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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
21 mai 2017 7 21 /05 /mai /2017 15:28

Heureuse coïncidence

Nous apprenions lundi 5 mai qu’un (presque) inconnu, Édouard Philippe, avait été nommé Premier ministre par le président intronisé la veille.

Le premier nous a été présenté comme le « poulain » d’un ancien premier ministre ultralibéral, condamné à 14 mois de prison avec sursis, actuel maire de Bordeaux, j’ai nommé .

Le second, à qui les parrains ne manquent pas, a été secrétaire général adjoint du cabinet de François l’« ennemi de la finance » Hollande avant d’être son ministre de l’économie, des finances et de l’industrie.

Qu’y a-t-il de commun entre ses quatre personnes ?

Certainement énormément, mais un élément, oublié par nos médias, devrait attirer l’attention – en ces temps où l’ingérence de la Russie poutinienne dans nos élections n’a de cesse d’être dénoncée. Alain Juppé, , Édouard Philippe et ont tous les quatre étaient sélectionnés comme Young Leaders de la French American Foundation, respectivement en 1982, 1996, 2012 et 2012.

Qu’est-ce qu’un ?
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21 mai 2017 7 21 /05 /mai /2017 09:56

« Les manifestants profitent d'une circonstance particulière à notre pays : les forces de l'ordre public n'utilisent pas d'armes à feu. C'est interdit. C'est une disposition de notre commandement militaire et l'opposition abuse de cette disposition pour agresser et menacer le reste des citoyens, » a précisé Rafael Ramírez, l'Ambassadeur de la République Bolivarienne du Venezuela devant l'Organisation des Nations Unies (ONU).

Publié le par Bolivar Infos

L'Ambassadeur de la République Bolivarienne du Venezuela devant l'Organisation des Nations Unies (ONU), Rafael Ramírez, a expliqué mercredi qu'une minorité violente de l'opposition profite qu'au Venezuela , il est interdit aux forces de l’ordre public d’utiliser des armes à feu.

« Les manifestants profitent d'une circonstance particulière à notre pays : les forces de l'ordre public n'utilisent pas d'armes à feu. C'est interdit. C'est une disposition de notre commandement militaire et l'opposition abuse de cette disposition pour agresser et menacer le reste des citoyens, » a précisé le diplomate au siège des Nations Unies.

Il a soutenu que l'Etat garantit la sécurité et la paix de toute la société vénézuélienne, c'est pourquoi « il ne peut permettre que ces groupes violents et extrémistes déstabilisent tout le pays. »

« Notre pays affronte la violence d'une minorité, ce ne sont pas des manifestants pacifiques comme le dit l'ambassadrice états-unienne, Nikki Haley”, a assuré Ramírez.

Il a indiqué que « l'ingérence des Etats-Unis dans des tentatives comme celle d'aujourd'hui aux Nations Unies (de mettre, sans préavis, le Venezuela à l'ordre du jour du Conseil de Sécurité), ce que ça fait, c'est stimuler l'action de ces groupes violents et la propagande des grands médias qui est systématiquement et de façon permanente contre notre pays. »

« Les Etats-Unis ont été les grands promoteurs de la violence et des guerres dans le monde. C'est dans des actions comme celles-là, qui sont des actions d'ingérence, dans cette sorte de situations que des conflits et des tragédies comme ceux que subissent les peuples de Libye, de Syrie et d'Irak ont eu leur origine, » a-t-il noté.

Il a rappelé que les Etats-Unis ont été les organisateurs du coup d'Etat de 2002 au Venezuela (le coup d'Etat le plus court de l’Amérique Latine). « aujourd'hui, les dirigeants de l'opposition sont les mêmes que ceux qui ont participé aux événements de 2002, » a-t-il déclaré.

« Les Etats-Unis ont, d'autre part, une triste histoire de violences, d'ingérence et d'interventions dans notre région qui a fait obstacle au développement de nos démocraties. »

Il a souligné l'appel constant du Gouvernement Bolivarien au dialogue. « Nous avons la médiation des ex présidents Leonel Fernández, Rodrigo Zapatero et Martín Toriijos et de l'Union des Nations Sud-américaines (UNASUR), notre propre organisme régional et nous continuerons à insister sur le dialogue et le respect de nos institutions. »

Enfin, il a assuré que le dialogue a le soutien du Saint Père, le pape François qui « a été victime de l'extrême droite et d'innombrables critiques seulement pour avoir appelé au dialogue. »

 

T/Ana Maneiro

traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos

 

source en espagnol :http://www.correodelorinoco.gob.ve/minoria-violenta-de-la-oposicion-se-aprovecha-que-las-fuerzas-del-orden-publico-en-venezuela-no-utilizan-armas-de-fuego/

URL de cet article:

http://bolivarinfos.over-blog.com/ 2017/05/venezuela-la-minorite-violente-de-l-opposition-profite-que-les-forces-de-l-ordre-n-utilisent-pas-d-armes-a-feu.html

 

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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 16:45

Il est aujourd’hui clair que l’érosion de l’hyperpuissance américaine a permis l’émergence d’un monde multipolaire, ce monde multipolaire que le Général de Gaulle appelait de ses vœux. Il est aussi clair que cette émergence n’implique nullement que les Etats-Unis aient perdu toute capacité d’intervention militaire dans le monde. La frappe sur la Syrie qui a eu lieu dans la nuit du 6 au 7 avril le démontre. Elle démontre aussi les impasses de l’unilatéralisme américain.

Cette émergence n’est pas le fruit du hasard mais de changements importants qui ont pris place dans l’ordre des nations depuis maintenant une trentaine d’années, de la rencontre de projets politiques convergents, et en particulier ceux de la Russie, de la Chine, de l’Inde, mais aussi de l’Iran et de puissances régionales, tout comme elle résulte d’erreurs qui ont été commises dans la politique américaine, que ce soit lors de la Présidence Clinton ou de celle de George W. Bush. J’avais montré, dans un ouvrage de 2009, la logique de ce processus[1]. Les événements de ces dernières heures nécessitent de revenir sur ces points.

[...]

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27 janvier 2017 5 27 /01 /janvier /2017 11:28

Par Georges Gastaud, secrétaire national du PRCF,

et Antoine Manessis, responsable international du PRCF. Le 17 janvier 2017.


Dans L’impérialisme, stade suprême du capitalisme (1916), Lénine a réfuté la thèse révisionniste défendue par les ténors de la Deuxième Internationale à propos du prétendu « hyper-impérialisme ». Reprise par Kautsky, cette expression de Hilferding résumait l’idée suivante : la concentration mondiale des capitaux est de nature à unifier mondialement l’impérialisme, dont les principaux Etats finiront par fusionner planétairement pour exploiter collectivement les travailleurs. De cette manière, la tendance à la mondiale propre à l’ancien capitalisme disparaîtrait ; les Etats-nations s’effaceront alors devant une sorte d’Empire mondial dont la mise en place d’éventuels « Etats-Unis d’ » seraient les prémices heureuses. Léon Trotski – dont les liens d’avant- n’avaient pas été rompus avec les mencheviks – adhérait alors à ce montage théorique spécieux, si bien que Lénine dut polémiquer contre lui en réfutant le mot d’ordre pseudo-internationaliste des « Etats-Unis socialistes d’Europe ». Un slogan dont, manifestement, le NPA et LO ne sont toujours pas sortis aujourd’hui. De nos jours, nombreux sont les « théoriciens » qui se croient « innovants » quand ils évoquent naïvement « la » mondialisation capitaliste, « la » construction européenne, voire – comme le révisionniste de gauche Tony Negri, on ne sait quel « Empire » universel régnant sur une « Multitude », voire sur une « plèbe » étrangère aux rapports de production réellement existants. Exit dans la foulée la lutte prolétarienne pour le socialisme, sans parler du combat anti-impérialiste pour le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes…

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1 janvier 2017 7 01 /01 /janvier /2017 16:11

Christian Estrosi a prévu de verser 50 000 euros du budget de la région PACA au Fond national juif, le "KKL",  une organisation israélienne qui soutient activement la colonisation.

Cette utilisation de l'argent public en soutien à l'extrème droite israélienne a lieu dans un contexte bien particulier, alors que la France a voté la résolution 2334 du Conseil de sécurité des Nations unies condamnant la politique israélienne de colonisation.  

 

Le président de la région Paca a tenu à assurer son soutien au Premier ministre israélien après le vote de l'ONU. Une initiative dénoncée par l'opposition.

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4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 17:28
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4 décembre 2016 7 04 /12 /décembre /2016 15:42
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2 décembre 2016 5 02 /12 /décembre /2016 17:55
Le Nicaragua sous dictature ... du double standard et du copier-coller
Le Nicaragua sous dictature… du double standard et du copier-coller
 29 novembre 2016  | 
 

Par son importance et l’incertitude qu’elle a engendrée, l’élection présidentielle du 8 novembre aux Etats-Unis a occulté le résultat et limité les commentaires sur le scrutin qui, deux jours auparavant, avait vu la victoire du sandiniste Daniel Ortega au Nicaragua. Toutefois, toutes tendances confondues, de la droite à la gauche (réelle ou supposée), l’appareil médiatique avait pris les devants en disqualifiant implicitement ou explicitement, sans nuances ni remise en perspective, cette réélection annoncée. Une unanimité qui laisse rêveur et devrait inciter à la réflexion.

Président sortant du Nicaragua, Daniel Ortega a été réélu pour un troisième mandat consécutif, le 6 novembre 2016, avec 72,5% des suffrages, loin devant les 15% de Maximino Rodríguez, candidat du Parti libéral constitutionnaliste (PLC, droite) [1]. Son parti, le Front sandiniste de libération nationale (FSLN), a conquis 71 des 92 sièges de l’Assemblée nationale. Alors que le Conseil suprême électoral (CSE) annonçait une abstention de 31,8 %, la coalition d’opposition du Front large de la démocratie (FAD) l’a estimée, sans citer aucune source identifiable, à plus de 70 % [2]. A qui se fier ?

En la matière, un simple rappel du passé permet d’avoir au moins une « petite idée » sur la question. Ayant assisté à l’élection précédente, déjà contestée à l’époque, qui, le 6 novembre 2011, se solda par une victoire du même Ortega, avec une majorité de 62 % des suffrages, nous pouvons affirmer qu’il avait incontestablement remporté ce scrutin [3]. Pourtant, arrivé en deuxième position avec 31 % des voix, le représentant du Parti libéral indépendant (PLI), Fabio Gadea, contesta sa défaite, prétendant avoir lui-même recueilli 62 % des voix (alors que tous les sondages lui avaient accordé environ 30 %). Alertant la « communauté internationale » (comprendre : les Etats-Unis et l’Union européenne) acquise à sa cause, il annonça une protestation massive et, pour le 3 décembre suivant, une manifestation de cent mille personnes dans les rues de la capitale Managua. Il en vint entre cinq et dix mille (sans présence d’un appareil massif de répression). Mais c’est la défense de leur cause que l’appareil médiatique international choisit de privilégier.

En 2008, déjà, lors d’élections municipales largement remportées par le Front sandiniste de libération nationale (FSLN) – 109 villes sur 153 –, le candidat battu pour la mairie de Managua, le banquier Eduardo Montealegre, hurla à la fraude et exigea un recomptage des votes. Pour son plus grand malheur, le CSE accepta. Dès lors, les libéraux optèrent pour ne pas assister à ce recomptage et n’apportèrent ultérieurement aucune des « preuves » censées sustenter leur accusation.

C’est donc avec la plus grande réserve qu’on accueillira la récente déclaration de la dirigeante du FAD, Violeta Granera : « Nous ne reconnaissons pas les résultats de cette farce et, avec la force de la volonté manifestée par le peuple du Nicaragua, nous déclarons ces élections nulles [4].  »

S’il est un commentaire revenu en boucle ces dernières semaines, avec un ensemble parfait, c’est bien celui-ci : trente-cinq ans après avoir renversé par les armes la dictature d’Anastasio Somoza, le FSLN n’est plus ce qu’il était. Quelle ébouriffante découverte ! Pour information : l’Union soviétique, l’Angola, l’Afghanistan, l’Iran, l’Irak, le Parti socialiste français, le prince Charles (qui alors épousait Diana), la télévision publique, Georges Brassens, l’Amérique latine en général, le Venezuela, l’Equateur et la Bolivie en particulier, l’auteur de cet article et ses lecteurs non plus ! Et l’on ajoutera, au risque de surprendre, que même la nostalgie n’est plus ce qu’elle était. [...]

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30 novembre 2016 3 30 /11 /novembre /2016 10:10

Cet article est reposté depuis Solidarité Internationale PCF.

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29 novembre 2016 2 29 /11 /novembre /2016 18:26
Editorial paru dans le n°14 de Ruptures à propos de la victoire de D.Trump - "Juste la fin d'un monde ?" [par Pierre Lévy]
Éditorial paru dans Ruptures du 23 novembre
Juste la fin d'un monde ?

Un séisme. L’élection de Donald Trump ébranle potentiellement trois des piliers fondateurs de l’ordre mondial post-guerre froide, et même post-seconde guerre mondiale.

Le premier pilier n’est autre que l’essence même de la mondialisation : le libre échange, contre lequel le candidat républicain n’a cessé de tonner – succès électoral à la clé. Parallèlement à son méga-plan de 500 milliards d’investissements publics dans les infrastructures nationales, le magnat de l’immobilier a même évoqué une possible sortie de l’OMC.

Or, depuis la chute de l’URSS, l’Occident a imposé le capitalisme globalisé comme horizon indépassable, avec pour fondement une dynamique de suppression des droits de douane, des frontières, des protections – bref, le libre jeu de la concurrence généralisée à l’échelle du globe, immigration et délocalisations à la clé.

Le deuxième pilier est tout sauf anodin. Pour la première fois, un dirigeant occidental de ce niveau remet en cause le dogme le plus sacré selon lequel la planète serait mortellement menacée par une activité humaine inconsidérée. Ce consensus obligatoire dissimule en réalité l’incapacité du système actuel d’assurer une croissance à la hauteur des besoins humains. Et justifie donc la « sobriété nécessaire », autrement dit l’austérité à perpétuité – mais repeinte en vert (tu).

Quant au dernier fondement, il concerne rien de moins que la guerre ou la paix à l’échelle du monde. Le milliardaire a tenu des propos conciliants vis-à-vis de la Russie, suggérant une coopération avec Moscou notamment en Syrie et en Irak. Il a mis en question le coût et la pertinence de l’OTAN, et jeté un doute sur la validité de clause dite de défense mutuelle. Selon le patron de la Conférence de Munich sur la sécurité, Wolfgang Ischinger, cette situation provoque une « insécurité jamais atteinte quant à la relation transatlantique ». L’hebdomadaire allemand Der Spiegel révèle que des géostratèges de l’Alliance atlantique se sont mis à travailler sur un scénario impensable : un retrait des Etats-Unis de l’OTAN…

Cerise sur le gâteau, les élites politico-médiatiques occidentales sont taraudées par une question déstabilisante : comment avons-nous pu ne pas pressentir le tsunami qui enflait au sein des classes populaires américaines ? « Il faudra à l’avenir que nous nous enquêtions plus sur les simples gens », battent leur coulpe en substance certaines rédactions, qui, non sans une candide arrogance, continuent de considérer les ouvriers comme des bêtes curieuses. Car de fait, l’endogamie du personnel politique et de la presse dominante, des deux côtés de l’Atlantique, exclut toute opinion dissidente comme toute irruption populaire au sein de l’appareil idéologique en place. A force de porter au pinacle lesdites « minorités visibles », les maîtres de la pensée officielle sont passés à côté des majorités… qui leur furent invisibles.

Le compulsif remue-méninge sur « le populisme » ne suffira pas à prévenir les futurs tremblements de terre. Les oligarchies européennes s’affolent, d’autant que des échéances électorales délicates se profilent en Autriche, en Italie, aux Pays-Bas, en Allemagne… et en France. Il n’est nul besoin d’être un partisan de Marine Le Pen pour noter que c’est elle qui a trouvé la formule la plus aiguisée pour caractériser le scrutin du 8 novembre : « ce n’est pas la fin du monde, c’est plutôt la fin d’un monde ».

A ce stade cependant, la plus grande prudence s’impose. Ne serait-ce que parce que les propos de campagne du futur locataire de la Maison-Blanche ont été souvent fantasques voire contradictoires. Il a par exemple attaqué l’accord avec l’Iran, et promis par ailleurs une déréglementation bancaire… Mettra-t-il en œuvre ne serait-ce que le début de ses engagements électoraux ? Il serait naïf d’imaginer que l’« establishment » soit désarmé face à des menaces existentielles qu’un président ferait peser sur l’ordre établi. Les intérêts en jeu sont incommensurables.

Pourtant, si le nouvel élu devait, à l’instar des politiciens « classiques », abandonner brutalement ce qui a fait son succès électoral, qui peut imaginer la suite ? Les formes et les échéances de la colère populaire seraient imprévisibles – mais pas sa force et sa violence, à côté desquelles la Guerre de sécession ferait peut-être figure de promenade de santé… Une telle révolte pourrait même entraîner un effet de souffle au-delà des frontières américaines.

Il faudrait alors – et pour la première fois – saluer la mondialisation.

Pierre Lévy

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