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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
11 septembre 2019 3 11 /09 /septembre /2019 15:29
Plusieurs trains entre Paris et Arras vont être supprimés malgré une forte affluence quotidienne. Philippe Huguen/AFP PHOTO

Plusieurs trains entre Paris et Arras vont être supprimés malgré une forte affluence quotidienne. Philippe Huguen/AFP PHOTO

L’Humanité, 3 septembre 2019

La suppression de trois liaisons TGV entre Arras et Paris ravive le débat sur une stratégie territoriale de la SNCF à l’opposé des besoins des populations.

Usagers exaspérés, cheminots désemparés, élus locaux inquiets, dans les Hauts-de-France, la stratégie de la SNCF est, pour le moins, difficilement lisible. Après les réductions des dessertes TGV sur la ligne Douai-Paris, annoncées dès la fin 2018, c’est désormais Arras qui fait les frais de la suppression prévue de 3 liaisons TGV reliant la capitale, à compter du 15 décembre prochain. Ainsi les trajets Arras-Paris seraient réduits de 11 à 10 par jour, alors que les retours Paris-Arras passeraient, eux, de 11 à 9. Un scandale pour les usagers de ces lignes domicile-travail, indispensables à des milliers d’usagers du quotidien. « Ce sont des trains très demandés, des trains toujours pleins et qui roulent à des horaires stratégiques », explique René ­Chevalier, du PCF local, qui dénonce, entre autres, la suppression du train de 6 h 59 permettant d’arriver à Paris « avant 8 heures ». Chez les cheminots, c’est l’incertitude qui prédomine. « Personne, sur le terrain, ne comprend la stratégie de l’entreprise. Les agents sont anxieux et n’ont aucune visibilité », note Alexis Goudemand, secrétaire de la CGT des cheminots d’Arras et de Béthune. Pour le syndicaliste, l’entreprise, obsédée par les gains de productivité, cherche à libérer des sillons « pour faire passer des trains qu’elle juge plus rentables, comme des TGV Bruxelles-Paris, ou pour préparer, tout simplement, l’arrivée d’opérateurs privés concurrents ».

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