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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
22 septembre 2016 4 22 /09 /septembre /2016 09:57
Le président de la République, choisi en mai dernier, a reçu sa distinction lundi 20 septembre à New York des mains de l'ancien prix Nobel Henry Kissinger (à gauche) et du rabbin Arthur Schneirer.
Le président de la République, choisi en mai dernier, a reçu sa distinction lundi 20 septembre à New York des mains de l'ancien prix Nobel Henry Kissinger (à gauche) et du rabbin Arthur Schneirer.

Le président de la République, choisi en mai dernier, a reçu sa distinction lundi 20 septembre à New York des mains de l'ancien prix Nobel Henry Kissinger (à gauche) et du rabbin Arthur Schneirer.

Hollande, un prix et l’indignité

par · Publication · Mis à jour

Le Président François Hollande est allé chercher le 19 septembre 2016 un prix décerné par une fondation américaine. Ainsi, huit ans après Nicolas Sarkozy, François Hollande a été désigné « homme d’État de l’année » par la fondation The appeal of conscience  et a reçu sa distinction ce lundi à New York des mains de l’ancien Prix Nobel Henry Kissinger et du rabbin Arthur Schneier[1]. Il est humain de céder aux honneurs. Après tout Nicolas Sarkozy avait reçu ce prix avant lui, ce qui n’est pas nécessairement une référence. Mais il est sage de chercher à en savoir un peu plus sur qui vous honore.[...]

Lire la suite sur http://russeurope.hypotheses.org/5278

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18 septembre 2016 7 18 /09 /septembre /2016 14:53

À quand la fin de l’impunité pour la pègre de la finance ?

9 septembre par Patrick Saurin

Cliff - Flickr cc

« Pègre : Monde des voleurs, des escrocs formant une sorte d’association, de classe. » (Petit Robert)

Avec la crise financière de 2007-2008, chacun a pu mesurer les effets désastreux des agissements spéculatifs des banques, en particulier sur les populations les plus vulnérables. Jean-François Gayraud, commissaire divisionnaire et docteur en droit, n’hésite pas à parler à ce sujet de « prédation criminelle » |1|.

Aux États-Unis, le scandale des subprimes qui a spolié, jeté à la rue et plongé dans la misère des millions de ménages modestes est un exemple de ces pratiques délétères. En France, nous en avons une autre illustration avec les emprunts toxiques qui ont permis à un cartel de banques privées de piller les finances de milliers de collectivités, hôpitaux et organismes de logement social. |2| Mais de part et d’autre de l’Atlantique on observe de significatives différences de traitement à l’égard des banques impliquées.

En effet, si depuis le début de la crise financière, les régulateurs financiers américains ont fait preuve d’une relative sévérité en infligeant aux banques fautives 185 milliards de dollars de pénalités entre 2007 et 2015, on ne peut que s’étonner de la grande mansuétude de leurs homologues de l’Union européenne. Pour mémoire, sur la même période, les amendes de la Commission européenne ont représenté en regard un montant dérisoire d’à peine 1,9 milliard d’euros |3|.

En France, dans les litiges relatifs aux emprunts toxiques, on relève un manquement qui exprime non pas une incapacité à remédier à une déficience mais un choix, une stratégie assumés tout à la fois par les autorités de contrôle et de régulation, les autorités de l’État, choix et stratégie ratifiés pour l’essentiel jusqu’à ce jour par la justice.

Lire la suite sur le site de CATM : http://www.cadtm.org/A-quand-la-fin-de-l-impunite-pour

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14 septembre 2016 3 14 /09 /septembre /2016 15:56
sur usinenouvelle.com

sur usinenouvelle.com

Alstom, la financiarisation et le scandale

par ·

La décision de la société Alstom de fermer son usine de Belfort (sauf les travaux de maintenance) a surpris dans le monde politique. D’Arnault Montebourg à Emmanuel Macron, les critiques ont été virulentes. Mais, en réalité, cette décision n’est pas réellement étonnante quand on considère l’état – à court terme – du marché de la construction ferroviaire. Elle est la suite logique du dépeçage d’Alstom, consécutif à la vente à General Electrics de l’ensemble de ses activités dans la production d’énergie. Elle symbolise aussi parfaitement la logique de gestion d’une entreprise ou l’intérêt immédiat de l’actionnaire domine, mais aussi une logique économique où une puissance, les Etats-Unis pour les nommer, impose par la voix d’une justice aux ordres ses impératifs aux autres pays. Il est vrai que l’on pourrait résister à ces pratiques, mais cela impliquerait de faire de la souveraineté nationale un impératif de notre politique et de le défendre becs et ongles. Or, de ceci il n’est plus question depuis des années, et c’est bien cela qui transparaît dans cette décision.

Lire la suite en cliquant ci-après : https://russeurope.hypotheses.org/5224

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14 septembre 2016 3 14 /09 /septembre /2016 01:02

"En annonçant 5.500 suppressions de postes, l’américain Cisco est le dernier d’une longue liste de grandes entreprises comprimant massivement leurs effectifs, alors qu’elles sont bien portantes et empilent d’imposants bénéfices."

Lire la suite en cliquant ci-dessous.

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13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 12:46
Vu sur El Diablo
ALSTOM: « On a nationalisé Renault pour moins que ça à la Libération » [Jean-Pierre Chevènement]

INVITÉ RTL - L'ancien maire de Belfort n'a pas confiance dans les dirigeants d'Alstom et souhaite que l'État prenne plus de parts au capital de l'entreprise.

Jean-Pierre Chevènement maire de Belfort pendant 20 ans est rassuré de voir que le président de la République a fait du maintien de l'activité sur ce site historique d'Alstom, une priorité pour son gouvernement. Désormais, ce partisan d'un État fort se demande quels vont être les moyens mis en place.

Pour sa part, l'ancien maire de la commune souhaite que l'État "monte au capital, ne se contente pas des droits de vote que Monsieur Bouryges lui a accordés pour une durée limitée. Je pense que Monsieur Bouygyes a 28% et il serait honnête de le désintéresser complètement, c'est-à-dire que l'État soit à 28% et aille un peu plus loin peut-être, parce que ce qui est en jeu c'est tout l'équilibre des accords passés avec General Electric." Pour Jean-Pierre Chevènement, il est clair que les dirigeants d'Alstom ont cherché à prendre les pouvoirs publics par surprise. "Ça c'est inacceptable, et nous ne pouvons pas avoir confiance dans les dirigeants d'Alstom. On a nationalisé Renault pour moins que ça à la Libération."

"Il est temps qu'une volonté politique s'affirme"

Jean-Pierre Chevènement réfute les justifications avancées par l'entreprise pour transférer son site de production. Comme il le rappelle, le site de Belfort est la plus vieille usine de locomotives de France, depuis plus de 140 ans et "tout le savoir-faire, les ouvriers, les techniciens, les ingénieurs, on ne va pas les déplacer comme ça." Il pense plutôt que cette manœuvre est la suite logique d'un mouvement de revente à General Electric, initié avec la revente de la branche énergie de l'entreprise"Dans tout cela, il n'y a que félonie, traîtrise, coups tordus, mensonges... Il est temps qu'une volonté politique s'affirme."

Selon lui, seul le pouvoir public pourra effectivement contribuer à sauver les 400 emplois en jeusur le site de Belfort, mais pour cela, il faudra introduire de nouvelles méthodes dans la négociation des contrats d'Alstom. "Quand Alstom négocie des contrats aux États-Unis et en Inde, des contrats à 2 milliards de dollars, rien ne serait plus simple que de prévoir une quantité qui soit, soit fabriquée à Belfort, soit qui couvre les frais de commercialisation qui sont nécessaires pour que Alstom puisse constituer à se développer." Comme il le rappelle, les compagnies allemandes défendent la localisation sur leur territoire des segments à haute valeur ajoutée. "Nous en France, on achète à l'étranger, on investit à l'étranger, on produit à l'étranger. Et en France, on ferme, on licencie. Ce n'est plus acceptable."

SOURCE:

JEAN-PIERRE CHEVÈNEMENT:

Alstom à Belfort: vite, un plan alternatif à sa fermeture !

La fermeture par Alstom de l’usine de locomotives de Belfort qui y existe depuis plus de 140 ans, intervient au lendemain du départ de M. Macron. Celui-ci, en 2015, avait pris devant les salariés d’Alstom des engagements solennels en vue d’assurer le plan de charge de l’usine à travers notamment le programme « TGV du futur ». 

Il ne sera pas moins nécessaire demain qu’hier à la SNCF d’acheter des locomotives de fret et des locomotives TGV. 

La cession d’Alstom-Power à General Electric en 2014 était censée renforcer Alstom-Transport. Celui-ci vient d’emporter un contrat de 2 milliards de dollars aux Etats-Unis mais les emplois créés seront tous américains. 

On attend du gouvernement de la France qu’il défende les usines françaises avec autant d’énergie que le gouvernement américain en mai pour promouvoir l’emploi industriel aux Etats-Unis. Particulièrement à Belfort où le taux de chômage est supérieur de trois points à la moyenne nationale. 

Quel symbole ce serait que la disparition de l’usine mère de Belfort ! Je demande au gouvernement et au Président de la République qui connait bien le dossier Alstom de faire en sorte que cette entreprise présente sans tarder un plan alternatif.

SOURCE:

 

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13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 09:47

 

  • Jeudi 15 septembre : journée de grève et de manifestation contre la loi-travail et pour le progrès social : 10h30 au Vieux-Port
  • Samedi 17 septembre : fête de l’UD CGT 13 à « La Mérindole » à Port de Bouc à partir de 10h30
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13 septembre 2016 2 13 /09 /septembre /2016 00:09
À Paris, des sans-papiers sur le chantier de la grève
Lola Ruscio
Lundi, 12 Septembre, 2016
L'Humanité

Photo Julia Rostagni

Vingt-cinq Maliens employés par un sous-traitant du BTP ont cessé le travail mercredi. Ils exigent des papiers et leurs fiches de paie. Un grave accident a déclenché leur lutte.

Lire l'article intégral en cliquant ci-dessous.

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12 septembre 2016 1 12 /09 /septembre /2016 15:58
Vente d'Alstom : le dessous des cartes

 

FIGAROVOX/EXCLUSIF - Pour Jean-Michel Quatrepoint, la vente d'Alstom est un «scandale d'État». Le journaliste et économiste révèle que le gouvernement a délibérément confié à un groupe américain l'avenir de l'ensemble de notre filière nucléaire.


Jean-Michel Quatrepoint est journaliste économiste. il a travaillé entre autres au Monde, à la Tribune et au Nouvel Economiste. Il a écrit de nombreux ouvrages, dont La crise globale en 2008 qui annonçait la crise financière à venir.

[...]

PROPOS RECCUEILLIS PAR

Alexandre Devecchio@Alex_devecch


Vendredi 19 décembre, dans un complet silence médiatique, les actionnaires d'Alstom ont approuvé à la quasi-unanimité le passage sous pavillon américain du pôle énergie du fleuron industriel. 70% des activités d'Alstom sont donc vendues au conglomérat General Electric (GE). Que cela signifie-t-il concrètement?

Lire l'intégralité de l'interview en cliquent ci-dessous

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12 septembre 2016 1 12 /09 /septembre /2016 14:22
3 jours formidables de débats et de solidarité internationale sur le stand du PRCF à la fête de l’Huma ! Tous mobilisés pour la rentrée sociale !
Sur le site du PRCF

clip prcf fête huma 2016C’est la fin de cette édition 2016 de la fête de l’Huma. Trois  jours formidables de fêtes, de débats et de rencontres innombrables avec des camarades de tous les continents, des syndicalistes et des travailleurs de toutes la France
Trois jours de mobilisation pour les luttes.
Trois jours de solidarité internationaliste et de fraternité.
Trois jours d’action sur le pour faire avancer la construction du Front Antifasciste Populaire Patriotique et Ecologique (FRAPPE) pour remettre à l’offensive la classe des travailleurs autour du mots d’ordre des 4 sortie. Sortie de l’UE, Sortie de l’Euro, Sortie de l’OTAN ET SORTIE DU CAPITALISME.

L'article intégral en cliquant ci-dessous

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7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 19:50
Les vrais effets de la politique "pro-business" de Hollande

Le 05.09.2016 sur Challenges.fr

Le quinquennat Hollande a mis le paquet sur les entreprises et la réduction des déficits publics. Au détriment de la croissance et du chômage selon l'OFCE.
François Hollande (à droite) et Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie, à l'anniversaire de la Nouvelle France Industrielle à l'Elysée, le 23 mai 2016.

François Hollande (à droite) et Emmanuel Macron, alors ministre de l'Economie, à l'anniversaire de la Nouvelle France Industrielle à l'Elysée, le 23 mai 2016. AFP PHOTO / POOL / CHARLES PLATIAU

Ironie du sort, c’est un ex-conseiller du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg à Bercy qui livrait ce lundi 5 septembre un premier diagnostic économique du quinquennat de François Hollande. Xavier Ragot, devenu président de l’institut de conjoncture OFCE, dresse un bilan mitigé de quatre ans de politique économique et redonne du lustre à la ligne anti-austérité que défendait son ancien patron à Bercy. "L’impact des hausses d’impôts effectuées en début de mandat a été sous-estimé par le gouvernement, analyse-t-il. L’ampleur du choc fiscal n’était pas compatible avec une baisse du chômage au cours de la première moitié du mandat". La rigueur budgétaire a plombé la croissance française de 0,8 point par an en moyenne, selon l'institut, avec bien sûr des effets négatifs sur l'emploi.

Les chiffres compilés par les chercheurs de l’OFCE révèlent la politique "pro-business" menés par les gouvernements Ayrault puis Valls. Entre 2012 et 2017, ce sont quelque 42,6 milliards d’euros d’impôts supplémentaires qui ont été imposés aux Français, dont 27,1 milliards décidés directement par François Hollande et 15,5 milliards hérités de la présidence Sarkozy. Après une première série de hausses qui ont touché autant les ménages que les entreprises, les secondes ont profité à plein de la fameuse "politique de l’offre" à partir de 2014. Les milliards du crédit d’impôt compétitivité (CICE) et du pacte de responsabilité ont ainsi fait plus que compenser l’augmentation des prélèvements du début de quinquennat. En cinq ans, les entreprises auront vu leur fiscalité réduite de 20,6 milliards, tandis que les ménages auront subi 35 milliards de hausses.

Problème, les résultats sur le front de l’emploi

"Pour justifier sa politique, le gouvernement a avant tout communiqué sur la lutte contre le chômage, observe Xavier Ragot. Mais en réalité, il avait deux autres buts : la réduction des déficits publics et l’amélioration de la compétitivité des entreprises". Trois objectifs difficilement conciliables selon l’économiste… De fait, en quatre ans, les marges des entreprises ont repris de belles couleurs sous le double effet des baisses de cotisations sociales et du prix du pétrole. Dans l’industrie, le taux de marge a même renoué avec ses records du début des années 2000 et l’investissement repart depuis 2015. Côté comptes publics, les déficits ont régulièrement diminué pour passer de de 4,8 % à 3,3 % de la richesse nationale en quatre ans.

Problème, les résultats sur le front de l’emploi, eux, se sont fait cruellement attendre. "Sur l’ensemble du quinquennat, le chômage au sens du BIT augmenterait de 100.000 personnes malgré 720.000 créations d’emplois", prévoit l’OFCE. Les créations d’emploi dans le secteur marchand ne dépasseraient les suppressions de postes qu’à partir de 2017. Soit quatre ans après l’annonce de l’inversion de la courbe du chômage par François Hollande... Plus grave, le sous-emploi a considérablement progressé en quatre ans. En additionnant les demandeurs d’emploi, les temps partiels subis et les chômeurs non inscrits, ce sont près de 6 millions de personnes qui souffrent du chômage, soit 8 % de plus qu’il y a quatre ans (440.000 personnes).

Au total, la politique économique décidée sous François Hollande a fini par porter ses fruits pour les entreprises et l’équilibre des comptes publics, mais au détriment du portefeuille des Français et donc de la croissance à court terme. "La France de 2017 devrait se trouver dans une dynamique économique plus positive qu’en 2012, concèdent toutefois les économistes de l’OFCE, même si la fragile reprise ne doit pas occulter les difficultés persistantes du pays en matière de commerce extérieur et de chômage". En clair, ça va mieux, mais ce n’est pas encore gagné...

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