Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Samedi 29 Février 2020 : Edouard Philippe annonce l'utilisation du 49-3 pour imposer la contre-réforme des retraites - L'épidémie est déjà en France depuis l'hospitalisation d'un touriste chinois le 25 janvier ...- Photo AFP/Gérard Julien
Un lecteur a enrichi l'article de Mediapart. nous le remercions et invitons à lire son commentaire. Nous reprenons ici son ajout à la chronologie :
"Votre chronologie est incomplète. L'OMS a été avertie par la CHINE d'une maladie inconnue le 31/12/2019 . Une cinquantaine de cas, aucun mort. Cela est corroboré par Mme BUZYN qui indique que vers le 20 /12/2019 il y avait un probleme en discussion en CHINE. Le 7 janvier 2020 les labos chinois font connaitre l'ARN du coronavirus ( voir institut pasteur). "
Comment le pouvoir français apprend-il l’émergence d’une épidémie devenue pandémie ? Et comment a-t-il réagi, englouti qu’il était dans la réforme des retraites et les municipales ? Comment s’est-il préparé ? Éléments de réponse avec cette chronologie détaillée.
C’était le 30 janvier, il y a moins de trois mois. Autant dire un autre temps, comme effacé par la violence de la pandémie de Covid-19. Ce jour-là, l’Organisation mondiale de la santé (OMS), déjà critiquée pour sa lenteur et sa complaisance envers le régime chinois, décidait de déclarer « l’urgence de santé publique de portée internationale ». Par ce mécanisme d’alerte, l’OMS demande à tous les pays de se préparer en urgence à une possible pandémie.
Ce même 30 janvier, le pouvoir exécutif français est tout entier concentré sur la bataille parlementaire qui s’engage sur le projet de réforme des retraites (voir ici la page d’accueil de Mediapart du 30/01). Macron et Philippe font face depuis deux mois à une mobilisation sociale inédite et à un rejet massif de cette réforme. Président et premier ministre n’entendent rien céder et consacrent même à cette réforme la quasi-totalité de leur agenda, Édouard Philippe se préparant à rajouter à cette charge sa propre campagne municipale au Havre.
Le procès en impréparation du pouvoir, où se mêlent désinvolture, ignorance, incompétence et dédain, est déjà largement engagé et ne manquera pas de se poursuivre. Il devra être solidement documenté. Les enquêtes, les reportages, les entretiens de Mediapart et l’ensemble de notre couverture permettent déjà à nos lecteurs de se forger une opinion. Mais l’événement inouï que nous vivons risque de nous faire oublier ce que furent les premiers mois de cette crise historique. À sa façon, cette chronologie, forcément incomplète, s’efforce de fournir à nos lecteurs des dates, des faits et des citations incontestables. [...]
Photo prise sur le blog "http://www.le-fruit-des-amandiers.com/2018/01/la-cgt-interviewe-christophe-prudhomme-medecin-urgentiste-sur-la-situation-des-etablissements-de-sante-il-evoque-la-crise-du-systeme"
Le quinquennat Macron a lui aussi fortement fragilisé l’hôpital public. Une augmentation du budget hospitalier de 5%, soit 4 milliards d’euros, aurait permis de faire face avec efficacité à la crise du Coronavirus et de sauver de nombreuses vies. Mais depuis des années les alertes ne sont pas entendues. Interview du porte-parole de l’Association des médecins urgentistes de France
Médecin urgentiste à l'hôpital Avicenne dans le 93, en Seine-Saint-Denis, Christophe Prudhomme, est porte-parole de l'association des médecins urgentistes de France, et délégué à la CGT. De...
Par Joël Perichaud, secrétaire national du Parti de la démondialisation, chargé des relations internationales Le 19 juin 2019
Maintenant que le spectacle des élections européennes est terminé, que les bonimenteurs des « renouveler l’Europe », « changer l’Europe », « redéfinir l’Europe», « réformer l’Europe », « transformer l’Europe » ont rangé au fond de l’armoire leur panoplie électorale, le champ est libre. Le 5 juin, l’Union européenne a publié ses recommandations, pays par pays, afin qu’ils mènent toutes les réformes nécessaires pour se mettre en conformité avec ses directives et ses stratégies. Au programme : réforme des retraites, réduction de la dépense publique, privatiser des biens publics, supprimer des postes de fonctionnaires, poursuivre la réduction du nombre de communes…
Chaque année, autour du 20 mai, le Conseil de l’Europe, transmet au gouvernement Français ses « recommandations concernant le programme national de réforme de la France portant avis sur le programme de stabilité́ de la France pour l’année suivante ». Chaque pays de l’Union reçoit les Grandes orientations des politiques économiques (GOPÉ), véritable lettre de mission personnalisée, pour adopter les réformes conformes aux attentes de l’UE.
Ainsi pour 2019-2020, les GOPÉ sont arrivées le 5 juin 2019. Un « léger décalage » dû aux élections européennes. En effet, il aurait été très maladroit, pour le système supranational européen, de publier les orientations dictées à la France avant le 26 mai. Car des esprits « chagrins » s’en seraient certainement saisis pour mettre en lumière la tutelle de l’UE sur le gouvernement et alerter sur les prochaines « réformes » imposées par la Commission et son thuriféraire Macron.
A quelle sauce allons-nous être mangés ?
Le document officiel (ICI) est explicite pour qui veut bien le lire. Hors le verbiage administratif et les circonvolutions de circonstance, l’essentiel tient en peu de mots mais est lourd de conséquences pour les classes dominées en France.
La Commission RECOMMANDE que la France s'attache, en 2019 et 2020 : 1. à veiller à ce que le taux de croissance nominale des dépenses primaires nettes ne dépasse pas 1,2 % en 2020, ce qui correspondrait à un ajustement structurel annuel de 0,6 % du PIB; à utiliser les recettes exceptionnelles pour accélérer la réduction du ratio de la dette publique; à réduire les dépenses et à réaliser des gains d’efficacité́ dans tous les sous-secteurs des administrations publiques, notamment en précisant pleinement les mesures concrètes nécessaires dans le contexte du programme Action publique 2022 et en surveillant étroitement la mise en œuvre de ces mesures; à réformer le système de retraite pour uniformiser progressivement les règles des différents régimes de retraite, en vue de renforcer l'équité́ et la soutenabilité́ de ces régimes; 2. à favoriser l’intégration de tous les demandeurs d’emploi sur le marché́ du travail, à garantir l’égalité́ des chances, en mettant particulièrement l’accent sur les groupes vulnérables, notamment les personnes issues de l’immigration, et à remédier aux pénuries et aux inadéquations de compétences; 3. à axer la politique économique en matière d'investissements sur la recherche et l’innovation (tout en améliorant l’efficacité́ des dispositifs d’aide publique, dont les systèmes de transfert de connaissances), sur les énergies renouvelables, l’efficacité́ énergétique et les interconnexions avec le reste de l’Union, ainsi que sur l’infrastructure numérique, en tenant compte des disparités territoriales; 4. à poursuivre la simplification du système d’imposition, notamment en limitant le recours aux dépenses fiscales, en continuant de supprimer les impôts inefficaces et en réduisant les impôts sur la production; à réduire les restrictions règlementaires, notamment dans le secteur des services, et à mettre pleinement en œuvre les mesures visant à stimuler la croissance des entreprises.
Traduisons la novlangue bruxelloise en français courant :
Organisés au plus près du terrain par le collectif inter urgence de coordination des grèves, c’est désormais 193 services d’urgences qui sont en grève au 11 juillet 2019. D’après les sondages, ils ont le soutien de 92% de la population
Une mobilisation qui loin de faiblir s’intensifie, les soignants veulent pouvoir assurer les soins auxquels le peuple à droit. Des années d’euro austérité mettant à genou l’hopital public pour favoriser sa privatisation rampante au profit des structures privées, les attaques continuent portées contre la sécurité sociale place en effet désormais les urgences des hôpitaux publics dans une situation proche de la rupture.
D’après les syndicats, il manque 100 000 postes au moins dans les établissements de santé, sans compter les 200 000 postes manquants dans les EHPAD. Avec l’augmentation de la population, la désertification médicale provoquée notamment par le numerus closus, la fréquentation des urgences bat des records. 21 millions de passages en 2017 pour seulement 400 000 lits. Un nombre en baisse avec près de 100 000 lits supprimés en 20 ans.
En visite aux urgences de La Rochelle, la ministre de la santé Angès Buzyn était venue faire la promotion de son plan de casse de l’hôpital public tentant de la cacher sous quelques annonces, notamment l’aumône d’une “prime de risques” dérisoires à des personnels soignants qui réclament la réouverture de lits et le recrutement de personnel [...]
La ministre de la Santé a souhaité aller à la rencontre, vendredi 12 juillet, des personnels des services d'urgence à La Rochelle (Charente-Maritime). Agnès Buzyn a été confrontée à la col...
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a été chahutée ce vendredi après-midi, lors de sa visite du service des Urgences à l'hôpital de La Rochelle. La visite de la ministre en Charente-Marit...
C’est un amendement au projet de loi « Pour une école de la confiance », soutenu par la majorité parlementaire : il prévoit la création d’établissements regroupant collèges et écoles primaires d’un même secteur, sous l’autorité du principal du collège. En milieu rural, cette réorganisation de l’Éducation nationale risque d’accélérer le rythme des fermetures de classes. La disparition des directeurs d’école pourrait fragiliser les liens entre les équipes d’enseignants, les communes et les familles. Deuxième volet de notre série d’articles pour décrypter plusieurs aspects de la réforme en cours qui suscite nombre d’interrogations.
L’amendement était-il prémédité ou fortuit ? Dans le cadre de l’examen du projet de loi « Pour une école de la confiance » du ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, la députée du Val d’Oise Cécile Rilhac (LREM) a déposé un amendement, voté par la majorité, créant des « établissements publics locaux d’enseignement des savoirs fondamentaux » (article 6 quater de la loi). Il s’agit de regrouper, sur un même secteur, le collège et les écoles élémentaires. En clair, l’amendement ouvre la possibilité de créer un méga-établissement, dont le cœur serait le collège et les dépendances les écoles élémentaires. L’ensemble sera placé sous l’autorité du principal du collège. Il sera assisté de plusieurs « adjoints » en charge du premier degré, qui remplaceront donc les actuels directeurs et directrices d’écoles.
Ces méga-établissements entraîneront « une modification profonde de l’organisation scolaire », prévient le syndicat enseignant Snuipp-FSU. Mais comme ils sont instaurés par un amendement, et ne figurent pas dans le projet de loi initial, ces futurs établissements publics locaux d’enseignement échappent à l’avis du Conseil d’État, contournent la discussion en commission parlementaire et évitent l’étude d’impact. Ce qui se révèle bien utile au vu de la réorganisation « profonde » que cela pourra engendrer dans le premier degré. [...]
Le 13 mars 2019 Jacques Nikonoff était invité par des Gilets jaunes de Clermont-Ferrand à faire une conférence sur le thème "Faut-il sortir de l’Union européenne ?" Dans la vidéo accessible ci-dessous, JN donne une réponse positive à cette question pour deux raisons fondamentales :
Le système actuel de l’Union européenne a pour but d’éliminer la démocratie, c’est-à-dire de faire taire le peuple afin d’imposer définitivement des politiques néolibérales favorables aux intérêts des puissants.
L’euro est une arme de destruction massive des salaires, des emplois et de l’industrie française.
Le débat s'est poursuivi en abordant diverses questions comme le RIC ou le débouché politique de la lutte des Gilets jaunes.
Quelques questions demeurent curieusement sans réponse.
L’incendie de Notre Dame a provoqué une réaction de stupeur largement partagée. Pour des millions de français c’est une partie de notre patrimoine, de notre histoire, de notre culture qui a été atteinte par les flammes. Nul n’est resté insensible aux images terribles retransmises en direct. Aujourd’hui, sans doute par crainte d’être accusé de « conspirationnisme » souvent présent en de telles circonstances, des questions pourtant évidentes demeurent sous silence.
J’ai, comme beaucoup, pris connaissance d’un témoignage passionnant recueilli sur le plateau de David Pujadas sur LCI. Passionnant pour deux raisons au moins: d’abord pour l’identité et la qualité de l’interviewé, ensuite pour le contenu de l’interview. Benjamin Mouton a été l’architecte en chef de Notre dame durant 13 ans, de 2000 à 2013, et s’exprime clairement sur le sujet qui a trait à son ancienne activité. Voila donc les éléments qu'il apporte pour nourrir notre réflexion. Après avoir souligné l’absence totale d’hypothèse sur l’origine du feu, il précise que sa propagation lui a semblé « extrêmement curieuse », « incompréhensible » d’autant que la charpente était constituée de « très vieux chêne et on dirait qu’il a brulé comme des allumettes. Comme si c’était une autre essence, très volatile ou combustible, je ne comprends pas du tout » dit-il d'emblée.
Qui s’est risqué à tenter de faire des braises avec du chêne a pu en effet constater la difficulté à embraser de grosses bûches. Les poutres de Notre Dame étaient « vieilles de 800 ans, c’est très dur… Il faut mettre beaucoup de petit bois pour y arriver… Ça me stupéfie beaucoup » continue t'il.
Face à ces doutes, la question lui est posée des cas de figure qu’il pourrait envisager pour apporter un début d’explication au brasier qui s’est déclaré dans la cathédrale. C'est alors qu'il livre des éléments d'informations tout à fait stupéfiants.
« Je me perds en conjecture. Juste avant que je prenne ma retraite dans les années 2010, on a remis à plat toute l’installation électrique de Notre Dame, donc il n’y a pas de possibilité de court circuit. On a remis à plat et aux normes contemporaines, même en allant très loin, toute la protection et la détection incendie de la cathédrale avec des éléments de témoins de mesure qui permettaient de détecter un départ de feu. Vous avez en bas de la cathédrale deux hommes en permanence qui sont là jour et nuit, et qui sont là pour aller voir, dés qu’il y a une alerte, et appeler les pompiers… Ils sont là en permanence. Et puis c’est comme tous ces chantiers de monument historique, surtout à Notre Dame, on a un encadrement technique, normatif de contrôle, qui est considérable, qu’on ne voit nulle part ailleurs, donc là je suis stupéfait. »
Dans ce contexte donc, comment comprendre l’incendie? Evidemment comme souvent en de telles circonstances, toutes sortes d’hypothèses fleurissent sans que rien ne viennent les étayer. Attentat, provocation, oeuvre de barbouzes, officine calquée sur le modèle Benalla,… La meilleure façon de les démentir est d’apporter toute la clarté, notamment sur ces questions posées par l’ancien architecte en chef de Notre Dame, particulièrement informé de la situation de la Cathédrale.
Alors que la flèche était encore « debout », le sommet de l’état s’est précipité pour clamer la thèse de l’accident. Comme si le sort en avait décidé ainsi sans que nul n’y puisse rien faire. Mais si accident il y a eu, il faut expliquer et vite comment les arguments de Benjamin Mouton peuvent être démontés.[...]
Seine-Maritime : 102 fermetures de classes contre 89 ouvertures
L’inspection académique de Seine-Maritime présente jeudi ses arbitrages provisoires sur la carte scolaire, dénoncés par bon nombre d’enseignants, parents et élus.
Aux Loges, parents et élus ont organisé le blocage de la maternelle, hier (photo Christophe Dubuc)
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