Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
7 février 2016 7 07 /02 /février /2016 18:00

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

Partager cet article
Repost0
4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 18:08

De nombreuses voix s'élèvent en France pour la levée des sanctions contre la Russie, à commencer par les agriculteurs. Alors que les bouches s'ouvrent, on se demande bien aujourd'hui pourquoi ces sanctions ont été prises.  L'article qui suit montre à l'évidence que les Européens et parmi eux, le président et le gouvernement français, sous la houlette du ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, se sont pliés sans grande résistance aux exigences de l'empire américain.  La crise internationale, et aussi la crise de l'agriculture montre que ces décisions américaines ont été mortifères.  Qu'on fasse donc taire les dirigeants américains!  Une des façons de le faire est que la France sorte de l'OTAN, organisation créée par eux et à leur solde. 

Pour cela il faut que monte dans le pays cette exigence de sortie de l'OTAN.

Pour ce faire, vous pouvez signer la pétition réclamant la sortie de l'OTAN, pétition initiée par un mouvement italien et reprise par le Comité Valmy ici.

par IlfattoQuotidiano.fr (son site)
Lu sur Agoravox le mercredi 3 février 2016
 

 Le sénateur John McCain (ci-contre) vient de déclarer qu’il revient aux USA de décider si les sanctions européennes contre la Russie doivent être levées ou pas. La décision devrait être évoquée à Munich la semaine prochaine, vu le nombre de pays européens qui se plaignent de l’impact de ces sanctions sur leur économie.

"Je crois qu’il y a beaucoup de discussions entre les Européens à propos de la fin des sanctions… nombre d’entre eux attendent leur levée," a-t-il déclaré lors d’une interview à Sputnik. "Cela fait plusieurs mois que j’en entends parler, et il y a une énorme pression de la part de certains pays, notamment l’Allemagne, pour la levée des sanctions."

Cependant, l’ancien candidat malheureux aux présidentielles américaines pense qu’au final c’est à Washington de décider s’il faut ou non mettre fin aux sanctions, expliquant… que cela "dépend d’une certaine façon du leadership américain."

La levée des sanctions doit être évoquée lors de la Conférence sur la Sécurité à Munich la semaine prochaine, à laquelle doit se rendre également le Premier ministre Dimitry Medvedev.

 

"Les sanctions économiques seront évoquées en coulisses, même si ce n’est pas visible," a poursuivi McCain. "Cela ne sera pas discuté ouvertement pendant la conférence, mais il y aura beaucoup de débats à ce propos entre les différents pays européens.

McCain a raison sur un point : l’Union Européenne (UE) n’est pas contente de perdre des milliards de dollars d’échanges suite à l’embargo mis en place par Moscou en réponse aux sanctions.

Le ministre français de l’Économie, de l’Industrie et du Commerce numérique Emmanuel Macron a expliqué en janvier que Paris apporterait son soutien à la levée des sanctions occidentales à l’été 2016. Ce point de vue est partagé par les représentants de la Chambre de commerce germano-russe AHK, qui sont convaincus que les sanctions contre la Russie doivent prendre fin. Le président de cette organisation, Rainer Seele, assure que 80% des entreprises allemandes ont été impactées par ces sanctions économiques. Selon Seele, la plupart des représentants des sociétés interrogées pensent que "l’efficacité politique de ces sanctions n’est pas apparente."

En décembre, l’Italie a remis à plus tard l’application d’une décision de l’UE visant à étendre les sanctions économiques, et a demandé à ce que ces mesures soient discutées au sein de l’Union, après une réunion d’envoyés européens à Bruxelles.

Le vice-président américain Joe Biden avait admis en octobre 2014 que les dirigeants US avaient dû faire pression sur l’Europe pour imposer les sanctions économiques contre la Russie après la crise en Ukraine, car l’Europe était réticente à ce genre de mesures.

"Il est vrai qu’ils ne voulaient pas le faire," a avoué Joe Biden. "Mais les États-Unis ont pris les choses en main et le président des États-Unis a insisté sur ce point. Parfois, nous avons même dû placer l’Europe dans une situation inconfortable afin qu’elle agisse et qu’elle fasse "payer" [la Russie ]," avait-il déclaré.

Les sanctions économiques européennes contre la Russie ont été introduites en juillet 2014 pour un an avant d’être prolongées suite à la crise ukrainienne et la réunification avec la Crimée. Elles incluent des restrictions sur les prêts accordés aux principales banques étatiques russes, ainsi qu’aux grandes compagnies de défense et pétrolières. De plus, Bruxelles a imposé des restrictions sur la fourniture d’armes et d’équipement militaire à la Russie, ainsi que sur les technologies militaires, les équipements "Hi-Tech", les technologies à double usage et celles de l’industrie pétrolière.

La Russie a répondu en imposant un embargo sur les produits agricoles, la nourriture et les matières premières provenant des pays ayant adopté les sanctions contre elle. L’importation de viandes de boeuf, porc, volaille, de poisson, de fromage, de lait,et de fruits et légumes ont été interdits depuis ces pays, et Moscou a lancé une politique de substitution de ces produits.

Source : RT, le 3 février 2016

Traduction  : Christophe pour ilFattoQuotidiano.fr

Partager cet article
Repost0
4 février 2016 4 04 /02 /février /2016 11:41
A l’UNESCO le Qatar sponsorise un colloque sur la liberté de la presse.

Bon appétit ô journalistes intègres. Le 5 février, à Paris au Palais de l’UNESCO, l’élite mondiale de la presse va casser la croûte aux frais de l’émir du Qatar.

Avouez que discourir de la liberté des journaux et de ceux qui les font en étant nourri par un autocrate, c’est vraiment banqueter dans un monde idéal. A l’UNESCO, nul n’a vu malice dans le fait qu’Al Jazira, la télé haut-parleur du Qatar, offre un repas bien mérité aux confrères, après qu’ils ont transpiré et souffert pour sauver une noble cause : la liberté de la presse. Dans le même esprit, l’UNESCO devrait nous proposer bientôt un symposium de la liberté offert par le camp de Guantanamo, une réunion sur le journalisme libre pistonné par la Turquie, et la liste des oxymores peut être longue.

Parlons de ce Qatar qui aime tant la liberté à Paris pour mieux la combattre à Doha. C’est un pays avec foi –le wahhabisme radical- mais sans lois, en tout cas dignes de ce nom, votées par une assemblée. Un pays sans presse libre, où ce qui est imprimé n’est que la feuille d’avis du palais ; sauf, révérence gardée, quand le livre sur l’islam de notre confrère Edwy Plenel y est diffusé en feuilleton.
Au risque d’être lourd, faut-il rappeler que le poète Mohamed Al Ajami est cloîtré pour quinze années en prison, au prétexte qu’il a souhaité que le « printemps » soit une saison qui n’oublie pas de faire un tour par le Qatar. Le pays d’Al Jazira l’a d’abord condamné à mort avant que la sentence soit généreusement commuée.

Al Jazira synonyme de liberté ! Le mot chaîne lui va si bien. N’est-ce pas sur son écran que l’on peut entendre le cheikh Qaradawi venir souhaiter « qu’Hitler revienne pour finir le travail ». Voilà une télé moderne, une télé qui a révélé son vrai visage lors des « printemps » de Tunisie, d’Egypte et de Libye. C’est alors que cette arme de presse a sorti son droit canons pour imposer dans ces trois pays « libérés » des gouvernements tenus par des frères wahhabites, pas vraiment hostiles au noble combat conduit par Daech et d’Al Nosra en Syrie.
Pour la toute petite histoire, au temps de ce chaos et dans le rêve de l’exporter en Algérie, sachez qu’Al Jazira a tourné en studio de fausses séquences « d’émeutes » censées se dérouler au pays de Boutef... Histoire d’allumer la mèche au pays de l’émir Abdelkader.
Après un bon déjeuner offert par un despote, il est bon de rire et voici donc une blague. Elle se déroule en Egypte après la tempête du « printemps ». Elle décrit une caricature publiée dans la presse du Caire. On voit une mère en colère et qui tire l’oreille de son fils :
- Ali, tu sais où on met les petits menteurs ?
- Oui maman, à Al Jazira.

Jacques-Marie BOURGET

Et voir : http://www.legrandsoir.info/quand-plantu-recoit-une-dotation-d-une-dic...
Et : "Le vilain petit Qatar" de Jacques-Marie Bourget et Nicolas Beau.

Partager cet article
Repost0
16 janvier 2016 6 16 /01 /janvier /2016 10:34

Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2016 6 02 /01 /janvier /2016 15:00

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

Partager cet article
Repost0
30 décembre 2015 3 30 /12 /décembre /2015 12:14
Partager cet article
Repost0
25 décembre 2015 5 25 /12 /décembre /2015 22:17

Cet article est reposté depuis Réveil Communiste.

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 21:24

L’opposition a remporté la majorité dans un processus électoral qui a été défini par les observateurs internationaux comme l’un des systèmes les plus sûrs et transparents au monde.

Le Plan République, composé de 163.000 membres des forces armées bolivariennes a été efficacement déployé dans tout le pays, notamment dans la région frontalière avec la Colombie, pour veiller à ce que les élections se déroulent dans un climat de paix et sécurité.

Depuis que la nouvelle Constitution fut approuvé en 1999 sous l’initiative du président Hugo Chavez, et avec des taux de participation les plus élevés dans l’histoire de la démocratie au Venezuela, 20 élections ont eu lieu les derniers 16 ans avec un modèle de démocratie participative originale et créative.

A cette occasion, les votants des différents partis se sont montrés particulièrement satisfaits avec le déroulement du processus électoral, malgré les campagnes persistantes de rumeurs ayant pour cible le Conseil National Electoral.

Jusqu’à la dernière minute, des acteurs nationaux et internationaux ont questionné la fiabilité du système électoral vénézuelien, avec la répétition d’un récit grossier et mensonger basé sur des rumeurs et des attaques personnalisées contre la présidente du CNE Tibisay Lucena.

Des ex-présidents de droite de plusieurs pays d’Amérique Latine, dont l’ex président colombien Pastrana, ont montré une attitude d’ingérence constante et une délégation s’est même rendu le jour de la votation sans compter avec l’accréditation correspondante du CNE, ce qui leur a valu une demande d’expulsion du territoire.

L’épouse de Leopoldo Lopez, Lilia Tintori, s’est réjoui des résultats et s’est montrée confiante dans la suite, en annonçant qu’elle n’allait pas baisser ses bras " jusqu’à la libération de tous les prisonniers". Souvenons-nous que son mari Lopez a été emprisonné pour son rôle dans l’incitation à la violence début 2014, qui a entraîné 43 victimes mortelles lors de l’opération anti-démocratique appelée "La Sortie". Le comité de victimes des guarimbas [groupes dont le moyen d’expression est la violence de rue. Note du GS] a effectué des tournées en Europe avec le silence des médias, tandis que le cas de Leopoldo Lopez est présenté comme celui d’un prisonnier politique. Le regretté écrivain uruguayen Eduardo Galeano aurait décrit cette situation comme "le monde à l’envers"

Après deux années particulièrement difficiles sur le plan social et économique en raison du modèle rentier du pays qui lui fait dépendre des prix du baril de pétrole ; de la chute depuis un an du prix du baril de 100 à moins de 40 dollars ; du phénomène de stockage massif des denrées alimentaires par les grands distributeurs, entraînant des queues pour les aliments fournis par le gouvernement ; des campagnes de désinformation médiatiques visant à déstabiliser le pays ; et des tentatives de déstabilisation telles que le décret Obama, on constate une ingérence permanente du capitalisme et de la droite internationale face à laquelle le peuple a exprimé son mécontentement avec son vote.

Il est digne de souligner qu’une fois les résultats connus, cette fois-ci l’opposition de la MUD (Mesa de Unidad Democratica), n’a pas dénoncé la fraude dans le système électoral. Les sympathisants avec le processus bolivarien affrontent une année 2016 très compliquée avec l’impossibilité de gouverner, de provoquer la démission des ministres de la majorité, allant jusqu’à la quasi certitude du recours à un référendum révocatoire contre le président Maduro.

La guerre économique et médiatique ont sans doute joué un rôle essentiel dans l’orientation du vote, mais l’écart dans les résultats (107 députés pour l’opposition et 55 pour le PSUV) met en évidence aussi une gestion insuffisante à plusieurs niveaux par le gouvernement. Les voix critiques et constructives devront être écoutés pour que les différentes composantes et forces politiques rassemblées dans le GPP Gran Polo Patriotico, coalition de la majorité, restent unies et le processus bolivarien assure sa continuité dans des circonstances extrêmement adverses.

Alex Anfruns

Envoyé spécial d’Investig’Action à Caracas

Partager cet article
Repost0
21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 20:03
église orthodoxe

Un important débat est en cours en Russie depuis l’imposition des sanctions financières occidentales aux  banques et aux sociétés russes en 2014. Il fait suite à une proposition présentée par le Patriarcat de Moscou de l’Église orthodoxe. La proposition, qui ressemble à bien des égards aux modèles bancaires islamiques sans intérêts, a été dévoilée la première fois en décembre 2014, face à la profondeur de la crise du rouble et au prix du pétrole en chute libre. Depuis août, l’idée a reçu un énorme coup de pouce avec l’approbation de la Chambre de commerce et d’industrie de Russie. Elle pourrait changer l’histoire pour le meilleur selon ce qui en sera fait et où elle conduit.

Il y a vingt ans, pendant l’ère Eltsine, dans le chaos de l’hyperinflation en Russie suite à la thérapie de choc du FMI, l’Église orthodoxe russe a présenté une proposition alternative pour des services bancaires sans intérêts. Pendant cette période, une tripotée d’économistes russes libéraux, adeptes du marché libre, dans l’entourage de Eltsine, comme Yegor Gaider, ont prévalu. Ils ont livré les actifs de l’État russe au pillage par les banques occidentales, les hedge funds et les corporations.

Lors de ma première visite en Russie, en mai 1994, pour donner une conférence dans un institut économique russe sur la thérapie de choc du FMI, j’ai vu de première main la mafia sans foi ni loi, la mafia Russkaya, fonçant à travers la rue Tverskaya presque vide, près de la Place Rouge dans la nouvelle limousine Mercedes 600 dernier modèle, sans plaques d’immatriculation. Ce fut un temps dévastateur pour la Russie, et Washington et les technocrates du FMI savaient exactement ce qu’ils faisaient en favorisant le chaos.

Les sanctions américaines concentrent l’attention

En 2014, beaucoup de choses ont changé en Russie. Plus important encore, l’engouement qui existait il y a deux décennies pour tout ce qui venait de l’Amérique a naturellement disparu. Les sanctions financières du Trésor américain ont été lancées par étapes en 2014 contre des individus spécifiques autour du président Poutine, puis des banques et des sociétés ciblées dépendant du crédit étranger. Elles ont eu pour effet de forcer un réexamen critique de la part des intellectuels, des représentants du gouvernement russe et du Kremlin lui-même.

La suite sur Mondialisation.ca

Partager cet article
Repost0
14 décembre 2015 1 14 /12 /décembre /2015 23:08

13 décembre 2015

Michel Collon analyse les résultats des dernières élections au Venezuela et l'avenir de ce pays révolutionnaire



La gauche radicale française a-t-elle soutenu comme il faut la révolution chaviste au Venezuela ? Malheureusement, non, à quelques exceptions près : Maurice Lemoine, Jean Ortiz, Romain Migus, Rémy Herrera, Ignacio Ramonet et quelques autres. Mais globalement, il y a eu peu d’intérêt, peu de compréhension de ce qui se jouait là. Et guère de solidarité concrète alors que ce peuple en avait grand besoin, soumis aux attaques incessantes de l’Empire US.

C’est donc aussi l’heure des bilans et examens de conscience : laisserons-nous cet Empire US (et notre Europe complice) saboter et détruire un par un tous les pays qui résistent ? A qui le tour ? Bolivie, Equateur et Nicaragua recevront-ils davantage de soutien ?

La première solidarité sera d’essayer de comprendre cette révolution, ses formidables espoirs et ses points faibles. Sans jouer les prétentieux : le véritable bilan ne peut être établi que par les militants vénézuéliens. Et pour avoir beaucoup visité ce pays, je peux attester que le débat politique y est très vivant.

D’un côté, la révolution a apporté des résultats spectaculaires : éliminant l’analphabétisme, apportant des soins de santé et une éducation à chaque Vénézuélien, qu’il habite dans les quartiers pauvres de Caracas, au fin fond de l’Amazonie ou tout en haut de la Cordillère des Andes. Des progrès impressionnants pour l’alimentation des enfants, l’espérance de vie, la distribution d’eau potable, la connexion à l’égout, la réduction du chômage (hommes et femmes). Quiconque a visité le pays a pu le constater. L’Etat avait récupéré le contrôle du pétrole et ces revenus servaient non plus à enrichir les riches mais à réduire l’extrême pauvreté : de plus de moitié en dix ans. N’oublions jamais que l’élite qui aujourd’hui jubile à Caracas, c’est elle qui avait maintenu cette extrême pauvreté pendant que le pétrole alimentait ses comptes en banque.

De l’autre côté, la récente victoire électorale de l’opposition montre des points faibles tout aussi importants qui ont bloqué la révolution et provoqué le découragement d’une partie du peuple. Dans mon livre Les 7 Péchés d’Hugo Chavez, j’avais pointé trois faiblesses : 1. Le poids économique toujours décisif de la grande bourgeoisie liée aux USA. 2. Le poids médiatique toujours décisif de cette même grande bourgeoisie. 3. Une nouvelle corruption au sein de la révolution. Une étude toute récente d’André Crespin, Où en est le Venezuela après dix-sept ans de « socialisme du 21e siècle ? » actualise l’analyse de façon remarquable (Etudes marxistes, Bruxelles, décembre 2015, p. 77).

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents