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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
9 février 2024 5 09 /02 /février /2024 18:17

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

L’ÉCOLE PUBLIQUE NE DOIT PAS DISPARAITRE !
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9 février 2024 5 09 /02 /février /2024 00:06

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7 février 2024 3 07 /02 /février /2024 15:44

Le 8 février 1962, neuf manifestants meurent au métro Charonne, à Paris, sous les coups de la police, en répression d'une manifestation pacifique contre les attentats de l'OAS et pour l'indépendance de l'Algérie.

Extrait

"Les communistes et la CGT "particulièrement visés par Maurice Papon"

Ce 8 février, la manifestation se constitue en plusieurs points de rassemblements selon les sensibilités politiques de l'époque, du PSU au PCF notamment. Pour l'historien, spécialiste de la guerre d'Algérie, Gilles Manceron, si le rassemblement du PCF et de la CGT est "plus particulièrement ciblé par Maurice Papon" c'est en raison de l'anticommunisme "y compris au sein du gouvernement, avec notamment le ministre de l'Intérieur Roger Frey, et de partisans de l'Algérie française très anticommuniste". "Le fait de cibler un cortège PCF, CGT, c'était assez logique parce qu'il fallait montrer que la France ne céderait pas devant une demande émanant des communistes" rappelle-t-il aujourd'hui."

8 Février 1962 : Se souvenir de Charonne
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7 février 2024 3 07 /02 /février /2024 15:33

Honneur à ces députés !

Menée par le député FI Eric Coquerel (au centre), la délégation de parlementaires de gauche est arrivée le 4 février 2024 au terminal de Rafah, « à portée de voix de la population gazaouie ». © AFP

Menée par le député FI Eric Coquerel (au centre), la délégation de parlementaires de gauche est arrivée le 4 février 2024 au terminal de Rafah, « à portée de voix de la population gazaouie ». © AFP

Le Caire (Égypte), envoyé spécial.

Une quinzaine de parlementaires de la gauche française1 (1) portent au Proche-Orient une autre voix de la France, celle de la paix. Menée par le député FI, Éric Coquerel, une délégation est arrivée au Caire, samedi 3 février, et se trouvait, dimanche, aux portes de la bande de Gaza, au terminal de Rafah, « à portée de voix de la population gazaouie ».

Vu sur le site de l'Humanité

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7 février 2024 3 07 /02 /février /2024 15:21

Eborgné ! Lutte de classe et répression de classe !

Aucune condamnation ! Justice de classe !

"Gilets jaunes": 23 éborgnés, zéro condamnation cinq ans après © AFP/Archives

"Gilets jaunes": 23 éborgnés, zéro condamnation cinq ans après © AFP/Archives

Source AFP

Vingt-trois éborgnés avaient été recensés par l'AFP lors du mouvement des "gilets jaunes" à l'hiver 2018-2019. Aucun n'a obtenu la condamnation de l'auteur de sa blessure.

Un seul procès a eu lieu, qui s'est soldé par une relaxe, les autres plaintes étant à l'examen, engluées ou classées.

La suite :

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7 février 2024 3 07 /02 /février /2024 14:17

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6 février 2024 2 06 /02 /février /2024 14:57
Lors d'un reportage en 2018 aux urgences du CHU Hôtel-Dieu de Nantes (photo d'archives). © OUEST FRANCE

Lors d'un reportage en 2018 aux urgences du CHU Hôtel-Dieu de Nantes (photo d'archives). © OUEST FRANCE

Ces dernières semaines, la presse a fait état d’un certain nombre de décès de personnes qui visiblement n’ont pas bénéficié de soins adaptés dans des situations d’urgence. Ces quelques cas médiatisés ne représentent que la partie émergée de l’iceberg quand on reprend les chiffres de l’enquête menée l’hiver dernier par l’association professionnelle SAMU-Urgences de France qui permet d’estimer par extrapolation à au moins 1 500 le nombre de morts appelées évitables, liées aux multiples dysfonctionnements et au manque de moyens en personnels et en lits dans nos hôpitaux. Très récemment un responsable de cette organisation évoquait même dans la presse ce drame avec un euphémisme glaçant : «Aux urgences, les morts inattendues, c’est ce que tout le monde redoute».
 
La crise des urgences ne date pas d’aujourd’hui et elle est le miroir grossissant de la dégradation de notre système de santé que les politiques libérales détruisent petit à petit. Quand on n’a pas ou plus de médecin traitant, que celui-ci ne se déplace pas à domicile et que les délais de rendez-vous s’allongent, il ne reste plus que les urgences. Face à l’explosion du nombre de passages aux urgences, la réponse du gouvernement est de désigner les patients comme boucs émissaires en leur reprochant de venir pour rien aux urgences et en mettant en place des mesures punitives comme le forfait de passage aux urgences ou l’obligation d’appeler le centre 15 afin de pouvoir obtenir l’autorisation de passer la porte des urgences.
Ce discours est inacceptable, tout comme les propos récents de la nouvelle ministre en charge entre autres de la santé, qui explique que la mise en place de ce qui est appelé le service d’accès aux soins (SAS) va régler le problème. De quoi s’agit-il ? Simplement de renvoyer toutes les personnes qui ont besoin de soins vers les centres 15 qui sont censés les conseiller et les orienter. En fait, il s’agit de créer une nouvelle barrière qui aboutit à des drames car dans de très nombreux départements il n’existe pas ou plus de moyens de réponse adaptés, si ce n’est au mieux d’envoyer une ambulance ou un véhicule des pompiers pour transporter la personne aux urgences où elle attendra des heures sur un brancard. L’exemple du département de la Seine-Saint-Denis est éclairant, il s’agit d’un de ceux où a été mis en place ce fameux SAS. Le résultat est catastrophique, il y a bien des médecins au téléphone mais il n’y a plus de médecins pour effectuer des visites à domicile la journée. En effet, ces derniers ont jugé que cette activité était chronophage et trop mal rémunérée et ils préfèrent donc rester au téléphone ou accueillir les patients dans des centres de consultations sans rendez-vous. Mais comme je le disais dans ma chronique la semaine dernière, malheur à ceux qui ne peuvent se déplacer.
Alors, madame la ministre, assez de fausses solutions égrenées dans les médias, malheureusement trop souvent sans contradiction de la part des journalistes. La réalité de terrain est que votre politique est meurtrière et que vous en porter la responsabilité morale avec vos prédécesseurs ainsi que le président de la République.
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6 février 2024 2 06 /02 /février /2024 14:41

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6 février 2024 2 06 /02 /février /2024 14:31
https://www.sudradio.fr/editorial/bayrou-et-macron-une-alliance-a-sens-unique

https://www.sudradio.fr/editorial/bayrou-et-macron-une-alliance-a-sens-unique

Le tribunal correctionnel de Paris vient donc de rendre une décision dans l’affaire dite des « emplois fictifs du MoDem au Parlement européen ». Toutes les personnalités politiques renvoyées devant le tribunal sont condamnées, toutes sauf… leur chef François Bayrou. Nouvelle démonstration s’il en était besoin de ce que j’ai, me semble-t-il, démontré dans mon dernier ouvrage « Une justice politique. Des années Chirac au système Macron histoire d’un dévoiement ». Démonstration, mais on pourrait dire caricature de ce que fait la justice française, devenue force politique autonome en violation du principe de la séparation des pouvoirs, et ayant renoncé à son rôle d’arbitre impartial. Protèger Emmanuel Macron après l’avoir fait élire. François Bayrou est une pièce non négligeable dans les dispositifs du président de la publique et il vient de bénéficier d’une mansuétude dont on peut craindre qu’elle soit à géométrie variable dès lors qu’il sera question des adversaires politiques du chef de l’État.

Affaire Bayrou : 15 ans de comédie

Retour sur une procédure qui avait commencée comme une pantalonnade, qui s’est poursuivie comme une pantalonnade et qui se termine comme une pantalonnade.

De quoi s’agit-il sur le fond ? Le MoDem, parti fondé par le maire de Pau, et plus proche du groupuscule que du parti de masse, est accusé d’avoir fait la même chose qu’a peu près tout le monde, que ce soit au Parlement français ou au Parlement européen : utiliser les assistants parlementaires, normalement collaborateurs d’élus, comme permanents du parti. Concernant le MoDem, c’était depuis longtemps, voire très longtemps un secret de polichinelle, en particulier depuis la publication en 2015 par Corinne Lepage d’un livre intitulé, ça ne s’invente pas « Les mains propres ». Celle-ci, élue députée au Parlement européen en 2009 sur une liste MoDem avait détaillé dans cet ouvrage quelles étaient des pratiques du parti. C’était on ne peut plus clair et la presse avait répercuté ces accusations… [...]

Voir la suite ci-dessous :

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6 février 2024 2 06 /02 /février /2024 05:31
6 février 1934, l’événement choc : les droites, les gauches et la rue
6 février 1934, l’événement choc : les droites, les gauches et la rue

Le 6 février 1934, à Paris, une manifestation dominée par les ligues d’extrême droite tourne à l’émeute. Le choc est immense. La IIIe République, affaiblie, est ébranlée par ces journées qui ont changé l’histoire des droites, mais aussi des gauches, en France. À partir de nouvelles sources et de nouveaux travaux d’historiens, Romain Ducoulombier analyse le cours des événements, les stratégies des acteurs et les conséquences. Une démarche d’autant plus utile qu’à chaque fois que la rue parle, à chaque fois qu’une « demande d’autorité » réelle ou supposée s’exprime, le souvenir de ce 6 février est convoqué.

Le 6 février 1934, une manifestation dominée par les ligues d’extrême droite tourne à l’émeute place de la Concorde à Paris. Elle a raison d’un gouvernement confié au radical Édouard Daladier le jour même et démissionnaire le lendemain, alors même qu’il a obtenu la confiance des parlementaires par trois votes successifs dans une atmosphère tendue. Elle n’est pas un coup d’État fasciste, moins encore une révolution, et pourtant elle demeure un symbole, celui du pouvoir de la rue, un drame sanglant et le moment d’une grande peur à gauche, ou mieux parmi les gauches, confrontées à la montée depuis leurs bases militantes de fortes aspirations unitaires. Elle n’est pas non plus une manifestation isolée, mais le moment paroxystique d’une mobilisation, d’une contestation d’une grande violence, commencée plus tôt et prolongée au-delà – en particulier le 9 puis le 12 février, quand l’initiative passe à gauche –, à tel point qu’il faut sans doute parler des journées de février 1934, plutôt que du seul et fatidique 6 février – c’est du moins l’hypothèse du livre désormais incontournable des historiens Olivier Dard et Jean Philippet, qui paraît pour ce 90e anniversaire, construit notamment à partir des archives inédites de la commission d’enquête parlementaire constituée après les événements1. Le 6 février ne surgit donc pas de rien, ponctue d’une violence d’émeute une crise économique et politique profonde, américaine et allemande avant d’avoir été française, dont les gouvernements qui se succèdent n’ont pas su sortir, et qui se nourrit des scandales et du ressentiment contre le régime de la IIIe République. L’événement est un choc suffisamment puissant, en tout cas, pour que ses échos résonnent jusqu’à nos jours et nourrissent la comparaison avec notre contemporain.

[...]

La suite ci-dessous

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