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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
30 novembre 2021 2 30 /11 /novembre /2021 00:09

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Xiomara Castro proclame sa victoire présidentielle au Honduras

Tegucigalpa, 29 novembre (RHC) La candidate présidentielle Xiomara Castro, du parti Libre, de gauche, est à la tête des résultats préliminaires des élections de dimanche au Honduras.

Castro, représentant du Parti Liberté et Refonte (Libre), devance  Nasry Asfura, du  Parti National (PN, de droite), au pouvoir,  d’une vingtaine de points, selon les résultats préliminaires des dépouillement des scrutins, divulgués ce lundi par le Conseil National Électoral (CNE) du Honduras.

Selon le CNE, avec plus de 50 % des procès-verbaux révisés, Castro a obtenu jusqu’à présent 53 % des voix comptabilisées, alors qu’Asfura atteint 33 % des suffrages. En troisième lieu, le candidat du parti libéral Yani Rosenthal, avec 9,20 %.[...]

 

Tegucigalpa, 29 novembre (RHC) La candidate présidentielle Xiomara Castro, du parti Libre, de gauche, est à la tête des résultats préliminaires des élections de dimanche au Honduras.

Tegucigalpa, 29 novembre (RHC) La candidate présidentielle Xiomara Castro, du parti Libre, de gauche, est à la tête des résultats préliminaires des élections de dimanche au Honduras.

La Havane, 29 novembre (Prensa Latina) Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodríguez, a  réaffirmé sa disposition aujourd'hui de renforcer les relations de fraternité, de solidarité et de coopération avec le Honduras à la suite des élections  ayant eu lieu dans ce pays d'Amérique centrale.

Pour sa part, le président cubain Miguel Díaz-Canel a félicité la direction du parti Libre: "Il a fallu 12 ans après le coup d'État contre Manuel Zelaya pour que le peuple hondurien obtienne la victoire éclatante de ce dimanche dans les urnes". [...]

La suite ci-dessous :

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29 novembre 2021 1 29 /11 /novembre /2021 17:17
La Havane, 14 nov. (RHC) Maisons de campagne, foulards rouges autour du cou, chansons, poésie et présentations de livres. Des jeunes cubains ont fait depuis vendredi jusqu’à ce dimanche un sit-in dans le parc central de La Havane. Un sit-in anti-impérialiste qui, selon ses organisateurs, «vise à rêver pour Cuba"

La Havane, 14 nov. (RHC) Maisons de campagne, foulards rouges autour du cou, chansons, poésie et présentations de livres. Des jeunes cubains ont fait depuis vendredi jusqu’à ce dimanche un sit-in dans le parc central de La Havane. Un sit-in anti-impérialiste qui, selon ses organisateurs, «vise à rêver pour Cuba"

Les dissidents cubains et leurs soutiens américains ont fait pression pour que de grandes manifestations antigouvernementales aient lieu cette semaine. Pourquoi n’ont-elles pas eu lieu ?

Un article publié sur le site de l’association anglaise de solidarité avec Cuba
Par Medea Benjamin,
Militante pour les droits de la personne humaine, écrivaine politique, militante pour la paix, économiste, écologiste
Publié le 17 novembre 2021

"Si vous le construisez, ils viendront", disait Kevin Costner dans "Field of Dreams". À Cuba, ils ne sont pas venus. Les dissidents de l’île, avec leurs soutiens américains, avaient travaillé fébrilement pendant des mois pour transformer les manifestations sans précédent du 11 juillet en un crescendo d’opposition au gouvernement le 15 novembre. Ils ont construit une structure formidable, avec des médias sociaux sophistiqués (y compris une abondance de fausses nouvelles), des piles d’argent provenant de Cubains-Américains et du gouvernement américain, et des déclarations de soutien d’un Congrès bipartisan et jusqu’à la Maison Blanche.

Même après que le gouvernement cubain a refusé aux manifestants un permis au motif qu’ils faisaient partie d’une campagne de déstabilisation menée par les États-Unis, les forces antigouvernementales ont insisté sur le fait qu’elles n’étaient pas découragées et qu’elles étaient prêtes à prendre des risques. Mais en fin de compte, leur Champ des Rêves s’est avéré être une illusion. Que s’est-il passé ?

L’intimidation des dissidents a certainement été un facteur clé. Le leader du groupe Facebook Archipelago, Yunior Garcia, a été maintenu en résidence surveillée. D’autres leaders ont été menacés d’arrestation et répudiés par leurs voisins pro-révolution.

Mais à la base, j’ai parlé à des Cubains qui doutaient de l’utilité des manifestations de rue. Ils étaient descendus dans la rue le 11 juillet, spontanément, avec toutes sortes de griefs légitimes : la pénurie de nourriture et de médicaments, les longues files d’attente pour les produits de base, la propagation rapide du COVID, les magasins de devises fortes auxquels ils n’avaient pas accès. Mais dans les mois qui se sont écoulés entre les manifestations de juillet et celles de novembre, beaucoup ont réalisé que les manifestations de rue ne faisaient que créer des divisions alors que le pays avait besoin d’unité. Ils ont compris que malgré tout le battage médiatique, le gouvernement n’était pas sur le point de tomber, et que même s’il tombait, on ne pouvait pas savoir ce qui suivrait. S’il s’agissait de chaos et de troubles civils, ou d’une ruée de Cubains-Américains voraces essayant de s’emparer de propriétés en bord de mer sur l’île, leur situation économique précaire pourrait encore s’aggraver.

"J’étais en train de protester le 11 juillet", me dit une jeune mère de famille de la Vieille Havane. "Mais depuis, j’ai pesé le pour et le contre. La situation alimentaire ici est terrible - nous devons faire la queue pour tout. D’un autre côté, nous sommes en sécurité. Les gens n’ont pas d’armes et ne s’entretuent pas ; la police ne tire pas sur les gens ; nous n’avons pas à nous inquiéter pour nos enfants lorsqu’ils jouent dehors et ils reçoivent une bonne éducation gratuitement. Si ce gouvernement s’effondrait vraiment, j’ai peur que nous perdions plus que nous ne gagnions."

Même après que le gouvernement cubain a refusé aux manifestants un permis au motif qu’ils faisaient partie d’une campagne de déstabilisation menée par les États-Unis, les forces antigouvernementales ont insisté sur le fait qu’elles n’étaient pas découragées et qu’elles étaient prêtes à prendre des risques. Mais en fin de compte, leur Champ des Rêves s’est avéré être une illusion. Que s’est-il passé ?

L’intimidation des dissidents a certainement été un facteur clé. Le leader du groupe Facebook Archipelago, Yunior Garcia, a été maintenu en résidence surveillée. D’autres leaders ont été menacés d’arrestation et répudiés par leurs voisins pro-révolution.

Mais à la base, j’ai parlé à des Cubains qui doutaient de l’utilité des manifestations de rue. Ils étaient descendus dans la rue le 11 juillet, spontanément, avec toutes sortes de griefs légitimes : la pénurie de nourriture et de médicaments, les longues files d’attente pour les produits de base, la propagation rapide du COVID, les magasins de devises fortes auxquels ils n’avaient pas accès. Mais dans les mois qui se sont écoulés entre les manifestations de juillet et celles de novembre, beaucoup ont réalisé que les manifestations de rue ne faisaient que créer des divisions alors que le pays avait besoin d’unité. Ils ont compris que malgré tout le battage médiatique, le gouvernement n’était pas sur le point de tomber, et que même s’il tombait, on ne pouvait pas savoir ce qui suivrait. S’il s’agissait de chaos et de troubles civils, ou d’une ruée de Cubains-Américains voraces essayant de s’emparer de propriétés en bord de mer sur l’île, leur situation économique précaire pourrait encore s’aggraver.

"J’étais en train de protester le 11 juillet", me dit une jeune mère de famille de la Vieille Havane. "Mais depuis, j’ai pesé le pour et le contre. La situation alimentaire ici est terrible - nous devons faire la queue pour tout. D’un autre côté, nous sommes en sécurité. Les gens n’ont pas d’armes et ne s’entretuent pas ; la police ne tire pas sur les gens ; nous n’avons pas à nous inquiéter pour nos enfants lorsqu’ils jouent dehors et ils reçoivent une bonne éducation gratuitement. Si ce gouvernement s’effondrait vraiment, j’ai peur que nous perdions plus que nous ne gagnions." [...]

Lire la suite ci-dessous :

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16 novembre 2021 2 16 /11 /novembre /2021 00:46

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Nous reproduisons ici une déclaration du PCF, soutenant Cuba alors que les Etats-Unis poursuivent le blocus illégal de l'île  et appuient les tentatives, organisées depuis le sol étasunien, contre le peuple cubain et la voie socialiste qu'il s'est choisi.

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23 septembre 2021 4 23 /09 /septembre /2021 13:35

Les manifestants qui ont eu à subir les violences policières en France apprécieront plus particulièrement le paragraphe sur les violences policières et les militants qui ont subi la censure de Google ou de facebook celui sur la censure d'Internet.

Déclaration de Cuba Coopération France - 17 septembre 2021

Les éléments les plus réactionnaires, de droite et d’extrême droite, du Parlement Européen ont fait adopter ce 16 septembre une résolution qui vise à condamner Cuba pour des violations présumées des droits de l’homme, de répression et d’interdiction de l’utilisation d’internet.

Le texte voté est une honte et bafoue la réalité que vit Cuba et sa population.

Texte adopté par les parlementaires européens : https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/TA-9-2021-0389_FR.html

Lire la suite sur le site de Cuba Coopération :

Rappel de quelques articles repris sur ce blog

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16 août 2021 1 16 /08 /août /2021 15:24
Construit par le brésilien Odebrecht, le port de Mariel et la zone spéciale qui y est rattachée ont été conçus pour faire de Cuba un hub stratégique dans les Caraïbes. L’armateur français CMA-CGM y a une importante base logistique.

Construit par le brésilien Odebrecht, le port de Mariel et la zone spéciale qui y est rattachée ont été conçus pour faire de Cuba un hub stratégique dans les Caraïbes. L’armateur français CMA-CGM y a une importante base logistique.

 

Alors que l’actualité témoigne de la nocivité de l’intervention des Etats-Unis dans un pays comme l’Afghanistan, jusqu’à quand la France et tous les pays qui votent la fin du blocus vont-ils accepter de se soumettre au terrorisme que les Etats-Unis imposent sur toute la planète et en particulier à Cuba ? C’est la description de la nature ubuesque de ce pouvoir que Comaguer nous décrit,  celui que de Trump à Biden les “saigneurs” de la planète infligent à tous. Je voudrais face à l’urgence, en appeler à la solidarité française… Nous sommes différents, certainement pas d’accord sur tout avec Comaguer, Viktor Dedaj et tous ceux qui à Marseille se sont rassemblés pour aider Cuba, et nous n’avons qu’une idée : aider Cuba face à cette ignominie méconnue du Blocus. (note de Danielle Bleitrach)

Le gouvernement cubain a lancé en 2013 une zone spéciale de développement dans le port de Mariel. Cette zone est destinée à accueillir des investissements étrangers dans des conditions fiscales et douanières privilégiées et à positionner Cuba dans le trafic maritime international très actif dans cette zone voisine du canal de Panama. En 2016 faisant suite au dégel diplomatique consécutif à la visite de François Hollande à Cuba la compagnie français CMA CGM, 3° transporteur mondial de conteneurs, a créé un terminal portuaire à Mariel. Son activité s’y poursuit en compagnie de sa filiale logistique CEVA.  Depuis cette date des navires opérés par cette compagnie française font régulièrement escale dans ce port cubain.

Mais la CMA CGM vient d’être poursuivie par un tribunal étasunien en application de la loi Helms Burton. On peut trouver une excellente description des dispositions de cette loi et de son caractère illégal au regard du droit international dans le Journal officiel de la République française (voir ci-après).

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16 août 2021 1 16 /08 /août /2021 15:00

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

Pourquoi confisquer les avoirs aux États-Unis de personnes qui n'en possèdent pas? Et bien, pour faire croire qu'ils en possèdent, ballot ! et plus largement pour réaffirmer la prétention des États-Unis à légiférer et à instruire des procédures partout dans le monde, au mépris le plus total de la souveraineté des autres pays.

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18 juillet 2021 7 18 /07 /juillet /2021 14:47
 
Peut-on croire que les médias, les politiciens qui ont cautionné de fait la désinformation sur ce qui se passe à Cuba soient simplement ignorants ? Pourquoi les mêmes se sont-ils empressés de relayer une interprétation des manifestations intervenues à Cuba made USA et ont-ils de la même manière caché l’énorme mobilisation de Cuba révolutionnaire ce weekend, les discours plein d’humanisme des dirigeants du Parti communiste cubain ? Le choix du dialogue ? On ne peut pas croire à un tel niveau de persévérance dans la désinformation dans laquelle se combine fausses analyses et silences complices.

Notons en effet que les médias français se sont particulièrement illustrés dans le compte rendu de manifestations qu’ils ont qualifiés de “spontanées” alors que l’on imagine mal des micro manifestations plus une plus importante dans le secteur de Varadero, éclatant en même temps dans l’île. Elles leur paraissaient d”autant plus “spontanées” que les mêmes semblaient avoir à cœur de ne jamais les présenter comme un effet du blocus. Alors qu’il n’y a pas un mois, l’unanimité de tous les pays sauf les États-Unis et Israël (plus l’abstention de trois grandes démocraties comme l’Ukraine, le Brésil de Bolsonaro et la Colombie) le condamnait. La France aussi a condamné comme elle le fait pour la vingt neuvième année consécutive ce crime contre l’humanité totalement illégal qu’est le blocus. Pourquoi le gouvernement, les médias aux ordres, les partis politique sociaux démocrates et verts n’ont-il rien dit ? seuls les communistes et la CGT ont été cohérents et souverains …

[...]

Lire la suite ci-dessous :

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14 juillet 2021 3 14 /07 /juillet /2021 15:12
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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 22:56
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12 juillet 2021 1 12 /07 /juillet /2021 23:36

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Et en France ?

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