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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
3 juillet 2016 7 03 /07 /juillet /2016 13:43

Congés payés : quand Le Figaro et le comité des Forges tournaient leur regard vers Hitler!

Publié le par FSC

Congés payés : quand Le Figaro et le comité des Forges tournaient leur regard vers Hitler!

Aujourd'hui les héritiers du Figaro de 1936 "se contentent" de tirer à boulets rouges sur les galeux de grévistes, ces bloqueurs invétérés et de mettre en valeur les casseurs au détriment de la masse des manifestants pacifiques;

En quelque sorte une autre manière de mentir à l'opinion.

La continuité du Figaro et de la grande presse en général aux mains de quelques milliardaires c'est leur haine de classe contre les travailleurs qui les conduit à tourner le dos à la démocratie et à justifier toutes les manipulations comme celles auxquelles nous assistons en ce moment!

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Source des citations :

https://www.facebook.com/daniel.sondagromancier/posts/318332501693837

Et l'article sur Initiative Communiste l'article de Yves Letoureur :

http://www.initiative-communiste.fr/articles/billet-rouge-2/congs-pays-par-yves-letourneur-80me-anniversaire-du-front-populaire/

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1936

 

Entrée en vigueur le 31 mai, la loi sur les congés payés s'applique à partir du 2 juin 1936 en France, comme en Belgique.

Jusque-là, si le patron prenait des congés, il fermait l'entreprise et plaçait son personnel en chômage technique sans salaire. Dorénavant ceux qui peuvent compter un an dans l'entreprise (du 1er juin de l'année précédente), obtiennent automatiquement les congés payés. Pour certains ouvriers ce sont les premières vacances qu'ils prennent de leur vie.

La Fédération des Industries publie des pleines pages de publicité contre cette loi « communiste », qui marque

« le début d'une catastrophe économique sans précédent pour la France. Les congés payés feront plus de dégâts à l'industrie et l'artisanat que les destructions de la Grande Guerre. Dans trois ans, la France sera ruinée ! ».

 

Saint-Sauveur, du Comité des Forges écrit dans Le Figaro :

« Nous devons tourner nos regards vers l'Allemagne de Monsieur Hitler, vers l'Italie de Mussolini pour voir comment il faut traiter la question sociale. »

Trois ans plus tard, la France était en effet ruinée, pas à cause des congés payés, mais d'Hitler et Mussolini.

 

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1 juillet 2016 5 01 /07 /juillet /2016 16:30
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29 juin 2016 3 29 /06 /juin /2016 14:41
Mis en ligne par El Diablo
source photo :dobetternissan.org

source photo :dobetternissan.org

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28 juin 2016 2 28 /06 /juin /2016 21:42

Publié le 28 Juin 2016 par Canaille Le Rouge sur son site

Nouveau pas

dans l'intimidation

et

le muselage des libertéq

à Paris 

 

Urgence : Valls-Serol se la joue Belin

Intimidation et entrave à l’activité syndicale
Communiqué de presse UD CGT Paris.


En cette fin de matinée, plus de 15 cars de CRS se sont placés Place de la République. Les CRS se sont déployés autour de la Bourse du travail.


L’objet de cette intervention policière : contrôler les syndiqué.e.s et toute personne qui quitte la Bourse du Travail 3 rue Château d’Eau. Ce contrôle inclut les fouilles au corps – comme s’il s’agissait de délinquants !


Nous ne savons absolument pas sur quels prétextes ces contrôles et fouilles ont été effectués.


De nombreux syndicats ont leurs bureaux dans ce lieu au sein duquel se tiennent des réunions au quotidien.


La seule hypothèse que nous pouvons faire c’est que l’intervention policière vise à empêcher des militants de se rendre à la manifestation contre la loi El Khomri qui part à 14h de place de la Bastille.


Cette intervention policière est inacceptable. L’Union départementale CGT Paris dénonce une entrave à l’activité syndicale et insiste sur la nécessité de mettre fin immédiatement à de telles procédures.


La CGT exige également l'arrêt immédiat de toute fouille et entrave à la sortie de la Bourse du travail.


Paris, le 28 juin 2016

Canaille le Rouge attend avec imapatience la prise de position de l'Hôtel de Ville de Paris, du bureau municipal et de tous les adjoints à la maire de Paris qui sont garants de la liberté d'accès et de sortie de la BdT et des libertés démocratiques à Paris. 

Quel opinion ont-ils des provocations organisées sur ordre suupérieur par le Prefet dfe police ? 

Nous ajoutons ici ce témoignage posté sur notre blog sous le texte appelant à la manifestation parisienne.

çabloque : Aujourd'hui Paris semblait être en état de siège.Le dispositif policier mis en place contre les manifestants ( # terroristes)est totalement disproportionné et inadapté aux risques (casseurs). Le gouvernement a donc dans le viseur les manifestants pacifiques clairement opposés à une loi qui impose la précarité du travail.Cela est INACCEPTABLE.La France ne doit pas devenir un pays autoritaire,la France doit rester un pays démocratique. Cela ne tient qu'à nous de le dire haut & fort. Bravo au mouvement syndical qui a su montrer une hauteur de vue et un sens de l'intérêt commun qui font cruellement défaut à un gouvernement désormais aux abois.

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28 juin 2016 2 28 /06 /juin /2016 13:59
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27 juin 2016 1 27 /06 /juin /2016 02:45

AUTOMOBILE Des syndicalistes américains vont manifester ce mardi devant le siège du groupe automobile français…

Carlos Ghosn à Tokyo en 2015.

Carlos Ghosn à Tokyo en 2015. - Shuji Kajiyama/AP/SIP

  • Publié le

Le constructeur automobile français Renault-Nissan est en pleine tourmente. Il est accusé, outre-Atlantique, de bafouer les libertés syndicales dans la plus importante usine Nissan des Etats-UnisDes syndicalistes américains s’apprêtent d’ailleurs à manifester ce mardi devant le siège de Renault en France pour dénoncer ces pratiques « antisyndicales », révèle Le Parisien.

Une délégation de l’UAW (United Auto Workers), l’un des principaux syndicats de la branche automobile aux Etats-Unis, espère pouvoir s’entretenir avec le PDG Carlos Ghosn, qui sera présent ce mardi au comité de groupe de Renault qui se tiendra à Boulogne-Billancourt.

Des intimidations

« Nous n’avons jamais pu dialoguer avec la direction de Nissan. Ils n’ont cherché qu’à intimider les salariés de l’usine, à les déstabiliser, n’hésitant pas à faire du chantage à l’emploi, leur faisant croire que si un syndicat venait à se créer au sein de l’usine cela la mettrait en danger », explique au Parisien Richard Bensinger, porte-parole de l’UAW.

>> A lire aussi : Carlos Ghosn a perçu 16,5 millions d’euros de rémunération totale en 2015

Depuis l’ouverture en 2003 de l’usine Nissan de Canton (Mississippi), où travaillent quelque 5.000 salariés, le constructeur automobile s’est clairement prononcé contre l’implantation d’un syndicat, et notamment de l’UAW. Pour cela, la direction use de tous les moyens pour intimider les salariés, et joue également sur le droit américain. Aux Etats-Unis, l’implantation syndicale n’est pas garantie par la loi mais il est nécessaire, en revanche, que 30 % des salariés d’une entreprise se déclarent en faveur de la création d’une section syndicale.

35 députés français interpellent Carlos Ghosn (à défaut de défendre les droits des salariés en France, Bruno Le Roux et Vincent Peillon les défendent outre-Atlantique.  C'est parce que les socialistes en France promeuvent la loi contre le travail en France que Carlos Ghosn se permet d'agir ainsi aux Etats-Unis alors que l'Etat français est actionnaire du groupe.  Comment appelle-t-on ce genre d'individus ?  des hypocrites ou des faux-culs ? Pousseront-ils la comédie jusqu'à être présents aux côtés des syndicalistes américains devant le siège de Renault à Boulogne-Billancourt ?  AC.)

Les syndicalistes américains sont soutenus par les fédérations françaises de la métallurgie de la CFDT, la CGT, FO et de la CFE-CGC.

Plusieurs députés français ont par ailleurs adressé la semaine dernière au patron de Renault-Nissan une lettre dénonçant les pressions de la direction sur les salariés. « Nous exigeons que l’alliance Renault-Nissan permette aux salariés américains d’organiser des élections syndicales libres, non faussées et dégagées de toute pression de la direction », ont notamment écrit Bruno Le Roux, président du groupe socialiste, Cécile Duflot et Noël Mamère, députés écologistes et Vincent Peillon, eurodéputé socialiste.

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25 juin 2016 6 25 /06 /juin /2016 17:15

Vous avez dit démocratie sociale? licencié par une succursale de Renault pour avoir proposé "Merci patron"

Publié le par FSC

Vous avez dit démocratie sociale? licencié par une succursale de Renault pour avoir proposé "Merci patron"

Une nouvelle preuve s'il en fallait que le rapport salarial est un rapport de subordination et que l'arbitraire patronal sévit!

ce que la loi travail feint d'ignorer hypocrytement pour livrer encore plus les travailleurs à cet arbitraire.

Une raison de plus de poursuivre la lutte pour les droits des salariés et le retrait de cette loi!

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Source de l'information : France 3 Régions

Licencié après avoir proposé la diffusion de "Merci patron !"

En mars dernier un ingénieur dinanais envoie un mail aux syndicats de Renault pour faire la promotion de "Merci Patron !", le film de François Ruffin. Le lendemain il est mis à pied par son entreprise, sous traitante du constructeur automobile.

Henri (prénom modifié), un ingénieur originaire de Dinan, travaillait depuis dix ans pour des entreprises prestataires de Renault. Depuis deux ans il exerçait ses responsabilités au sein du technocentre Renault de Guyancourt, le plus grand centre de recherche et développement en France. Jusque là tout va bien. Mais Henri sur son temps libre est aussi bénévole pour le journal alternatif Fakir.
 

Licencié pour avoir proposé la projection gratuite de "Merci Patron ! "

Le 15 mars dernier il envoie une dizaine de mails à différents syndicats de Renault pour leur proposer une diffusion gratuite du film. Un courrier électronique envoyé depuis chez lui et depuis son ordinateur personnel. Pourtant le lendemain matin le patron d'Henri l'appelle. Renault a transmis son mail et exige qu'Henri quitte le site. A 15h il est convoqué pour un entretien et est mis à pied. Henri enregistre cet échange avec son directeur pour "être sûr de ce qu'il allait entendre" :

"Ils surveillent... ils surveillent les mails des syndicalistes"  lance le PDG, et de conclure "tu as fait une grosse bêtise".


Le PDG lui annonce alors son intention de le licencier. "J'étais scié " raconte Henri à nos confrères du Télégramme. La toile s'empare de l'affaire en pleine saison des nuits debout Henri décide de ne pas se laisser faire et raconte ses déboires aux journalistes de Fakir. Il leur confie également l'enregistrement de l'échange avec son employeur. La publication de son témoignage fait immédiatement le buzz. Cette vilaine publicité deviendra la faute invoquée pour justifier son licenciement lors de son entretien préalable.

 

La liberté d'expression bafouée ?

Comment Renault a pu être informé de ce mail ? Les journalistes de Fakir et Mediapart s'interrogent et publient différents articles. L'affaire prend une toute autre ampleur.... Pour l'avocate d'Henri, Maître Dufresne Castets (également avocate de la CGT Renault) Henri est un lanceur d'alerte et le motif de son licenciement est un prétexte. Bien embarrassé, Renault se défend de surveiller les messageries des syndicalistes mais affirme que les messageries professionnelles ne doivent pas être utilisées à but promotionnel. Et d'ajouter "c'est un contentieux entre ce monsieur et son employeur".

L'affaire sera jugée en référé le vendredi 1er juillet. Délibéré attendu quinze jours plus tard.

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25 juin 2016 6 25 /06 /juin /2016 14:58

Lu sur le blog de l'UL CGT Dieppe 

22 juin 2016

Lettre ouverte à Monsieur Valls Premier Ministre
Lettre ouverte à Monsieur Valls, Premier Ministre

Lettre ouverte de l'intersyndicale départementale et dieppoise: CGT, FO, SUD-Solidaire, FSU, UNEF, FIDL.

Monsieur le Premier Ministre,

Vous venez en Seine Maritime ce dimanche 26 juin à Belleville sur Mer pour le banquet de Mme la Députée Le Vern.

Nous souhaitons à cette occasion vous rencontrer.

Ces 4 derniers mois, les salariés, les jeunes, les retraités de Seine Maritime, ont montré avec force, d’une part leur exigence à ce que la loi Dumping Social (= loi travail) soit retirée, et d’autre part, leur volonté de défendre le Code du travail et aussi le maintien de la hiérarchie des normes telles qu’elles sont actuellement.

Cette volonté, très majoritaire, s’est exprimée et continue de s’exprimer par des grèves, des manifestations, des blocages ou des votations citoyennes.

Nous avons lu vos propos récents qui envisagent d’interdire les manifestations. Pourtant il a difficilement pu échapper à vos services de renseignement que les organisations syndicales n’ont rien à voir avec des dégradations commises en dehors des manifestations.

Pourquoi ces amalgames ?

Nous profiterons aussi de votre présence pour connaitre les raisons pour lesquelles vous avez donné, aux forces de polices, l’ordre de gazer des manifestants qui rejoignaient pacifiquement leurs bus, notamment nos camarades venus de Seine Maritime, à Paris le 14 juin ?

Nous viendrons à votre rencontre, à Belleville sur Mer, ce dimanche 26 juin, afin de vous remettre les votations recueillies auprès des salariés et de la population de Seine Maritime concernant le Retrait de la loi travail et vous confirmer notre attachement aux libertés syndicales et au droit à manifester.

Nous sommes convaincus que la volonté de la majorité pourra se faire entendre.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre nos salutations syndicales.

 

RENDEZ-VOUS DIMANCHE À 11H00 SUR LE PARKING DU LIDL À NEUVILLE LES DIEPPE

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23 juin 2016 4 23 /06 /juin /2016 09:59

par ·

La manifestation du 23 juin aura finalement lieu : c’est une victoire contre l’entêtement malsain du gouvernement, contre sa dérive autoritaire et anti-démocratique. C’est une victoire de la liberté d’expression. Mais son parcours – de la Bastille à l’Arsenal et retour – accumule les risques de heurts violents avec la police. La décision prise par le préfet de police est donc grosse de risques. Le gouvernement prend la responsabilité de désordres dont les conséquences sont potentiellement graves. Il sera donc pleinement et totalement responsable du déroulement de cette manifestation.

Une gestion calamiteuse

Ce gouvernement a géré de manière particulièrement lamentable ce problème. On aurait pu comprendre, dans une situation tendue et avec un risque terroriste élevé, que TOUTES les manifestations publiques, et ceci inclut aussi les compétitions sportives, soient interdites. Cela impliquait néanmoins que ce gouvernement ait été en mesure de prouver qu’existait un risque grave, immédiat, et particulier sur ces manifestations. Mais l’interdiction des seules manifestations syndicales révèle à ce point la volonté cachée du gouvernement, imposer à tout prix le vote de la loi El Khomri, qu’elle en devient odieuse et constitue une atteinte évidente à la liberté de manifester.

La décision initialement prise mardi après-midi était bien l’interdiction. Ce geste inouï était sans équivalent depuis la guerre d’Algérie. Devant la fronde justifiée des organisations syndicales, les protestations de la Ligue des Droits de l’Homme, et la condamnation d’une large part de la classe politique, ce gouvernent à dû reculer. Il l’a fait dans la honte et la dissimulation, en se refusant d’assumer ses propres décisions et en en faisant porter la responsabilité au seul Préfet. Quel spectacle donc nous donne ce gouvernement et ce Président qui se déchargent de leurs responsabilités sur un simple exécutant. La politique du lampiste a certes des précédents dans notre pays. Du moins était-elle jusqu’à présent usée à posteriori. La création d’un lampiste a-priori est une innovation dont on aurait aimé se passer tant elle est honteuse.

Souveraineté et crise de nerf

Alors que les sondages confirment qu’une majorité de français rejette cette loi El Khomri, le gouvernement s’entête. Au-delà les postures, les attitudes caractérielles et les crises de nerf, cela révèle un problème évident : ce gouvernement n’a aucune marge de manœuvre. Il « veut » cette loi car elle est exigée par l’Union européenne qui n’aura de cesse que d’imposer son système de normes et son austérité. Il « veut » cette loi car il espère en échange obtenir un accommodement quant à l’ampleur du déficit public de la part de la commission de Bruxelles. Il « veut » cette loi car il n’est, en cette occurrence que le simple exécutant de mesures décidées à l’étranger et que cela ferait mauvais genre s’il devait expliquer à ses maîtres qu’il est dans l’incapacité de tenir ce à quoi il s’est engagé.

Nous sommes effectivement tombés bien bas. La déclaration des Droits de l’Homme de 1789 stipule que la « souveraineté réside principalement dans la Nation ». Il est cruel qu’elle ait été gravée sur les murs de l’hôtel Matignon, résidence du Premier-ministre. Ce dernier a donc en permanence sous les yeux le rappel de son indignité. Dans « Le Roi s’amuse », Victor Hugo fait dire à Triboulet, « quand on n’a plus d’honneur, on n’a plus de famille ». Nous constatons, quant à nous que quand on n’a plus de souveraineté, la démocratie se défait. Les comportements les plus autoritaires se donnent libre cours quand on n’a plus d’autorité.

Une démission nécessaire

La leçon que l’on peut tirer de tout cela, et en formant les espoirs les plus vifs pour qu’aucun incident grave ne vienne marquer la manifestation de demain, c’est que Manuel Valls doit démissionner. S’il ne lui restait au sein de son ambition et de sa folie du pouvoir qu’une once d’honneur et de raison, il aurait déjà dû le faire. Il aurait dû prendre acte du fait que sa politique est minoritaire et que les méthodes qu’il emploie divisent profondément les français. Dans ces conditions, on ne peut plus gouverner. Mais, puisque chez lui l’hubrys de l’ambition a tout recouvert, il doit être rappelé à la raison, sous peine d’entraîner dans sa chute l’ensemble du gouvernement et le Président, et au-delà la Nation toute entière. Nous sommes aujourd’hui dans une crise sociale et politique grave. Nous pourrions être, dès demain, dans une crise de régime.

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19 juin 2016 7 19 /06 /juin /2016 16:07
SELON QUE VOUS SEREZ PUISSANT - VALLS VOUS SERVIRA COMPLAISAMMENT

SELON QUE VOUS SEREZ PUISSANT - VALLS VOUS SERVIRA COMPLAISAMMENT

OU MISERABLE - VALLS VOUS SORTIRA 49-3 ET MATRAQUE -

OU MISERABLE - VALLS VOUS SORTIRA 49-3 ET MATRAQUE -

Lu sur El Diablo

19 juin 2016 – Valls confirme qu’il veut aller « jusqu’au bout » de la loi El Khomri : « il n’y aura ni retrait du texte, ni modification de sa philosophie, ni réécriture des articles qui en constituent le cœur ». Dans une interview au Journal du Dimanche (JDD), il rappelle qu’il a décidé d’interdire les manifestations qui exigent le retrait de cette loi, en prétendant que « compte tenu de la situation, des violences qui ont eu lieu, de l’attentat odieux contre le couple de policiers, mais aussi de l’organisation de l’Euro, les organisateurs devraient annuler d’eux-mêmes ces rassemblements ». Tout en soulignant que « le principe de notre droit, c’est la liberté de manifester », il annonce qu’ « il y aura dans les prochains jours des discussions entre la Préfecture de police de Paris et les organisateurs pour voir si les conditions sont réunies pour qu’un rassemblement se tienne ».

SOURCE :

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A la Une de la Tribune des Travailleurs du 15 juin 2016 Informations développées, analyses détaillées et prises de position politiques dans La Tribune des travailleurs ABONNEZ-VOUS Cliquez sur ...

https://latribunedestravailleurs.fr/

 

Valls avec Juncker « le donneur d’ordres » de la commission européenne

LIEN VERS L'INTERVIEW AU JDD CI-DESSOUS: 

EXCLUSIF. Primaire, terrorisme, manifestations... Valls se confie au JDD - leJDD.fr

EXCLUSIF. Primaire, terrorisme, manifestations... Valls se confie au JDD - leJDD.fr

A paraitre dans leJDD Manuel Valls samedi à l'Hôtel de Matignon. (Eric Dessons/JDD) Il y aura finalement une primaire à laquelle pourrait participer François Hollande, c'est une bonne nouvelle?...

http://www.lejdd.fr/Politique/EXCLUSIF-Primaire-terrorisme-manifestations-Valls-se-confie-au-JDD-791603

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