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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
3 juillet 2018 2 03 /07 /juillet /2018 22:28

SORTIR DU GLYPHOSATE EN GARDANT LE BON SENS PAYSAN

             

Le Gouvernement a mandaté Nicolas HULOT et Stéphane TRAVERT afin de trouver une solution pour l’arrêt du glyphosate en France. Aujourd’hui, aucune solution de remplacement n’est sérieuse. Le MODEF demande un travail réel sur les alternatives si nous voulons permettre une sortie du glyphosate dans trois ans. Le MODEF dénonce les méthodes menées par les lobbies qui manipulent la science et le marché au détriment de la santé des paysans et des consommateurs !

  

Le Gouvernement a mandaté Nicolas HULOT et Stéphane TRAVERT afin de trouver une solution pour l’arrêt du glyphosate en France. Aujourd’hui, aucune solution de remplacement n’est sérieuse. Le MODEF demande un travail réel sur les alternatives si nous voulons permettre une sortie du glyphosate dans trois ans. Le MODEF dénonce les méthodes menées par les lobbies qui manipulent la science et le marché au détriment de la santé des paysans et des consommateurs !

Lors de la réunion du 22 juin se trouvaient autour de la table l’ensemble de la profession agricole, des instituts techniques et la grande distribution. Aujourd’hui les solutions de remplacement mécaniques ou thermiques ne sont pas crédibles, notamment du point de vue financier. À ce jour, les exploitations agricoles ne supporteraient pas le surcoût de ces nouvelles pratiques agricoles. Il est peu probable que cette situation évolue beaucoup d’ici trois ans, date fixée par le gouvernement pour sortir la France du glyphosate.

Nous, MODEF, pensons qu’il faut travailler activement avec la recherche publique pour trouver des alternatives au glyphosate. Ce changement de pratique se fera naturellement si le Gouvernement comprend qu’un prix rémunérateur est nécessaire pour permettre aux agriculteurs de vivre et d’adapter leurs pratiques… comme le revendique le MODEF depuis sa création. Toute solution non-viable économiquement sera un échec lors de sa mise en place.

La chimie a pris le dessus sur l’agronomie et a remplacé le travail des paysans, depuis 1950, la France a perdu plus de trois millions d’agriculteurs. Les techniques alternatives à la chimie requièrent plus travail et de main d’œuvre. Il faut mettre en place une politique où le nombre d’agriculteurs doit être suffisant sur des exploitations à taille humaine.

Le MODEF est prêt à travailler autour de la table proposée par nos Ministres en gardant pour objectif de respecter :

  • La santé économique des exploitations,
  • La santé des agriculteurs,
  • La santé des consommateurs,
  • La santé des sols.

Avec une vision politique et économique de l’Agriculture basée sur le bon sens nous aurons de beaux jours à vivre sinon nous aurons faim.

Angoulême, le 26 juin 2018

Responsable de la Commission Environnement et Territoire,

Jean-Claude LAJOUS

Tél : 06 81 80 46 96

               

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3 juillet 2018 2 03 /07 /juillet /2018 18:19
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3 juillet 2018 2 03 /07 /juillet /2018 06:05

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 21:18

France info

Si les cliniques privées se portent bien, les hôpitaux publics restent lourdement endettés

Avec un taux d'endettement au plus bas, les cliniques privées se portent bien. Des chiffres qui contrastent avec ceux des établissements publics.

 

Ci-contre la clinique privée de l'estuaire au Havre.  Elle est appelée indûment "hôpital"

 

La rentabilité des cliniques privées atteint son plus haut niveau depuis dix ans, selon une étude de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (Drees) publiée mardi 26 juin.

 

Les cliniques Méridienne, Europe et Mathilde à Rouen sont désormais la propriété du groupe Vivalto Santé qui se porte très bien.  Mieux que les malades et les personnels.

 

En 2016, la rentabilité des cliniques privées a progressé de 0,6 point, et atteint son plus haut niveau depuis 2006, représentant 3,6% du chiffre d'affaires. Selon l'étude, c'est notamment grâce au crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi (CICE), mis en place sous le quinquennat de François Hollande, et dont de nombreuses cliniques ont bénéficié.

La clinique de l'Europe à Rouen, propriété du groupe Vivalto

Un taux d'endettement au plus bas pour les cliniques privées

Par ailleurs, le taux d'endettement des cliniques privées est à un des plus bas niveaux depuis dix ans, s'établissant à 35,4% des ressources stables. En revanche, la situation financière des hôpitaux publics n'est pas aussi bonne. Si leur déficit global se réduit de moitié, à 190 millions d'euros, le taux d'endettement continue de progresser, avec une hausse d'un point, pour atteindre 51,5% des ressources.  

L'étude montre par ailleurs que les cliniques privées privilégient l'ambulatoire et réalisent la moitié de leur activité en chirurgie, tandis que les interventions complexes, les soins de longue durée, la psychiatrie et les urgences relèvent principalement des hôpitaux publics.  

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 15:23

paru le 27 06 18

Rappelez-vous.  En juillet 2016, à l'hôpital Monod, loué aujourd'hui pour ses comptes "régulés",  une infirmière se suicide.  Elle met en cause ses conditions de travail.  Elle laisse une lettre, lue par son mari devant le personnel de l'hôpital rassemblé pour lui rendre hommage.  "Elle y dénonce une pression , exercée depuis plusieurs mois par sa hiérarchie, afin de l'obliger à quitter le service néo-natalité pour le service de rénimation pédiatrique.  Ceci, dans le cadre d'une politique de polyvalence et de suppression de postes, pointée du doigt par les syndicats mais imposée par la direction depuis janvier 2016".

Cette "certification" du budget d'un hôpital public est indécente.  La santé publique ne doit pas être évaluée selon les critères de rentabilité capitalistes !

AC.

Rappel :

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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 15:05
Franck BOITELLE
Publié 28/06/2018 22:39
 

 

Transports. Le nouveau plan de transport ferroviaire se précise. Il prévoit la révision des horaires et du nombre de dessertes, mais aussi la fermeture de petites gares.

Dans quelque temps, le train ne fera plus que passer devant les petites gares de Nointot-Bolbec, Virville et Foucart-Alvimare, condamnées dans le projet de plan ferroviaire que prépare la Région pour l’horizon 2020.
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2 juillet 2018 1 02 /07 /juillet /2018 09:23
Paru le 9 décembre 2018
Inspection de la Justice : l’indépendance à la casse
Sur le site du syndicat de la magistrature

Communiqués de presse du Syndicat de la magistrature et de sa section syndicale à la Cour de cassation en réaction au décret du 5 décembre 2016

 

Le décret de fusion des inspections du ministère de la Justice fait grand bruit.
On aurait tort de tronquer le débat, indispensable, sur l’indépendance de la justice en s’indignant seulement de la soumission de sa cour suprême à une inspection aux ordres du ministre.

Aucune juridiction ne saurait échapper au contrôle, légitime en démocratie, du bon fonctionnement des services publics, au rang desquels celui de la justice. Mais, c’est par le statut de l’inspection, les conditions de nomination de ses membres, ses modalités de fonctionnement et le cadre procédural de son action que doit être garantie l’indépendance des juridictions soumises à son contrôle. Au delà, elle ne peut être assurée quand l’ambiguïté de certaines inspections de fonctionnement cache mal des enquêtes disciplinaires qui ne disent pas leur nom, parfois utilisées pour intimider des magistrats jugés trop indépendants, de la base aux sommets.

Le compte n’y est évidemment pas avec le décret du 5 décembre 2016 qui maintient l’inspection sous la tutelle de l’exécutif tout en étendant son contrôle à la Cour de cassation. Juridiction suprême, intervenant en dernier recours et dont la jurisprudence fait autorité, sa mission doit être rigoureusement protégée.

Seul le rattachement de l’inspection au Conseil supérieur de la magistrature, revendication ancienne du Syndicat de la magistrature, assurera l’indépendance d’une autorité judiciaire, constitutionnellement garante de la liberté individuelle. A la Cour de cassation comme ailleurs !

Communiqué de presse de la section syndicale du Syndicat de la magistrature à la Cour de cassation

Le décret n°2016-1675 du 5 décembre 2016 place désormais la Cour de cassation sous le contrôle d’un nouveau service d’inspection générale de la justice, et ainsi du Gouvernement.

La section syndicale du Syndicat de la Magistrature dénonce la mainmise de l’exécutif sur la cour suprême française, qui a pour mission constitutionnelle de protéger les libertés individuelles.

Elle rappelle que le Syndicat de la Magistrature a toujours demandé le rattachement de l’inspection des services judiciaires au Conseil supérieur de la magistrature, garant de l’indépendance de la magistrature. Seule cette institution a, en effet, la légitimité d’exercer un contrôle sur le fonctionnement de toutes les juridictions, en ce compris la Cour de cassation.

Elle souligne en outre que ce décret n’est pas conforme aux recommandations du Conseil de l’Europe.

 

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1 juillet 2018 7 01 /07 /juillet /2018 23:06

 

« Pour les 30 postes, c’est bon », nous indique une source proche des négociations. 

Pour l’unité pour adolescents et l’unité hospitalière spécialement aménagée, ça prendre un peu plus de temps. Mais c’est écrit. C’est un soulagement."

La  suite ci-dessous :

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1 juillet 2018 7 01 /07 /juillet /2018 22:52

Ils sont praticiens hospitaliers de différentes spécialités et disciplines, signataires d'une lettre adressée à Edouard Philippe, Premier ministre, rappelant qu'une précédente lettre ouverte à l'attention d'Agnes Buzyn, en septembre dernier, est restée lettre morte. Ils alertent, une fois encore sur le fait qu'ils ne sont plus en mesure aujourd'hui de remplir leur mission de service public. S’agissant de soins nous vous alertons sur une mise en danger de la vie d’autrui et non-assistance à personne en danger. Mise en danger de la population qui s’adresse à nous, et mise en danger des professionnels qui doivent remplir cette tâche sans en avoir les moyens. Les décès médiatisés survenus récemment en sont les malheureux témoignages. Il ne s'agit pas de faits isolés mais de signes patents de la dégradation nationale des services hospitaliers.

La suite et le lien vers la tribune en PDF ci-dessous:

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1 juillet 2018 7 01 /07 /juillet /2018 13:02

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

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