Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
" Comment peut-on être saxon ou thuringeois ?"
On se souvient de l’exclamation ironique de Montesquieu dans ses « Lettres », que les Français d’aujourd’hui, abrutis par le matraquage imbécile des télévisions, feraient bien de lire ou de relire, pour se nettoyer des préjugés xénophobes qui les aveuglent.
« Comment peut-on être persan ? »
À l’audition ce matin 2 septembre de nos « Experts » journalistiques, on ne peut qu’être ahuri par leur étonnement préfabriqué devant les résultats électoraux en Saxe et en Thuringe, deux régions de l’ex RDA, que le rétablissement du Capitalisme a plongé dans le désastre social, le chômage et la désindustrialisation, organisés par le gouvernement social-démocrate, converti aux vertus du Capitalisme et de l’impérialisme guerrier en Ukraine.
« Comment peut-on être allemand ? «
C’est leur antienne du jour, qu’ils nous servaient déjà pour affirmer l’inverse il y a quelques mois, pour s’étonner que les Français ne veuillent pas comme ces braves Teutons d’outre.-Rhin, se mettre tous d’accord autour d’une grande table centriste, réunissant enfin les convives de Droite et de Gauche, perpétuant « la ferveur cultivée par les Jeux Olympiques » en faveur des pensées géniales de Macron.
« Mais pourquoi les français refusent ils donc de s’entendre ? »
Patatras ! Ce discours infantile de nos soi-disant spécialistes s’est effondré lamentablement dans les élections françaises successives en 2024. Européennes, puis législatives. Qu’ils s’expriment de gauche ou de Droite, LFI ou RN, les citoyens français veulent en finir avec le désastre Macron. C’est même, depuis, le seul choix clairement exprimé par les électeurs, fortement divisés par ailleurs. [...]
" Comment peut-on être saxon ou thuringeois ?" On se souvient de l'exclamation ironique de Montesquieu dans ses " Lettres ", que les Français d'aujourd'hui, abrutis par le matraquage imbécile de...
Le président français a achevé, le 28 mai, une visite d’Etat de trois jours en Allemagne. Une telle initiative diplomatique, la plus élevée sur le plan protocolaire, est censée constituer un événement politique majeur. La précédente remonte à l’année 2000, lorsque Jacques Chirac était encore à l’Elysée.
Elle s’est déroulée dans un contexte marqué par une double caractéristique. D’une part, les relations franco-allemandes ont vu se multiplier les contradictions et les divergences ces dernières années, ces derniers mois en particulier. Et ce, alors même que, traditionnellement, les rapports entre Paris et Berlin sont vus comme un moteur nécessaire au fonctionnement et aux « progrès » de l’Union européenne.
Le second élément de contexte est l’affaiblissement tant d’Emmanuel Macron que du chancelier allemand dans leurs pays respectifs. Les revers macro-économiques de la France (dette, déficits…) sont pointés par Bruxelles qui devrait engager sous peu une procédure pour déficits excessifs. Quant au gouvernement d’Olaf Scholz, il doit se soumettre à des restrictions budgétaires d’autant plus drastiques que la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a récemment rappelé quelques règles strictes en ce domaine. Dès lors la croissance, déjà à bout de souffle, ne risque pas de repartir.
Par ailleurs, le camp du président français ne dispose pas de majorité parlementaire solide, et doit naviguer à vue. De son côté, le chancelier s’appuie sur une coalition de trois partis qui ne cessent de s’écharper sur de nombreux dossiers. Enfin, les formations dont sont issus les deux hommes – Renaissance (libéral) pour le premier, le parti social-démocrate pour le second – semblent en perdition électorale. Les instituts de sondage ne leur attribuent pas plus de 15% des suffrages le 9 juin prochain.
Dans ce contexte, quel bilan tirer du déplacement du président français de l’autre côté du Rhin ? Trois éléments peuvent être notés : une immixtion délibérée dans les campagnes électorales en cours en vue du scrutin européen ; la remise à Emmanuel Macron d’un « prix international pour la paix » ; et la tenue d’un Conseil franco-allemand de défense qui a appelé à une accélération des perspectives d’armement euro-atlantique.
[...]
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La visite éclair d’Emmanuel Macron au chancelier Scholz, le 15 mars, a permis aux deux hommes, flanqués du premier ministre polonais, d’échanger force sourires. De façade.
Car en réalité, entre Berlin et Paris, le torchon brûle. Bien sûr, les relations franco-allemandes n’ont jamais été sans nuage. Les contradictions et les frictions ont rarement manqué, et ce, dans une multitude de dossiers. Parmi ceux-ci, trois sont particulièrement connus : l’énergie (notamment nucléaire), les finances publiques (la mise en œuvre du Pacte de stabilité), et le commerce international (avec la Chine, le Mercosur…).
Mais c’est aujourd’hui un autre thème, et pas des moindres, qui enflamme les rapports entre les deux gouvernements : la manière de soutenir Kiev, et plus généralement la posture stratégique et militaire. Naturellement, l’appui au pouvoir ukrainien réunit les deux rives du Rhin, de même que l’espoir – irréaliste – d’infliger une défaite historique à la Russie. Mais l’opposition apparaît dès qu’il est question de la manière d’atteindre cet objectif – et accessoirement de défendre ses intérêts industriels et géostratégiques.
Paris et Berlin s'entendent pour soutenir Kiev, mais s'opposent sur le cadre et les moyens, ce qui alourdit encore les contradictions entre les deux capitales
Notre pays n’est pas en bonne santé. Pendant des années, les gouvernements ont ignoréles souhaits de la majorité. Au lieu de récompenser les performances, les richesses ont été redistribuées des travailleurs les plus laborieux vers les dix pour cent les plus riches. Plutôt que d’investir dans une gouvernance compétente et des services publics performants, les hommes politiques se sont pliés aux désirs de lobbies influents en vidant les caisses de l’État. Au lieu de respecter la liberté et la diversité d’opinion, une politique autoritaire se répand, qui cherche à dicter aux citoyens comment vivre, comment chauffer leurs maisons, comment penser et comment parler. Le gouvernement semble sans direction, à courte vue et, sur de nombreux sujets, tout simplement incompétent. Sans réorientation politique, nous mettons en péril notre industrie et notre prospérité.
De nombreuses personnes ont perdu confiance en l’État et ne trouvent pas de représentation dans les partis politiques existants. Ils estiment à juste titre qu’ils ne vivent plus dans le même pays que la République fédérale. Ils s’inquiètent de l’avenir de leurs enfants. Ils souhaitent une politique responsable, capable de préserver notre force économique, d’assurer la justice sociale et une répartition équitable des richesses, de maintenir la coopération pacifique entre les peuples et de préserver notre environnement.
"L’Union Sahra Wagenknecht - Pour le bon sens et la justice" a été fondée pour jeter les bases d’un nouveau parti qui donnera la parole au peuple. Nous plaidons pour un retour à une politique raisonnable. L’Allemagne a besoin d’une économie forte et innovante, de justice sociale, de paix et de commerce équitable, du respect des libertés individuelles de ses citoyens et d’un environnement propice à la discussion. Elle a besoin de politiciens fiables qui s’engagent à atteindre leurs objectifs. Les membres de notre organisation défendent les positions et les objectifs suivants, qui constitueront également la norme pour notre nouveau parti.
Sensibilité économique
Notre pays dispose encore d’une base industrielle solide et d’une classe moyenne performante et innovante. Mais les conditions économiques se sont considérablement détériorées au cours des dernières années. Notre infrastructure publique est dans un état déplorable par rapport aux normes d’une nation industrielle de premier plan. [...]
Nous aspirons à une économie axée sur l’innovation, caractérisée par une concurrence loyale, des emplois sûrs et bien rémunérés, axés sur la création de valeur industrielle, une politique fiscale équitable et le renforcement de la classe moyenne. À cette fin, nous voulons limiter le pouvoir de marché et décartelliser les entreprises qui dominent le marché. Lorsque les monopoles sont inévitables, la responsabilité doit être confiée à des prestataires publics. [...]
L’Allemagne, en tant que pays exportateur et pauvre en ressources, doit avoir une politique étrangère économique qui vise à établir des relations commerciales stables avec le plus grand nombre possible de partenaires et à garantir notre approvisionnement en ressources naturelles et en énergie abordable, plutôt que de se concentrer sur la politique des blocs et les sanctions. [...]
Justice sociale
Depuis des années, les inégalités se sont accrues dans notre pays. Des millions de personnes travaillent dur pour assurer leur confort et celui de leur famille. Ce sont elles qui font vivre notre société et qui paient la plupart des impôts. Au lieu de bénéficier du respect et de la sécurité sociale qu’ils méritent, leur vie est devenue progressivement plus difficile et plus précaire au cours des dernières décennies. [...]
La privatisation des services essentiels, tels que les soins de santé, les soins à domicile et le logement, doit être stoppée, et les fournisseurs agissant dans l’intérêt du bien-être public devraient être privilégiés dans ces secteurs. Une politique fiscale juste qui allège le fardeau des personnes à faible revenu et empêche les grandes entreprises et les riches particuliers de refuser leur contribution à la communauté. [...]
La paix
Notre politique étrangère est ancrée dans la tradition du chancelier Willy Brandt et du président soviétique Michail Gorbatchev, qui, contrairement à la logique de la guerre froide, ont mené une politique de détente, de réconciliation des intérêts et de coopération internationale. Nous sommes fondamentalement opposés à la résolution des conflits par des moyens militaires. Nous nous opposons à l’augmentation constante des ressources consacrées aux armes et au matériel de guerre, au lieu d’investir dans l’éducation de nos enfants, la recherche de technologies respectueuses de l’environnement ou l’entretien de nos infrastructures de santé. [...]
Une alliance militaire dont la principale puissance a envahi illégalement cinq pays au cours des dernières années et qui a tué plus d’un million de personnes au cours de ces guerres, alimente la peur et le ressentiment et contribue ainsi à l’instabilité mondiale. [...]
Notre pays mérite une politique indépendante, qui place le bien-être de ses citoyens au centre de ses préoccupations et qui reconnaît que les intérêts des États-Unis diffèrent parfois grandement des nôtres. Notre objectif est une Europe indépendante de démocraties souveraines dans un monde multipolaire et non la formation d’un nouveau bloc dans lequel l’Europe serait pulvérisée entre les États-Unis et le bloc de plus en plus sûr de lui qui se forme autour de la Russie et de la Chine. [...]
La liberté
Nous voulons raviver la liberté d’opinion démocratique, élargir la participation démocratique et protéger les libertés individuelles. Nous rejetons les idéologies d’extrême droite, racistes et violentes de toutes sortes. Annuler La culture, la pression pour se conformer et le spectre d’opinion de plus en plus étroit sont fondamentalement incompatibles avec une société libre. Il en va de même pour la nouvelle tendance politique autoritaire qui prétend éduquer les gens et leur dicter leur mode de vie et leur discours. Nous condamnons les tentatives de surveillance et de manipulation des personnes par les entreprises, les services secrets et les gouvernements.
L’immigration et la coopération entre les cultures ne peuvent être que bénéfiques. Mais seulement si l’afflux est limité de manière à ne pas submerger l’infrastructure de notre pays, et si l’intégration est activement encouragée et réussie. Nous savons que le poids de la concurrence accrue pour les logements abordables, les emplois à bas salaires et le coût de l’échec de l’intégration ne sont pas essentiellement supportés par ceux qui mènent une vie privilégiée. Ceux qui sont politiquement persécutés ont droit à l’asile. Mais l’immigration n’est pas la solution à la pauvreté dans le monde. Nous avons plutôt besoin de relations économiques équitables et de politiques qui s’efforcent de créer davantage d’opportunités dans leurs pays respectifs. [...]
Des policiers demandent à un homme à l’extérieur de la tombe du mémorial de guerre soviétique dans le parc de Treptow de fermer sa veste pour cacher son T-shirt montrant un marteau et une faucille lors du 78e anniversaire du jour de la victoire et de la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe, à Berlin, le mardi 9 mai 2023. [AP Photo/Markus Schreiber]
Lu sur le site de WSWS. C'est le site du Comité international de la Quatrième Internationale. Il y a actuellement des sections (toutes appelées « Parti de l'égalité socialiste ») aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Allemagne, au Sri Lanka, en Australie, au Canada, et en France depuis 2016
Les 8 et 9 mai, Berlin accueille traditionnellement de nombreux événements commémoratifs pour marquer la fin de la Seconde Guerre mondiale en Europe. À ces deux dates, la Wehrmacht allemande signa la capitulation sans conditions en 1945 à Reims, en France, et à Berlin-Karlshorst, en Allemagne. Le régime nazi fut finalement écrasé. Adolf Hitler s’était suicidé huit jours plus tôt.
La charge principale de la lutte contre l’Allemagne hitlérienne a été supportée par l’Armée rouge de l’Union soviétique, qui a vaincu la Wehrmacht au prix d’immenses sacrifices. Au moins 13 millions de soldats soviétiques et 14 millions de civils ont perdu la vie pendant la guerre. Mais lors des événements commémoratifs de Berlin cette année, la présence du drapeau soviétique a été interdite. Le Sénat de Berlin a fait appel à plus de 1500 policiers pour faire respecter l’interdiction dans les environs des trois monuments commémoratifs soviétiques à Treptower Park, Tiergarten et Schönholzer Heide. Il y avait plus de policiers que visiteurs.
Au moins 13 millions de soldats soviétiques et 14 millions civils perdirent la vie pendant la guerre. Mais à l'occasion des évènements commémoratifs à Berlin cette année, le déploiement du ...
Publié le 20 janvier sur le blog "Histoire et société"
Hier 2 millions de Français se sont mobilisés, ce jeudi 20 janvier contre la politique des ceux qui prétendent imposer la misère, la fin des conquis sociaux. Macron et la majorité de ses ministres avaient déserté. A Davos, la pression des mêmes s’accentuait contre l’Allemagne qui traîne des pieds face à l’entrée en guerre et avec une opinion publique comme ici en particulier dans l’ancienne RDA qui refuse la guerre. Une telle mobilisation ne peut avoir lieu que dans la clarté et donc se heurter à ce que l’on laisse se développer dans l’opinion publique française, dans la gauche au plan international et qui est bellicisme et fascisme. Un combat pour la paix est nécessaire à ce vaste mouvement de hier. Ce sont les directions de partis qui sont les plus alignés sur l’OTAN, la population française, celle qui était mobilisée hier pour les retraites ne veut pas de la guerre de l’OTAN. Pourtant la réalité est là: “Depuis une semaine et l’annonce par Londres de l’envoi futur de 14 chars Challenger II, la guerre semble s’être accélérée. Du moins, les bordereaux de livraison d’armes et de matériel à destination de Kyiv se sont multipliés – la Suède, le Danemark et de nouveau le Royaume-Uni ont annoncé, ce jeudi, l’envoi de canons et de missiles. Depuis près de onze mois et l’invasion russe de son pays, Volodymyr Zelensky répète chaque jour inlassablement ses souhaits : une zone d’exclusion aérienne au-dessus de l’Ukraine, des armes lourdes, des munitions et des chars modernes de conception occidentale. Pour la première fois, les alliés de Kyiv semblent être disposés à exaucer son dernier vœu. Réunis ce vendredi sur la base militaire de l’Otan à Ramstein en Allemagne, ils doivent discuter de la coordination et des modalités dans l’envoi d’armes lourdes. Et ce malgré l’avertissement ce jeudi du Kremlin d’un risque d’«escalade» du conflit en cas de «livraison d’armes longue portée» à leurs ennemis.” C’est pourquoi il faut donner de l’ampleur aux initiatives annoncées pour le début février à Paris le PRCF et l’ANC, comme à la signature du texte lancé par les militants du PCF en faveur de la paix. (note de Danielle Bleitrach, traduction Marianne Dunlop)
17.01.2023
Le 14 janvier, une conférence sur Rosa Luxemburg du quotidien marxiste Junge Welt s’est tenue à Berlin pour la première fois depuis 2020 dans un format en face à face, et non en tant qu’événement vidéo en raison de la pandémie, avec de nombreux intervenants également de l’étranger, notamment de Cuba, de Chine et de Russie. Plus de 3 000 personnes ont assisté à la conférence sur place, et plus de 16 000 en ligne. Il s’agissait de l’agression de l’OTAN contre la Russie et la Chine, du blocus de Cuba et de la politique agressive de l’impérialisme occidental dans son ensemble.
Dans la soirée, l’événement traditionnel du Nouvel An du Parti communiste allemand a eu lieu, auquel ont assisté plusieurs centaines de personnes, dont de nombreux invités internationaux. Dans son discours, le président du GCP, Patrick Köbele, a notamment noté que l’Union soviétique revêt encore une grande importance aujourd’hui :
« Pourquoi? Premièrement, l’Union soviétique était un état de paix. Le décret de paix est son acte de naissance.
Hier 2 millions de Français se sont mobilisés, ce jeudi 20 janvier contre la politique des ceux qui prétendent imposer la misère, la fin des conquis sociaux. Macron et la majorité de ses minis...
Lors de la foire de Fürth, foire très connue en Allemagne, des militants du "Forum social" ont décidé de marquer leur opposition à la politique gouvernementale en oragnisant une distribution de tracts. Contre la vie chère, contre les sansctions contre la Russie, contre les livraisons d'armes à l'Ukraine.
Sur les pancartes des slogans :
"Aujourd'hui, c'est notre fête foraine et si on n'a pas d'argent, on peut faire du bruit" ... un extrait d'une chanson populaire très chantée à Fürth.
"Nous devenons pauvres
Mais pas les grosses industries de l'armement
C'est complètement fou
NON à la course aux armements"
"Limitation des prix sur les produits alimentaires"
Ce qui est notable, c'est que l'accueil fut bon. Comme d'habitude, certains refusaient les tracts, mais ceux qui les prenaient les lisaient avec attention. Comme si ils attendaient une expression sur ces questions.
Lier la question de la vie chère aux sanctions et aux livraisons d'armes me parait décisif.Et rencontrerait en France un accueil favorable.
Ce qui est sûr, c'est qu'un tel type d'initiative, avec ces positions et ces slogans n'a pas encore été organisé en France.
image d'illustration
Alle weiteren Folgen unter: https://www.youtube.com/watch?v=zkk-HlEJn-I&list=PL0OS9H09ehtKudwJTi5ioN0xRLuA12TqkMehr Infos auf: https://kommunistische.org/int...
Le deuxième épisode se penche sur l'économie et la vie professionnelle. Après l'expropriation de l'industrie et de l'agriculture, des conditions de travail et de vie complètement nouvelles sont apparues en RDA. L'
La crise politique de Die Linke, doublée par la défection d'Oskar Lafontaine, sonne le glas de la gauche dans le Land de Sarre. Un bastion du Parti de gauche en Allemagne de l'Ouest.
Article et traduction Nico Maury
Les élections régionales se déroulaient en Sarre ce dimanche et elles ont donné une très large victoire aux Sociaux-démocrates (SPD) qui remportent 43,50% des voix (+13,89) et la majorité absolue au Landtag avec 29 des 51 sièges (+12).
Les conservateurs de la CDU subissent une lourde défaite avec seulement 28,55% des voix (-12,15) et 19 sièges (-5). L'extrême droite de l'Alternative pour l'Allemagne (AfD) sera le dernier parti à être représenté au Landtag avec 3 sièges et 5,67% des voix (-0,51).
Les autres formations ne franchissent pas le seuil des 5% pour obtenir une représentation.
Les Verts échouent à 23 voix et ne remportent 4,99% des voix (+0,98). Les Libéraux remportent 4,78% des voix (+1,52).
Pour Die Linke c'est la déroute. Le Parti de gauche remporte 2,58% des voix (-10,27) et perd tous ses sièges. Il est même talonné par le Parti de protection des animaux (Tierschutz) qui remporte 2,30% des voix. [...]
La crise politique de Die Linke, doublée par la défection d'Oskar Lafontaine, sonne le glas de la gauche dans le Land de Sarre. Un bastion du Parti de gauche en Allemagne de l'Ouest. Article et ...
C'est en tout cas ce qu'on doit se dire du côté de Washington. L'on savait que le nouveau gouvernement post-Merkel, difficile à constituer, pourrait devenir une boîte à surprises et l'on n'est pas déçu ; ces satanés teutons ont une fâcheuse tendance à sortir des clous dessinés par tonton Sam... La ministre allemande de la Défense refuse d'envoyer des armes en Ukraine, arguant avec bon
Le chef de la Marine allemande, Kay-Achim Schönbach, avait qualifié "d'inepties" les intentions prêtées par les alliés de l'Otan à la Russie d'envahir l'Ukraine. Sommé de s'expliquer auprès...
Les syndicats de la SNCF sont unanimes : ils exigent “un moratoire” sur le redécoupage de Fret SNCF en deux sociétés distinctes, Hexafret et Technis, qui doit prendre effet le 1er janvier 2025. Sans quoi, ils feront grève à compter du 11 décembre. Le...
Capture d'écran sur REPORTERRE
L'Allemande madame Ursula von der Leyden, patronne de la Commission européenne, adoubée à ce poste par les 27 chefs d'état et de gouvernement, vient de parapher le Mercosour en se déplaçant en Uruguay. L'Allemagne, chef...
La CGT appelle l’ensemble des salarié.e.s à se mobiliser par la Grève et à s’inscrire massivement dans les initiatives du 12 décembre ! - DIEPPE : 10H30 - Place Pierre Semard (Gare SNCF Dieppe) - Rassemblement. - FONTAINE LE BOURG : 10H30 - Devant Usine...
Deux TACTIQUES opposées pour dénouer la crise de régime en France A lors que, reconnaissons-lui ce mérite, la France Insoumise (LFI) refuse de composer avec Macron, en négociant au rabais pour entrer dans un éventuel gouvernement Lecornu, Cazeneuve ou...
Dimanche 8 décembre 2024 Une déclaration importante du Parti communiste turc pour comprendre ce qui se joue en Syrie Le gouvernement AKP, avec Israël, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France, a lancé une opération globale en Syrie. Hay’at Tahrir al-Sham,...
R ony Brauman a été président de Médecins sans frontières de 1982 à 1994. Il est actuellement membre du Centre de réflexion sur l’action et les savoirs humanitaires (CRASH) de Médecins sans frontières. Une voix importante pour nous parler de la situation...
Mis en ligne sur Ruptures le 29 novembre 2024
Les ministres des affaires étrangères des vingt-sept pays de l’Union européenne se sont réunis le 18 novembre à Bruxelles. C’était probablement la dernière rencontre présidée par Josep Borrel, le chef de la...
Douarnenez la vaillante, en prise sur l'avenir
30/11/2024. Douarnenez. Les syndicats CGT de Douarnenez, leur UL, l'UD 29 et ses syndicats, fêtent le 100e anniversaire de la grève des sardinières. Festif et combattif un beau cortège à travers la ville,...
Édité par Reynaldo Henquen 2024-12-05 09:02:30 Par María Josefina Arce La politique économique du président argentin, Javier Milei, continue de faire des ravages dans des domaines clés comme la santé, qui fait face à des coupes budgétaires et à un exode...
Roumanie : la Cour constitutionnelle annule l’élection présidentielle sur fond de "suspicion d’ingérence russe" Le deuxième tour de l’élection présidentielle était prévu dimanche 8 décembre. Au premier tour, le candidat nationaliste Calin Georgescu était...