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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
29 juin 2016 3 29 /06 /juin /2016 14:41
Mis en ligne par El Diablo
source photo :dobetternissan.org

source photo :dobetternissan.org

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28 juin 2016 2 28 /06 /juin /2016 13:59
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27 juin 2016 1 27 /06 /juin /2016 23:13

FSM : Réunion internationale à Bruxelles sur les multinationales

Publié le par FSC

FSM : Réunion internationale à Bruxelles sur les multinationales

La Réunion internationale de la FSM intitulée «entreprises multinationales, les politiques de l’UE et le rôle des syndicats » a débuté à Bruxelles.

La réunion a lieu dans la Parlement européen en Belgique.

25 syndicalistes de 11 pays prticipent à cette réunion.

Le Secrétariat de la FSM est représenté par Ahmed Ibrahim, secrétaire financier de la FSM.

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27 juin 2016 1 27 /06 /juin /2016 02:45

AUTOMOBILE Des syndicalistes américains vont manifester ce mardi devant le siège du groupe automobile français…

Carlos Ghosn à Tokyo en 2015.

Carlos Ghosn à Tokyo en 2015. - Shuji Kajiyama/AP/SIP

  • Publié le

Le constructeur automobile français Renault-Nissan est en pleine tourmente. Il est accusé, outre-Atlantique, de bafouer les libertés syndicales dans la plus importante usine Nissan des Etats-UnisDes syndicalistes américains s’apprêtent d’ailleurs à manifester ce mardi devant le siège de Renault en France pour dénoncer ces pratiques « antisyndicales », révèle Le Parisien.

Une délégation de l’UAW (United Auto Workers), l’un des principaux syndicats de la branche automobile aux Etats-Unis, espère pouvoir s’entretenir avec le PDG Carlos Ghosn, qui sera présent ce mardi au comité de groupe de Renault qui se tiendra à Boulogne-Billancourt.

Des intimidations

« Nous n’avons jamais pu dialoguer avec la direction de Nissan. Ils n’ont cherché qu’à intimider les salariés de l’usine, à les déstabiliser, n’hésitant pas à faire du chantage à l’emploi, leur faisant croire que si un syndicat venait à se créer au sein de l’usine cela la mettrait en danger », explique au Parisien Richard Bensinger, porte-parole de l’UAW.

>> A lire aussi : Carlos Ghosn a perçu 16,5 millions d’euros de rémunération totale en 2015

Depuis l’ouverture en 2003 de l’usine Nissan de Canton (Mississippi), où travaillent quelque 5.000 salariés, le constructeur automobile s’est clairement prononcé contre l’implantation d’un syndicat, et notamment de l’UAW. Pour cela, la direction use de tous les moyens pour intimider les salariés, et joue également sur le droit américain. Aux Etats-Unis, l’implantation syndicale n’est pas garantie par la loi mais il est nécessaire, en revanche, que 30 % des salariés d’une entreprise se déclarent en faveur de la création d’une section syndicale.

35 députés français interpellent Carlos Ghosn (à défaut de défendre les droits des salariés en France, Bruno Le Roux et Vincent Peillon les défendent outre-Atlantique.  C'est parce que les socialistes en France promeuvent la loi contre le travail en France que Carlos Ghosn se permet d'agir ainsi aux Etats-Unis alors que l'Etat français est actionnaire du groupe.  Comment appelle-t-on ce genre d'individus ?  des hypocrites ou des faux-culs ? Pousseront-ils la comédie jusqu'à être présents aux côtés des syndicalistes américains devant le siège de Renault à Boulogne-Billancourt ?  AC.)

Les syndicalistes américains sont soutenus par les fédérations françaises de la métallurgie de la CFDT, la CGT, FO et de la CFE-CGC.

Plusieurs députés français ont par ailleurs adressé la semaine dernière au patron de Renault-Nissan une lettre dénonçant les pressions de la direction sur les salariés. « Nous exigeons que l’alliance Renault-Nissan permette aux salariés américains d’organiser des élections syndicales libres, non faussées et dégagées de toute pression de la direction », ont notamment écrit Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, Cécile Duflot et Noël Mamère, députés écologistes et Vincent Peillon, eurodéputé socialiste.

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24 juin 2016 5 24 /06 /juin /2016 13:07

Grande-Bretagne : défaite de la City, des multinationales et des marchés...Victoire de la classe ouvrière et du peuple britannique qui disent  NON à l'Union européenne  par Jean LEVY

La surprise - et la joie -  sont immenses, ce matin, à l'annonce du BREXIT. Tous les sondages relayés par l'ensemble de nos médias, prévoyaient un vote de plus en plus favorable au maintien de la Grande-Bretagne au sein de l'Union européenne.

La victoire du peuple, celle de la classe ouvrière anglaise et galloise en premier lieu, constitue ce matin un choc immense au sein des couches dirigeantes, proches de la City de Londres et de la Bourse de Paris.

Ce séisme politique ouvre un nouveau chapitre dans l'histoire de chacun des Etats maintenus au sein de l'UE. Car l'évènement a traversé la Manche. Les conséquences du vote sans appel du 23 juin 2016 met chaque peuple du continent face à ses responsabilités.

Et d'abord une interrogation gagne en ampleur :

Pourquoi ne pas consulter les citoyens pour connaître leur sentiment vis-à-vis de l'appartenance de leur pays au sein de l'Union europénne ?

Pourquoi pas un référendum en France ?

Et qu'on ne nous oppose pas le fait que le Front national l'a immédiatement demandé ! Il est en effet dommage qu'aucune force politique se réclamant de la gauche ne l'ait pas devancé.

Car l'exemple britannique le montre : il s'agit d'un vote de classe. Même les médias français le reconnaissent : France inter ce matin expliquait le vote massif pour le Brexit par l'exaspération des villes ouvrières soumises à la dictature économique exercée par Bruxelles au nom de la libre concurrence et des marchés, relayée par leurs  représentants au 10 Dowing Street, au nom de la bonne santé de la City de Londres et des multinationales. 

Certes, le Brexit n'inverse pas le déséquilibre du rapport de forces d'un ultralibéralisme triomphant, il ouvre cependant un espace de liberté pour ce faire, encore inimaginable hier!

Ce vote,  va naturellement de pair avec l'exigence d'une souveraineté nationale retrouvée. A la politique bruxelloise doit se substituer une politique britannique indépendante, exprimant la volonté  populaire. 

N'a-t-on pas appris durant la Résistance en France que "seule la classe ouvrière est demeurée fidèle à la Patrie profanée" et que "les trusts", comme on disait alors, "sont sans patrie" .

C'est maintenant à notre peuple d'exiger d'être consulté pour ou contre notre propre FREXIT.
 

Le mouvement social de grande ampleur qui se poursuit en France depuis quatre mois exprime la propre exaspération du monde du travail, face à la politique dictée par Bruxelles et mise en oeuvre tant par la droite que par la fausse gauche.

Il est temps de dire STOP. 

Mais ce changement de politique ne peut se réaliser qu'hors de l'appartenance de la France à l'Union européenne. Il est grand temps de mener campagne sur le thème de l'indépendance nationale, inséparable d'une libération sociale.

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19 juin 2016 7 19 /06 /juin /2016 23:01
Euro 2016 : de nouveaux stades trop grands et trop chers qui bénéficieront d’abord aux géants du BTP

par , Vincent Grimault

 

Le championnat d’Europe de football, qui se déroulera en France du 10 juin au 10 juillet, échappera-t-il aux scandales qui accompagnent régulièrement le coût pharaonique des nouveaux stades, comme en Grèce pour les JO de 2004, ou au Brésil pour la coupe du monde 2014 ? Pour la construction et la rénovation des stades de l’Euro 2016, les collectivités françaises ont une nouvelle fois mis la main au portefeuille. Bien souvent à travers des partenariats publics-privé engageant les finances publiques pour plusieurs décennies, pour le plus grand bénéfice des concessionnaires des stades, les grands groupes du BTP. Enquête sur des opérations coûteuses et risquées, en partenariat avec le mensuel Alternatives économiques.

L'article intégral avec le lien ci-dessous

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17 juin 2016 5 17 /06 /juin /2016 13:18
Une campagne de Médecins du monde censurée pour ne pas fâcher l’industrie pharmaceutique

par Sophie Chapelle.  Lu sur "Observatoire des multinationales"

L’ONG humanitaire Médecins du monde a lancé une campagne de communication choc en France destinée à dénoncer le prix exorbitant des médicaments. Les grands afficheurs ont refusé de la relayer, par crainte d’indisposer l’industrie pharmaceutique.

« Chaque année en France, le cancer rapporte 2,4 milliards d’euros », « Le mélanome c’est quoi exactement ? C’est 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires », « Une leucémie, c’est en moyenne 20 000 % de marge brute »... Voici trois des douze slogans choc de la campagne « Le prix de la vie », lancée par Médecins du monde le 13 juin pour dénoncer « le prix indécent des médicaments ». Selon l’ONG, « les laboratoires déterminent le prix des médicaments en fonction de la capacité maximale des États à payer pour avoir accès au traitement ». En clair, plus un État est riche, plus le prix sera élevé.

Cette campagne bénéficie d’un relais énorme sur les réseaux sociaux, suite au refus des afficheurs – parmi lesquels JC Decaux, Insert et Médiatransports – de la diffuser. Ces derniers se sont rangés derrière un avis défavorable – mais uniquement consultatif – rendu par l’Autorité de la régulation professionnelle de la publicité (ARPP) qu’a consulté les Inrocks. L’ARPP pointe trois raisons : la « référence à des maladies graves » qui « pourrait être perçue comme choquante par le public », des « allégations chiffrées » qui ne sont pas sourcées sur les affiches, et « le risque de réactions négatives (...) de la part des représentants de l’industrie pharmaceutique ».

« Le prix indécent des médicaments, ça va durer encore longtemps ? »

Faut-il voir dans ce refus la pression des industries pharmaceutiques ? Le Leem, principal syndicat des entreprises du médicament, dénonce dans un communiqué les propos diffusés par les visuels de Médecins du monde, qu’il juge « caricaturaux et outranciers ». Le syndicat affirme que « la plupart des médicaments ont aujourd’hui des prix particulièrement bas » et qu’« en aucun cas, les industriels ne fixent leur prix de façon unilatérale ». De son côté, la campagne de Médecins du Monde pointe le prix exorbitant du Sofosbuvir, un traitement innovant contre l’hépatite C qui coûte aujourd’hui près de 41 000 euros par patient, alors qu’il ne coûterait que 102 euros à produire. Avec 192 700 personnes atteintes par l’hépatite C chronique, le traitement de la totalité des malades coûterait environ 8 milliards d’euros... Difficile à ce prix-là pour la Sécurité sociale de rembourser tout le monde [1].

Faute d’avoir eu accès aux panneaux publicitaires des annonceurs, Médecins du monde diffuse ses affiches sur internet, dans la presse et bénéficie d’un vaste relais sur les réseaux sociaux. Censurée, la campagne Le prix de la vie connait un véritable « effet Streisand » : la volonté d’empêcher la divulgation de ces informations a déclenché le résultat inverse [2]. L’ONG a également annoncé entamer un affichage sauvage dans les rues, avec l’aide de nombreux particuliers.

En un peu plus de 48 heures, plus de 120 000 personnes ont également signé la pétition « Le prix indécent des médicaments, ça va durer encore longtemps ? ». « Nous sommes tous en droit de connaître le processus qui détermine le prix d’un médicament », souligne cette pétition adressée à Marisol Touraine, la ministre de la Santé. « Ne laissons pas les laboratoires estimer pour nous "le prix de la vie" sur des critères de rentabilité. (...) Alors nous aimerions vous poser une simple question : Quand il s’agit de Santé, est-ce au marché de faire la loi, ou est-ce à l’État ? » Médecins du Monde demande notamment au gouvernement d’utiliser, pour faire baisser le prix des médicaments, les licences d’office, qui permettent la création d’un générique lorsque le prix du médicament d’origine est trop élevé [3]. L’ONG réclame également la transparence des coûts de recherche et développement dans l’industrie pharmaceutique, ainsi qu’un modèle alternatif au brevet.

Sophie Chapelle

[1] Une équipe de chercheurs de Liverpool a estimé que son coût de production s’élevait à environ 75 € pour 3 mois de traitement. Voir l’étude.

[2] L’expression « effet Streisand » fait référence à un incident, survenu en 2003, au cours duquel Barbara Streisand avait poursuivi en justice l’auteur et le diffuseur d’une photographie aérienne de son domaine privé, afin d’empêcher sa propagation. La publication de la procédure eut pour conséquence de faire considérablement connaître l’image auprès des internautes américains.

[3] La licence d’office, permise en droit national par l’article L613-615, propose la création d’un générique à partir d’un médicament breveté s’il « n’est pas mis à la disposition du public en quantité ou qualité insuffisante ou à des prix anormalement élevés ».

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11 juin 2016 6 11 /06 /juin /2016 07:52

Comment Google débauche les hauts fonctionnaires européens

( Observatoire des multinatonales)

Confrontée à une enquête de la Commission européenne sur ses pratiques monopolistiques, à laquelle s’ajoutent des controverses sur ses contributions fiscales et sur le respect de la vie privée, Google a été contrainte de considérablement renforcer son lobbying sur le vieux continent. Avec 3,5 millions de dépenses déclarées, elle est désormais l’une des entreprises les plus actives à Bruxelles. Le géant américain mise également sur le débauchage de fonctionnaires nationaux ou communautaires : plus de 70 cas ont été recensés depuis 10 ans.

[...]

L'intégralité de l'article ci-dessous.

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7 juin 2016 2 07 /06 /juin /2016 16:04

Dans une vraie démocratie c’est le parlement qui a le dernier mot sur toutes les décisions importantes. Mais il semble que ce ne soit pas valable en ce qui concerne les accords de libre-échange : une clause du CETA permettrait à une grande partie de celui-ci d’entrer en vigueur sans l’accord d’aucun parlement – y compris le très impopulaire Règlement des Différends entre Investisseurs et États (ISDS)!

En ce moment, les dirigeants européens préparent en secret l’entrée en vigueur du CETA par une porte dérobée qui permettra au CETA d’entrer en vigueur dès l’aval du Conseil de l’Union européenne (c’est-à-dire les gouvernements des états membres), mais sans qu’aucun des parlements européens ne soit consulté. (Cette porte dérobée a d’ailleurs récemment été décrite par le Ministère de l’économie allemand comme “parfaitement démocratique”).

Vous pensez qu’on ne peut pas faire pire? Tenez-vous bien: Grâce à une phrase, cachée quelque part à la page 228 de l’accord, les états membres de l’Union peuvent être attaqués en justice par des multinationales, même s’ils ont rejeté l’accord.. Et ce pour une durée de trois an pleins! L’article 30.8 du CETA établit en effet que les recours ISDS pourront continuer à être soumis pendant trois ans pleins à compter de la date de la suspension ou de fin de l’accord.[...]

La suite sur le site "STOP TIPP" (TAFTA) ci-dessous

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7 juin 2016 2 07 /06 /juin /2016 09:34
Ouverture des discussions « compétitivité » dans le groupe PSA
Publié le 30/05/2013 sur Solidarité ouvrière

psa4Communiqué CGT PSA suite au lancement des discussions sur un accord de compétitivité :

La direction PSA a réuni ce mercredi 29 mai les syndicats pour entamer des discussions sur un accord de compétitivité qu’elle masque sous l’intitulé trompeur de « nouveau contrat social ».

Elle annonce un calendrier de discussions hebdomadaires de 4 mois, jusqu’en octobre 2013.

Après M. Ghosn chez Renault, et sans surprise, M. Varin utilise le chantage à l’emploi et à l’activité en France, pour pousser les syndicats à accepter un recul social généralisé en citant les questions de salaire, temps de travail, flexibilité, mobilité, et recours au travail temporaire.

La CGT a rappelé à M. Varin qu’à l’inverse des lieux communs rabâchés par le patronat, la CGT considère que le travail n’est pas un coût, mais l’origine de toute création de valeur et de biens et que l’élévation du niveau de vie est la condition de l’écoulement de la production.

 

La CGT a affirmé son opposition à une logique donnant-perdant où, sous prétexte de compétitivité, les salariés en France devraient travailler aux conditions espagnoles, les espagnols aux conditions slovaques, les slovaques aux conditions turques, et les turcs aux conditions chinoises. Ce cercle vicieux est gravement préjudiciable à tous les salariés de la planète et plonge l’Europe dans une récession économique et sociale insupportable et suicidaire.

A l’inverse, nous avons interpellé M. Varin sur son silence sur le coût du capital :
– Les rapports Sartorius et Secafi ont confirmé que les politiques de dividendes et de rachats d’actions ont couté à PSA la bagatelle de 6 milliards € au cours des 12 dernières années. Cela n’a pas empêché l’assemblée générale des actionnaires du 24 avril 2013 d’adopter un nouveau programme de 340 millions € de rachats d’actions et de 30 millions € de distribution d’actions gratuites aux dirigeants de l’entreprise !
– Alors qu’aujourd’hui, ce sont des intérêts à 7,5 % que PSA verse aux sociétés financières qui spéculent sur notre travail !

La CGT a rappelé qu’une meilleure efficacité du travail repose sur :
– Des salariés formés, disposant d’un emploi stable en CDI et d’un bon niveau de rémunération,
– Une meilleure « qualité de vie au travail » qui passe par :

  •   L’amélioration des conditions de travail à l’inverse de l’application aveugle des méthodes « Lean » que nous connaissons aujourd’hui.
  •   Un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée, par le respect de la liberté du week-end, la fin des comptes de temps collectifs, le respect du volontariat pour les mobilités géographiques.
  •   L’arrêt du bourrage de crâne, des contraintes et procédures inutiles, pour laisser la place à l’initiative et à la convivialité. L’arrêt des pressions sur les salariés et accidentés.
  •   Le renouvellement des compétences avec un dispositif de préretraite pour les seniors ayant eu des métiers et horaires pénibles, et un tutorat pour les jeunes afin de transmettre les savoirs et les savoir-faire.

L’issue des discussions qui s’ouvrent entre syndicats et direction PSA dépendra de l’intervention et du poids qu’y mettront toutes les catégories de personnel.

La CGT appelle d’ores et déjà les salariés à être vigilants et à se tenir prêts à se faire entendre pour conjuguer avenir de l’emploi et progrès social.

Ce serait pire si le patron de Peugeot avait à sa disposition un outil comme la loi Travail ! AC.

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