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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
28 septembre 2025 7 28 /09 /septembre /2025 16:02
« La fabrique de la diplomatie » : un colloque aligné… ou presque…

Les 5 et 6 septembre s’est déroulé un grand colloque organisé par le ministère des Affaires étrangères, une initiative soutenue par l’Université de la Sorbonne nouvelle et accueillie par l’un de ses campus parisiens. Le public s’est pressé nombreux dans les différents forums, tables rondes et séminaires. Des centaines de participants étaient présents, notamment des jeunes tentés par une carrière diplomatique.

Le ministère avait mis les petits plats dans les grands pour attirer de futures vocations. Sous le titre général « La Fabrique de la Diplomatie », des dizaines de débats ont fait salle comble. En particulier ceux auxquels participaient des personnalités très médiatiques comme l’ancien premier ministre Dominique de Villepin (2005-2007), qui fut également à la tête du Quai d’Orsay (2002-2004) ; ou bien Gérard Araud, ancien ambassadeur de France en Israël, à l’ONU puis aux Etats-Unis.

Les intitulés des débats étaient conçus pour être alléchants. Parmi ceux-ci figuraient : « Le Sud global en quête d’un nouvel ordre international » ; « Proche-Orient : comment retrouver le chemin des négociations ? » ; « Diplomatie économique, entre Etats-Unis et Chine, quel espace pour l’Europe ? » ; « La présidence française du G7 en 2026 face aux grands déséquilibres mondiaux » ; « OTAN : une alliance parmi d’autres ? »…

C’est peu dire que la plupart des échanges entre participants aux différents panels étaient marqués par l’idéologie dominante. La nécessaire marche vers l’intégration européenne faisait évidemment partie des dogmes sacrés. Sans surprise, la russophobie se manifestait d’un débat à l’autre. Sa forme la plus récurrente était l’affirmation péremptoire selon laquelle, en substance, « Poutine ne cessera jamais ses guerres impériales si nous n’y mettons pas un coup d’arrêt ».

Pointant le risque que la population française manque d’enthousiasme pour s’engager dans une guerre contre Moscou le jour où la Russie attaquerait la Lituanie, un intervenant a fait applaudir avec enthousiasme la nécessité de combattre cette lâcheté… Un signe que les futures élites formant l’auditoire sont peu représentatives des sentiments populaires.

Dans ce contexte, le discours quelque peu hétérodoxe de certaines personnalités tranchait sur l’ambiance générale et méritait donc attention. Ce fut notamment le cas dans le forum baptisé « Quelle architecture de sécurité européenne ? ». Le premier intervenant fut Hubert Védrine. Cet ancien ministre des Affaires étrangères (1997-2002) fait partie de l’école des « réalistes » (par opposition aux idéologues jusqu’au-boutistes), et cultive une parole qu’il veut non soumise à la pensée officielle du moment, même s’il reste un partisan de l’Alliance atlantique et voue le Kremlin aux gémonies. [...]

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22 mars 2025 6 22 /03 /mars /2025 23:44
Macron et Zelensky - Voeux aux armées à Francazal
Macron et Zelensky - Voeux aux armées à Francazal

Macron et Zelensky - Voeux aux armées à Francazal

Souvent, les Conseils européens sont avant tout une affaire de mise en scène. Réunis le 6 mars à Bruxelles, les vingt-sept chefs d’Etat et de gouvernement – du moins la plupart d’entre eux – avaient comme objectif d’afficher une apparence d’unité. Deux points – inséparables – constituaient leur ordre du jour : le « réarmement de l’Europe » ; et l’amplification du soutien à Kiev.

Cette image d’unité avait déjà été la première préoccupation à Bruxelles en février 2022, lorsque les troupes russes avaient pénétré en Ukraine. Mais entre temps, le paysage s’est radicalement transformé, en particulier depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche. En à peine quelques semaines, les pires cauchemars des dirigeants européens sont devenus réalité.

Washington a d’abord confirmé qu’il excluait toute présence de troupes américaine en Ukraine, ainsi que toute perspective d’adhésion de ce pays à l’OTAN. Peu après, le vice-président des Etats-Unis a, de Munich, asséné à un auditoire sidéré que la menace « sur nos valeurs » ne venait ni de Moscou, ni de Pékin, mais d’Europe – notamment en matière de liberté d’expression. La diplomatie américaine votait, dix jours plus tard, avec les Russes, contre une résolution onusienne soutenue par les Européens (sauf la Hongrie) condamnant Moscou.

Entre temps, la rencontre à haut niveau, à Riyad, entre Russes et Américains fit comprendre aux Européens qu’ils n’auraient même pas un strapontin lorsque des négociations de paix s’engageraient. Le président Trump a ensuite estimé que son homologue ukrainien était un dictateur et qu’il portait la responsabilité du déclenchement du conflit.

[...]

La suite et l'abonnement sur le site de Ruptures

 

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24 février 2025 1 24 /02 /février /2025 15:29
Trois ans plus tard, après des centaines de milliers de morts, ça vaut peut être la peine de relire cette erreur d'analyse de février 2022 et cette autocritique à chaud (24 février 2025).

Trois ans plus tard, après des centaines de milliers de morts, ça vaut peut être la peine de relire cette erreur d'analyse de février 2022 et cette autocritique à chaud (24 février 2025).

Comme quoi on peut se tromper... L'opération militaire russe du 24 février a surpris tout le monde. Je pense qu'il a eu tort mais je ne suis pas à sa place et je n'ai pas toutes les informations. Peut-être se sont-ils produits des faits nouveaux importants. Cela dit, j'estime que le dirigeant russe d'habitude prudent a pris des risques importants :

D'isoler la Russie

De donner du grain à moudre à la propagande belliciste de l'OTAN et de crédibiliser son discours global d'inversion accusatoire.

D'échouer dans la tentative de changer le régime de Kiev

De s'enliser militairement en Ukraine

[...]

La suite sur le blog de Gilles Questiaux "Réveil communiste"

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21 février 2025 5 21 /02 /février /2025 16:14

Je ne comprends pas comment on peut trouver un chemin pour la paix avec des Etats européens ayant des visions et des intérêts aussi divergents sur les questions de la paix et de la souveraineté.  YG

UKRAINE : Les propositions du PCF.  Sortie de l'OTAN et solutions européennes ?
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15 février 2025 6 15 /02 /février /2025 17:14

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Edition de mardi 20 février 2018 de il manifesto

Prémonitoire ...

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14 janvier 2025 2 14 /01 /janvier /2025 00:00
Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."

Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."

Le Rassemblement national (RN, fréquemment étiqueté extrême droite) a soif de respectabilité. Et il ne s’en cache guère. Il rêve de paraître acceptable vis-à-vis des dirigeants actuels du système politique, système que son discours continue pourtant de dénoncer.

Ce n’est pas tout à fait nouveau. Il y a quelques années déjà, ce parti renonçait à mettre en cause l’euro, alors qu’il avait jadis, en paroles du moins, combattu le principe de la monnaie unique. Les stratèges de Marine Le Pen estimèrent après coup que cette opposition avait contribué à la défaite de cette dernière lors de l’élection présidentielle de 2017.

Ce renoncement avait suivi l’alignement du RN (qui s’appelait alors Front national) sur l’idéologie dominante concernant l’appartenance de la France à l’UE. En réalité, le « Frexit » n’avait jamais fait partie du programme officiel du parti. Mais, en cultivant l’ambiguïté, ses dirigeants tentaient de séduire les électeurs résolument opposés à l’intégration européenne. Ce n’est plus qu’un vieux souvenir… [...]

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6 septembre 2024 5 06 /09 /septembre /2024 15:08

par Francis Arzalier (ANC)

 

" Comment peut-on être saxon ou thuringeois ?"
On se souvient de l’exclamation ironique de Montesquieu dans ses « Lettres », que les Français d’aujourd’hui, abrutis par le matraquage imbécile des télévisions, feraient bien de lire ou de relire, pour se nettoyer des préjugés xénophobes qui les aveuglent.

« Comment peut-on être persan ? »

À l’audition ce matin 2 septembre de nos « Experts » journalistiques, on ne peut qu’être ahuri par leur étonnement préfabriqué devant les résultats électoraux en Saxe et en Thuringe, deux régions de l’ex RDA, que le rétablissement du Capitalisme a plongé dans le désastre social, le chômage et la désindustrialisation, organisés par le gouvernement social-démocrate, converti aux vertus du Capitalisme et de l’impérialisme guerrier en Ukraine.

« Comment peut-on être allemand ? « 

C’est leur antienne du jour, qu’ils nous servaient déjà pour affirmer l’inverse il y a quelques mois, pour s’étonner que les Français ne veuillent pas comme ces braves Teutons d’outre.-Rhin, se mettre tous d’accord autour d’une grande table centriste, réunissant enfin les convives de Droite et de Gauche, perpétuant « la ferveur cultivée par les Jeux Olympiques » en faveur des pensées géniales de Macron.

« Mais pourquoi les français refusent ils donc de s’entendre ? »

Patatras ! Ce discours infantile de nos soi-disant spécialistes s’est effondré lamentablement dans les élections françaises successives en 2024. Européennes, puis législatives. Qu’ils s’expriment de gauche ou de Droite, LFI ou RN, les citoyens français veulent en finir avec le désastre Macron. C’est même, depuis, le seul choix clairement exprimé par les électeurs, fortement divisés par ailleurs. [...]

La suite ci-dessous :

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19 juillet 2024 5 19 /07 /juillet /2024 14:51

Depuis le 7 juillet la gauche consacre tous ses efforts à trouver un premier ministre qui ferait consensus entre les différences forces. De Bompard à Faure en passant par Panot et Bello, aucun nom ne semble l’emporter.

Cette recherche qui n’aboutit pas masque en fait la véritable question. Ce gouvernement serait minoritaire et dans ce cadre ne pourrait pas véritablement prendre des mesures de transformation sociale ; or, ce débat sur les limites d’une possible action gouvernementale n’est pas abordé par les forces de gauche.

Certains prétendent gouverner par décret, en omettant de dire que c’est le président de la République qui signe les décrets et que pour qu’ils s’appliquent -par exemple l’abolition de la réforme des retraites-, il faut obtenir de l’assemblée nationale, majoritairement à droite et à l’extrême droite, une loi garantissant les financements nécessaires.

D’autres nous disent que la gauche ne pourra pas faire grand chose mais au moins "il" cessera "de brutaliser" les français ; sauf que ce qui brutalise les français, c’est d’abord la volonté du capital de maintenir son taux de profit et de baisser les dépenses sociales.

Personne ne parle dans cette gauche de l’Union européenne et de la manière dont elle pèsera contre les reformes nécessaires, pour la rigueur budgétaire. Personne ne débat de comment se libérer du carcan européen, à croire que la gauche a tout oublié de Syriza et Tsipras.

Personne ne parle non plus de l’OTAN qui nous engage toujours plus vers une guerre mondialisée. Comment répondre aux besoins du peuple sans rompre avec cette logique de surarmement ?  ...

La suite ci-dessous

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20 avril 2024 6 20 /04 /avril /2024 13:50
Les thèses de l’OTAN font de nouveaux adeptes… [Ruptures presse]
Les thèses de l’OTAN font de nouveaux adeptes… [Ruptures presse]Les thèses de l’OTAN font de nouveaux adeptes… [Ruptures presse]

Si la Russie attaque la Pologne, « nous avons un devoir d’assistance mutuelle, (…) nous devrons les aider à se défendre ». Dans le climat russophobe installé par les grands médias, cette déclaration, qui date du 3 avril, apparaît tristement banale. Elle reflète fidèlement le principal argument de l’UE : aider militairement l’Ukraine serait nécessaire pour dissuader Moscou d’avaler tout cru ses voisins. Jusqu’à l’Oder et au Danube. Et pourquoi pas jusqu’au Rhin, puis qui sait jusqu’à la pointe de la Bretagne ?

Ce qui aurait dû attirer l’attention sur la scène politique française est l’auteur de la phrase. C’est en effet Manon Aubry (photo), eurodéputée sortante et tête de liste pour les élections européennes de La France insoumise (LFI), qui rejoint ainsi un camp déjà bien fourni : celui des partisans de l’OTAN vue comme l’outil de défense collective de l’Occident menacé par les ambitions du Kremlin. Jusqu’à présent, le mouvement créé par Jean-Luc Mélenchon, et qui revendique l’étiquette de « gauche radicale », s’était plutôt distingué par son opposition de principe à l’Alliance atlantique. [...]

Et à l'autre bout du spectre politique, Jordan Bardella, lui non plus, ne parle pas de sortir de l'OTAN ...

L'article intégral en cliquant ci-dessous et en vous abonnant à Ruptures ...

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14 avril 2024 7 14 /04 /avril /2024 15:01

Cet article est reposté depuis Commun COMMUNE [le blog d'El Diablo].

Conflit en UKRAINE - L'élargissement de l'OTAN : un des buts politiques des États-Unis
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