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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
23 février 2017 4 23 /02 /février /2017 00:28
Thierry RABILLER Publié 21/02/2017 sur Paris-Normandie.fr

    Santé. Le pic de grippe est passé en Normandie mais la tension est loin d’être retombée au CHU de Rouen. L’intersyndicale SUD-CGT-FO-CFTC dénonce la rupture du dialogue social avec la direction.

    Les fédérations CGT, FO et SUD appellent tous les hospitaliers à faire grève le 7 mars et à manifester à Paris sous les fenêtres de Marisol Touraine. Elles réclament toujours l’abrogation de la loi Santé, le retrait du décret Groupement hospitalier de territoire (GHT), l’amélioration des conditions de travail...

    Car pour comprendre le malaise social qui s’est installé depuis plusieurs mois au CHU de Rouen, il est nécessaire de le replacer dans le contexte national.

    L’intersyndicale SUD-CGT-FO-CFTC du CHU de Rouen convient que leur directrice, Isabelle Lesage, répercute localement la politique ministérielle. Mais ce que les représentants syndicaux ne digèrent pas, c’est la méthode employée par le successeur du regretté Bernard Daumur. « Pour nous, le paquebot sanitaire a plutôt des airs de Titanic avec un capitaine qui applique aveuglément une politique de maîtrise comptable des dépenses de santé au mépris des conditions de travail des agents et donc au final de la qualité des soins pour les usagers. »

    En pratique, le dialogue social est totalement rompu entre la direction générale et les instances syndicales. « On peut parler d’une mutinerie du personnel avec un blocage depuis cinq mois des instances représentatives où ne siège plus la majorité des organisations syndicales représentant 2/3 du personnel, une situation inédite qui vise à dénoncer le mépris de la direction pour les avis négatifs émis dans les instances contre la nouvelle gestion du temps de travail. »

    Les sujets qui fâchent ne manquent pas et après cinq mouvements de grève déclenchés depuis octobre 2016, un sixième est dans les tuyaux...

    La gestion de la grippe

    Dans nos colonnes, en janvier, Isabelle Lesage estimait que le plan « hôpital sous tension » avait permis au CHU de bien gérer cette crise sanitaire hivernale. « On a vu des lits s’accumuler dans les couloirs des urgences mal préparées à traiter un afflux de patients. On a doublé, voire triplé les chambres sans avoir les équipements médicaux nécessaires. Des patients ont dû choisir entre le déjeuner et le dîner faute de repas en nombre suffisant (...) Consigne a été donnée au Samu de dérouter les malades vers d’autres établissements (...) »

    [...]

    La suite ci-dessous

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    18 février 2017 6 18 /02 /février /2017 10:44
    Le Havre : surchauffe à l'hôpital Monod
     

    © France 3 Normandie © France 3 Normandie

    Les syndicats de l'hôpital Monod du Havre veulent alerter sur l'état des services d'urgences. Le personnel fait face à une surfréquentation depuis fin décembre. 

    Par Ludivine Aurelle

    L'hôpital du Havre en surchauffe ? Depuis plusieurs semaines, les urgences adultes de Jacques Monod font face à une surfréquentation. Habituellement, le service accueillait jusqu'à 135 patients par jour. Ces derniers temps, ce sont environ 175 personnes qui viennent consulter.

    Cellule de crise déclenchée

    La direction de l'hôpital a mis en place une cellule de crise, c'est-à-dire un dispositif pour pallier à la saturation des urgences adultes. Une unité supplémentaire et temporaire, l'unité 24, a été créée en janvier. Vingt-quatre infirmières, aide-soignants et un nouveau médecin ont été embauchés dans cette unité qui devrait fermer fin avril s'il n'y a plus de besoin. 

    Du côté des urgences pédiatriques, 12 lits supplémentaires ont été installés l'année dernière. Les horaires des médecins ont alors été aménagés de sorte à ce qu'ils travaillent surtout après 18h. 

    Les syndicats alertent

    La direction de l'hôpital explique que les moyens déployés correspondent aux besoins sans pour autant évoquer de crise en tant que telle. Les syndicats, eux, tirent la sonnette d'alarme. Ils dénoncent les longues files d'attente des patients aux urgences mais aussi l'intensification du travail du personnel. Une intensification qui pourrait aller jusqu'au "burn-out" selon eux.

    [...]

    Video sur le site de FR3 Normandie ci-dessous

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    14 février 2017 2 14 /02 /février /2017 22:56
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    11 février 2017 6 11 /02 /février /2017 18:02
    Toulouse - Les étudiants appellent à la journée de grèves et manifs des services publics le 7 mars

    10 février – https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=969819759786675&id=689976674437653

    Voici l’appel voté hier par l’Assemblée Générale de la fac du Mirail à laquelle nous étions autour de 300.

    Rendez-vous le 7 mars dans la rue !

    #GrèveDansLesFacs
    #Le7MarsDansLaRue
    #BonnesVacances

    ——————————

    De la maternelle à l’Université, mobilisons-nous pour un réel service public d’enseignement, contre la sélection et la fusion des universités !

    Les étudiantEs et personnels de l’Université Toulouse – Le Mirail (UT2J) et leurs organisations syndicales (CGT, FO, FSU, SUD Éduc, Solidaires étudiantEs, Union des ÉtudiantEs de Toulouse et UNEF) appellent l’ensemble des établissements universitaires et d’enseignement primaire et secondaire à se mobiliser pour de meilleures conditions d’étude et de travail en exigeant :

    – le retrait des projets de fusion et de grands établissements ;
    – l’arrêt des politiques de sélection en L1 et en Master 1 ;
    – des moyens pour l’éducation à la hauteur des besoins, pour une enseignement public de qualité et ouvert à touTEs par le biais d’un réinvestissement massif de l’État dans l’enseignement supérieur et le recherche et dans l’éducation.

    Nous appelons dès maintenant à rejoindre partout la journée nationale de grèves et de manifestations qui aura lieu le mardi 7 mars 2017 dans les services publics.

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    9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 17:17
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    8 février 2017 3 08 /02 /février /2017 22:01
    UD-CGT SEINE-MARITIME - Grève et montée à PARIS - Pour défendre la sécurité sociale et l'Hôpital public -Pour défendre les services publics.
    UD-CGT SEINE-MARITIME - Grève et montée à PARIS - Pour défendre la sécurité sociale et l'Hôpital public -Pour défendre les services publics.
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    8 février 2017 3 08 /02 /février /2017 21:21

    Communiqué CGT, FO, Solidaires

    Les Unions Départementales des syndicats CGT , Force Ouvrière et Solidaires de Seine Maritime, dans la continuité du combat contre la loi travail, soutiennent les mobilisations en cours en défense des services publics, de l’hôpital, de l’action sociale, de la sécurité sociale.

    Elles appellent leurs structures syndicales à mettre tout en œuvre pour organiser, élargir et soutenir concrètement les actions du 7 mars et notamment la grève et la montée à Paris *.

    Elles conviennent de se retrouver le 13/02/17 à 17h.

     

     

    * Elles informent que déjà de nombreux secteurs répondent positivement et les appels se multiplient dont les organisations syndicales de retraités UCFR-FO, UCR-CGT et UNIR-Solidaires qui invitent l’ensemble des retraités à soutenir l’action des personnels hospitaliers et à participer à la manifestation nationale du 7 mars à Paris.

     

    Rouen, le 06/02/2017

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    9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 15:45

    Il faut abroger la loi El Khomri !

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    18 décembre 2016 7 18 /12 /décembre /2016 16:13

    Paris – Le projet de décret réformant la médecine du travail va entraîner une diminution de la protection des salariés, ont estimé jeudi la CGT, FO et CFE-CGC,

    à contre courant de la CFDT, qui y voit une « vraie évolution ».  

    Le texte, susceptible d’évoluer, doit entrer en vigueur le 1e janvier. Il a été examiné jeudi en Conseil d’orientation des conditions de travail, une instance consultative sous l’égide du ministère du Travail. 

    Cette instance doit statuer le 7 décembre sur cette réforme, l’une des plus contestées de la loi travail. Les partenaires sociaux émettront alors leurs avis, qui sont consultatifs. la-reforme-de-la-medecine-du-travail-est-prevue-dans-la-tres-contestee-loi-travail-de-la-ministre-myriam-el-khomri_5756381

    Le texte prévoit de supprimer la visite médicale d’embauche, sauf pour les métiers à risques. Elle sera remplacée par une « visite d’information et de prévention » qui aura désormais lieu « dans un délai de cinq ans » (contre deux actuellement), quatre pour les salariés sur des postes à risques. 

    Interrogé par l’AFP, le ministère du Travail s’est dit « ouvert à des évolutions« , tout en défendant « l’équilibre satisfaisant du texte » qui permet au médecin de travail, une profession en forte pénurie, de mieux cibler les visites. 

    « Si on regarde le nombre de personnes embauchées en France, il faut 22 millions de visites par an et aujourd’hui on est en mesure de faire trois millions parce qu’il n’y a pas assez de médecins du travail« , souligne le ministère, qui va saisir l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) en vue d’une mission pour rendre ce métier attractif. 

    La CFDT défend le texte

    Hervé Garnier, secrétaire général chargé du sujet à la CFDT, a qualifié cette réforme de « vraie évolution« : « On sort d’une médecine punitive où le médecin dit +T’es apte ou inapte+ au travail. On sort d’une certaine logique discriminatoire" .  

    Autre point positif, selon lui: elle prend en compte la pénurie du nombre de médecins du travail, en espaçant les visites jusqu’à cinq ans et en permettant de les faire par une « équipe pluridisciplinaire » (infirmier, médecin référent). 

    A l’inverse, la CGT, FO et la CFE-CGC estiment que des visites espacées empêcheront de détecter les risques pour les salariés et émettront un avis négatif le 7 décembre. 

    « Au bout de cinq ans, le salarié n’est même pas sûr d’avoir un médecin en face de lui!« , s’inquiète Jérôme Vivenza, de la CGT. Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT, a adressé en avril un courrier à la ministre du Travail Myriam El Khomri pour réclamer une mission à l’Igas afin d’engager « une vraie réforme" . Sans avoir de réponse, selon le syndicat. 

    Cette réforme « aboutit à ce que les médecins du travail ne détecteront plus les nouvelles pathologies » comme le stress ou le burn-out, s’inquiète de son côté la CFE-CGC. 

    Espacer les visites « veut dire que toutes les mécaniques de prévention vont disparaître« , a abondé Jean-Claude Mailly, secrétaire général de FO, sur Radio Classique-Paris Première. Il y a aussi, selon lui, un « risque de contentieux« , pour l’employeur et les salariés. FO dénonce également les changements prévus pour les travailleurs de nuit, dont la visite semestrielle va passer à trois ans. 

    Publié dans CGT UPM Chapelle Darblay

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    16 décembre 2016 5 16 /12 /décembre /2016 18:17

    Les conseils des prud'hommes, une institution utile pour les salariés. 

    En Seine-Maritime le gouvernement "socialiste" en a supprimé trois : Elbeuf, Bolbec, Fécamp.  Soit la moitié.  Les salariés de ces trois villes pourraient bien en garder la mémoire pour les élections prochaines, car ce sont des députés socialistes qui y ont été élus en 2012 : Guillaume Bachelay, Estelle Grelier et Sandrine Hurel remplacée depuis par Marie Le Vern devenue ces jours derniers porte parole de Manuel Valls. 

    Les seuls conseils des prudhommes restants sont ceux du Havre, Rouen, Dieppe.  Le résultat est l'accroissement du temps d'attente et l'éloignement pour les salariés plaignants.  C'est ce qui est recherché : rendre moins efficace une institution qui a pourtant fait ses preuves pour défendre les travailleurs.  Et la décrédibiliser.  Pour ensuite la supprimer ? C'est le souhait caché des européistes et du patronat car la France est le seul pays de l'UE à avoir des conseils de prudhommes avec des élus des salariés.  Elections que la droite et le PS voudraient remettre en cause.

    Amiante : 12 anciens dockers rouennais réclament justice

    Le conseil des prud'hommes de Rouen examine ce vendredi les dossiers de 12 anciens dockers intérimaires, ils poursuivent leurs employeurs au titre du préjudice d'anxiété.

    • Par Véronique Arnould
    • Publié le , mis à jour le
    © Jean-Luc Drouin - France 3 Normandie

    © Jean-Luc Drouin - France 3 Normandie

     
     

    Dockers intérimaires, ils ont longtemps travaillé pour les entreprises du port de Rouen. Employés entre les années 70 et 2010, ils réclament des indemnités pour avoir contracté des maladies liées à l'amiante. Ils poursuivent leurs employeurs au titre du préjudice d'anxiété. Deux d'entre eux sont décédés, et l'un est gravement malade.

     
     

     

    Ci-dessous un site qui répertorie les avancées juridiques pour les victimes du cancer de l'amiante.  Selon les régions et tribunaux, les décisions sont variables.  Certaines peuvent faire jurisprudence.  C'est le cas de la reconnaissance du "préjudice d'anxiété".

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