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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
26 août 2022 5 26 /08 /août /2022 22:55

Cet article est reposté depuis Bolivar Infos.

Un tribunal de Washington en charge du juge Carl Nichols a ordonné au Venezuela de payer quelques 8 700 000 000 de dollars à l'entreprise pétrolière étasunienne ConocoPhilips pour la nationalisation de ses actifs au Venezuela.

ConocoPhilips et l’entreprise Exxon, également étasunienne , ont été les seules entreprises étrangères à ne pas se soumettre au processus  partiel de nationalisation des entreprises et des projets grâce a la modalité des entreprises mixtes dans la frange pétrolière de l’Orénoque en 2007, c'est pourquoi ses actifs ont été expropriés.

 

Le tribunal étasunien a émis lundi 22 août un ordre destiné à faire accomplir une sentence arbitrale que ConocoPhilips a gagné en 2019.

 

Cette entreprise étasunienne recherche  très activement les ressources vénézuéliennes à l'étranger pour « faire valoir les respecter » les sentences préjudiciables au Venezuela qui les ont favorisées dans des tribunaux internationaux.

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23 juillet 2022 6 23 /07 /juillet /2022 08:34

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

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13 juillet 2022 3 13 /07 /juillet /2022 15:57
John Bolton ici photographié le 22 février 2018 à la convention conservatrice CPAC - Alex WONG © 2019 AF
John Bolton ici photographié le 22 février 2018 à la convention conservatrice CPAC - Alex WONG © 2019 AF

John Bolton ici photographié le 22 février 2018 à la convention conservatrice CPAC - Alex WONG © 2019 AF

Citation de l'article :

"Je ne vais pas entrer dans les détails", a-t-il dit.

Mais il a évoqué la tentative ratée d'évincer au Venezuela Nicolas Maduro du pouvoir en 2019 par le leader de l'opposition Juan Guaido, qui était soutenu par Washington.

Lire l'intégrale ci-dessous :

John Bolton ici photographié le 22 février 2018 à la convention conservatrice CPAC - Alex WONG © 2019 AFP

John Bolton ici photographié le 22 février 2018 à la convention conservatrice CPAC - Alex WONG © 2019 AFP

Sur le plateau de CNN, John Bolton, ancien conseiller à la sécurité des États-Unis, a affirmé ce mardi avoir "aidé à planifier" des coups d'État, disant que cela "demande beaucoup de travail."
 

Il faut parfois ne pas tout dire à la télévision. Le républicain John Bolton l'a sans doute compris ce mardi. Sur le plateau de CNN, l'ancien conseiller de plusieurs présidents américains (Donald Trump en 2018-2019 et George W. Bush entre 2001 et 2005) a affirmé qu'il avait "aidé à planifier" plusieurs coups d'État.

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7 décembre 2021 2 07 /12 /décembre /2021 17:32

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29 novembre 2021 1 29 /11 /novembre /2021 17:03

Alors que l’ensemble des observateurs internationaux expriment leur satisfaction à propos du caractère démocratique du scrutin, ces élections devraient faire comprendre à l’administration Biden que continuer à soutenir la MUD, et en particulier la fiction de Guaidó en tant que « président par intérim », est une politique vouée à l’échec.

Par Leonardo Flores *

* Leonardo Flores (États-Unis) est un expert politique latino-américain, né au Venezuela. Coordinateur de la campagne Amérique latine de CODEPINK. Titulaire d’une licence en philosophie de l’Université du Maryland.

Photos: le jeune Jesus Garcia, infatigable organisateur et formateur de la Commune populaire d’Altos de Lidice (Caracas), a réussi son pari d’être élu conseiller municipal au bout d’une campagne intense d’écoute et d’engagements dans les quartiers populaires de la capitale. Il a prêté serment le 24 novembre 2021. Crédit photos: Jesus Reyes.


Pour la première fois en quatre ans, chaque grand parti d’opposition au Venezuela a participé aux élections. Pour la cinquième fois en quatre ans, le chavisme a remporté une victoire écrasante. Les électeurs ont élu 23 gouverneurs, 335 maires, 253 législateurs d’État et 2 471 conseillers municipaux. Le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV), au pouvoir, a remporté au moins 19 des 23 postes de gouverneur (une seule élection reste trop serrée pour être prononcée) et la mairie de Caracas lors des « méga-élections » du 21 novembre. Sur les 335 élections municipales, le décompte des voix est terminé pour 322 d’entre elles. Le PSUV et sa coalition en ont remporté 205, les coalitions d’opposition 96 et les autres partis 21. Plus de 70 000 candidats se sont présentés à ces 3 082 postes, et 90 % des votes ont été comptés et vérifiés quelques heures après la fermeture des bureaux de vote. Le taux de participation a été de 42,2 %, soit onze points de plus que lors des élections parlementaires de l’année dernière.

Voici pourquoi le chavisme, le mouvement à l’origine de la révolution bolivarienne du Venezuela, a gagné :

1. Bonne gouvernance en matière de santé, de logement et d’alimentation. [...]

2. La situation économique s’améliore. [...]

3. Le chavisme est uni (en grande partie).[...]

4. La droite est divisée.[...]

5. La droite est profondément impopulaire. [...]

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24 novembre 2021 3 24 /11 /novembre /2021 00:02

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Le président du Venezuela Nicolás Maduro à l'heure du vote, dimanche 21 novembre. FAUSTO TORREALBA / REUTERS

Le président du Venezuela Nicolás Maduro à l'heure du vote, dimanche 21 novembre. FAUSTO TORREALBA / REUTERS

Tout n'est pas si simple ...

La position du Parti communiste vénézuélivien.

Ce dernier reproche également au Conseil national électoral la disqualification de candidats du PCV et l'accord négocié à Mexico.

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22 janvier 2021 5 22 /01 /janvier /2021 06:30

Cet article est reposté depuis Bolivar Infos.

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13 janvier 2021 3 13 /01 /janvier /2021 05:11
La République bolivarienne du Venezuela a exprimé son inquiétude face aux actes de violence qui se sont produits ce mercredi dans la ville de Washington, en raison des manifestations de partisans de Donald Trump, qui ont pris d'assaut le Capitole des États-Unis (USA), pour bloquer le comptage des votes du collège électoral.
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16 décembre 2020 3 16 /12 /décembre /2020 21:19

Cet article est reposté depuis Solidarité Internationale PCF.

Extraits

"CW : Les sanctions américaines ont amené une perte de revenu de l’ordre de 31 milliards de dollars pour l’Etat vénézuélien. "

"Les sanctions des Etats-Unis et de leurs alliés européens, visant à bloquer les importations essentielles et les exportations de pétrole, ont eu l’effet escompté. Elles ont approfondi la crise sociale et économique préexistante du capitalisme au Venezuela qui résulte des erreurs politiques gouvernement. Les sanctions sont l’excuse parfaite pour masquer son incompétence structurelle. Avec la pandémie, le pays tombe dans une véritable tragédie sont la première victime est le peuple, parce que ni le parti social-démocrate au pouvoir, ni l’opposition contre-révolutionnaire n’affrontent les problèmes quotidiens aggravés par la crise."

 

"Q-UZ : Le PCV critique en premier la nouvelle « loi anti-blocus » car elle prévoit des privatisations au lieu de mesures efficaces contre les effets du blocus. Peux-tu brièvement nous en dire plus ?

CW : La loi anti-blocus est en contradiction avec la constitution. Le président passe outre. Elle lui confère un pouvoir non contrôlable. Par ce moyen, depuis son adoption le 9 octobre, a commencé une vague de reprivatisations d’entreprises d’Etat dans le secteur agricole, sans informations préalables pour les travailleurs et les syndicats. Chaque jour ont lieu des licenciements et des violations du droit du travail. De tout cela, les médias ne disent rien."

"La « loi anti-blocus » sert l’oligarchie économique et nuit à la majorité. Dans ces circonstances, le PCV et l’Alliance d’initiative révolutionnaire du peuple (APR) vont jouer un rôle important dans le nouveau parlement. Nous venons déjà d’appeler à un référendum contre la « loi anti-blocus ».

Lire l'intégralité ci-dessous.

 

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27 novembre 2020 5 27 /11 /novembre /2020 10:54
Maradona et le chavisme - Franco VIELMA

Ceux qui profitent de la mort de Maradona pour dénigrer Maradona et le chavisme ont une stature morale tellement inférieure qu'ils ne comprennent pas et ne comprendront jamais ce que nous sommes, nous les chavistes, ni ce qu'est Maradona.

Le chavisme ne regrette pas l'amitié de Maradona parce qu'il a pris de la drogue. Nous ne nous en soucions pas. Nous l'aimons en raison de sa dimension humaine et réelle. Tout ce que nous pouvons dire de lui, c'est qu'il était génial, merveilleux et authentique. C'était un vrai homme dans la peau du plus grand des footballeurs. Depuis le 4 février 1992 [date de la tentative de coup d'État de Hugo Chávez, NdT], nous, les chavistas, aimons ceux qui tombent et se relèvent.

Nous, les Chavistes, aimons Maradona parce qu'il a résisté aux publicités pour Visa et Coca-Cola. Être une marque comme l'était Pelé. Il a résisté au fait d'être un produit commercial comme les autres joueurs de football aujourd'hui. Les mêmes personnes qui ont critiqué Maradona pour ses problèmes personnels ont proposé de l'acheter, puis de le domestiquer et d'en faire un produit. Il préférait être libre et faire ce qu'il voulait. C'est ce qu'on appelle la dignité, un concept étranger à beaucoup.

Sa vie entre la gloire et la défaite a été marquée par la controverse. Mais peu importe, l'histoire l'absoudra, comme l'a dit Fidel, que Maradona a aimé et toujours remercié pour lui avoir sauvé la vie lors de sa réhabilitation à Cuba.

Maradona n'était pas accablé par toutes les critiques et les menaces qu'il recevait, car il était l'ami de Fidel, de Chavez, de Maduro, d'Evo, de Cristina, de Lula. Il n'a pas été blessé par tout ce qu'il a perdu, ni par les portes qui lui étaient fermées. Il n'était pas accablé par les messages de haine qu'il recevait toujours des récalcitrants haineux. Et nous, les chavistes, nous aimons ça, nous aimons ceux qui jouent avec nous.

Nous avons mis Maradona sur Telesur pour commenter deux Coupes du monde avec Victor Hugo Morales [le presentateur sportif qui avait commenté le fameux but contre l'Angleterre en 1986, NdT]. Nous avons eu l'audace que les autres chaînes de télévision n'avaient pas, car Maradona, c'est du football, mais aussi de la politique. C'était pour ouvrir les portes de notre maison à notre fidèle ami.

Maradona a dit que si Maduro lui en donnait l'ordre, il s'habillerait en soldat et se battrait pour le drapeau vénézuélien, car il a dit que c'est la chose la plus sacrée que nous ayons. Il l'a dit lorsque de nombreux vénézuéliens se sont moqués de lui avec la phrase "mais nous avons une patrie", et lorsque d'autres ont demandé une intervention militaires et des sanctions contre notre pays. Maradona était un de ces hommes qui étaient fous, oui, tendrement fous. Les circonstances ne lui ont pas permis de mettre sa parole à l'épreuve et il était tellement fou qu'il l'aurait sûrement tenue. C'était sa grandeur.

Maradona était détesté par les riches et les conservateurs, dans son pays, à la FIFA, dans la politique régionale. Cela le rendait idéal pour nous, car parfois certaines haines nous montrent la voie pour aimer les bonnes personnes.

Il n'y a pas d'autel moral pour mesurer Maradona. Nous ne sommes pas parfaits pour dénigrer Maradona. C'était un homme ordinaire, qui s'est élevé des entrailles de son pays pour devenir une référence mondiale. Et aucun, aucun de ses détracteurs, n'aura cette grandeur et cette gloire. Il ressemble à Chavez, et c'est aussi pour cela que nous l'aimons.

Nous, les chavistes, nous aimons Maradona parce que nous aimons ce qui rend beaucoup de gens heureux. Et Maradona, qui était argentin, a donné beaucoup de joies dans son pays, mais aussi dans le monde entier. Et nous les avons fait nôtres. Et nous l'avons fait nôtre.

Pour Diego, nous sommes reconnaissants...

 

Franco VIELMA

Traduction: Romain Migus

Source

https://www.les2rives.info/maradona_et_le_chavisme_franco_vielma

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