Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 07:21

Lu sur Michel El Diablo.  Info.

Solidarité avec le Parti communiste grec (KKE) : Déclaration commune des Partis Communistes

Chers Camarades,

 

Nous partis communistes et ouvriers, suivons les développements en Grèce, l’offensive de l’Union européenne, du Capital et de ses représentants politiques contre les travailleurs et les droits des personnes.

Nous, Partis Communistes et Ouvriers, nous avons soutenu les luttes des travailleurs grecs et nous exprimons notre solidarité internationaliste avec à la lutte du KKE et lui apportons notre soutien.

Pendant de nombreuses années, les gouvernements de la Nouvelle Démocratie et du PASOK, en coopération avec l’UE, la BCE et le FMI, ont appliqués des mémorandums et de dures lois antipopulaires avec des conséquences douloureuses pour la classe ouvrière et les secteurs populaires.

Aujourd’hui, l’accord antipopulaire, le troisième mémorandum, qui a été signé par le gouvernement SYRIZA-ANEL, et soutenu par la ND et le PASOK, avec la Troïka, maintient les mesures antipopulaire des anciens gouvernement et impose de nouvelles charges sur travailleurs grecs, des taxes insupportables, l’abolition des droits du travail et de la sécurité sociale, des réductions des salaires et des pensions, des privatisations, etc., aggravant encore la situation des familles de la classe ouvrière

Ces événements nous permettent de tirer des conclusions utiles pour renforcer la lutte populaire :

Le capitalisme ne peut être humanisé. Il ne débouche que sur la crise, le chômage et la pauvreté. En fait, il a été démontré que quelle que soit la gestion de ce système, cela exacerbe les problèmes du peuple tout en augmentant les profits du grand capital.

L’Union Européenne est une organisation impérialiste réactionnaire. « Démocratie », « solidarité » et la justice sociale ne peuvent pas exister en restant dans son cadre.

Nous, les partis communistes et ouvriers qui avons signé ce message, nous apprécient la position résolue et cohérente du KKE au côté de la classe ouvrière et du peuple grec pour la suppression des mémorandums, contre l’accord antipopulaire signé par le gouvernement de SYRIZA-ANEL (et les autres partis politiques de la bourgeoisie) avec la Troïka (UE-BCE-FMI).

Nos partis saluent la lutte des communistes en Grèce pour les droits des travailleurs et le renversement populaire de la barbarie capitaliste et pour le socialisme.

Le PRCF solidaire de ses camarades Grèce répond présent, et aux cotés des partis communistes et ouvriers est signataire de cette déclaration (22 Juillet 2015).

Partis Communistes initiateurs de l’appel (17 juillet 2015) :

-Parti Communiste d’Albanie

-Parti Communiste d’Australie

-Parti des Travailleurs d’Autriche

-Parti Algérien pour la démocratie et le socialisme (PADS),

-Parti Communiste du Bangladesh

-Parti Communiste des Travailleurs de Biélorussie

-Parti Communiste Brésilien

-Parti Communiste de Grande Bretagne

-Parti Communiste de Bulgarie

-Parti des Communistes Bulgare

-Union des Communistes de Bulgarie

-Parti Communiste du Canada

-Parti Communiste du Danemark

-Union Parti Communiste de Géorgie

-Parti des Travailleurs de Hongrie

-Parti des Travailleurs d’Irlande

-Mouvement Socialiste du Kazakhstan

-Parti Communiste du Luxembourg

-Parti Communiste de Macédoine (FYROM)

-Parti Communiste de Malte

-Parti Communiste du Mexique

-Parti Socialiste Populaire du Mexique

-Nouveau Parti Communiste des Pays Bas

-Parti Communiste du Pakistan

-Parti Communiste Palestinien

-Parti Communiste Philippin [PKP-1930]

-Parti Communiste de Pologne

-Parti communiste des ouvriers russes

-Parti Communiste d’Union Soviétique

-Nouveau Parti Communiste de Yougoslavie

-Parti Communiste de Slovaquie

-Parti Communiste Sud-Africain

-Parti Communiste des Peuples d’Espagne

-Parti Communiste Syrien

-Parti Communiste (Turquie)

-Union des Communistes d’Ukraine

-Parti Communiste des USA

-Route de la liberté Organisation Socialiste (USA)

-Parti Communiste du Venezuela

 La déclaration est ouverte à d’autre signature  (le 20 juillet 2015)

 

SOURCE:

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2015 6 25 /07 /juillet /2015 07:07

Pour signer la pétition, cliquez sur le titre ci-dessus

#SaveSusiya - Stoppons l’expulsion !

Monsieur le Ministre,

Citoyen(ne) soucieux(se) du respect des droits de l’Homme, je suis particulièrement inquiet(e) par la menace imminente de démolition pesant sur le village de Susiya en Cisjordanie.

La Haute cour de justice israélienne a donné l’autorisation à l’Administration civile de démolir le village de Khirbet Susiya, expulsant ainsi ses résidents de leurs terres. Pourtant, ceux-ci avaient fait appel suite au rejet de leur proposition de plan d’urbanisme pour le village, appel qui est toujours en attente. A tout moment l’Administration civile pourrait démolir les maisons du village, laissant ses résidents sans abris et dans des conditions difficiles. Ce mode opératoire permet aux autorités israéliennes de prendre le contrôle de nouvelles terres et d’évincer les communautés de la zone C. Bien que l’annexion ne soit pas officielle, la dépossession et l’annexion sont réelles sur le terrain.

Pourquoi agir maintenant ?

A tout moment, l’Administration civile israélienne (AC) pourrait démolir toutes les maisons et structures de Khirbet Susiya, un petit village palestinien situé dans les collines du Sud d’Hébron en Cisjordanie. Le 4 mai 2015, la Haute cour de justice a rejeté la demande de mesure provisoire qui aurait empêché l’AC de mettre en œuvre son ordre de démolition. La demande avait été faite à travers un recours présenté par les habitants du village, dernière mesure possible dans leur bataille contre la décision des autorités israéliennes de les transférer de force de leur foyer situé en zone C, à la zone B ou A. Cette mesure est partie intégrante de la politique israélienne d’annexion de facto de la zone.

Pourquoi des ordres de démolitions ont-ils été émis ?

Les résidents de Khirbet Susiya ont été expulsés de leur village d’origine dans les années 1980, après que l’AC l’ait déclaré « parc national ». Ils se sont donc installés sur leurs terres agricoles mais les autorités israéliennes ont tenté de les expulser à nouveau. Après une bataille juridique prolongée, les habitants ont pu rester sur leurs terres, mais l’AC émit des ordres de démolition concernant toutes les maisons, et refusa le plan d’urbanisme que les résidents avaient élaboré pour le nouveau village. Ceux-ci se sont alors adressés à la Haute cour de justice avec l’aide de l’ONG israélienne Rabbis for Human Rights. Ils ont soulevé le fait que l’AC avait rejeté leur plan sur des bases discriminatoires, et ont demandé à la Cour de suspendre l’ordre de démolition le temps qu’elle étudie le recours. Le juge Noam Solhberg a rejeté la demande.

Pourquoi la démolition constitue une expulsion ?

Sans maisons dans lesquelles vivre, les résidents se retrouveront sans toit, dans des conditions désertiques difficiles. Démolir toutes les structures du village constituerait un acte illégal et cruel. Le droit international humanitaire interdit la démolition de maisons dans de telles circonstances, ainsi que le transfert forcé d’une population sous occupation. Par expérience, si les résidents sont forcés de quitter leurs terres, les colons en prendront le contrôle avec le soutien de l’Etat, comme ils l’ont déjà fait sur 300 hectares du village.

Susiya dans une perspective globale

L’histoire de Khirbet Susiya est l’histoire de beaucoup d’autres communautés palestiniennes de la zone C. Pendant des années, les autorités israéliennes ont utilisé de nombreux moyens pour pousser les Palestiniens de la zone C vers les zone A et B, s’appuyant sur des lois d’urbanisme. La plupart des Palestiniens en zone C vivent dans des villages que les autorités israéliennes refusent de connecter aux réseaux d’électricité et d’eau. Les résidents n’ont d’autre choix que de construire sans permis et vivent constamment sous la menace de démolition et d’expulsion. Parallèlement, dans la même zone, des structures sont construites illégalement dans les colonies et avant-postes israéliens. Non seulement l’AC ferme les yeux sur ces cas, mais aide activement les colons en les connectant aux réseaux d’électricité et d’eau.

Source : B’tselem

Adressée à
Ministre des Affaires étrangères Monsieur Laurent Fabius
#SaveSusiya - Stoppons l’expulsion !
Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 15:43
Le "prosommateur" : qu'est-ce que c'est ?
Lu sur le site de Rutures.
« Prosommateur ». La Commission européenne a forgé un nouveau terme dans la novlangue qu’elle affectionne. Il figure dans le communiqué publié le 15 juillet et décrivant la « nouvelle organisation du marché de l’électricité » pour l’UE, dans le cadre d’un nouveau « paquet » sur l’énergie proposé par Bruxelles. Le « prosommateur » désigne le particulier qui doit être à la fois être producteur d’énergie et consommateur, « à même d’agir comme des vendeurs et des acheteurs – avec l’appui d’entreprises innovantes leur proposant de nouveaux services fondés sur des règles de facturation et de publicité plus claires et comparables mais aussi grâce à des actions collectives permettant de faire jouer leur pouvoir de négociation considérable ». Ainsi les lois du marché s’inviteront au cœur des foyers, transformant chaque père de famille en petit « trader » d’énergie ! Un travail à temps plein… qui ne réduira toutefois pas le chômage en Europe.
Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 14:11

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 14:07

Publié par Michel El Diablo

Plusieurs milliers de manifestants ont répondu à l'appel de l'union syndicale CGTP-IN contre les politiques d'austérité du gouvernement. Patricia De Melo Moreira/AFP

Plusieurs milliers de manifestants ont répondu à l'appel de l'union syndicale CGTP-IN contre les politiques d'austérité du gouvernement. Patricia De Melo Moreira/AFP

5000 manifestants anti-austérité s'étaient réunis mercredi 22 juillet 2015 devant le Parlement à Lisbonne pour réclamer la fin des politiques de rigueur et un changement de gouvernement. 

Environ 5000 manifestants ont répondu à l'appel de la confédération syndicale CGTP-IN, proche du parti communiste portugais, pour faire cesser les politiques d'austérité appliquées par le gouvernement.
 
«C'est l'heure de dire basta à ce gouvernement. Il faut emprunter une autre voie et renégocier la dette afin de dégager des ressources pour le développement du pays», a lancé Armenio Carlos, secrétaire général de la CGTP, proche du Parti communiste. La confédération appelle également le gouvernement à revoir «ses politiques antisociales et destructrices d'emplois». 

Le Portugal, en situation de défaut de paiement, avait reçu une aide internationale de 78 milliards d'euros en avril 2011. Deux mois plus tard, une coalition de centre-droit menée par l'actuel premier ministre, Pedro Passos Coelho, remporte les élections législatives. Depuis, le gouvernement a tâché  d'appliquer les contreparties réclamées par les bailleurs du Portugal, à savoir, un sévère programme de rigueur et de réformes.

En mars 2013, un demi-millions de Portugais s'étaient réunis pour protester massivement contre l'austérité. Depuis, des grèves et des manifestations sont régulièrement organisées dans les secteurs public et privé. 


Les prochaines élections législatives auront lieu en septembre et octobre 2015. L'actuel premier ministre vise un second mandat face à son rival, le secrétaire général du Parti socialiste, Antonio Costa. La confédération syndicale CGTP-IN appelle à la mobilisation des travailleurs au cours des prochains mois.
 
SOURCE:
Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 14:04

Quand donc le PCF cessera-t-il de répéter "il faut faire bouger l'Europe"  et  d'accepter, de fait, les diktats de l'UE?  L'UE n'acceptera jamais de fixer des prix rémunérateurs pour les agriculteurs et de les imposer à la grande distribution et à l'industrie agro-alimentaire, .  Elle n'a pas été construite pour cela.  Dès ses débuts elle a eu pour valeur le marché libre et l'ouverture des frontières.  Laisser croire cela, c'est mentir aux agriculteurs.

La déclaration d'André Chassaigne, qui trouve que le ministre socialiste de l'Agriculture fait pour le mieux, est fatale pour les luttes.  Elle encourage à la résignation et à la fatalité.  Elle laisse le terrain libre aux tenants des orientations européennes : les lobbies de l'agroalimentaire et de la grande distribution, le gouvernement, la droite et et la FNSEA.  Il faut oser affronter l'Union Européenne !  Il faut dire aux agriculteurs que c'est à l'Union Européenne qu'il faut s'en prendre!  Et considérer que la sortie de l'euro et de l'Union Européenne doit être débattue avec tous ceux qui souffrent des politiques européennes.YG.

Sur France 3 Auvergne, une déclaration d'André Chassaigne, pour le groupe Front de gauche.

Le chef de file des députés Front de gauche, André Chassaigne, a estimé mardi qu'il faut "encadrer les marges de la distribution" pour répondre à "la situation d'étranglement" des éleveurs.

  • AFP
  • Publié le 21/07/2015 | 16:07, mis à jour le 21/07/2015
r c'est

André Chassaigne, député communiste du Puy-de-Dôme. © AFP PHOTO / BERTRAND GUAY

© AFP PHOTO / BERTRAND GUAY André Chassaigne, député communiste du Puy-de-Dôme.

 

"Je ne mets pas en cause les réponses apportées par le Premier ministre, le ministre de l'Agriculture, qui, dans le cadre dont on dispose sur les questions agricoles, font pour le mieux", a déclaré le député communiste du Puy-de-Dôme devant la presse.
           
Mais, a-t-il souligné, les éleveurs sont dans "une situation d'étranglement, avec une grande colère qui peut prendre une très grande importance". Avec le "poids de la distribution, le poids des intermédiaires, au final les producteurs ne peuvent pas vivre de leur travail".
           
Qualifiant "d'ignoble" la façon dont les éleveurs doivent négocier les prix d'achat avec la grande disribution, André Chassaigne a estimé que "si elle n'est pas obligée réglementairement de faire des efforts, elle ne tient pas ses engagements", rappelant avoir déposé des propositions de loi à ce sujet, dont la dernière en 2011.
 
"On se heurte à des interdictions du droit européen qu'il faut faire bouger, mais il faut des prix planchers, qu'on appellera +indicatifs+ parce qu'on n'a pas le droit de dire prix planchers, et des mécanismes de coefficient multiplicateur, qui existent pour les fruits et légumes, qui permettent d'articuler avec le prix à la distribution", a-t-il dit.
           
"Si on n'encadre pas les marges de la distribution, on n'aura pas de solution", a insisté André Chassaigne.

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 09:05

mis en ligne le 23 juillet 2015

 

Le syndicat agricole MODEF demande au gouvernement : "il faut exiger de l’UE l’exemption agricole des règles de la libre concurrence et prendre dès aujourd’hui en France des mesures législatives de fixation de prix minimum garantis pour les produits d’élevage" ...

Un voeu pieux.  Comment imaginer que l'Allemagne cédera sur une telle ligne et que Hollande obtiendra satisfaction, lui qui cède toujours aux souhaits d'A. Merkel et de ses amis socialistes allemands, depuis le traité d'austérité Sarkozy-Merkel du début de mandat jusqu'au dernier memorandum meurtrier infligé à la Grèce ?

L'expérience grecque le montre.  L'euro et l'UE, c'est l'austérité et la liberté des plus gros contre les plus petits. 

Pour les agricluteurs, c'est la disparition des exploitations familiales et la promotion des fermes usines.  Ce sont les grandes surfaces et les industries agro-alimentaires dictant leur loi et leurs prix au nom de la concurrence et de la compétitivité. 

Le moment est venu de réclamer tous ensemble la sortie de l'euro et de l'UE qui ont détruit l'économie natioanle. 

AC

MODEF : APPEL A REJOINDRE LES MANIFESTATIONS

Le plan de soutien à l’élevage français présenté le 22 juillet par le ministre de l’agriculture n’est pas à la hauteur.

Sur les 600 Millions d’Euros de mesures d’allègement de trésorerie seuls 100 millions constituent une aide réelle, le reste n’est que report d’échéances.

Les mesures dites structurelles ne règleront en rien le problème des prix à la production puisqu’elles ne concernent que l’exportation et que ce marché est en concurrence directe avec les pays tiers exportateurs où les distorsions de concurrence sont majeures. Dans le même temps où le gouvernement prône l’exportation pour régler la crise, il participe via la création de zone de libre-échange Européenne à ouvrir les frontières à l’importation de viande bovine, porcine, ovine et lait à prix cassés. Est-ce la nouvelle définition du développement durable et du bon sens paysan ?

Avec leur bon sens, les paysans réclament à cors et à cris des prix rémunérateurs. Mais cette revendication des éleveurs contrevient aux règles de la concurrence libre et non-faussée énoncées dans les traités qui fondent l’UE et votés par les gouvernements successifs.

Alors il faut exiger de l’UE l’exemption agricole des règles de la libre concurrence et prendre dès aujourd’hui en France des mesures législatives de fixation de prix minimum garantis pour les produits d’élevage assorties d’un coefficient multiplicateur entre fournisseurs et distributeurs.

Concernant les mesures d’urgence, le MODEF revendique la suppression pour 2015 des assiettes minimum de cotisations sociales des exploitants, l’exonération des cotisations volontaires obligatoires et autres taxes sur les produits d’élevage, la restructuration des dettes avec des prêts à taux 0%...

Pour faire valoir le droit à vivre de son travail, le MODEF appelle ses adhérents et l’ensemble des exploitants familiaux à rejoindre les manifestations en cours et prendre des initiatives d’actions là, dans les zones non couvertes par ces manifestations d’éleveurs.

Angoulême, le 23 juillet 2015

Partager cet article
Repost0
24 juillet 2015 5 24 /07 /juillet /2015 08:40
Partager cet article
Repost0
23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 22:03

Cet article est reposté depuis Canaille le Rouge, son c@rnet, ses p@ges..

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2015 4 23 /07 /juillet /2015 21:44

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents