5 janvier 2021
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Cet article est reposté depuis Le blog de Roger Colombier.
Published by Le Mantois et Partout ailleurs
5 janvier 2021
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Published by anonyme
5 janvier 2021
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Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.
Published by Jean Lévy
5 janvier 2021
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Published by El Diablo
4 janvier 2021
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Valery Giscard d'Estaing lors d'une conférence de presse à Paris le 20 juin 2019 afp.com/JACQUES DEMARTHON
Source : The Telegraph, Daniel Hannan
Traduit par les lecteurs du site Les-Crises
La Constitution européenne est un condensé tout ce qui ne va pas à Bruxelles
Chaque fois que je voyais Valéry Giscard d’Estaing, une ligne de Mallarmé me venait en tête : « Si extraordinairement distingué, quand je lui dis bonjour, je me fais toujours l’effet de lui dire merde » [en français dans le texte, NdT]
C’est exactement ce que j’ai ressenti lorsque, au début de la Convention européenne en 2001, j’ai commis l’erreur de demander à l’ancien président français, décédé la semaine dernière, si son objectif était vraiment de reconnecter l’Europe à ses peuples, était-il logique qu’il réquisitionne la plus grande suite d’hôtel de Bruxelles, avec le salaire et les dépenses afférentes.
Sa réponse : « Il faut être à l’aise », m’a fait me sentir tout petit. Mais c’était aussi la voix authentique de l’élite européenne : pompeuse, hautaine, imbue d’elle-même.
La Convention européenne a été la dernière grande incursion de Giscard en politique. Vingt ans après avoir quitté l’Élysée et à quelques semaines de son 76e anniversaire, il voulait donner à l’UE cet attribut final et définitif d’un État, une constitution écrite. Réunis au domaine royal belge de Laeken, il a convoqué divers eurocrates et hauts dignitaires associés à ce qu’il a appelé « notre moment de Philadelphie », se comparant à Thomas Jefferson (de manière inexacte et prétentieuse puisque Jefferson n’était pas présent lors de la rédaction de la Constitution américaine, il était ambassadeur à Paris). [...]
La suite ci-dessous :
4 janvier 2021
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Par Qin Ling 秦岭 (He Yanjie 何彦杰), président de l’Association littéraire et artistique du district de Heping, Tianjin. Ce texte écrit par un grand écrivain chinois nous raconte avec humanité et poésie la grande lutte des chinois contre la pauvreté millénaire des campagnes. C’est comme si tout le travail surhumain du peuple chinois n’avait que cet objectif-là. C’est émouvant et je souhaite que nous commencions la nouvelle année dans ce blog en partageant la peine de ceux qui “ont si peu de colère” et que nous imaginions l’effort qu’il a fallu faire dans ce pays continent pour remonter la pente où l’avaient jeté les pillards occidentaux, alliés aux seigneurs de la guerre, ce malheureux pays héritier de la plus vieille civilisation du monde obligé à devenir opiomane. Cette remontée le peuple chinois l’a faite avec son parti communiste, par la seule force de son travail, sans porter la guerre nulle part. C’est très émouvant. (note de Danielle Bleitrach, traduction de Catherine Winch)
Publié initialement dans Qiushi, le 1er juin 2020.
Traduit par Sean Haoqin Kang, membre du collectif Qiao et traduit de l’anglais en français par Catherine Winch.
Note de l’éditeur : Le Collectif Qiao est heureux de publier une traduction anglaise de “The Metamorphosis of Yuangudui”, un essai lyrique et vivant décrivant l’impact des programmes de lutte contre la pauvreté du PCC dans le petit village de Yuangudui, dans la province du Gansu.
[...]
La suite sur le blog "Histoire et société"
Published by Action communiste
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dans
Chine
Pauvreté
Socialisme
4 janvier 2021
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Cet article est reposté depuis bx-moscou : août..
Published by Boyer Jakline
4 janvier 2021
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Published by Antoine Manessis
4 janvier 2021
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Published by Canaille Lerouge
4 janvier 2021
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Cet article est reposté depuis Ça n'empêche pas Nicolas.
Published by Jean Lévy