PS avant d’en prendre la fuite – et leurs collusions idéologiques en faveur de l’ultralibéralisme. Mais le choix d’Edouard Philippe est celui, du point de vue de sa gestion de la contestation sociale dans sa circonscription, une nouvelle marque de continuité avec la période du hollandisme. Et c’est également un message envoyé aux travailleurs et aux opposants de la loi travail, dans sa version 2016 et dans celles qui sont sur le point de sortir : reprendre la contestation sociale à la manière des Havrais, en la généralisant au niveau national, pour faire plier un gouvernement qui la craint plus que tout.

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 15:06
Lettre ouverte à ceux qui disent vouloir nous défendre par Charles Hoareau

par Charles Hoareau sur le site Rouge Midi

Je suis, comme tant de gens en France, quelqu’un qui se bat comme il peut contre ce capitalisme ravageur qui provoque chômage, racisme et guerres, qui fabrique du désespoir à la tonne et des quartiers ghettos. Un parmi tant d’autres qui voit que Macron n’est pas encore en fonctions que déjà les premières attaques s’annoncent à commencer par une aggravation par ordonnances de la loi travail et le maintien de l’état d’urgence.
Le capital est rassuré.

Son candidat est aux manettes et le nouvel habillage de ses défenseurs, ce que certains appellent la recomposition politique, et qui est en fait un retour au pouvoir de l’alliance PS droite qui a été la règle durant presque tout le 20e siècle à l’exception de quelques périodes très courtes (36, CNR, 81-83...) peut lui permettre d’espérer d’avoir les mains libres pour revenir sur toutes les conquêtes du monde du travail qui entravent ses bénéfices.
Comme me l’a écrit quelqu’un hier « il va falloir ressortir le matos » (qu’on n’avait guère rangé !) et amplifier encore tant qu’on le peut le combat sans attendre. On va continuer de le faire syndicalement, politiquement, associativement.
On le sait. On continuera à se battre.

On sait aussi que si on a des élus, des relais politiques, cela peut nous aider et que ce sera plus dur sans cela. Alors depuis un moment et encore plus depuis mardi soir où a été officiellement annoncé le blocage entre FI et PCF je suis…je ne peux pas dire les mots. Je ne peux même pas dire désespéré car c’est un luxe que l’on ne peut pas se permettre quand on est dans le camp de celles et ceux qui sont le dos au mur dans le combat contre le capitalisme.

Mais enfin ! Où est votre boussole ?
Bien sûr que les organisations c’est important mais à condition qu’elles soient au service du monde du travail, de tous les laissés pour compte, des exclus !!! Ça ne peut pas passer avant !

En plus dans une période de régression sociale qui dure depuis des décennies !
Les organisations et les individus qui ont soutenu la candidature Mélenchon ont le devoir historique de s’entendre avant la date limite de dépôt des candidatures sinon il nous restera quoi ? L’acceptation en pleurant de tout ce qui n’est déjà plus acceptable ? La plongée dans la barbarie où veut nous entrainer ce système ? La lutte armée ?
C’est quoi qui est recherché avec ce blocage ? La disparition ? Une ou l’autre force croit-elle pouvoir tirer son épingle du jeu et avoir des élus à l’issue d’un combat fratricide ?
Sur la base des présidentielles, les projections actuelles évaluent à près de 500 circonscriptions celles où il y aura des triangulaires ou des quadrangulaires. Même s’il faut être prudents et qu’aucune élection ne ressemble à une autre, il est incontestable qu’il y a un coup à jouer et que Macron et son alliance gauche/droite peuvent être mis en difficulté. Vous vous rendez compte ce que cela voudrait dire comme possibilités de point d’appui pour nos luttes sans lesquelles il n’y aura pas de retour vers le progrès social ?

C’est la peur de gagner qui vous paralyse ?
Si le blocage actuel se maintient tout ce que vous allez gagner les uns et les autres c’est la déception à commencer par vos propres militants, conforter les sectarismes, rendre plus crédible la possibilité d’une majorité parlementaire pour Macron (alors que justement 61% des français n’en veulent pas), voire une pluie de votes blancs et nuls encore plus grande que le 7 mai et dont vous serez ce coup-ci les destinataires…

Je ne sais pas si mon courrier, qui vient après tant d’autres, vous fera entendre raison mais je sais qu’en cas d’accord nous serons nombreux à nous engager alors que dans le cas contraire vous nous contraindrez pour une large part à rester spectateurs…du moins de cet acte là parce que pour le reste on est déjà à l’action.

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 09:20

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 09:18

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 09:17

Cet article est reposté depuis Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges..

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19 mai 2017 5 19 /05 /mai /2017 08:46

William Tchamaha a donc retiré  sa candidature. L'ex-candidat avait soutenu la campagne du mouvement BDS "Boycott Désinvestissements Sanctions" contre la colonisation israélienne des territoires palestiniens.  Rappelons que cette colonisation se fait contre l'avis de l'ONU.  Cette colonisation est illégale.  Voici ce qu'avait twité W. Tchamaha à propos d'Israël : "Un état hors la loi qui méprise le droit. Boycott des produits Israël et embargo économique! ".

Pourtant fin Octobre 2016 la Haute représentante de l’UE, Fédérica Mogherini, affirme le droit au BDS: « L’UE se situe fermement dans le soutien à la liberté d’expression et d’association conformément à la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, qui s’applique sur le territoire des Etats membres de l’UE, y compris en ce qui concerne les actions BDS menées sur ce territoire ».

Conclusion : l'Union Européenne, c'est quand ça arrange le pouvoir politique en France.  Pour la loi Travail, l'Union européenne, c'est excellent.  Pour la campagne BDS : ignorance et mensonges.  Et le CRIF s'immisce indûment dans la campagne des législatives.  En toute illégalité.  Représente-t-il l'Etat d'Israël ou les institutions juives de France ? 

Non, les campagnes BDS ne sont pas illégales !  C'est le gouvernement français qui est dans l'illégalité, depuis N. Sarkozy et M. Alliot-Marie, en pourchassant les militants BDS et anti-colonisation israélienne.

Cela clarifie les positions d'Emmanuel Macron vis à vis de la colonisation israélienne: il la soutient, de fait.

Yvette Genestal

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