jeudi 21 avril 2022 par Charles Hoareau
Dans cette période électorale se manifestent, et dès avant le 10 avril, tour à tour (et parfois en même temps) la déception, la colère, le désarroi, l’incertitude et la crainte pour la suite.
La campagne a été particulièrement clivante à l’intérieur même de notre camp, celui du progrès social, où l’invective a trop souvent cédé le pas à l’échange serein de points de vue différents.
D’abord il faut observer que les débats ont plus porté sur la stratégie électorale que sur le fond.
Des questions comme :
- - Quelle marge de manœuvre aurait un gouvernement qui veut répondre aux aspirations populaires sans se trouver bloqué par les directives de l’UE ?
- - Quel volume de nationalisations ?
- - Quelle politique d’éducation et pas seulement en termes d’effectifs ?
- - Quelle politique internationale de la France, en Afrique ou au Moyen Orient ?
N’ont pas ou peu été abordées.
[...]
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