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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
10 décembre 2022 6 10 /12 /décembre /2022 23:39
Le lieutenant Salvatore Buzzurro, instructeur militaire du programme ACOTA (Africa Contingency Operations Training & Assistance) de l’armée américaine en Afrique, donne des conseils à des soldats des forces armées de Sierra Leone concernant des techniques de déplacement. L’armée sierra-léonaise s’entraîne avec le programme ACOTA depuis deux ans, et il s’agit de la cinquième compagnie qui se prépare à sa mission de maintien de la paix dans un autre pays. Photo par US Army Africa.

Le lieutenant Salvatore Buzzurro, instructeur militaire du programme ACOTA (Africa Contingency Operations Training & Assistance) de l’armée américaine en Afrique, donne des conseils à des soldats des forces armées de Sierra Leone concernant des techniques de déplacement. L’armée sierra-léonaise s’entraîne avec le programme ACOTA depuis deux ans, et il s’agit de la cinquième compagnie qui se prépare à sa mission de maintien de la paix dans un autre pays. Photo par US Army Africa.

Un nouveau rapport révèle que le ministère de la Défense utilise des programmes de « coopération en matière de sécurité » pour mener des « guerres secrètes » et recommande au Congrès d’y mettre un frein.

Source : Responsible Statecraft, Jim Lobe
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises

Selon un nouveau rapport important publié la semaine dernière par le Brennan Center for Justice de la faculté de droit de l’université de New York, les forces armées américaines ont été engagées dans des hostilités non autorisées dans beaucoup plus de pays que ce que le Pentagone a révélé au Congrès, sans parler du public.

« L’Afghanistan, l’Irak, peut-être la Libye. Si vous demandiez à l’Américain moyen où les États-Unis ont fait la guerre au cours des deux dernières décennies, vous obtiendriez probablement cette courte liste », selon le rapport intitulé Secret War : How the U.S. Uses Partnerships and Proxy Forces to Wage War Under the Radar [Guerre secrète : comment les USA utilisent leurs forces partenaires et supplétives pour mener la guerre en passant sous les radars, NdT]. « Mais cette liste est inexacte – il manque au moins 17 pays dans lesquels les États-Unis se sont engagés dans un conflit armé par le biais de forces terrestres, de forces par procuration ou de frappes aériennes. »

« Cette multiplication des guerres clandestine est un phénomène relativement récent, et il est antidémocratique et dangereux », a écrit l’auteure du rapport, Katherine Yon Ebright, dans l’introduction. « Le fait de mener des hostilités non déclarées dans des pays non répertoriés contrevient à notre constitution. C’est une invitation à une escalade militaire qui est non prévisible aux yeux du public, du Congrès et même des diplomates en charge des relations extérieures des États-Unis. »

Le rapport de 39 pages se concentre sur les programmes dits de « coopération en matière de sécurité » autorisés par le Congrès en vertu de l’autorisation de recours à la force militaire de 2001, ou AUMF (Authorization for Use of Military Force), contre certains groupes terroristes. L’un de ces programmes, connu sous le nom de Section 127e, autorise le ministère de la Défense à « fournir un soutien aux forces étrangères, aux forces irrégulières, aux groupes ou aux individus engagés dans le soutien ou la facilitation des opérations militaires en cours autorisées par les forces d’opérations spéciales des États-Unis pour combattre le terrorisme. » [...]

La suite sur le site "Les Crises" :

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