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ACTION COMMUNISTE

 

Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.

Nous contacter : action.communiste76@orange.fr>

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Humeur

Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.

Cette semaine, sur le conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué  à Thierry Steiner pour la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"...  (lors du 7-10 du 25 juillet).


Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].

 

 
7 septembre 2016 3 07 /09 /septembre /2016 16:14
Calais: communiqué de la CGT, de l'UD CGT du Pas-de-Calais et de la CGT des Ports et Docks

Depuis plusieurs années, les populations du Moyen Orient et d’Afrique Orientale subissent de multiples conflits, bien souvent provoqués et entretenus dans l’intérêt capitaliste de grandes puissances telles que la France, l’Angleterre, les Etats-Unis, privant au passage ces peuples et leurs pays de leurs richesses, les laissant dans la misère la pauvreté et le désarroi.

Aujourd’hui, dans le Calaisis, plus de 10 000 réfugiés ayant fui ces conflits, vivent dans des conditions inhumaines, indignes du pays des droits de l’Homme. Chaque jour, ils mettent leur vie en péril en tentant de rallier l’Angleterre, injustement présenté comme un eldorado, mais en réalité vivier d’une main d’œuvre bon marché et exploitée.

Après avoir reçu les bombes des pays occidentaux, avoir fait plusieurs milliers de kilomètres pour rejoindre Calais, n’ayant plus rien à perdre, ils sont prêts à tout pour traverser, mettant en danger la population et les travailleurs calaisiens.

La France, l’Angleterre et les Etats-Unis (entre autres) portent une lourde responsabilité sur les flux migratoires, en menant des guerres sur fond d’intérêts économiques.

A travers cette situation, la rocade portuaire, le port de Calais et le Tunnel sous la Manche se retrouvent pris en otage de hautes clôtures et de barbelés, ce qui n’empêche pas les réfugiés, déterminés à tenter, au risque de leur vie ainsi que celles des travailleurs calaisiens, de monter dans les camions en provoquant des barrages sous l’impulsion des passeurs.

Ces derniers temps, et cela va en s’amplifiant, sous l’influence d’un contexte d’élections politiques, cette situation est récupérée de façon malsaine par l’extrême-droite, certains travailleurs et la population calaisienne ne doivent pas se tromper de cible.

L’Europe et les gouvernements des pays qui la composent, doivent répondre par la diplomatie et des mesures humaines, et non pas ériger des murs.

La population calaisienne, les salariés du port, du tunnel, ainsi que les réfugiés eux-mêmes, se sentent abandonnés à leur sort.

Il est urgent d’allier nos forces afin que soit réglée politiquement cette situation, de peser sur les grandes puissances pour faire cesser les massacres au Moyen Orient, de faire prendre ses responsabilités à l’Angleterre, et de mettre en sécurité les salariés travaillant dans le Calaisis.

La nature a horreur du vide et cette situation ne doit pas opposer la population calaisienne et ses travailleurs aux réfugiés, car pendant ce temps, les responsables de cette situation restent au chaud en envoyant des bombes !

Montreuil, le 6 septembre 2016

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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 22:17
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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 22:02
© Dado RuvicSource: Reuters

© Dado RuvicSource: Reuters

La lutte de l'UE contre les «avantages fiscaux» accordés à Apple en Irlande a probablement une seconde dimension et s’inscrit dans une rivalité économique entre les deux rives de l’Atlantique, selon Pierre Lévy, spécialiste des questions européennes.

Robin des bois aurait-il pris les commandes à Bruxelles ? Le héros médiéval anglais, on s’en souvient, détroussait les riches au profit des pauvres et restituait au peuple le produit des impôts injustes. La Commission européenne semble vouloir l’imiter. Vraiment ?

Le Commissaire européen à la Concurrence, la Danoise Margrethe Vestager (dont les gazettes suggèrent qu’elle a servi de modèle à la super-héroïne de la série télévisée Borgen, une femme au pouvoir), a ainsi annoncé, le 30 août, qu’elle entendait contraindre la firme américaine Apple à rendre gorge – comprendre : à payer les arriérés d’impôts qu’elle aurait dû régler au Trésor irlandais, là où est établie une filiale européenne vers qui sont transférés ses substantiels profits réalisés dans tous les pays du Vieux continent.

Pourtant, le géant à la pomme n’avait nullement dissimulé quoi que ce soit au fisc de Dublin. Au contraire, celui-ci avait négocié deux arrangements autorisant de fait ces jeux d’écritures. Avec pour résultat un écrasant taux d’impôt qui a varié… de 0,05% en 2011 à 0,005% en 2014. 

Ces dispositions – «rescrits fiscaux» en bon français, «rulings» en anglais bruxellois – existent dans la plupart des pays européens. Elles sont conclues entre les autorités fiscales nationales et de grosses sociétés souvent transnationales, plus rarement avec des chômeurs en fin de droit.

L’objectif est d’attirer – on dit aussi de «séduire»… – les détenteurs de capitaux dans un contexte où la libre circulation de ces derniers constitue non pas seulement une «liberté fondamentale» garantie par les traités européens, mais l’essence même de l’Union européenne.

Il y a quelques mois cependant, la révélation du nombre et de l’ampleur de ces arrangements légaux entre amis avait soulevé quelques vagues, surtout lorsque l’on découvrit que le Premier ministre du Luxembourg fut un as en la matière, avant d’être propulsé à la tête de la Commission européenne. Depuis, Jean-Claude Juncker a fait amende (si l’on ose dire) honorable, et a juré de restaurer un peu de vertu dans ces domaines. Sans doute n’est-il pas fâché que son institution apparaisse ainsi en chevalier blanc.

En principe, les Etats disposent encore de quelque autonomie vis-à-vis de l’UE en matière fiscale. L’exécutif bruxellois a donc pris un chemin de traverse pour sévir : Mme Vestager a argué que ces cadeaux fiscaux étaient assimilables à des «aides publiques» – un péché capital pour Bruxelles puisque ces aides «faussent la concurrence». 

Dublin est donc sommé de récupérer les sommes qui lui ont échappé, soit 13 milliards d’euros plus les intérêts. Pour l’heure, le gouvernement irlandais refuse de bénéficier de cette manne (au nom de la sécurité juridique assurée aux entreprises) et a fait appel, de même que la firme américaine.

Quoi qu’il en soit, ce n’est donc pas l’amabilité fiscale en faveur des détenteurs de capitaux que la Commission met en cause, mais le fait que ces petits cadeaux ne sont pas accordés équitablement par tous les pays, donc que certains de ces derniers se trouvent désavantagés dans ce concours de séduction. 

Dès lors, outre le probable (mais vain) espoir qu’elle peut ainsi redorer son image auprès des peuples, la décision de la Commission vise à envoyer un triple message idéologique subliminal. Un : vive la concurrence libre et non faussée ! Deux : grâce à cette dernière, un gouvernement va encaisser des sous sur le dos d’un géant américain un peu trop filou (Amazon et Starbucks sont aussi ou ont été dans le collimateur). Et, trois : la libre circulation des capitaux est parfaitement naturelle est nécessaire. Car si celle-ci n’était pas en vigueur, les pratiques des multinationales transférant de pays à pays leurs profits pour mieux jouer les conditions fiscales les unes contre les autres ne pourraient exister.

Or cette libre circulation des capitaux, raison d’être fondamentale de l’UE, est cette liberté accordée aux «investisseurs» de placer leurs billes ici, de les retirer là, de rayer là-bas d’un trait de plume telle ou telle usine, bref, de décider du sort de l’économie d’un pays sans autre forme de procès. Inutile de préciser que la sévère Danoise se garde bien de remettre en cause cette merveille, bien au contraire.

Enfin, la décision du 30 août a probablement une seconde dimension et s’inscrit dans les rivalités économiques entre les deux rives de l’Atlantique. Dans le contexte d’une croissance qui peine à redémarrer, les contradictions s’aiguisent entre groupes américains et allemands, notamment. Les réjouissants (mais prévisibles) malheurs du projet de traité transatlantique, qui ne sera jamais signé, entrent également dans cet affrontement.

A telle enseigne que Washington a réagi violemment et dénoncé une décision qui peut remettre en cause «des années d’efforts multilatéraux». Le président Obama lui-même s’en est ému. Et le département du Trésor a évoqué «des réponses potentielles si la Commission poursuit dans cette voie».

Des sanctions américaines contre l’Europe ? Diable ! Voilà qui ferait probablement sourire à Moscou…

 

Pierre LÉVY

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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 22:01
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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 17:27
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6 septembre 2016 2 06 /09 /septembre /2016 16:58
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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 22:31
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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 15:41
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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 09:50
La CES aide la bourgeoisie dans sa guerre idéologique et ses attaques contre les travailleurs !

Chacun se souvient des prises de positions de la Confédération Européenne des Syndicats pour soutenir l’imposition – par la force et contre le vote du peuple grec par la Troika Commission Européenne, Banque Centrale Européenne   – d’un nouveau plan d’austérité à la Grèce. Chacun se souvient que la n’a apporté aucun soutien aux travailleurs en lutte contre la Loi Travail en France, au contraire, une loi travail résultant directement des ordres de la Commission Européenne. Il est vrai que la – organisation issue de la très anticommuniste et pro américaine CSI – est  de fait une institution relevant de l’ et financée par elle pour promouvoir la construction européenne (sic). Qui s’étonnera donc de savoir que la mène la guerre idéologique au coté de l’oligarchie capitaliste et contre les droits des travailleurs ? En revanche, chaque travailleurs, chaque syndicaliste doit évidemment se demander pourquoi son syndicat préfère s’affillier à une organisation dépendant de l’oligarchie capitaliste. Alors qu’existe une fédération syndicale internationale, rassemblant les syndicats de luttes, la FSM

Lire la suite en cliquant sur le lien ci-dessous en cliquant sur le lien Initiative Communiste

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5 septembre 2016 1 05 /09 /septembre /2016 09:37

"L'OPIUM DU PEUPLE" EST IL ENCORE DE SAISON ? par Francis Azarlier

mis à jour le : 1 Septembre, 2016 sur Collectif Communiste Polex

 

On connaît plus ou moins la définition que donnait le vieux Marx des religions: un " opium " permettant aux puissants de faire accepter l'exploitation par des peuples anesthésies, mais aussi, on l'oublie trop souvent, l'expression de la souffrance des plus faibles, meurtris par la vie et les inégalités sociales.

Car il est vrai, depuis des millénaires, que les hiérarchies cléricales sont très généralement au service des exploiteurs, et enseignent la soumission aux exploités. C'est encore le cas aujourd'hui dans une grande partie du monde: des "Intégristes" ou "fondamentalistes" utilisent en Orient et en Afrique un Islam qui se prétend de retour aux origines, et qui n'est finalement qu'une variété contemporaine de fascisme, justifiant par la caution divine leur pouvoir absolu et leurs régressions sociales. D'autres, en Asie, font le même usage d'un Hindouisme dévoyé, et nos Extrêmes-Droites n'hésitent pas à se référer aux " racines chrétiennes de l'Europe " pour soutenir l'ordre capitaliste et l'inégalité entre les peuples. Ainsi pour la Pologne ou la Droite gouvernementale professe un Catholicisme tout aussi réactionnaire que le Salafisme islamiste d'Arabie Saoudite. Rien d'étonnant: le fascisme franquiste ensanglanta l'Espagne autrefois au nom du Christ-Roi, et celui des Oustachis fit pire en Croatie.

Mais la planète catholique est diverse, et le Pape François le sait bien, qui vient de récuser publiquement tout amalgame entre Islam et terrorisme soit- disant islamique, et qui a dénoncé sans ambages " le Dieu argent qui est au centre de l'économie mondiale, et non la personne, homme ou femme". " voilà, affirme t'il, le premier terrorisme ". Ces mots ne font pas du Pape un marxiste, mais il est clair que son catholicisme exprime la dimension humaniste présente en toute foi religieuse, a côté de celles au service des pouvoirs politiciens et financiers. Quelles que soient leurs identités cultuelles assumées, les intégrismes-terroristes sont essentiellement des manipulations politiciennes du fait religieux, voire l'expression de pathologies délinquantes dans le cas du " djihadisme " actuel. Mais, dans tous les cas de figure, ces dérives ne sont pas inhérentes à une religion: le discours implicite courant dans la France d'aujourd'hui qui réduit l'Islam au terrorisme est à la fois inepte et dangereux. Dans cette atmosphère malsaine de suspicion haineuse à l'encontre des Musulmans et des Arabes, l'été 2016 a ajoute le ridicule à l'odieux: la Bardot, ex-égérie sexuelle des Sixties, a prôné l'interdiction de l'Aid, et le Premier Ministre de la France a encouragé des imbéciles élus locaux à dresser des contraventions aux baigneuses trop habillées au nom des " valeurs de la République ". Les gendarmes de cinéma populaire se sont évertués sans succès il y a 40 ans a verbaliser les seins nus sur les plages; vont ils pourchasser aujourd'hui la pudibonderie vestimentaire parce qu'elle se prétend islamique? De tout cela, la religion n'est guère responsable, mais la bêtise l'est, qu'on ne fait pas disparaître par décret, et qu'il ne faut surtout pas encourager par opportunisme politicien.

Et nous savons bien par ailleurs que certains qui se proclament athées irréductibles sont de fieffés réactionnaires dans notre pays et ailleurs... Rien ne condamne les " croyants " à se laisser glisser vers des manipulations criminelles. Rien ne leur interdit de concilier leur foi en un Dieu et leurs impératifs moraux avec un idéal de progrès social, voire de révolution politique et sociale. Robespierre, inventeur du suffrage universel à Paris, farouchement convaincu de l'existence d'un Être Suprême et de l'immortalité de l'âme, fut il y a plus de deux siècles l'un des plus purs révolutionnaires de France. Et, plus proche de nous dans le temps, le vénézuélien Hugo Chavez se voulait à la fois chrétien et initiateur du socialisme du XXIeme siècle.

En France, dont le peuple a conquis la laïcité de l'état depuis plus d'un siècle, largement decatholicisée depuis ( à peine 10 pour cent de pratiquants assidus du culte Romain ),le christianisme, pas plus que l'Islam, n'ont plus qu'une efficacité marginale en tant qu' " opium ". Cela n'empêche pas nos dirigeants socialistes et leurs épigones médiatiques, en quête d'une popularité défunte, de clamer leur amour d'un catholicisme qui n'en demande pas tant; en oubliant à cet effet que la laïcité, conquête politique essentielle du peuple français, fut depuis 1900 l'une des valeurs fondatrices de leur parti.

En fait, bien d'autres réalités contemporaines jouent ce rôle d'opium, à la satisfaction de nos " élites " politiciennes, financières et médiatiques. Elles organisent plus que jamais le détournement des fureurs sociales justifiées vers des boucs émissaires, ou l'anesthésie. On sait le rôle à ce sujet des racismes et xénophobies, héritées du passé colonial et du présent impérialiste, dérivant la quête naturelle d'identité en haines irrationnelles et apeurées contre les Noirs, les Juifs, les Arabes, les Musulmans ou les Chrétiens; contre l'Autre, en un mot, suspect de toutes les turpitudes. Tout fait culturel de quelque ampleur peut de même être détourné de ses objectifs initiaux, transformé par la déferlante médiatique au service des puissances d'argent en drogues sociales. Il en fut ainsi au printemps 2016 avec les compétitions de l'Euro-foot: rien à voir avec l'engouement naturel de millions de Français pour des spectacles sportifs de qualité, même entachés de salaires excessifs des joueurs. Mais ce goût du football-mis en scène à été délibérément transformé en une véritable hystérie médiatique pour servir d'éteignoir à l'issue de quatre mois de luttes sociales. Le Ministre de l'Intérieur français a naïvement vendu la mèche en déclarant: " les Bleus n'ont pas gagné; mais ils ont rempli leur mission: à l'issue de l'Euro, on ne parlait plus en France d'autre chose que de leurs exploits....": c'est bien d'un opium du peuple dont Mr Cazeneuve se félicite, même s'il prend ses désirs pour la réalité.

Après les clameurs de l'Euro-foot, ce sont d'autres événements qui ont servi d'anesthésiant délibéré,avec plus ou moins d'efficacité: Mr Valls et ses fidèles ont cultivé avec assiduité la peur du terrorisme, pour transformer les citoyens en troupeau paniqué et irrationnel, en supprimant sans raison valable des réjouissances populaires millénaires comme la Braderie de Lille, et en quadrillant de policiers en armes les malades en pèlerinage à Lourdes. S'en est suivi un discours estival radiotélévisé réduisant les Français à une lutte sur la route entre " Juilletistes " et " Aoûtiens ", allant jusqu'a les infantiliser en " chasseurs de Pokemons ", pour se conclure en hurlements dithyrambiques à propos des médailles olympiques aux JO de Rio.. Dans tous ces cas, le fait de départ n'est pas en cause, pas plus la nécessité de vacances chèrement conquises par les travailleurs en 1936,qu'internet ou les Jeux Olympiques, mais l'utilisation qui en est faite pour étouffer cette réalité que nos dirigeants et leur armée de mercenaires ne supportent pas, la lutte de classes.

Multiforme, protéiforme, l'opium du peuple est plus que jamais présent parmi nous en 2016, avec des moyens bien plus efficaces et divers qu'autrefois.

Francis Arzalier

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