Overblog Tous les blogs Top blogs Politique Tous les blogs Politique
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
MENU

ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

Rechercher

Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
7 octobre 2025 2 07 /10 /octobre /2025 14:39

C’était, paraît-il, un événement « très attendu ». C’est en tout cas ainsi que la présentatrice du journal télévisé d’Arte a commenté, sans rire, la prise de parole d’Ursula von der Leyen devant le parlement européen, le 10 septembre. Il s’agissait du traditionnel « Discours sur l’état de l’Union » (« SOTEU » pour les intimes, selon l’acronyme anglais).

Cette habitude, jadis instituée par la Commission européenne, était en fait née par imitation directe de la pratique en vogue outre-Atlantique, où le président des Etats-Unis s’adresse annuellement aux membres du Congrès. C’était l’époque où d’aucuns rêvaient encore des « Etats-Unis d’Europe », et où Washington représentait un modèle incontesté.

La prestation de la présidente de la Commission européenne devant l’hémicycle de Strasbourg fut en réalité, comme toujours, un non-événement, sauf pour la petite bulle bruxelloise. Sans surprise, il y fut question d’« indépendance de l’Europe », de compétitivité, de « technologies numériques et propres », d’intelligence artificielle, de « start-up innovantes » et de « gigafactories », de l’association entre financements publics européens et privés, de l’achèvement du marché unique, de batteries électriques et d’objectifs climatiques.

Le tout accompagné d’une pincée de « lutte contre la pauvreté », et même de la promesse de « donner plus de pouvoir aux travailleurs »… Mme von der Leyen a en outre consacré de longues minutes à justifier l’accord conclu fin juillet avec Donald Trump sur les droits de douane. « Capitulation » serait un terme plus juste qu’« accord », puisque la Maison-Blanche a fait avaliser la taxation à 15% d’une grande partie des exportations européennes, tandis que les marchandises américaines seront quasiment exonérées de droits. Même de nombreux inconditionnels de Bruxelles reconnaissent et déplorent cette humiliation.

La cheffe de l’exécutif bruxellois a consacré le début de son intervention à l’actualité internationale, plus particulièrement à l’Ukraine et à Gaza. On s’en doute, les deux dossiers ont été traités de manière fort différente. Dans le premier cas ont été magnifiées « la liberté et l’indépendance (pour lesquelles) le peuple ukrainien se bat aujourd’hui », avec des témoignages qui se voulaient poignants face à la « la pluie de bombes russes ».

Pour s'abonner et lire la suite :

Partager cet article
Repost0
18 mai 2025 7 18 /05 /mai /2025 16:42

22 heures le 18 mai 2025

Quelques heures après avoir repris cet article de Ruptures, j'apprends que le candidat de l'Union Européenne l'a emporté avec une participation en hausse aux élections.

Sur les chaînes de la télévision française, le soulagement était palpable.

Aujourd'hui, deuxième tour - Bruxelles sous le choc après le premier tour de la présidentielle en Roumanie… [Ruptures]

Son succès était annoncé. Mais l’ampleur de son triomphe a déstabilisé la classe politique roumaine, et affolé Bruxelles. Lors du premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie (19 millions d’habitants) qui s’est tenu le 4 mai, avec une participation de 53,2%, George Simion a recueilli 41% des suffrages. Non seulement il est arrivé largement en tête, mais son résultat dépasse le cumul des suffrages qui s’étaient portés sur son nom et sur celui de Calin Georgescu le 24 novembre 2024.

Les deux hommes sont catalogués « pro-russes » et d’extrême droite, deux qualificatifs que M. Simion récuse vigoureusement. Quant à M. Georgescu, un quasi inconnu il y a quelques mois encore, il s’était placé en tête du scrutin du 24 novembre dernier à la surprise générale, avec 22,9% des voix. Ce « premier » premier tour avait alors été annulé par la Cour constitutionnelle, et M. Georgescu avait été interdit de nouvelle candidature.

En effet, la Cour, soutenue par le président sortant, Klaus Iohannis, avait argué de « soupçons de manipulations » via le réseau social Tiktok, manipulations qui auraient été pilotées par les services russes. Pour le vote du 4 mai, personne ne parle plus de manipulation ayant faussé le scrutin, et… le résultat est encore pire, du point de vue du pouvoir sortant.

Quelle que soit la réalité des soupçons allégués, cette décision sans précédent effaçant d’un trait de plume les suffrages de millions d’électeurs a été comprise par une large part de l’électorat comme une manœuvre désespérée de la coalition au pouvoir pour éviter que le pays ne bascule dans le camp « anti-occidental ». Une manœuvre qui s’est manifestement retournée contre elle.[...]

Lire la suite et s'abonner sur le site de Ruptures

Partager cet article
Repost0
15 février 2025 6 15 /02 /février /2025 14:27
Europe de la défense ?  Les forces de l'OTAN ...  Blindés américains débarquant en Pologne en 2017 avec 3000 soldats américains ... La Communauté européenne de défense ... Un projet atlantiste financé par les Européens ?
Europe de la défense ?  Les forces de l'OTAN ...  Blindés américains débarquant en Pologne en 2017 avec 3000 soldats américains ... La Communauté européenne de défense ... Un projet atlantiste financé par les Européens ?
Europe de la défense ?  Les forces de l'OTAN ...  Blindés américains débarquant en Pologne en 2017 avec 3000 soldats américains ... La Communauté européenne de défense ... Un projet atlantiste financé par les Européens ?

Europe de la défense ? Les forces de l'OTAN ... Blindés américains débarquant en Pologne en 2017 avec 3000 soldats américains ... La Communauté européenne de défense ... Un projet atlantiste financé par les Européens ?

« L’Europe de la Défense » est un vieux serpent de mer. On peut même en situer l’origine en 1954, avec la tentative de constituer la Communauté européenne de défense (CED). Le projet fut à l’époque heureusement torpillé par le Parlement français, où députés communistes et gaullistes (ainsi que quelques autres) joignirent leurs voix pour mettre en échec cette initiative bénie par Washington dans le contexte de la guerre froide.

Il a fallu trois décennies pour que les dirigeants européens essayent de lever à nouveau le tabou. A partir des années 1990, divers projets ont été conçus – comme les groupements tactiques multinationaux (début des années 2000) – mais sans jamais se concrétiser, du fait de l’absence de consensus politique parmi les Etats membres.

A vrai dire, la plupart des dirigeants européens ont fini par se convaincre que l’horizon d’une armée unique intégrée était totalement inatteignable. Leur idée est plutôt de tenter de rapprocher les cultures stratégiques (qui diffèrent complètement d’un pays à l’autre) ; et surtout de mettre l’accent sur la convergence des industries militaires nationales, notamment par le financement communautaire d’achats conjoints. L’argument régulièrement employé pointe la diversité et l’incompatibilité des matériels, et donc l’absence d’économies d’échelle dont souffrirait la production d’armes et de matériels sur le Vieux continent.

Mais deux événements récents ont contribué à la fébrilité et au sentiment d’urgence mis désormais en avant par les partisans de l’intégration européenne : la guerre en Ukraine, et le retour de Donald Trump à la Maison Blanche.

La guerre a donné des ailes aux gouvernements les plus atlantistes. [...]

La suite et l'abonnement sur le site de Ruptures, site progressiste radicalement eurocritique :

Défense : Bruxelles lâche la bride sur les règles budgétaires européennes

La Commission européenne veut assouplir les règles budgétaires pour permettre aux Etats-membres d'augmenter leurs dépenses de défense. L'Italie et la France espèrent qu'un endettement commun suive dans les prochains mois.

Partager cet article
Repost0
22 janvier 2025 3 22 /01 /janvier /2025 17:17
Nouvelles inquiétudes de Bruxelles après la réélection triomphale du président croate

Le 12 janvier, le président croate a été triomphalement reconduit dans ses fonctions à l’issue du second tour où il a rassemblé 74,7% des suffrages. Lors du premier tour, Zoran Milanovic avait frôlé la victoire en obtenant 49,1%, alors qu’il y a cinq ans, il avait d’abord dû se contenter de 29,5% des suffrages, puis avait finalement gagné de justesse (52,7%).

Jamais la Croatie, un pays de 3,8 millions d’habitants issu de l’éclatement de la Yougoslavie, n’avait élu un chef de l’Etat avec un tel score. M. Milanovic, qui fut premier ministre social-démocrate de 2011 à 2016, était soutenu par une coalition incluant son ancien parti, mais a forgé sa popularité par une tonalité que ses adversaires dénoncent comme « populiste ». Certains le surnomment même « le Trump des Balkans ».

[...]

Le HDZ (droite) au pouvoir essuie donc un nouveau revers après avoir reculé de 4,1 points (34,4%) aux élections législatives d’avril dernier. [...]  C’est le HDZ qui a engagé la Croatie dans la voie de l’UE à laquelle elle a été le dernier pays à adhérer, en 2013.  M. Plenkovic, qui dirige le gouvernement depuis 2016, est donc un fervent défenseur de l’intégration européenne et de l’OTAN.  [...]

Mais ce n’est pas le franc-parler souvent provocateur du président Milanovic qui hérisse le gouvernement et la majorité de droite, mais plutôt ses prises de position très critiques vis-à-vis de Bruxelles ; il dénonce ainsi la Commission européenne comme « autocratique et non représentative ». Surtout, son refus que le pays soit embarqué dans le soutien militaire à Kiev amène nombre d’électeurs à apprécier son rôle de contrepoids. [...]

Lire l'intégralité en s'abonnant ... ici :

Partager cet article
Repost0
21 janvier 2025 2 21 /01 /janvier /2025 10:01
1 : Les résultats des législatives de 2024 en Autriche - 2 : Le chef du FPÖ, Herbert Kickl, quitte le bureau présidentiel, à Vienne, Autriche, lundi 6 janvier 2025. © AP Photo/Heinz-Peter Bader1 : Les résultats des législatives de 2024 en Autriche - 2 : Le chef du FPÖ, Herbert Kickl, quitte le bureau présidentiel, à Vienne, Autriche, lundi 6 janvier 2025. © AP Photo/Heinz-Peter Bader

1 : Les résultats des législatives de 2024 en Autriche - 2 : Le chef du FPÖ, Herbert Kickl, quitte le bureau présidentiel, à Vienne, Autriche, lundi 6 janvier 2025. © AP Photo/Heinz-Peter Bader

C’est désormais au tour de l’Autriche de donner des sueurs froides aux dirigeants européens. Le petit pays alpin fait partie de la dizaine d’Etats membres de l’UE qui connaissent une crise politique ouverte ou larvée – c’est le cas de la France, de l’Allemagne, de la Belgique, mais aussi des Pays-Bas, de l’Espagne, ainsi que de la Roumanie, de la Bulgarie, notamment.

Les événements viennent de se précipiter à Vienne en ce début d’année. Pour en mesurer l’importance, il faut remonter trois mois en arrière. Le 29 septembre dernier, les citoyens autrichiens avaient provoqué un véritable tremblement de terre électoral en accordant au FPÖ, généralement classé à l’extrême droite, la première place avec 28,9% des voix, un bond de 12,7 points par rapport à 2019, soit le plus fort résultat depuis sa fondation en 1955. Il améliorait même son score des élections européennes du 9 juin dernier, où il avait déjà triomphé avec 25,4%.

Ce parti avait fait campagne sur trois thèmes. D’abord la lutte contre l’immigration. Il était question de supprimer le droit d’asile, de stopper le regroupement familial, et de « remigration ». Ces propositions ont trouvé un écho significatif dans un pays qui a accueilli, en une décennie, la plus forte proportion de réfugiés par rapport à sa population, par comparaison avec les autres pays européens.

Le FPÖ avait également surfé sur un deuxième sujet d’inquiétude et de mécontentement : la situation économique du pays. De nombreux électeurs ont exprimé leur colère face à un chômage en hausse (5,3% selon les chiffres officiels pour 2024), à une inflation ayant atteint 7,7% en 2023, et à une croissance en berne.

Enfin, beaucoup d’électeurs ont été sensibles à un troisième thème majeur du FPÖ : l’exigence de rétablir des relations apaisées avec la Russie, permettant notamment la poursuite de l’importation de gaz de ce pays.

Mais il ne s’agissait pas seulement d’économie. Le chef du parti, Herbert Kickl (photo, à droite, en compagnie du chef de l’Etat qui avait pourtant juré de ne jamais lui confier de mandat), a insisté sur un point cher à de très nombreux Autrichiens : maintenir, ou rétablir, la traditionnelle neutralité du pays. Il a aussi attribué à l’UE et à l’OTAN la responsabilité de la guerre en Ukraine, et a qualifié la politique de ces organisations de « désastreuse, hypocrite » et porteuse d’une dangereuse « escalade ». Il a en outre plaidé pour stopper le transit par l’Autriche d’armes en provenance d’autres pays de l’UE vers l’Ukraine. Il a enfin insisté pour que cette dernière ne devienne jamais membre de l’OTAN. [...]

Pour s'abonner : sur le site de Ruptures

Pour compléter ...

 

Partager cet article
Repost0
14 janvier 2025 2 14 /01 /janvier /2025 00:00
Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."

Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."

Le Rassemblement national (RN, fréquemment étiqueté extrême droite) a soif de respectabilité. Et il ne s’en cache guère. Il rêve de paraître acceptable vis-à-vis des dirigeants actuels du système politique, système que son discours continue pourtant de dénoncer.

Ce n’est pas tout à fait nouveau. Il y a quelques années déjà, ce parti renonçait à mettre en cause l’euro, alors qu’il avait jadis, en paroles du moins, combattu le principe de la monnaie unique. Les stratèges de Marine Le Pen estimèrent après coup que cette opposition avait contribué à la défaite de cette dernière lors de l’élection présidentielle de 2017.

Ce renoncement avait suivi l’alignement du RN (qui s’appelait alors Front national) sur l’idéologie dominante concernant l’appartenance de la France à l’UE. En réalité, le « Frexit » n’avait jamais fait partie du programme officiel du parti. Mais, en cultivant l’ambiguïté, ses dirigeants tentaient de séduire les électeurs résolument opposés à l’intégration européenne. Ce n’est plus qu’un vieux souvenir… [...]

Pour lire la suite et s'abonner au site de Rupture, cliquez ci-dessous :

Partager cet article
Repost0
28 novembre 2024 4 28 /11 /novembre /2024 17:19
La victoire de Trump plonge les dirigeants de l’UE dans le désarroi… [Ruptures]

Pour eux, ce fut un choc. Les dirigeants européens, réunis à Budapest en deux sommets successifs, respectivement les 7 et 8 novembre, venaient d’apprendre la victoire de Donald Trump lors de l’élection américaine du 5 novembre. La plupart d’entre eux avaient du mal à cacher leur désarroi, leur sidération, voire leur angoisse.

Certes, cet événement n’était pas imprévisible. Mais l’ampleur du triomphe du candidat républicain qui a devancé sa rivale de 5 millions de voix, et la majorité qu’il a finalement conquise dans les deux chambres du parlement, dessinent un scénario qui dépasse leurs pires cauchemars.

A partir de janvier prochain siègera donc à la Maison Blanche un homme qui, plus encore qu’en 2016, menace de prendre les dirigeants occidentaux et leur idéologie à contre-pied. Cela vaut pour le rôle et l’avenir de l’OTAN, pour l’attitude sur l’environnement et le climat, pour le libéralisme économique et politique, entre autres. A court terme deux dossiers provoquent des sueurs froides dans les capitales européennes : l’aide militaire massive à Kiev, à laquelle M. Trump a annoncé vouloir mettre fin ; et la guerre commerciale que ce dernier entend mener, non seulement vis-à-vis de la Chine, mais aussi de l’UE.

Si le futur président est en partie imprévisible, il est peu probable qu’il renonce à ces deux intentions là, sauf à passer pour un faible – ce qui n’est pas vraiment son genre. Cela a provoqué ce commentaire énoncé anonymement par un haut diplomate de Bruxelles : « nous sommes dans un bateau qui va affronter une énorme tempête ». Cité par le site Euractiv, l’un de ses collègues a confirmé à sa manière : « nous sommes relativement calmes et concentrés, et nous avons du temps jusqu’à janvier pour nous préparer au maximum ».

Ironie amère : l’hôte des deux sommets n’était autre que le premier ministre hongrois. Or Viktor Orban (photo) est le seul parmi ses collègues de l’Union européenne à avoir exprimé un sentiment opposé : il avait ouvertement proclamé qu’il déboucherait le Champagne si son ami Donald Trump l’emportait. Dans la période récente, il avait déjà multiplié ce que ses homologues ont perçu comme des provocations, notamment en rencontrant Vladimir Poutine et Xi Jiping. Quelques jours avant la victoire de Donald Trump, M. Orban avait même fait enrager ses collègues en estimant que, « si l’Amérique devient favorable à la paix (en Ukraine), l’Europe ne pourra pas rester favorable à la guerre »…

Suite et abonnement sur le site de Ruptures

Partager cet article
Repost0
9 novembre 2024 6 09 /11 /novembre /2024 01:05

Cet article est reposté depuis Analyse communiste internationale.

Partager cet article
Repost0
29 avril 2024 1 29 /04 /avril /2024 15:03
Joe Biden(AP Photo/Alex Brandon)  : Paquet d'aide pour Israël, Taiwan, et l'Ukraine : Joe Biden salue une loi qui rendra "le monde plus sûr"

Joe Biden(AP Photo/Alex Brandon) : Paquet d'aide pour Israël, Taiwan, et l'Ukraine : Joe Biden salue une loi qui rendra "le monde plus sûr"

Le Congrès USA a approuvé une loi de 95 milliards de dollars pour les “aides” à l’Ukraine, Israël et Taïwan.

La Loi, votée par une grande majorité bi-partisane de Démocrates et Républicains, prévoit 60,8 milliards des dollars pour l’Ukraine, 26,4 milliards pour Israël et 8,1 milliards pour Taïwan dans la région de l’Indo-Pacifique.

[...]

La suite en cliquant ci-dessous :

Partager cet article
Repost0
19 avril 2024 5 19 /04 /avril /2024 09:58

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents