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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
5 novembre 2018 1 05 /11 /novembre /2018 23:56
 Jari Bolsonaro pose avec les cadets lors d’une cérémonie, le 19 avril à Brasilia.

Jari Bolsonaro pose avec les cadets lors d’une cérémonie, le 19 avril à Brasilia.

FIGAROVOX/ENTRETIEN – Élu ce dimanche président du Brésil, Jair Bolsonaro n’est pas un populiste comme les autres. Selon Christophe Ventura, ce candidat a fait se rencontrer un ras-le-bol populaire généralisé, et de puissants intérêts économiques qui se sont ralliés à sa vision ultralibérale.

FIGAROVOX. – Jair Bolsonaro a été élu ce dimanche à plus de 55 % des voix. Comment expliquer cette victoire ?

Christophe VENTURA. – Les ressorts de cette élection ne sont pas neufs, car en réalité l’accession de Bolsonaro à la présidence du Brésil est la matérialisation et l’approfondissement d’une crise multiforme engagée depuis plusieurs années et dont il exprime une des réponses possibles.
Cette crise est d’abord économique et sociale. Depuis cinq ans, le Brésil vit une forte dégradation économique (dont deux années de récession en 2015 et 2016) qui est devenue sociale (chômage, précarisation généralisée, augmentation du coût de la vie, réduction des protections sociales, des services publics, des revenus par habitant, augmentation des inégalités, etc.). Les classes populaires et une partie importante des classes moyennes n’ont cessé, dans ce contexte, de voir leur condition d’existence, leur mobilité sociale, pour elles et leurs enfants, se détériorer. Cette dynamique déstabilisatrice et porteuse de la montée de tous les ressentiments intervient dans un pays où, selon l’ONG Oxfam, les 6 personnes les plus riches possèdent autant que les 100 millions les plus pauvres (pour une population d’environ 210 millions de personnes) !

[...]

La suite sur Mémoire des luttes : http://www.medelu.org/Bolsonaro-un-produit-de-la-crise

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