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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
16 avril 2016 6 16 /04 /avril /2016 06:24
Communiqué de l'Union des étudiants communistes
 
Violences policières : le gouvernement doit rendre des comptes (UEC)
 
Ce jeudi 14 avril, étudiants, lycéens et salariés de toute la France, se sont à nouveaux donnés rendez-vous dans la rue pour manifester contre le projet de loi Travail. Depuis déjà un mois, le rythme s'accélère, et une majorité populaire s'exprime pacifiquement dans es journées de mobilisation et de manifestation qui se multiplient. Et cette détermination à lutter contre cette société qui nous précarise ne fait que se renforcer.

Mais la manifestation parisienne a connu aujourd'hui une répression policière sans précédent, empêchant le bon déroulement de l’événement, si bien que, partant de Stalingrad, elle n'a pu arriver à son point d'arrivée, Bastille. C'est à République, symbole de la révolte incarnée par la Nuit Debout, que les forces de l'ordre ont décidé, dans une violence injustifiable, de mettre fin à la manifestation. Première force politique étudiante, nous interrogeons ainsi le gouvernement : Quels ordres la police reçoit-elle pour que nous subissions telle répression ?

Nous condamnons fermement les violences policières qui n'ont cessé d'augmenter ces dernières semaines à Rennes, Paris, Marseille, Strasbourg et à travers tout le pays. Nous exprimons notre soutien plein et entier à tous les étudiants et lycéens qui en ont été victimes. Nous dénonçons tout autant les arrestations arbitraires, et les gardes à vue aux motifs abusifs.

Nous exprimons une pensée particulière pour notre camarade, une étudiante communiste qui a terminé la manifestation à l'hôpital, le bras cassé, le visage et les genoux écorchés, après s'être faite traîner par terre par plusieurs CRS. Ces actes sont intolérables et indignes de fonctionnaires de l'Etat.

Alors que depuis un mois, nous ne cherchons qu'à faire vivre la démocratie sociale, ces violences en constituent un obstacle. Nous ne pouvons en rester là et demandons des comptes au gouvernement. Malgré ces tentatives de déstabilisations de la majorité populaire en marche, les jeunes et les étudiants resterons unis, déterminés et mobilisés jusqu'au retrait du projet de loi Travail et à la mise en place de mesure de progrès social.

Photo : 14 avril 2016 - Pendant la manifestation contre la loi Travail à Paris, une partie des jeunes a été encerclée par les forces de police. TC, la jeune fille de la photo était une cliente d'un restaurant pris dans la nasse. Elle est venue vers les policiers un poil énervée après avoir reçu une giclée de lacrymo alors qu'elle ne faisait rien, et là soudainement, le policier s'est avancé vers elle et l'a envoyé violemment à terre.

All rights reserved Jan Schmidt-Whitley/CIRIC

Allez sur le site de Nicolas Maury pour voir la vidéo.  Cliquez sur le lien ci-dessous.

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 13:53

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 13:50

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8 avril 2016 5 08 /04 /avril /2016 08:28

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7 avril 2016 4 07 /04 /avril /2016 09:44
Créé le mercredi 6 avril 2016 05:10 | Écrit par lepcf 

Unir les communistes, le défi renouvelé du PCF (résumé)

Base commune alternative soutenue par 600 communistes de toute la France

 

, par  lepcf.fr

37eme congrès 2016 

pdf | 

« Les individus ne constituent une classe que pour autant qu’ils ont à soutenir une lutte commune contre une autre classe ; pour le reste, ils s’affrontent en ennemis dans la concurrence. » Karl Marx

 

L’existence du PCF, une exigence historique 

Les communistes sont confrontés à une défi historique. Le capitalisme s’empare de toute la vie humaine, pousse au paroxysme l’exploitation et le profit, sécrète la crise sociale et politique, impose ses guerres et détruit les nations - quitte à nourrir le terrorisme-pour mieux étendre sa domination. L’écrasement du peuple grec a confirmé la véritable nature de l’UE et de sa monnaie, une dictature contre les peuples.

Notre pays et notre peuple ont plus que jamais besoin d’un parti communiste et pourtant l’existence du PCF est aujourd’hui menacée par les renoncements stratégiques et les tactiques électorales à court terme et inefficaces.Nous nous inscrivons dans le choix national fait par les communistes en 2007, celui de continuer notre parti, de « Faire vivre et renforcer le PCF ».

 

L’examen stratégique s’impose

Gauche plurielle, collectifs anti libéraux, renoncement à la candidature communiste en 2012, tout cela a fait de notre effacement une condition du rassemblement. Aujourd’hui, il faudrait continuer dans cette voie, choisir entre une primaire antidémocratique conduisant tout droit au soutien à une candidature socialiste ou une fuite en avant dans un Front de gauche émietté dont certains voudraient faire une nouvelle force politique au profit de laquelle le PCF s’effacerait.

L’urgence au contraire, c’est de sortir de l’impasse du renoncement au PCF et de procéder pour cela à l’examen stratégique nécessaire.

 

Un débat fraternel et sans tabou

Il n’est plus possible que des positions stratégiques, parfois prises sans aucune consultation des communistes, restent intouchables. Ouvrons le débat autour des questions suivantes :


- Présidentielles : Ni primaires, ni effacement, la nécessité d’une bataille communiste

- Agir pour un monde de paix, la solidarité internationale, combattre le terrorisme. La France doit sortir de l’OTAN

- Sortir de l’Union européenne et de l’euro pour engager la sortie du capitalisme. 

- Luttes et construction politique. : un grand mouvement populaire s’engage en France, le PCF doit investir ce terrain essentiel de construction politique.

- Contre le FN, un parti communiste populaire et rassembleur. La réprobation morale ne suffit pas, les fronts républicains ont montré leurs limites. La reconquête de l’électorat passe par la capacité à porter des perspectives de changement crédibles, une autre politique économique, la fin de la précarité et de la concurrence entre travailleurs.

- Pour sortir de l’impasse de la gauche, il faut un grand parti communiste, un rassemblement populaire et majoritaire. Le parti sans rassemblement est impuissant, le rassemblement sans parti est inconscient.

 

Le socialisme, un projet pour la France

Nous appelons à un effort de construction idéologique considérable, s’appuyant sur la théorie marxiste, pour penser une société nouvelle qui mette fin à l’exploitation, aux inégalités et injustices, au pillage des ressources naturelles de la planète et à la guerre. Cette société, nous la nommons le socialisme.

La criminalisation du socialisme et du communisme, l’oubli de l’apport du léninisme, l’abandon du marxisme comme référence théorique, le mépris des expériences socialistes en cours conduisent à une panne idéologique du PCF, incapable de penser la prise de pouvoir et la transformation révolutionnaire dans une société capitaliste développée. 

 

Un programme de rupture

La classe ouvrière doit prendre toute sa place dans la direction du pays pour la maîtrise des moyens de production et d’échanges, des conditions de travail et de vie.

Nous faisons des propositions immédiates pour plus de justice sociale et pour ouvrir le chemin de la rupture avec le capitalisme :


- La nationalisations des secteurs clefs du pays, la renationalisation d’EDF-GDF, de la SNCF, de la poste, France Télécom et Air France 

- Interdiction des licenciements et délocalisations

- Réduction massive du temps de travail, augmentation des salaires, pensions et minima sociaux

- Rétablissement de la retraite à 60 ans, gestion démocratique de la sécurité sociale

- Blocage des prix des produits de première nécessité

- Non application des directives et traités européens et sortie de l’Otan

- Remise en cause fondamentale de la dette publique

 

Il faut unir les communistes pour ouvrir la perspective d’un nouveau Front populaire vers le socialisme.

 

Vive le Parti Communiste Français !

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6 avril 2016 3 06 /04 /avril /2016 19:36
Et ce sont les contribuables qui paieront à la place des patrons !

 |   |  sur La Tribune

A compter du 1er avril, les entreprises vont bénéficier d'un allègement de cotisations patronales "famille" sur les salaires compris entre 1,6 et 3,5 Smic. Au total, 90% des salariés seront désormais concernés par une mesure d'allégement de cotisations patronales dans le but d'améliorer la compétitivité.

A compter du 1er avril, les entreprises vont bénéficier d'un allègement de cotisations patronales "famille" sur les salaires compris entre 1,6 et 3,5 Smic. Au total, 90% des salariés seront désormais concernés par une mesure d'allégement de cotisations patronales dans le but d'améliorer la compétitivité. (Crédits : (c) Copyright Thomson Reuters 2013. Check for restrictions at: http://about.reuters.com/fulllegal.asp)

A compter du 1er avril, dans le cadre du pacte de responsabilité, les cotisations patronales "famille" vont baisser de 1,8 point sur les salaires compris entre 1,6 et 3,5 Smic, passant de 5,25% à 3,45%.

Les organisations patronales, actuellement très remontées contre le projet de loi Travail, vont pouvoir bénéficier d'une petite consolation dès ce 1er avril... et ce n'est pas une blague. En effet, à cette date, dans le cadre de la montée en puissance du pacte de responsabilité annoncé en 2014, une nouvelle étape va être franchie avec l'instauration d'un nouvel allègement de cotisation patronale accordé aux entreprises. Cette fois, c'est la cotisation « famille » sur les salaires compris entre 1,6 Smic (environ 2.346 euros bruts mensuels) et 3,5 Smic (environ 5.133 euros bruts) qui sera diminué de 1,8 point, passant de 5,25% à 3,45%. Une mesure qui s'applique déjà depuis le 1er janvier 2015 pour les salaires inférieurs à 1,6 Smic. Ainsi, au total, cette baisse de cotisation patronale concernera plus de 90% des salariés. Initialement, ce nouvel allègement devait intervenir le 1er janvier 2016, mais le ministre des Finances Michel Sapin avait retardé de trois mois son entrée en application, permettant ainsi une économie de plus d'un milliard d'euro qui a permis de financer la mesure exceptionnelle - d'ailleurs reconduite - du suramortissement de 140% ainsi que l'instauration d'un prime de 2.000 euros annuelle pour les PME recrutant un salarié en CDI.

Une mesure en faveur de la compétitivité

Mais, ce qu'il y a d'intéressant avec cette nouvelle tranche d'allégement jusqu'à 3,5 Smic, c'est qu'elle concerne majoritairement des salaires accordés dans des secteurs industriels et exportateurs - transports/fabrication de machines et équipements/industrie chimique - très sensibles à toutes les meures susceptible d'améliorer la compétitivité.

Pour les salaires inférieurs, si l'on combine les allégements généraux (appelés allègement "Fillon"), applicables sur les salaires compris entre 1 et 1,6 Smic, et les mesures prises dans le cadre du pacte de responsabilité, il n'y a plus aucune cotisation patronale de sécurité sociale au niveau du Smic. En revanche, les autres cotisations patronales (retraites complémentaires, assurance chômage, logement, etc.) restent dues. Mais, pour les PME, la prime à l'embauche de 2.000 euros compense le versement de ces cotisations.

Encore huit milliards d'euros à distribuer en 2017

Au total, avec cette nouvelle mesure d'allègement, ce sont maintenant 33 milliards d'euros d'aides aux entreprises qui sont effectives. A terme, c'est- à dire en 2017, ce montant atteindra 41 milliards d'euros annuels (dont 19 milliards d'euros pour le seul crédit d'impôt compétitivité emploi) , comme le prévoyait le pacte de responsabilité... et comme le contestent les « frondeurs » du PS qui estiment qu'une partie de cette somme aurait dû être affectée au soutien du pouvoir d'achat et de la consommation.

En effet, s'il tient ses engagements, le gouvernement Valls devra encore consacré 8 milliards d'euros supplémentaires au pacte de responsabilité en 2017. On sait déjà que 1,5 milliard d'euros seront consacrés à une première baisse d'un point de l'impôt sur les sociétés. L'objectif étant de le ramener de 33,3% actuellement à 28% à l'horizon 2020, soit la moyenne européenne. Ce sont également 3,5 milliards d'euros qui seront alloués à la suppression définitive de la cotisation sociale de solidarité des sociétés (C3S). Sur les 300.000 entreprises initialement soumises à cette contribution, après les exonérations successives accordées depuis 2015, il ne restera plus que... 20.000 entreprises assujetties à la fin 2016, celles qui réalise un chiffre d'affaires supérieur à 19 millions d'euros.

Reste aussi à connaitre l'avenir du CICE. François Hollande avait donné son accord pour qu'il soit transformé « le plus rapidement possible » en mesure pérenne d'allégement de cotisations patronales. Mais rien n'est encore décidé même si une nouvelle baisse généralisée de la cotisation « famille » est à l'étude.

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 17:38
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4 avril 2016 1 04 /04 /avril /2016 09:23
Le soir du 30 mars à Tolbiac...
Amnésie européiste ?
Par Jean Lévy

dimanche 3 avril 2016, par Comité Valmy

 

Le soir du 30 mars à Tolbiac

Cela fait chaud au cœur : près d’un millier de jeunes étudiants et lycéens, pleins d’enthousiasme, réunis à Tolbiac, le soir du 30 mars 2016, contre la loi El Khomri, dite "loi travail".

Rassemblés, pour certains depuis le 9 mars, beaucoup de jeunes les ont rejoints à l’occasion des AG et des manif’s qui se succèdent, semaine après semaine, aux côtés des salariés en première ligne contre le projet de loi gouvernemental, socialement liberticide.

Ils se souviennent de la rude bataille gagnée en 2006 contre le CPE. Par leur multitude et leur détermination commune, travailleurs, lycéens et étudiants, ont alors imposé le retrait pur et simple de la loi, infligeant au gouvernement Chirac-De Villepin une défaite en rase campagne.

D’autres ne manquent pas d’évoquer mai 68, l’ambiance d’alors, les mots d’ordre libertaires écrits à la hâte et placardés dans les amphis, les libertés prises avec le sombre quotidien, des vacances pour l’esprit, un instant libéré.

Ce printemps 2006 va-t-il être un "remake" des souvenirs héroîques ?

Le climat qui règnait ce 30 mars à Tolbiac le laisserait penser.

Les mobilisations ouvrières et de jeunes qui se succèdent dans le pays depuis le 9 mars, plus puissantes, semaine après semaine, elles annoncent, pour les temps prochains, un climat de grande marée.

Mais, il ne faut pas se le cacher, la bataille qui s’annonce ne sera pas une promenade de santé.

Pour la gagner, faut-il encore mesurer les forces du capital qui se dressent contre notre peuple et qu’il faut battre. Et faire l’inventaire des moyens et la stratégie de ceux que nous combattons. Et pas seulement le gouvernement PS, mais aussi et surtout ses commanditaires.

Car Hollande, Valls et Macron ne sont que les fondés de pouvoir de l’oligarchie, les marionnettes du capital globalisé, comme l’étaient hier les Sarkozy, les Fillon, les Juppé. L’oligarchie, c’est le pouvoir qui détient à son profit les moyens de production et d’échange volés à la Nation, et qui s’est payé l’ensemble des grands médias au service de sa publicité.

Voilà qui se dressent face à nous et qu’il faut connaître.

Mais soyons plus précis. Depuis des décennies, il n’y a plus de capital strictement hexagonal. En France, le capital financier n’a pas de patrie. Pour sa survie, il s’est mondialisé. Et, en premier, européanisé. Car, par tradition, il se met sous la coupe du plus puissant, le capital allemand. Comme en 1940, il "collabore", comme fidèle second.

Pour générer des profits plus amples, ils ont mis en place ensemble un espace plus vaste que le territoire national : l’Union européenne. Plus de frontières, plus de douane, plus de droits à payer. Et une main d’œuvre robotisée au meilleur marché.

D’où les oukases bruxellois infligeant toujours plus d’austérité, des droits sociaux réduits à zéro. N’est-ce pas leur objectif en essorant le Code du Travail ?

Nous voici donc revenus au point de départ : la loi El Khomri !

Pour se mettre plus efficacement en ordre de bataille, n’aurait-il pas fallu à Tolbiac, l’autre soir, rappeler ces vérités, pas un instant abordées ?

Jean LEVY
Membre du bureau du Comité Valmy
31 mars 2016

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21 mars 2016 1 21 /03 /mars /2016 11:54

Cet article est reposté depuis Le blog de Lucien PONS.

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20 mars 2016 7 20 /03 /mars /2016 05:31

"Une majorité de Français (53 %) souhaite un référendum sur le maintien ou non de la France dans l’Union européenne (UE), à l’instar de celui prévu au Royaume-Uni le 23 juin. C’est l’une des révélations de l’enquête menée début février auprès de 8 000 électeurs dans six pays de l’Union (Allemagne, France, Pologne, Irlande, Espagne et Suède) par l’université d’Edimbourg et le cercle de réflexion allemand D/part."

Source : Le Monde

Une majorité de Français souhaite un référendum sur la sortie de l'Union Européenne.
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