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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
22 janvier 2025 3 22 /01 /janvier /2025 17:17
Nouvelles inquiétudes de Bruxelles après la réélection triomphale du président croate

Le 12 janvier, le président croate a été triomphalement reconduit dans ses fonctions à l’issue du second tour où il a rassemblé 74,7% des suffrages. Lors du premier tour, Zoran Milanovic avait frôlé la victoire en obtenant 49,1%, alors qu’il y a cinq ans, il avait d’abord dû se contenter de 29,5% des suffrages, puis avait finalement gagné de justesse (52,7%).

Jamais la Croatie, un pays de 3,8 millions d’habitants issu de l’éclatement de la Yougoslavie, n’avait élu un chef de l’Etat avec un tel score. M. Milanovic, qui fut premier ministre social-démocrate de 2011 à 2016, était soutenu par une coalition incluant son ancien parti, mais a forgé sa popularité par une tonalité que ses adversaires dénoncent comme « populiste ». Certains le surnomment même « le Trump des Balkans ».

[...]

Le HDZ (droite) au pouvoir essuie donc un nouveau revers après avoir reculé de 4,1 points (34,4%) aux élections législatives d’avril dernier. [...]  C’est le HDZ qui a engagé la Croatie dans la voie de l’UE à laquelle elle a été le dernier pays à adhérer, en 2013.  M. Plenkovic, qui dirige le gouvernement depuis 2016, est donc un fervent défenseur de l’intégration européenne et de l’OTAN.  [...]

Mais ce n’est pas le franc-parler souvent provocateur du président Milanovic qui hérisse le gouvernement et la majorité de droite, mais plutôt ses prises de position très critiques vis-à-vis de Bruxelles ; il dénonce ainsi la Commission européenne comme « autocratique et non représentative ». Surtout, son refus que le pays soit embarqué dans le soutien militaire à Kiev amène nombre d’électeurs à apprécier son rôle de contrepoids. [...]

Lire l'intégralité en s'abonnant ... ici :

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22 janvier 2025 3 22 /01 /janvier /2025 16:24

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21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 14:26

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21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 11:54

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21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 11:52

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21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 10:01
1 : Les résultats des législatives de 2024 en Autriche - 2 : Le chef du FPÖ, Herbert Kickl, quitte le bureau présidentiel, à Vienne, Autriche, lundi 6 janvier 2025. © AP Photo/Heinz-Peter Bader1 : Les résultats des législatives de 2024 en Autriche - 2 : Le chef du FPÖ, Herbert Kickl, quitte le bureau présidentiel, à Vienne, Autriche, lundi 6 janvier 2025. © AP Photo/Heinz-Peter Bader

1 : Les résultats des législatives de 2024 en Autriche - 2 : Le chef du FPÖ, Herbert Kickl, quitte le bureau présidentiel, à Vienne, Autriche, lundi 6 janvier 2025. © AP Photo/Heinz-Peter Bader

C’est désormais au tour de l’Autriche de donner des sueurs froides aux dirigeants européens. Le petit pays alpin fait partie de la dizaine d’Etats membres de l’UE qui connaissent une crise politique ouverte ou larvée – c’est le cas de la France, de l’Allemagne, de la Belgique, mais aussi des Pays-Bas, de l’Espagne, ainsi que de la Roumanie, de la Bulgarie, notamment.

Les événements viennent de se précipiter à Vienne en ce début d’année. Pour en mesurer l’importance, il faut remonter trois mois en arrière. Le 29 septembre dernier, les citoyens autrichiens avaient provoqué un véritable tremblement de terre électoral en accordant au FPÖ, généralement classé à l’extrême droite, la première place avec 28,9% des voix, un bond de 12,7 points par rapport à 2019, soit le plus fort résultat depuis sa fondation en 1955. Il améliorait même son score des élections européennes du 9 juin dernier, où il avait déjà triomphé avec 25,4%.

Ce parti avait fait campagne sur trois thèmes. D’abord la lutte contre l’immigration. Il était question de supprimer le droit d’asile, de stopper le regroupement familial, et de « remigration ». Ces propositions ont trouvé un écho significatif dans un pays qui a accueilli, en une décennie, la plus forte proportion de réfugiés par rapport à sa population, par comparaison avec les autres pays européens.

Le FPÖ avait également surfé sur un deuxième sujet d’inquiétude et de mécontentement : la situation économique du pays. De nombreux électeurs ont exprimé leur colère face à un chômage en hausse (5,3% selon les chiffres officiels pour 2024), à une inflation ayant atteint 7,7% en 2023, et à une croissance en berne.

Enfin, beaucoup d’électeurs ont été sensibles à un troisième thème majeur du FPÖ : l’exigence de rétablir des relations apaisées avec la Russie, permettant notamment la poursuite de l’importation de gaz de ce pays.

Mais il ne s’agissait pas seulement d’économie. Le chef du parti, Herbert Kickl (photo, à droite, en compagnie du chef de l’Etat qui avait pourtant juré de ne jamais lui confier de mandat), a insisté sur un point cher à de très nombreux Autrichiens : maintenir, ou rétablir, la traditionnelle neutralité du pays. Il a aussi attribué à l’UE et à l’OTAN la responsabilité de la guerre en Ukraine, et a qualifié la politique de ces organisations de « désastreuse, hypocrite » et porteuse d’une dangereuse « escalade ». Il a en outre plaidé pour stopper le transit par l’Autriche d’armes en provenance d’autres pays de l’UE vers l’Ukraine. Il a enfin insisté pour que cette dernière ne devienne jamais membre de l’OTAN. [...]

Pour s'abonner : sur le site de Ruptures

Pour compléter ...

 

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21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 09:59

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20 janvier 2025 1 20 /01 /janvier /2025 15:25

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20 janvier 2025 1 20 /01 /janvier /2025 14:32
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20 janvier 2025 1 20 /01 /janvier /2025 14:23

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