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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
20 juin 2015 6 20 /06 /juin /2015 14:24

19 juin 2015 |  Par martine orange sur Médiapart

Alors qu’un accord semble impossible à atteindre et que le système bancaire grec est au bord de l’effondrement, les Européens cherchent d’urgence un plan B pour la Grèce. Tous évoquent un contrôle des capitaux et une possible sortie de la Grèce de l’euro. Revue des scénarios à l’étude.

 

« Soit il y a un accord, soit il faut un plan B », avait prévenu le ministre irlandais des finances Michael Noonan avant le énième sommet de l’Eurogroupe. Il n’y a pas eu d’accord, le 18 juin, comme cela était prévisible. Une heure a suffi pour dresser un nouveau constat de désaccord entre le gouvernement grec et les autres responsables européens.

Et maintenant, il faut penser l’impensable : il peut arriver que la Grèce fasse faillite ; il peut arriver que la zone euro éclate. Même si les chefs de gouvernement européens tentent encore de faire croire qu’un accord avec la Grèce est possible – un nouveau sommet d’urgence est prévu lundi à Bruxelles –, les chances ne cessent de s’amenuiser, tant les positions semblent irréconciliables, tant l’Europe continue de s’accrocher à un plan dont la démonstration de la faillite n’est plus à faire, tant la situation du système bancaire devient tendue. « Nous sommes dangereusement proche d’un état d’esprit qui accepte un accident », a averti le ministre grec des finances, Yanis Varoufakis.

© Reuters

Rappelant son mandat politique et son devoir moral, le gouvernement grec maintient sa ligne : il veut un plan d’aide viable économiquement, juste socialement. Il a prévenu ses partenaires européens : s’il n’y a pas d’accord au 30 juin, la Grèce ne paiera pas le 1,6 milliard d’euros qu’elle doit rembourser au FMI.

Les agences de notation – Standard & Poor’s comme Moody’s – ont tenté de calmer les financiers qui commencent à s’alarmer de la situation. Si la Grèce ne rembourse pas le FMI le 30 juin, cet événement ne constituera pas officiellement un défaut, affirment-ils. Athènes, selon les statuts du FMI, disposerait de 30 jours supplémentaires pour honorer ses échéances. De plus, le FMI étant un créancier institutionnel, l’absence de remboursement ne déclenche pas une procédure de défaut, comme dans le cas de non-remboursement d’un créancier privé.

À son arrivée à Bruxelles, jeudi, la directrice générale du FMI a douché les espoirs. « La Grèce doit respecter ses obligations. Le paiement du 30 juin est définitif. Il n’y aura ni période de grâce, ni nouveau délai », a-t-elle déclaré. Klaus Regling, le responsable du mécanisme financier européen, qui a assuré une partie des plans de sauvetage pour l’Europe, lui a emboîté le pas : « Nos prêts sont liés à ceux du FMI. Si celui-ci n’est pas payé au 30 juin, ce sera considéré comme un événement déclencheur de défaut. Et nous avons alors la possibilité de demander le paiement anticipé de nos prêts. »

Les Européens, qui n’ont cessé de sous-estimer la capacité de résistance de Syriza depuis son élection, agitent la menace du péril à venir, en cas d’échec. « S’il n’y a pas d’accord, nous entrons dans des eaux inconnues », a prévenu le président de la BCE, Mario Draghi. En écho, le gouverneur de la banque de Grèce, ancien ministre des finances du gouvernement de droite d’Antonis Samaras, a adressé mercredi une mise en garde sévère au gouvernement grec et aux parlementaires. « Faute d’accord, l’échec marquerait le début d’un chemin douloureux qui pourrait conduire en premier à un défaut de la Grèce et par la suite à la sortie de la Grèce de la zone euro et vraisemblablement de l’Union européenne. (…) Une crise d’endettement gérable se transformerait en une crise incontrôlable, faisant courir de grands risques au système bancaire et à la stabilité financière », a-t-il déclaré. « Tout cela conduirait à une profonde récession, une chute dramatique des revenus, une hausse exponentielle du chômage et un effondrement de toutes les réalisations économiques que la Grèce a obtenues depuis son entrée dans l’union européenne et spécialement dans la zone euro. Alors qu’elle est membre du cœur de l’Europe, la Grèce se verrait reléguée au rang de pays pauvre dans l’Europe du Sud. »

[...]

Suite ici

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20 juin 2015 6 20 /06 /juin /2015 10:20
Communiqué
Le Mouvement de la Paix s’associe aux actions de soutien au peuple grec qui auront lieu le samedi 20 juin 2015 en Europe et en France

Saint Ouen, le 17 juin 2015

 

Le Mouvement de la Paix s’associe aux actions de soutien au peuple grec qui auront lieu le samedi 20 juin 2015 en Europe et en France. Le Mouvement de la paix  insiste particulièrement  sur le fait que les dépenses militaires excessives encouragées par l’OTAN ont pesé lourdement  contre les budgets sociaux dans ce pays  dont le budget d’équipement militaire était le plus important d’Europe en pourcentage du PIB.

Enfin le Mouvement de la paix souligne que les premières aides financières versées à l’ancien gouvernement avaient d’abord servi à payer les factures d’achat d’armements présentées par les États vendeurs dont la France et l’Allemagne, sans contribuer de fait à la sortie de crise, bien au contraire dans la mesure où c’est autant d’argent qui a manqué pour faire face aux besoins économiques et sociaux du peuple grec.

 

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20 juin 2015 6 20 /06 /juin /2015 07:10

Lu sur "canempechepasnicolas " et mis en ligne sur ce blog le 9 janvier 2015.  C'est plus que jamais d'actualité.

Sur l'Europe...Le général de Gaulle se lâche...

COMITE VALMY

 

Pour la Commission européenne :

l’appartenance à la zone euro est « irrévocable »...

Charles de Gaulle : "Je suis couillonné, eh bien, voilà, je fous le camp ! "

Texte actualisé le 5 janvier 2015

par Comité Valmy

  • Actualisation le 5 janvier 2015, de cet article mis en ligne en septembre 2011, en réponse à cette déclaration arrogante de la Commission européenne.
  • L’appartenance d’un pays à la zone euro est « irrévocable », a rappelé lundi 5 janvier Annika Breidthardt, une porte-parole de la Commission européenne, en réponse à une question sur une possible sortie de la Grèce de la monnaie unique en rappelant que cette règle était inscrite dans le traité européen.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/01/05/grece-pour-la-commission-europeenne-l-appartenance-a-la-zone-euro-est-irrevocable_4549370_3214.html

 

Pour Charles de Gaulle dans cette Europe, rien ne saurait être irrévocable ou irréversible. Il en est certainement de même pour le peuple de France.

 

L’article qui suit, paru le 2 septembre 2008, connait depuis quelques jours un remarquable succès. Il s’agit d’une interview du général de Gaulle alors au pouvoir, au sujet de la possibilité de quitter le Marché Commun alors que la modalité de sortie n’était pas prévue dans le traité de Rome. (comme la possibilité de sortie de l’euro n’était pas prévue dans le traité de Maastricht, ce qui oblige à quitter l’Union européenne pour quitter l’euro).

La réponse magistrale du Général est d’une lumineuse simplicité qui vérifie l’adage : "les grandes idées n’ont pas d’âge, elle n’ont qu’un avenir".

Cerise sur le gâteau, on y vérifie accessoirement que de Gaulle préférait un rapprochement avec l’Union soviétique plutôt qu’un enfermement de la nation dans le piège européen.

 

Général de Gaulle : Le Marché Commun, il n’y a en fait que deux ans qu’on a commencé à le réaliser. Or notre expansion industrielle remonte à bien avant deux ans. L’expansion industrielle allemande, italienne, de même. Ceux qui racontent des histoires sur les bienfaits incomparables de l’intégration européenne sont des jean-foutre.

 

Alain Peyrefitte- - Le traité de Rome n’a rien prévu pour qu’un de ses membres le quitte.

 

Général de Gaulle. - C’est de la rigolade ! Vous avez déjà vu un grand pays s’engager à rester couillonné, sous prétexte qu’un traité n’a rien prévu pour le cas où il serait couillonné ? Non. Quand on est couillonné, on dit : "Je suis couillonné. Eh bien, voilà, je fous le camp ! " 

Ce sont des histoires de juristes et de diplomates, tout ça.

 

AP. - Nous pouvons dire que ce n’est pas nous qui abandonnons le Marché commun, c’est lui qui nous abandonne.

 

GdG. - Mais non ! Ce n’est pas la peine de raconter des histoires ! D’ailleurs, tout ce qui a été fait pour l’Europe, par ceux qu’on appelle les "européens ", a très bien marché tant que c’était la France qui payait tout. On a commencé par la Communauté européenne du charbon et de l’acier.

Ça a consisté en quoi ?

En ce qu’on a rendu à l’Allemagne son charbon et son acier, qu’elle n’avait plus car on les lui avait retirés. On les lui a rendus pour rien. Et ça a consisté à donner aux Italiens ce qu’ils n’avaient pas : du charbon et du fer. Alors, ils ont pu faire une industrie métallurgique.

Mais nous, nous n’avons pas retiré un rotin de la CECA, pas un rotin !

Nous avions un problème qui était la modernisation de nos mines, mais nous les avons modernisées sans que la CECA nous donne un sou. Voilà ce qu’a été la CECA !

C’était une escroquerie, au profit des Allemands et des Italiens !

 

Après quoi, on a fait l’EURATOM. Et c’est la même chose. Dans l’EURATOM, nous apportons 95% . Il n’y a que nous qui ayons une réelle capacité atomique. Les autres n’en ont absolument aucune, ni installations, ni spécialistes pour les faire tourner. Alors, nous mettons en commun nos 95% de capacité atomique et les autres mettent leurs 5% et on partage les résultats, chacun au même titre !

C’est une escroquerie ! 

La Communauté européenne de défense, c’était la même chose. Pourquoi l’a-t-on inventée ? Parce que les Allemands n’avaient pas d’armée. Alors, comme on avait peur des Russes, il fallait qu’ils en fassent une, mais comme on ne voulait pas qu’elle soit sous commandement allemand, on la plaçait sous le commandement du général Norstadt.

Mais du coup, on voulait en faire autant pour l’armée française !

 

C’est l’Europe à leur façon.

Mais si l’on veut faire une Europe qui ne soit pas à notre détriment, alors, il n’y a plus personne !

 

Évidemment, aujourd’hui, les Allemands commencent à se dire : « Si nous ne faisons pas le Marché commun avec les Français, les Français vont s’arranger avec les Russes. Et ensuite, qu’est-ce qui va nous arriver ? Nous serons en danger. »

Et c’est parfaitement exact. Si la politique du traité franco-allemand, c’est-à-dire le noyau de l’Europe, ne réussit pas, eh bien, nous irons vers d’autres.

 

AP. - D’autres, c’est-à-dire les Russes ?

 

GdG. - Naturellement ! Ils voient que le moment est venu. Ils nous font des mamours, en se disant : "On va pouvoir s’arranger avec les Français, comme autrefois."

Et dans ce cas, nous cesserons d’être couillonnés, ce sont les Allemands qui le seront. »

 


Extrait de "C’était de Gaulle" d’Alain Peyrefitte - Tome II - Page 267

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 14:14


MENACES SUR LE VENEZUELA

 

Par le Mouvement politique d’émancipation populaire (M’PEP).

Le 14 juin 2015.

Les grands médias n’ont pas manqué de diffuser le geste historique de la poignée de main, le 10 avril 2015, entre le président des Etats-Unis Barack Obama et le président cubain Raul Castro. La scène se passait à Panama pour un sommet historique des Amériques, au complet, car Cuba y était représenté pour la première fois. C’était l’occasion d’annoncer le rapprochement des Etats-Unis et de Cuba présentée à la UNE par des commentaires attendris de nos techniciens de la propagande. Tout y était pour rappeler que, décidément, la plus grande démocratie mondiale dans son immense mansuétude ne souffrait d’aucune limite…

Ces grands médias ont, en revanche, littéralement passé sous silence et - pour cause - l’acte de pure atteinte à la souveraineté nationale du Venezuela dont cette même administration américaine s’est rendue coupable dès les jours suivants. Elle a en effet signé un ordre exécutif décrétant « l’urgence nationale aux États-Unis vu la menace extraordinaire et inhabituelle que représente le Venezuela pour notre sécurité nationale et notre politique extérieure ».

Il n’est pas interdit de penser que le geste positif vis-à-vis de Cuba, médiatisé à souhait, ne fut destiné à conquérir préalablement l’opinion internationale et tenter de diviser les pays des Amériques.

Cependant c’était sans compter avec l’acharnement souverainiste des peuples d’Amérique latine. À l’initiative d’Evo Morales, président de la république de Bolivie, ils n’ont pas tardé à réagir de concert, infligeant en cela une cinglante défaite largement méritée à Barack Obama. Un nouveau pas était franchi dans l’unité et la souveraineté latino-américaines. Tous les Etats membres de l’Union des Nations Sud-Américaines (Unasur), à savoir l’Argentine, la Bolivie, le Brésil, le Chili, la Colombie, l’Équateur, le Guyana, le Paraguay, le Pérou, le Surinam, l’Uruguay et le Venezuela se sont en effet réunis en session extraordinaire à Quito le samedi 14 mars 2015 pour manifester leur rejet unanime du décret pris par Washington contre le Venezuela le 9 mars 2015.

[...] Lire la suite ici.

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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 08:58

 

Un nouveau sondage montre le refus massif des nouvelles mesures d’austérité demandées par les créanciers et confirme la volonté de poursuivre les négociations. Syriza est toujours largement en tête avec 20% d’avance sur Nouvelle Démocratie.


18 juin 2015 - 

 

 

Sondage Prorata pour la radio StoKokkino

Sondage Prorata pour la radio StoKokkino

Un nouveau sondage réalisé par ProRata pour la radio StoKokkino confirme la position de Syriza devant son premier poursuivant, avec 20% d'avance sur la Nouvelle Démocratie de l'ancien Premier Ministre Antonis Samaras.

Selon ce sondage, les Grecs sont, pour une très grande majorité , contre les nouvelles mesures d'austérité demandées par les créanciers : 89% sont opposés à l'augmentation de la TVA sur l'alimentation, 88% sont contre l'augmentation de la TVA sur l'électricité et 83% sont contre les coupes dans les retraites.

Concernant les négociations en cours, seuls 7% des Grecs souhaitent accepter les propositions des créanciers, contre 25% qui préfèrent les rejeter et 59% qui souhaitent poursuivre les négociations (9% n'ont pas d'avis sur la question).

Si aucun accord ne devait être trouvé, 40% des Grecs souhaitent un référendum et 16% de nouvelles élections. 21% préféreraient accepter les termes actuels et 23% ne se prononcent pas.

Les intentions de vote :

Source : stokokkino.gr

 

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18 juin 2015 4 18 /06 /juin /2015 13:40

Publié et commenté par Jean Lévy Nous partageons son analyse et son commentaire.

Chevènement : «Je veux un dialogue, de Mélenchon à Dupont-Aignan»...Jean Lévy commente...
Chevènement : «Je veux un dialogue, de Mélenchon à Dupont-Aignan»...Jean Lévy commente...
Chevènement : «Je veux un dialogue, de Mélenchon à Dupont-Aignan»...Jean Lévy commente...

L’ex-ministre socialiste, Jean-Pierre Chevènement, qui vient de quitter son petit mouvement MRC,appelle à une sorte d’alliance d’idées allant de la gauche de la gauche au souverainiste de droite, Nicolas Dupont-Aignan.

Samedi, Jean-Pierre Chevènement a quitté le Mouvement républicain et citoyen (MRC), dont il était le fondateur et le président d’honneur, pour « reprendre sa liberté ». A 76 ans, celui qui se considère « en dehors des logiques partisanes » veut tendre la main aux « républicains de l’autre rive » comme le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan.

 

Maintenant, que voulez-vous faire?


Jean-Pierre Chevènement.

Il faut créer un mouvement d’idées alternatif qui transcende les sensibilités historiques car on ne sortira pas la France de l’ornière sans cela. Le clivage gauche-droite ne correspond plus à la réalité depuis que la droite, tournant le dos au gaullisme, et la gauche, au projet de transformation sociale d’où est tirée sa légitimité, se sont retrouvées sur un projet soi-disant européen mais profondément régressif. On en voit aujourd’hui les résultats. Ce qui est en jeu c’est le redressement de la construction européenne à partir de ses nations et sur la base d’un projet « d’Europe européenne », pour reprendre l’expression du général de Gaulle.

Concrètement, qu’est-ce qui motive votre départ du MRC ?
J’ai essayé en vain de faire bouger la direction du MRC. Je lui ai proposé d’être le fer de lance d’une alternative républicaine dans une démarche de rassemblement sans sectarisme. Mais c’est un petit parti prisonnier de sa logique. C’est pourquoi le débat y a été étouffé. Pour ma part, je compte relancer le club République moderne que j’ai fondé en 1983 après avoir quitté le gouvernement.

Mais pourquoi vouloir privilégier Dupont-Aignan ?
Je suis partisan d’un dialogue sans exclusive et sans sectarisme avec tous ceux qui souhaitent une alternative républicaine, de Mélenchon à Dupont-Aignan. Je ne veux pas précipiter à la trappe les hommes et les femmes qui composent les partis de gouvernement, mais leur logiciel est complètement périmé. Ils doivent renouveler leur grille de lecture du monde. 

 

"canempechepasnicolas" :

 

Aujourd'hui, il faut le dire et le répêter, aucun changement réel d'orientation politique, économique et social ne peut se concevoir sans que notre peuple ait retrouvé souveraineté. Or, au sein de l'Union européenne, une seule voie est possible, celle du "tout marché"  au seul profit de l'oligarchie financière. Pas question de monnayer la moindre concession. Ou on accepte la vassalisation ou s'en échappe en sortant de l'UE. Pas de troisième voie, pas d'"Europe sociale" possible, ni de "redressement de la construction européene" envisageable :  les Grecs en savent quelque chose. 

 

Sans en tirer les leçons, l'initiative de Jean-Pierre Chevènement est vouée à l'échec. 

 

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16 juin 2015 2 16 /06 /juin /2015 03:53

Publié par Jean Lévy

 
le 15 juin 2015

Le lancement du mensuel Ruptures a franchi de nouvelles étapes.

Le 30 avril, la campagne de financement participatif s’était terminée avec succès. Dès lors, la rédaction s’est consacrée à la préparation de la dernière édition de l’ancienne formule du journal Bastille-République-Nations (BRN).

Cette édition spéciale « 29 mai », soit très précisément le dixième anniversaire de la victoire du Non au référendum sur le Traité constitutionnel européen, est parue le jour dit (si d’aventure vous avez contribué au financement de Ruptures, et que vous n’avez pas reçu ce numéro, n’hésitez pas à nous alerter).

Depuis cette date, l’équipe du journal consacre toute son énergie à la parution du numéro 1 de Ruptures, qui prend la suite de BRN. Ce numéro sera daté du 30 juin.

Au menu notamment : le sommet européen prévu les 25 et 26 juin, les réformes discrètement préparées pour renforcer la « gouvernance économique » européenne, le bras de fer entre Athènes et Bruxelles, un reportage en Grèce, les recensions de livres et/ou de films, les élections dans cinq pays européens, les brèves…

Le tout selon une maquette totalement rénovée…

Cette première parution – un événement ! – met toute la rédaction sous pression, afin d’être à la hauteur de vos attentes. Cela explique aussi que ce présent site se soit trouvé de fait placé en hibernation, après une intense activité en mars et avril.

Mais la période estivale (le mensuel papier ne paraît jamais en juillet et en août) sera consacrée à la montée en régime d’un site définitif, actif et réactif au quotidien, en lien avec l’activité « Ruptures » sur les réseaux sociaux. Ce site, qui prendra le relais du site de lancement, devrait être mis en ligne fin juin.

La responsabilité de l’équipe du journal est importante. Mais le succès repose également sur ses lecteurs.

N’hésitez pas à faire remarques, suggestions, critiques et propositions ! Les compliments sont également autorisés…

De plus, Ruptures, comme c’était le cas pour BRN, ne vit que par ses recettes d’abonnement (et ultérieurement, de vente en kiosques) et les contributions financières qu’il reçoit.

Il est donc plus que jamais bienvenu de s’abonner, voire de continuer à soutenir l’aventure par des dons. Abonnements et contributions peuvent être réalisés en ligne, mais aussi par chèque ou RIB (courrier postal).

Merci d’avance !

…Et rendez-vous à la fin du mois pour une belle surprise !

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 22:36

Par · 15 juin 2015

Quelle image restera-t-il de l’Union européenne à la suite de la crise grecque ? En effet, quelle que soit l’issue de cette crise, que cette dernière se solde par un défaut de la Grèce et une probable sortie de la zone Euro, par la reconnaissance du bien-fondé de la position grecque et un traitement politique de la dette, ou par une capitulation du gouvernement grec, les conséquences de cette crise sur l’UE et son image seront très profondes. La crise aura mis en pleine lumière l’opacité des processus de décision au sein tant de l’UE que de l’Eurogroupe ou de la Banque Centrale Européenne. Elle aura souligné le caractère anti-démocratique de nombre de ces décisions et son aversion profonde quant à la souveraineté des peuples. L’Union européenne, sans s’en rendre compte, a assumé le rôle de la défunte Union soviétique en développant l’équivalent d’une doctrine de la « souveraineté limitée ». Quel que soit donc l’issue de cette crise, son impact sur l’image de l’UE sera désastreux.

 

Le non-dialogue et ses fondements.

Les conditions de gestion de cette crise ont été désastreuses, mais c’est un désastre dont la Commission européenne porte l’entière responsabilité. Dès l’arrivée au pouvoir du nouveau gouvernement grec (l’alliance entre SYRIZA et les souverainistes de l’ANEL) il était évident que le cadre de la négociation ne pouvait être celui du « mémorandum ». Cette réalité a été refusée par les négociateurs de l’Eurogroupe qui ont constamment cherché à ramener le gouvernement grec à un cadre que ce dernier rejetait. La Commission européenne, et les diverses « institutions » européennes, ont affecté de croire que la négociation portait sur les montants d’aides alors que le gouvernement grec proposait de sortir de cette logique de l’aide et de traiter politiquement le problème de la dette, comme il fut fait en 1953 avec la dette de l’Allemagne. Ce refus de la part de la Commission d’entendre ce que lui disait le gouvernement grec a conduit à la transformation de ces négociations en ce que le Ministre grec des Finances, M. Yanis Varoufakis, appelle une « guerre »[1]. Comme l’on pouvait s’y attendre, cela a entraîné un durcissement de la position grecque. Aujourd’hui on assiste à une alliance de fait de la gauche de SYRIZA avec les souverainistes de l’ANEL, alliance qui conditionne largement l’attitude du Premier ministre Alexis Tsipras[2].

Si l’on est aujourd’hui au bord du gouffre, c’est largement parce que l’Union européenne a poursuivi dans cette négociations des objectifs eux aussi politiques : faire plier la Grèce afin de garantir qu’une remise en cause du cadre austéritaire voulu par l’Allemagne et par les pays qui ont accepté le rôle de vassaux de cette dernière, et il faut ici parler de l’Espagne, de la France et de l’Italie, ne puisse être remis en cause par des voies démocratiques. Progressivement, dans le printemps 2015, il est donc devenu évident que ce que cherchait l’Union européenne ce n’était point un accord avec la Grèce mais la reddition en rase campagne du gouvernement grec. Quelle que soit l’issue finale de ces « négociations », les peuples européens auront donc compris que du côté de Bruxelles il n’y avait que foi punique, et que M. Juncker ne pensait qu’à une paix carthaginoise.

De ce point de vue, et cela a une énorme importance, l’Union européenne a perdu la bataille de l’image. Elle s’est révélée telle qu’elle est en elle-même : une structure d’oppression et de répression, un ensemble profondément anti-démocratique. La réputation de l’Union européenne est désormais entachée par son comportement par rapport à la Grèce.


Lire la suite ici

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 21:24

Vu sur le site http://cadtm.org

Les leçons de l’Equateur pour la Grèce

12 juin par Remi Vilain

CC - Blandine Le Cain

Présent les 10 et 11 juin 2015 à Bruxelles à l’occasion du sommet entre l’Union européenne et la Communauté des États d’Amérique Latine (CELAC), le président équatorien Rafael Correa s’est exprimé au micro d’Eddy Caekelberghs au cours de l’émission Face à l’Info diffusée sur La Première.

Ce fut l’occasion pour lui d’affirmer une nouvelle fois sa position à propos de la capacité d’un État et de son gouvernement d’exercer sans entraves leur souveraineté en déclarant que « L’État doit occuper une juste place, pas ‘plus d’État’ mais ‘mieux d’État’ ».

Interrogé sur la crise européenne, il a également souligné le caractère odieux de la dette grecque.

Arrivé au pouvoir en janvier 2007, Rafael Correa n’avait d’ailleurs pas hésité à constituer dès le mois de juillet une Commission d’audit intégral de la dette de l’Équateur (CAIC) |1| . Composée de plusieurs experts dont le CADTM faisait partie, la CAIC avait permis d’une part d’économiser quelque 7 milliards de dollar |2| et d’autre part de consacrer une proportion beaucoup plus importante de son budget à l’éducation et à la santé plutôt qu’au remboursement de la dette |3|.

Le président de l’Équateur se dit inquiet à propos de la Grèce actuellement enlisée dans des négociations avec ses créanciers qui semblent inextricables. Une situation qui lui rappelle celle dans laquelle se trouvait son pays au début des années 2000 lorsqu’il était sous le joug des deux grandes Institutions financières internationales que sont la Banque mondiale et le FMI. Après les échecs répétés de ces dernières à redresser la situation économique du pays, Rafael Correa avait alors tout bonnement expulsé le représentant permanent de la Banque mondiale en 2007 |4|.

Si la Grèce et Alexis Tsipras n’ont pas évoqué une démarche similaire dans un avenir proche, Rafael Correa a néanmoins tenu à insister sur le caractère odieux de la dette grecque. En effet, depuis que la Grèce s’est vu imposer des politiques d’austérité par les représentants de la Troïka, son PIB a diminué de 25%, alors qu’en parallèle sa dette n’a fait qu’augmenter, constituant à l’heure actuelle plus de 175% de son PIB |5|. Au nom de la dette, d’énormes coupes dans les dépenses publiques ont mené à un taux de chômage record et à une pauvreté quasi généralisée, violant ainsi les droits fondamentaux de la population : la dette peut donc être considérée comme odieuse.

A ce titre, en avril 2015 la Présidente du Parlement grec Zoé Kostantopoulou a lancé une démarche similaire à celle de l’administration Correa en 2007, à savoir une Commission pour la Vérité sur la dette publique grecque |6| à laquelle le CADTM apporte également son aide. Les premiers résultats de cette commission d’audit sont attendus pour le 18 juin prochain, date à partir de laquelle la Grèce pourrait modifier son rapport de force avec ses créanciers et définir un avenir porteur d’espoir pour le peuple grec et l’ensemble des pays subissant à l’heure actuelle des politiques d’austérité.

Pour écouter l’interview complète de Rafael Correa : http://www.rtbf.be/info/monde/detail_rafael-correa-president-de-l-equateur-le-capital-au-service-du-citoyen?id=9004482

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15 juin 2015 1 15 /06 /juin /2015 08:50
Appel des scientifiques à soutenir le projet de SCOP d’Amiens Nord
 

Les salariés de GOODYEAR Amiens Nord ont élaboré un projet de SCOP (Société Coopérative de Production) afin de relancer la production de pneus dans leur usine fermée depuis plus d'un an. Dans cette démarche portée par près de 400 anciens employés du site, les ouvriers se sont rapprochés de scientifiques et d’ingénieurs pour élaborer un plan industriel particulièrement innovant. Cette coopération inédite permet de faire la démonstration que la reprise d'une production de pneumatiques à Amiens Nord est économiquement efficace, industriellement nécessaire et socialement créatrice de centaines d'emplois.

Ce projet met également en évidence l’intérêt de mettre en relation le monde de la recherche académique et celui de l’industrie, relation qui existe par ailleurs dans la création de start-ups et dans les coopérations industrielles des laboratoires de recherche. Nous, scientifiques, sommes convaincus que politique de recherche ambitieuse et politique de développement industriel de notre pays doivent aller de pair. Cependant, malgré une forte mobilisation de la communauté universitaire pour l’emploi scientifique ces dernières années, notamment autour du Comité National de la Recherche Scientifique, de Sciences en Marche et des organisations syndicales, la recherche académique est en danger. En particulier, le nombre d’emplois statutaires proposés aux concours, que ce soit dans les universités ou dans les organismes de recherche ne cesse de décroître. Ceci conduit à sacrifier toute une génération de jeunes scientifiques.

Que ce soit dans le contexte de GOODYEAR ou de l’emploi scientifique, le gouvernement nie l’acuité des problèmes et refuse toute discussion de fond. Dans ces conditions, à l’exemple de la SCOP GOODYEAR, nous pensons que les scientifiques doivent aussi s’engager dans l’aide à la mise en place et la coopération avec des structures industrielles socialement innovantes telles que les  SCOP.

C’est pourquoi, nous exprimons notre soutien au projet de SCOP d’Amiens Nord et exigeons des pouvoirs publics tout à la fois un accord  au démarrage de ce projet et un plan pluri-annuel pour l’emploi scientifique.


Site de signature en ligne (depuis le 9/6/15):
http://www.urgence-emploi-scientifique.org/limesurvey/index.php/survey/index/sid/921519/


Signataires (mise à jour le 14/6/15 à 22h20)

Alam, Thomas, CERAPS, Université de Lille, SNESUP-FSU, Sciences en marche
Allain, Damien, CNRS, SGEN-CFDT Recherche EPST
ALLOUCH, Annabelle, Mcf UPJV
AMBROISE, Bruno, CNRS
Arabi, Samir, Chercheur retraité
Auffray-Seguette, Marie, Institut Catholique de Paris
AUZET, Anne-Véronique, Université de Strasbourg, SNESUP-FSU
Baillieux, Nicolas, secteur industrie
Bajard, Flora, Toulouse 1- LaSSP
Barthélémy, Michel, CNRS
Bassino, Frédérique, LIPN, Université Paris 13, Coordinatrice du C3N, Présidente de la Section 6 du Comité national
bayard, jean-michel, scop
Becker-Quignion, Evelyne, CGT
Benyahia, Yssam, Cgt Goodyear Amiens Nord
Bonnarel, François, UMR Observatoire astronomique de Strasbourg CNRS, Conseil scientifique du CNRS, SNTRS-CGT
bonningue, corine, université Toulouse 3, CA de l'université, SNESUP
Borgne, Stéphane, Informaticien
Bory, Anne Université Lille 1 clerse
briere, jerome ex goodyear
BRUCKER, Jean-Luc, SES CGT - Université de Strasbourg, Membre du Conseil d'Administration de l'Université de Strasbourg
Bugler, beatrix, CNRS
Büttgen, Philippe, Université Paris 1 - Panthéon-Sorbonne, Conférence des Présidents du Comité national
cagnard, thierry, ancien good year amiens nord qui a retrouvé du travail
caron, emmanuel, ancien good year
CAUUET, Béatrice, CNRS
Caveng, Rémy, UPJV
ceccaldi, jean, chômeur
Chaintreuil, Sylviane, Ingenieure CNRS
Charpentier, Isabelle, Université de Picardie - Jules Verne / CURAPP-ESS
Chatenay, Didier, CNRS, CNU28, SNTRS-CGT
Chaudret, Bruno, CNRS
chaudret, mireille, retraitée
chevrier, thomas, educateur
CHRISTOFOL, Hervé, Snesup-FSU
Clopeau, Georges-Henri, prof de math retraité
closson daniel, retraité
Costamagno, Sandrine, CNRS, FSU-SNCS
couillard, jacques, cgt, ancien conseiller prud'homale
courzal, daniel, CHSCT hopital de st nazaire
Crétois, Pierre, Université de Tours
Crunel, Bérénice, LaSSP/ IEP de Toulouse
cuyle, stephan, invalidite ex salarie godyear
daboval, jacky, logistique
de gracia, guillaume, chercheur indépendant
Delcroix, Catherine, universite de strasbourg, conseil scientifique du cnrs, snesup
DELPOUX, Christophe, CGT
devillers, marc, cgt
DJUKIC, Jean-Pierre, CNRS, CSINC
Dosso, François, mineurs CFDT
Duchesne, Sophie, CNRS, Comité technique du CNRS, SNTRS-CGT
DUFRENOY, PATRICK, GOODYEAR
Emmanuel, François ministre
Fau, Pierre, UPS Toulouse III
Fieux, Etienne, Université
Flores, Artemisa, Université Paris 8, CRESPPA-CSU-CNRS
Fouqueré, Christophe, Université Paris 13
Gaffet, Herve, Chomeur
GARDES, Philippe, TRACES - Univ. de Toulouse II
gayral, françoise, Snesup
GEAY, Bertrand, Université de Picadie
GENSANE, Bernard, Université (retraité), SNESUP
Gilbert, Thierry, Inserm
gombaud-saintonge, pascal, ex-salarié goodyear
Grenouillet, Corinne, Université de Strasbourg, Faculté des Lettres
Grosman, Annie, Université Pierre et Marie Curie
guelfucci, jean pierre, enseignant chercheur retraité, Snesup, PCF
Guilbaud, Fabrice, Université de Picardie Jules Verne, Amiens, Membre élu du Conseil Scientifique de l'UPJV, Snesup-FSU
Gutnic, Michaël, Université de Strabourg, Comité national du CNRS, SNESUP, co-secrétaire de la section locale
Heurtin, Jean-Philippe, Université de Strasbourg
JAUBERTIE, Patrick, CGT
Jedlicki, Fanny, université du Havre, snesup, ases (association des sociologues du supérieur)
junger, david, ingénieur - entrepreneur
Kelley Joseph Goodyear
Khamlichi, Amine, CNRS, SNCS
KORDE, Jean-Claude, GERANT
Lacroix-Riz, Annie, Paris 7
LAGARIN, Emmanuelle, Secteur industriel
Lagrange, Dominique, INSERM
Lambert, Xavier, LARA/SEPPIA
Lassalle, Solange, retraitée
launay fabienne auxiliaire de vie
Laurens, Sylvain, Maître de conférences EHESS
lecat, sandra, CNRS, CFVU Université de Strasbourg, SNTRS-CGT, Sciences en Marche
leclercq, patrice, ancien elus goodyear amiens
Leichtnam, Eric, CNRS
Lepetit, Christine, CNRS
Lizé, Wenceslas, Université de Potiers, SNESUP
Lomba, Cédric, CNRS, FSU-SNCS
MAILLARD, Pascal, Université de Strasbourg, SNESUP-FSU, Secrétaire national
MARLIERE, Philippe, UCL
MARQUANT, Ludovic, technicien
Mas-Bellissent, Christine, Université Toulouse I Capitole (IUT de Rodez)
Mathé, Catherine, Université Toulouse
MAUGER, Gérard, CNRS
Mazet, Olivier, Université de Toulouse
MILLET, Pierre-Alain, INSA Lyon (DISP), SNESUP
MOENECLAEY, Vincent, Université Versailles - St Quentin
MONFORT, Patrick, Directeur de recherche au CNRS, Secrétaire général, SNCS-FSU, Administrateur du CNRS
Montagne, sabine, CNRS
moreira estelle conjointe d un ex goodyear
MORVAN, Gilles, CNRS, CGT
Muller, Fabienne, Université de Strasbourg
Muller, Séverin, Université Lille 1
O'Miel, Julien, Attaché temporaire d'enseignement et de recherche en science politique (CERAPS/Université de Lille), Membre du bureau de l'association nationale des candidats aux métiers de la science politique (ANCMSP)
OCHANDO, EMILE, LIBRAIRE
Ouhayoun, Juliette, SNES
PARMENTIER, Yves, ingénieur CNRS - retraité
Pasquali, Paul, CNRS
Paye, Simon, Université de Lorraine
payen, gerald, goodyeard
Peaucelle, Dimitri, CNRS, Conseil scientifique du CNRS, SNCS-FSU
PECHMEJA, Pascal, Dirigeant de TPE
PENISSAT, Etienne, CNRS, SNCS-FSU
pernes, jean-robert, ex-goodyear
Pfefferkorn, Roland, Université de Strasbourg, Institut du Genre/CNRS, Snesup
Pinto, Louis, CNRS
Pochic, Sophie, CNRS, FSU-SNCS
Policar, Alain, Snesup
Pommier Régis Good year
potocnjak, jorge, adhérent EELV
Potriquet, bernard, retraité de l'industrie automobile
Prévot-Carpentier, Muriel, Université Paris Ouest Nanterre La Défense
profizi, monique, citoyenne
PUGNET, Michel, Université (retraité)
quignon, stephanie, caissière vendeuse, stokomanie
Quijoux, Maxime, CNRS
Rastegar, Ali, Se-Unsa, Enseignant certifié retraité de sciences physiques et chimiques
Rey Siol, Claudette, Education Nationale
roger, muriel, CEA Saclay
Sablayrolles, Robert, Professeur émérite d'archéologie romaine, Université Toulouse - Jaena Jaurès
sallé, david, recherche d emploi
sannier, gregory, ancien salarié  
SEVILLA, Ariel, Université de Reims
Siblot, Yasmine, Université Paris 8
Siol, Jean, Education Nationale
soissons, juliette, curapp-ess
Soler, Nicolas, Université de Lorraine, Sciences en marche
Steinmetz, Daniel, CNRS, SNTRS-CGT
swinnen, colette, INRAP (archéologie)
tanguy, jacques, retraité éducation nationale
Trautmann, Alain, Institut Cochin, CNRS/INSERM
Uttenweiler, Sandrine, CNRS
Vaillant, Jean-Michel, FSU
Valibouze, Annick, PR Univ. Paris 6, UPMC, SNESUP-FSU, Membre du CNU, section 27
Vannier, Patricia, CNRS
VERNHES ARABI, JEANINE, Gestionnaire (à la retraite) unité de recherche en histoire-FRAMESPA
Viville, Daniel, CNRS
walker, katia, MCF IUT "A" université Paul Sabatier, ToulouseIII SNESUP FSU
WILLM, Nicolas, Parti de Gauche

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