Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
30 octobre 2016 7 30 /10 /octobre /2016 19:02

Rappel avec un texte du Pardem il y a quelques mois.

Partager cet article
Repost0
30 octobre 2016 7 30 /10 /octobre /2016 18:47

Seule la Wallonie, puis Bruxelles avaient fait connaître leur opposition avant finalement d'accepter le traité Canada-UE ...

Les parlements nationaux n'ont donc pas été consultés et encore moins les citoyens de chaque Etat.

L'Union Européenne, c'est la dictature soft,  la dictature des multinationales quand même.

Ailleurs les multinationales font parfois preuve d'une énergie plus militaire et destructrice.  Comme au Moyen-Orient par exemple.  Contre les Etats rebelles : Libye, Irak, Syrie ...  Avec l'aide des islamistes.  Avec à leur côté une institution militaire et politique : l'OTAN.

Partager cet article
Repost0
26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 16:05
Partager cet article
Repost0
26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 13:47
Partager cet article
Repost0
26 octobre 2016 3 26 /10 /octobre /2016 13:39
Partager cet article
Repost0
21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 21:53
Barak Obama s'engage pour le Oui au référendum italien
Barak Obama s'engage pour le Oui au référendum italien
Barack Obama s’engage pour le Oui au référendum italien ( sur le site de Ruptures)

Barack Obama a reçu, le 19 octobre, le chef du gouvernement italien pour le dernier dîner d’Etat avant la fin de son bail à la Maison-Blanche. Le président américain a multiplié les éloges sur son hôte : « regardez-le, il est jeune, il est élégant, et sa vision du progrès n’est pas ancrée dans les peurs des gens, mais dans leurs espoirs ».

Il  lui a surtout apporté son appui dans la perspective du référendum qui se tiendra le 4 décembre dans la Péninsule. Celui-ci porte sur un projet institutionnel (relégation du Sénat, notamment) censé permettre de réformer plus facilement le pays, et de mieux promouvoir les réformes européennes, a insisté M. Renzi.

Le président Obama n’a pas hésité à s’engager fortement pour une victoire du Oui, et ce, afin que le pays puisse promouvoir « une économie plus dynamique, de même qu’un système politique plus réactif ».

Mais pour l’heure, le Non est en tête dans les sondages, et M. Renzi avait imprudemment juré qu’il se retirerait de la vie politique en cas d’échec. Barack Obama lui a suggéré d’oublier cette promesse imprudente, et affirmé : « je pense que Matteo appartient à celle nouvelle génération de chefs, pas seulement pour l’Italie mais aussi pour l’Europe ».

Le président du Conseil italien était aux anges, et s’est fendu de ses propres compliments. Peut-être s’est-il senti réconforté, alors que la bataille politique fait rage dans la Péninsule.

La dernière fois que Barack Obama s’était directement immiscé dans un affrontement à l’intérieur d’un pays européen, c’était pour dissuader les électeurs britanniques de quitter l’UE. Avec le succès que l’on sait.

http://ruptures-presse.fr/renzi-obama-referendum/

Partager cet article
Repost0
21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 17:45

Dans le conflit colombien, beaucoup d’entreprises nationales et internationales s’en prennent systématiquement aux droits de l’Homme. L’Accord Final définissant les termes de la fin du conflit et la construction d’une paix stable et durable aborde cette question.

Cependant, nombreuses sont les questions qui nous viennent à ce sujet. La Juridiction Spéciale pour la paix et les affaires de droits de l’Homme est-elle compétente pour juger les entreprises comme acteurs du conflit armé ? Les pratiques des entreprises internationales se trouvent-elles également sous cette juridiction ? Quel sont les délits qui pourront être sanctionnés ? Et quelles seront les peines imposées aux entreprises ?

Afin de démêler ces questions, nous comptons sur l’aide du professeur Juan Hernandez Zubizarreta, docteur en Droit, professeur à l’Université du Pays Basque et enquêteur auprès de l’Observatoire des Multinationales en Amérique Latine. Interview réalisée par Jorge Freytter-Florian

Avant d’entrer dans le vif du sujet mentionné, nous voudrions connaître quelques impressions sur le processus de paix.

Ma première impression est positive. Je crois que le peuple colombien a besoin de ces accords afin d’initier une nouvelle phase de confrontation avec le pouvoir économique et politique.

Je pense que le changement de perception des luttes était une demande importante de la population colombienne, d’autant que le conflit armé a généré beaucoup de souffrance et que l’avènement d’un nouveau modèle de société paraissait inévitable. De plus, affronter le capitalisme et les forces hégémoniques dans ce contexte requiert d’unir ses forces, de créer de nouvelles formes de résistance et d’assembler les forces, ce qui n’était pas permis par l’existence du conflit armé.

[...] Lire la suite sur le site d'Investig'action

http://www.investigaction.net/la-responsabilite-des-multinationales-dans-le-conflit-arme-colombien/

 

Partager cet article
Repost0
20 octobre 2016 4 20 /10 /octobre /2016 22:18
Partager cet article
Repost0
19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 22:56

Entretien > Olivier le Bussy Publié le

Le chercheur canadien Stuart Trew pointe ce qu’il estime être les dangers inhérents à l’accord de libre-échange et d'investissement entre l'Union européenne et le Canada.

Le refus de la Région wallonne de déléguer son pouvoir pour signer l’accord de libre-échange et d’investissement entre l'Union européenne et le Canada (Ceta) suscite l’incompréhension et la colère, au sein de l’UE, et outre-Atlantique. Mais pour sa part, le chercheur canadien Stuart Trew, de passage à Bruxelles, et à Luxembourg (où se tient la réunion des ministres européens des Affaires étrangères consacrée au Ceta) à l'invitation de l'ONG Friends of Earth Europe, trouve l’exemple wallon “très inspirant”.

D’ailleurs, ajoute-t-il, “techniquement, les Wallons ne sont pas seuls. Il y a des centaines de milliers de personnes qui manifestent contre ces accords, les syndicats, les ONG actives dans l’environnement, le Bureau européen des unions des consommateurs européens (Beuc)… Ce ne sont pas que des obtus d’extrême droite. L’opposition publique au Ceta est assez neuve, dans l’histoire de ce processus de négociations long de huit ans, mais elle va croissant. Je ne pense pas qu’il soit trop tard pour opérer des changements.”

[...]

Lire l'intégralité de l'article ci-dessous

Partager cet article
Repost0
19 octobre 2016 3 19 /10 /octobre /2016 22:22
Renault-Nissan, Airbus, Natixis... : les troublantes pratiques antisyndicales des entreprises françaises aux États-Unis

par Olivier Petitjean

La semaine dernière, des ouvriers américains du Mississippi ont fait le voyage jusqu’à Paris pour manifester, avec le soutien de l’acteur Danny Glover, contre la direction de Renault-Nissan. Celle-ci est accusé d’empêcher la création d’une section syndicale dans son usine de Canton. Auparavant, ce sont les employés d’un hôtel californien géré par Natixis qui ont saisi le point de contact national français, un mécanisme d’arbitrage extrajudirique, pour faire reconnaître leurs droits syndicaux. Les controverses sur les pratiques antisyndicales des entreprises françaises aux États-Unis se multiplient depuis quelques années.

À l’occasion du Mondial de l’automobile, des ouvriers de l’usine de Renault-Nissan à Canton, dans l’État du Mississippi aux États-Unis, ont fait le déplacement à Paris. Pas pour admirer les derniers modèles de leur employeur et de ses concurrents, mais pour dénoncer le blocus de leur direction, qui empêche depuis douze ans la création d’une section syndicale dans l’usine. L’acteur Danny Glover avait même fait le déplacement pour les soutenir.

Accompagnés de représentants de l’UAW, le syndicat automobile américain, les ouvriers de Canton évoquent une politique d’intimidation malheureusement très répandue dans cette région des États-Unis (lire notre précédent article sur cette affaire) : vidéos obligatoires pour les salariés visant à les mettre en garde contre les syndicats, et mise à l’écart des ouvriers les plus remuants. La direction refuserait même l’organisation du référendum nécessaire à la création d’une section syndicale. La grande majorité des 6000 ouvriers de l’usine de Canton sont noirs, et ils n’hésitent pas à faire le rapprochement entre leur lutte actuelle pour leurs droits syndicaux et la lutte des années 1960 pour les droits civiques, en recyclant son slogan « Nous sommes des hommes », et « pas des robots ».

Ils souhaitaient également interpeller l’État français, actionnaire important de Renault (20%) et donc de Nissan. La ministre du Travail Myriam El Khomri aurait écrit à son homologue américain, sans résultat concret cependant. Du côté de la direction locale de Nissan, on assure en effet respecter les règles légales en vigueur.[...]

La suite en cliquant ci-dessous

 

En Suisse aussi ...

Les tensions montent entre Nissan et ses salariés
Mardi à midi, une quarantaine de personnes ont manifesté leur colère devant le siège rollois du constructeur nippon.

Mardi à midi, une quarantaine de personnes ont manifesté leur colère devant le siège rollois du constructeur nippon.

L’annonce du couperet était tombée au mois de septembre. La réorganisation entamée par Nissan Suisse de plusieurs départements frappe de plein fouet son siège basé à Rolle. En tout 92 postes sur les 228 que compte le site seront finalement déplacés à Montigny-le-Bretonneux, en région parisienne, où se trouve le siège de Nissan Europe. Depuis quelques semaines, la colère gronde tant du côté des employés que d’Unia, dont le mandat collectif de représentation est refusé par le constructeur nippon. A tel point qu’une quarantaine de personnes ont manifesté ce mardi devant les locaux rollois.[...]

Lire la suite ici :

http://www.tdg.ch/economie/entreprises/tensions-montent-nissan-salaries/story/18220038

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents