Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
29 juillet 2017 6 29 /07 /juillet /2017 13:23

«Comment peut-on avoir grandi avec l’Union européenne et rejeter cette Europe aujourd’hui ?»

Comment réagir face à une telle niaiserie europhile ? À l’occasion de son lancement, le site Ruptures a compilé pour vous les propos de certains youtubeurs sur la question.[...]

La suite ici : https://ruptures-presse.fr/videos/ruptures-le-zapping-n1-lunion-europeenne-decryptee-par-des-youtubeurs-video/

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2017 5 28 /07 /juillet /2017 14:23
Renzi couvre les tortionnaires du G8 de Gênes - Humanité, 15 janvier 2016
Partager cet article
Repost0
28 juillet 2017 5 28 /07 /juillet /2017 12:33
 

Le gouvernement vient de décider de « nationaliser » les chantiers navals STX. Cette démarche peut surprendre de la part d’un gouvernement qui, jusqu’à maintenant, s’était surtout fait remarquer par des positions inspirées par le libéralisme économique le plus pur. L’objectif affiché est de «défendre les intérêts stratégiques de la France». Le gouvernement possédait jusqu’à présent 33,33% des actions. Cette détention était assortie d’un droit de préemption courant jusqu’au samedi 29 juillet. C’est ce droit que le gouvernement a décidé de faire jouer, à la suite de l’échec des négociations avec l’entreprise italienne, Fincantieri qui devait reprendre une partie du capital.

 

Le cas STX et le conflit Franco-Italien

L’exécutif a voulu négocier un schéma «à 50-50», équilibrant les intérêts français (l’État, l’ex-DCNS Naval Group, Bpi-France et les salariés) et italiens dans le tour de table des Chantiers de l’Atlantique, alors que le compromis initial donnait au camp italien 55 % des parts de STX France. Les causes du revirement du gouvernement français sont connues. Fincantieri est situé sur le même créneau que STX, dont il est le principal concurrent. Alors que le gouvernement présidé par M. Cazeneuve avait accepté que les italiens soient majoritaires, celui de M. Philippe, et bien entendu le Président de la République, ont fait leurs les craintes de nombreux responsables de STX que l’acheteur italien n’intervienne que pour s’assurer la maîtrise de certaines équipements de Saint-Nazaire et laisse péricliter la production sur le site. Or, le gouvernement italien a rejeté la proposition française, que ce soit par la voix du ministre du Développement économique M. Carlo Calenda, ou celle de son collègue du Trésor M. Pier Carlo Padoan.[...]

Les contradictions du gouvernement [...]

Du rôle de l’Etat dans le développement de l’industrie[...]

La suite ci-dessous :

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2017 2 25 /07 /juillet /2017 21:38
  • Par ,
  • Tribune publiée http://www.lefigaro.fr/vox
Inversion de la « hiérarchie des normes » : la longue histoire du dumping social européen
 
 

FIGAROVOX/TRIBUNE - Coralie Delaume et Steve Ohana décryptent « l'un des axes majeurs de la « super loi travail » : la décentralisation des négociations collectives ». Pour eux, les politiques de compétitivité exacerbées ont refermé « un étau déflationniste sur la France depuis une vingtaine d'années ».


Steve Ohana est professeur de finances à l'ESCP Europe et auteur de Désobéir pour sauver l'Europe (Max Milo, 2013).

Coralie Delaume est essayiste, coauteur de La fin de l'Union européenne (Michalon, 2017) et animatrice du site L'arène nue.


L'un des axes majeurs de la «super loi travail» en préparation est la décentralisation des négociations collectives, c'est-à-dire le projet de faire descendre la négociation collective du niveau de la branche vers celui de l'entreprise.

Cette démarche n'a rien d'original et s'inscrit dans un long processus engagé dans toute l'Union Monétaire Européenne depuis les années 90.

La première à s'engager dans cette voie fut l'Allemagne, dont la compétitivité-coût s'était affaissée suite à la réunification. Contrairement à ce que l'on croit souvent, ce n'est pas à la suite des réformes Hartz des années 2003-2005 mais dès 1995, avec la décentralisation des négociations collectives, que s'est engagé le processus de modération salariale en Allemagne. À partir de cette date, les entreprises allemandes ont eu la possibilité de déroger de façon importante aux accords de branche et ces dérogations ont été utilisées de façon concertée par entreprises et salariés pour contenir la progression des salaires. De 1995 à 2010, les salaires réels ont progressé nettement moins vite que la productivité, permettant la stagnation du coût unitaire du travail (salaire divisé par la productivité) sur cette période, pendant que celui des partenaires de la zone euro augmentait (+3% par an en Espagne, +2.5% par an en Italie, +1.5% par an en France). Cette politique de «cavalier solitaire» a permis à l'Allemagne de renforcer son avantage comparatif dans le secteur manufacturier, dont l'essor, porté notamment par la forte croissance des pays émergents dans les années 2000, a permis de pallier l'accroissement des inégalités salariales et l'affaissement de sa demande domestique.

[...]

La suite de l'article en cliquant ci-dessous

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2017 7 23 /07 /juillet /2017 13:46
Partager cet article
Repost0
3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 22:11
Le président de la Commission et son commissaire à l'Economie

L’hypothèse prend de l’épaisseur : en 2019, lorsque le mandat de l’actuel président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, viendra à échéance, Pierre Moscovici pourrait bien être intéressé.

M. Juncker l’avait annoncé en février : « je ne me porterai pas candidat une seconde fois ». On attendait donc de courageux volontaires pour reprendre le cap. Cap’ ? Le Français Moscovici affirme l’être : il vient de confier à la presse allemande : « la candidature à la présidence de la Commission pourrait m’intéresser ».

Actuellement commissaire européen aux affaires économiques et monétaires, à la fiscalité et à l’union douanière – reprenons notre souffle – c’est l’heure pour M. Moscovici de mettre en avant un CV idéal pour briguer la présidence de la Commission. Il a décidé de faire connaître son ambition via le quotidien allemand Die Welt.[...]

La suite ci-dessous

Partager cet article
Repost0
3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 13:38
Edition de juin

Les abonnés de Ruptures ont reçu leur mensuel vendredi 30 juin. Au sommaire de cette édition :

la rivalité entre Washington et Berlin est analysée dans l’éditorial, rivalité qui s’inscrit en toile de fond de la méthode Coué utilisée par les dirigeants européens sur le thème « l’Europe est redevenue populaire » (une sorte de déni de réalité) ;

– les « recommandations de la Commission » adoptées par le Conseil européen, et qui imposent à chaque Etat membre sa feuille de route économique et sociale, avec une priorité pour la France : l’« assouplissement » du droit du travail – compte-rendu du document de Bruxelles ;

– le Conseil européen qui s’est tenu les 22 et 23 juin a mis en scène la supposée « renaissance » de l’UE, et a lancé symboliquement l’intégration militaire : projection de puissance et financement des armements futurs ;

– les élections britanniques du 8 juin ont vu les Conservateurs britanniques fortement progresser (ce qui n’a été signalé par personne), mais Theresa May a perdu sa majorité absolue du fait de la percée des Travaillistes, une situation dont les adversaires du Brexit tentent de profiter ;

– le projet de gazoduc Nord Stream 2 sème la zizanie parmi les Vingt-huit, illustrant l’opposition entre l’Allemagne, qui a besoin du gaz russe, et les pays de l’Est, toujours vent debout contre Moscou et soutenus par le Sénat américain ;

– et, bien sûr, comme chaque mois, les brèves…

Pour recevoir cette édition et les suivantes, il n’est pas trop tard pour s’abonner.

Source :https://ruptures-presse.fr/actu/parution-ruptures-juin-sommaire/

Partager cet article
Repost0
2 juillet 2017 7 02 /07 /juillet /2017 13:17

Visiblement JL Mélenchon rêve d'un nouveau parti  bâti sur les décombres des autres : PS, PCF, EELV ... Il faut remarquer que ces derniers l'ont aidé ... Le PS en soutenant,  et y compris les frondeurs et Filoche, François Hollande, le représentant de la seconde droite. Le PCF en décidant seul de faire des alliances avec le PS majoritaire ( régionales et municipales) au moment où ce dernier révélait ses options social-libérales et en continuant à défendre l'illusion européenne malgré la catastrophe grecque. EELV en signant un pacte avec le social-libéralisme pour certains d'entre eux et faisant ainsi éclater les Verts. Fallait pas y aller. Quelle illusion cette manie de vouloir changer les choses de l'"intérieur" ! C'est Mélenchon et son mouvement qui ont eu raison les premiers : sur son refus de s'allier avec le PS et sur les questions européennes qui y sont liées. Et il est vrai que EELV et la direction du PCF ont tout fait pour favoriser une candidature socialiste : Montebourg (qui avait soutenu Hollande contre Aubry au second tour de la primaire 2011) puis Hamon. Mais Mélenchon ne devrait pas mépriser ainsi les militants communistes ( je ne parle pas de la direction du PCF) qui - membres ou pas du PCF - ont milité pour qu'il soit présent au second tour de l'élection présidentielle. Ce qu'il y a de déplaisant chez le leader de la FI, c'est le côté : "ralliez-vous à ma cravate rouge sans broncher et sans contester mon programme". Le rassemblement, ce n'est pas ça. C'est « marcher côte à côte et frapper ensemble ». Et un peu de modestie ne lui nuirait pas. Avoir voté Maastricht, c'est quand même une grave faute politique.

Yvette Genestal

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2017 6 01 /07 /juillet /2017 15:51
 

Voilà une information qui n’a pas fait les gros titres des journaux, et sur laquelle les médias radio et télé sont restés silencieux. En Italie[1], en Espagne, des banques sont en crises, et sont rachetées par des concurrents, bien souvent à l’Euro symbolique, ou presque. On dira que, si cette nouvelle n’a pas fait les gros titres c’est qu’il n’y a pas de problèmes. A dire vrai, l’Union Bancaire, créée depuis quelques années, devait être un mécanisme de résolution de telles crises. Alors, peut-on penser que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes ?

Certes non, et c’est la raison pour laquelle j’ai invité Benjamin Masse-Stamberger, journaliste économique et membre du Comité Orwell et Josse Roussel, professeur à la Paris School of Business à venir en discuter dans le cadre des Chroniques de Jacques Sapir sur Radio-Sputnk.

Crises en Espagne et en Italie [...]

La suite sur le blog Russeurope

Partager cet article
Repost0
29 juin 2017 4 29 /06 /juin /2017 22:07
Aubin Laratte|27 juin 2017 sur Le Parisien
Bernard Arnault, patron de LVMH, propriétaire du «Parisien»-«Aujourd'hui en France», totalise une fortune en 2017 de 46,9 milliards d'euros grâce à une hausse de 56 % des actions de son groupe de luxe. Il reprend la première place du classement du magazine Challenges, détrônant Liliane Bettencourt.(AFP/GEOFFROY VAN DER HASSELT)
 
Commentaire : Rappelons que Bernard Arnault a soutenu Emmanuel Macron.  Il a choisi Les Echos, journal dont il est propriétaire pour y expliquer pourquoi il votait Emmanuel Macron.  Ici le lien : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/0212037762785-pourquoi-je-vote-emmanuel-macron-2084556.php

Bernard Arnault avec Emmanuel Macron, le 15 juin 2017, entre les deux tours ...(Source : Les Revenus )

 

«Challenges» publie dans son numéro de jeudi son nouveau classement des 500 Français les plus riches. Leur fortune a été multipliée par sept en vingt ans. Celle des 10 plus riches l'a été par 12.

En 22 ans de classement «Challenges», le produit intérieur brut (PIB) français a à peine doublé, passant de 1259 milliards d'euros en 1996 à 2222 en 2017. Dans le même temps, la fortune des 500 personnes les plus riches de France du classement Challenges a été multipliée par sept, passant de 80 à 571 milliards d'euros de 1996 à 2017. La fortune cumulée des 10 Français les plus riches a été multipliée par 12.


«Le nombre de milliardaires en France est passé d'une dizaine au début de notre classement, en 1996, à maintenant plus de 90», expose au «Parisien» Eric Tréguier, journaliste de «Challenges» qui consacre trois mois chaque année au classement des 500 Français les plus fortunés. Depuis le premier classement, la fortune de Serge Dassault a été multipliée par 20, celle de Bernard Arnault (propriétaire du «Parisien»-«Aujourd'hui en France») - qui reprend la première place à l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt - et de la famille Hermès par 17. La famille d'industriels Wertheimer a vu sa fortune multipliée par 12. «Certains sont rentrés récemment dans le tableau, explique Eric Tréguier. Patrick Drahi est arrivé dans le classement en 2008, Xavier Niel en 2002 et les Werthmeimer en 2001
Bernard Arnault est à la tête d'une fortune de 46,9 milliards d'euros, devant Liliane Bettencourt et la famille Meyer, propriétaires du groupe L'Oréal (fortune de 35,8 milliards d'euros). En troisième position, Axel Dumas et sa famille, à la tête du groupe Hermès, jouissent d'une fortune de 30,85 milliards d'euros.

[...]
Lire l'intégralité de l'article ci-dessous
Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents