Nous sommes un mouvement communiste au sens marxiste du terme. Avec ce que cela implique en matière de positions de classe et d'exigences de
démocratie vraie. Nous nous inscrivons donc dans les luttes anti-capitalistes et relayons les idées dont elles sont porteuses. Ainsi, nous n'acceptons pas les combinaisont politiciennes venues
d'en-haut. Et, très favorables aux coopérations internationales, nous nous opposons résolument à toute constitution européenne.
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Humeur
Chaque semaine, AC attribue un "roquet d'or" à un journaliste qui n'aura pas honoré son métier, que ce soit par sa complaisance politique envers les forces de
l'argent, son agressivité corporatiste, son inculture, ou sa bêtise, ou les quatre à la fois.
Cette semaine, sur le
conseil avisé de la section bruxelloise d'Action communiste, le Roquet d'Or est attribué à Thierry Steiner pour
la vulgarité insultante de son commentaire sur les réductions d'effectifs chez Renault : "Renault fait la vidange"... (lors du 7-10 du 25 juillet).
Vos avis et propositions de nominations sont les bienvenus, tant la tâche est immense... [Toujours préciser la date, le titre de l'émission et le nom du lauréat éventuel].
Jamais, sans doute, les premières semaines du mandat d’un président américain n’auront provoqué une onde de choc aussi considérable dans le monde entier. Déclarations, décrets, provocations se succèdent à un rythme effréné : ambitions affichées sur le Panama, sur le Groenland, sur le Canada ; projets de « nettoyage » et prise de possession de Gaza ; quasi-fermeture de l’USAID ; droits de douane tous azimuts. Et cela ne pourrait bien être que le début.
L’Union européenne n’est pas épargnée. La plupart de ses dirigeants plongent dans la sidération, l’effroi, le désespoir. Chacun savait bien que l’hypothèse d’un retour de Donald Trump à la maison Blanche pouvait déclencher le chaos. Mais à ce point, aucun d’entre eux ne l’avait imaginé.
En France, en Allemagne et dans d’autres pays européens, les médias « mainstream » font chorus. Analyses d’experts, tribunes dans la presse écrite, « talk-shows » télévisés se multiplient. Avec notamment un refrain : comment le chef du monde occidental, notre grand frère, peut-il nous traiter aussi mal ? Avec autant de désinvolture ! Et ce – circonstance aggravante – au moment même ou l’Alliance atlantique devrait plus que jamais se serrer les coudes face à Moscou qui progresse sur le front ukrainien et menace le Vieux Continent. Un leitmotiv qui taraude les classes dirigeantes occidentales.
Dans cet océan apocalyptique, ces dernières semblent se raccrocher à une pensée magique : les mauvaises manières de Washington pourraient provoquer un sursaut en faveur de l’unité européenne, et relancer un processus d’intégration jusqu’à présent en panne, voire en régression. En réalité, pour l’heure, aucun signe concret en ce sens ne se dessine. Quelques capitales, comme Budapest ou Rome, voire Bratislava et peut-être bientôt Vienne et Prague, affichent au contraire une dissidence renforcée vis-à-vis de Bruxelles.
Mais la machine à propagande européenne s’est remise en marche à pleine puissance : face aux Etats-Unis sur qui il devient difficile de compter, voire qui s’apprêtent à faire preuve d’agressivité – en particulier commerciale – il deviendrait de plus en plus urgent de promouvoir une « souveraineté européenne », un oxymore promu depuis des années par Emmanuel Macron, et donc de renforcer l’intégration de l’UE.
L’OTAN a déjà voté, avant nous I l y a un parti qui, même s’il n’apparaît pas, participe de fait aux élections italiennes : le Nato Party, formé par une majorité transversale qui soutient explicitement ou par consentement tacite l’appartenance de l’Italie à la Grande Alliance sous commandement USA. Cela explique pourquoi, en pleine campagne électorale, les principaux partis ont
Extrait de l'article : "Le jeune président du RN a récemment fait paraître un livre (titré Ce que je cherche) pour affirmer son identité politique. Il y assume implicitement une rupture avec la ligne précédente du parti sur l’Ukraine, estimant que les choix anciens avaient plombé la bataille électorale de 2022. « Beaucoup de compatriotes craignirent, en cas de victoire à l’élection présidentielle, une faiblesse de notre camp face à l’expansionnisme de Poutine » écrit M. Bardella."
Le Rassemblement national (RN, fréquemment étiqueté extrême droite) a soif de respectabilité. Et il ne s’en cache guère. Il rêve de paraître acceptable vis-à-vis des dirigeants actuels du système politique, système que son discours continue pourtant de dénoncer.
Ce n’est pas tout à fait nouveau. Il y a quelques années déjà, ce parti renonçait à mettre en cause l’euro, alors qu’il avait jadis, en paroles du moins, combattu le principe de la monnaie unique. Les stratèges de Marine Le Pen estimèrent après coup que cette opposition avait contribué à la défaite de cette dernière lors de l’élection présidentielle de 2017.
Ce renoncement avait suivi l’alignement du RN (qui s’appelait alors Front national) sur l’idéologie dominante concernant l’appartenance de la France à l’UE. En réalité, le « Frexit » n’avait jamais fait partie du programme officiel du parti. Mais, en cultivant l’ambiguïté, ses dirigeants tentaient de séduire les électeurs résolument opposés à l’intégration européenne. Ce n’est plus qu’un vieux souvenir… [...]
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L'intégration assidue de Jordan Bardella et de ses amis au sein des institutions européennes a contribué à une " mutation " pro-UE du RN, qui rappelle celle du PCF il y a vingt-cinq ans
Les ministres des affaires étrangères des vingt-sept pays de l’Union européenne se sont réunis le 18 novembre à Bruxelles. C’était probablement la dernière rencontre présidée par Josep Borrel, le chef de la diplomatie de l’UE (photo), qui doit prochainement laisser sa place à Kaja Kallas.
Le socialiste espagnol avait inscrit à l’ordre du jour de Conseil l’éventualité de suspendre le « dialogue politique » avec Israël. Cet Etat est en effet lié à l’UE par un conseil de coopération unique en son genre.
Bien sûr, les Vingt-sept n’ont jamais imaginé imposer des sanctions contre Tel-Aviv, et encore moins livrer des armes aux Palestiniens « pour se défendre », une rhétorique qu’ils réservent à Kiev… Mais le gel des échanges officiels avec l’Etat hébreu apparaît comme une mesure pour le moins indulgente quand on connaît la barbarie d’Etat mise en œuvre de manière méthodique par le gouvernement de Benyamin Netanyahou.
En effet, à Gaza, plus de 45 000 morts sont désormais décomptés comme conséquence directe des bombardements, et un véritable nettoyage ethnique est planifié à travers l’arme de la famine provoquée. En Cisjordanie, les violences des colons ne connaissent plus de limites pour l’appropriation des terres. Et le régime israélien a amplifié ses exactions contre l’Etat souverain du Liban jusqu’au cessez-le-feu précaire du 27 novembre, n’hésitant même pas à viser les forces de l’ONU.
Sans surprise, les pays qui, parmi les Vingt-sept, sont connus pour leur attachement le plus fanatique à Israël, quels que soient ses crimes, avaient annoncé dès avant la réunion qu’ils s’opposeraient à la proposition de M. Borrell. [...]
Pour eux, ce fut un choc. Les dirigeants européens, réunis à Budapest en deux sommets successifs, respectivement les 7 et 8 novembre, venaient d’apprendre la victoire de Donald Trump lors de l’élection américaine du 5 novembre. La plupart d’entre eux avaient du mal à cacher leur désarroi, leur sidération, voire leur angoisse.
Certes, cet événement n’était pas imprévisible. Mais l’ampleur du triomphe du candidat républicain qui a devancé sa rivale de 5 millions de voix, et la majorité qu’il a finalement conquise dans les deux chambres du parlement, dessinent un scénario qui dépasse leurs pires cauchemars.
A partir de janvier prochain siègera donc à la Maison Blanche un homme qui, plus encore qu’en 2016, menace de prendre les dirigeants occidentaux et leur idéologie à contre-pied. Cela vaut pour le rôle et l’avenir de l’OTAN, pour l’attitude sur l’environnement et le climat, pour le libéralisme économique et politique, entre autres. A court terme deux dossiers provoquent des sueurs froides dans les capitales européennes : l’aide militaire massive à Kiev, à laquelle M. Trump a annoncé vouloir mettre fin ; et la guerre commerciale que ce dernier entend mener, non seulement vis-à-vis de la Chine, mais aussi de l’UE.
Si le futur président est en partie imprévisible, il est peu probable qu’il renonce à ces deux intentions là, sauf à passer pour un faible – ce qui n’est pas vraiment son genre. Cela a provoqué ce commentaire énoncé anonymement par un haut diplomate de Bruxelles : « nous sommes dans un bateau qui va affronter une énorme tempête ». Cité par le site Euractiv, l’un de ses collègues a confirmé à sa manière : « nous sommes relativement calmes et concentrés, et nous avons du temps jusqu’à janvier pour nous préparer au maximum ».
Ironie amère : l’hôte des deux sommets n’était autre que le premier ministre hongrois. Or Viktor Orban (photo) est le seul parmi ses collègues de l’Union européenne à avoir exprimé un sentiment opposé : il avait ouvertement proclamé qu’il déboucherait le Champagne si son ami Donald Trump l’emportait. Dans la période récente, il avait déjà multiplié ce que ses homologues ont perçu comme des provocations, notamment en rencontrant Vladimir Poutine et Xi Jiping. Quelques jours avant la victoire de Donald Trump, M. Orban avait même fait enrager ses collègues en estimant que, « si l’Amérique devient favorable à la paix (en Ukraine), l’Europe ne pourra pas rester favorable à la guerre »…
Déclaration à la presse de la Déclaration à la presse de la Présidente von der Leyen juste avant la discussion du Collège sur la sécurité et la défense, en présence du Secrétaire général Stoltenberg - 11 janvier 2023
Cela ne répond-il pas aux attentes et demandes des Etats-Unis ?
Reconduite en juillet pour un second mandat de cinq ans à la tête de la Commission européenne, Ursula von der Leyen a rendu publiques, le 17 septembre, les fonctions qu’elle compte attribuer aux futurs commissaires. Cette annonce faisait suite à une longue période de tractations en coulisses avec les différents Etats membres.
Chacun de ceux-ci désigne en effet une personnalité qu’il veut envoyer à Bruxelles pour les cinq ans à venir. Et il revient ensuite à la présidente de répartir les portefeuilles et les attributions. Enfin, les eurodéputés auront à ratifier chacun des candidats. Pour se prouver à ses propres yeux qu’il constitue une institution considérable, le parlement européen manque rarement de retoquer un ou deux noms.
La présentation du futur collège avait été précédée d’une intense ébullition au sein de la bulle bruxelloise, inversement proportionnel à l’intérêt – totalement inexistant – qu’y ont prêté les simples citoyens. Pour leur part, les Français jetèrent à peine un regard sur les péripéties qui ont accompagné le laborieux accouchement de leur futur gouvernement national ; ils ont encore moins envie de se passionner pour le petit théâtre de l’UE.
Par certains aspects, celui-ci mérite cependant attention, car il est à double face. D’un côté, il y a bien sûr la tambouille interne permettant d’établir de subtils équilibres entre grands et petits pays, de l’Ouest et de l’Est ; entre affiliations politiques (chrétiens-démocrates, sociaux-démocrates, Libéraux…), entre hommes et femmes, sans même évoquer les multiples égos, rivalités personnelles et inimitiés.
Cette dernière dimension s’est spectaculairement illustrée lorsqu’au dernier moment, la présidente a obtenu d’Emmanuel Macron qu’il retire le nom de Thierry Breton, commissaire sortant avec qui elle entretenait des rapports exécrables, et qu’il lui substitue celui de Stéphane Séjourné – une péripétie médiatisée, mais non politique.
Le commissaire à la défense européenne aura pour tâche de pousser à l’intégration des différentes industries militaires nationales
D’un autre côté cependant, certaines tractations et leur aboutissement permettent d’entrevoir des rapports de force au sein des dirigeants européens, et de cerner certaines orientations et priorités. Parmi les nouveautés, on peut noter la création du poste de commissaire à la défense européenne (et à l’espace).
Ses prérogatives exactes restent à préciser, mais on sait déjà qu’il aura pour tâche de pousser à l’intégration des différentes industries militaires nationales....
Depuis le 7 juillet la gauche consacre tous ses efforts à trouver un premier ministre qui ferait consensus entre les différences forces. De Bompard à Faure en passant par Panot et Bello, aucun nom ne semble l’emporter.
Cette recherche qui n’aboutit pas masque en fait la véritable question. Ce gouvernement serait minoritaire et dans ce cadre ne pourrait pas véritablement prendre des mesures de transformation sociale ; or, ce débat sur les limites d’une possible action gouvernementale n’est pas abordé par les forces de gauche.
Certains prétendent gouverner par décret, en omettant de dire que c’est le président de la République qui signe les décrets et que pour qu’ils s’appliquent -par exemple l’abolition de la réforme des retraites-, il faut obtenir de l’assemblée nationale, majoritairement à droite et à l’extrême droite, une loi garantissant les financements nécessaires.
D’autres nous disent que la gauche ne pourra pas faire grand chose mais au moins "il" cessera "de brutaliser" les français ; sauf que ce qui brutalise les français, c’est d’abord la volonté du capital de maintenir son taux de profit et de baisser les dépenses sociales.
Personne ne parle dans cette gauche de l’Union européenne et de la manière dont elle pèsera contre les reformes nécessaires, pour la rigueur budgétaire. Personne ne débat de comment se libérer du carcan européen, à croire que la gauche a tout oublié de Syriza et Tsipras.
Personne ne parle non plus de l’OTAN qui nous engage toujours plus vers une guerre mondialisée. Comment répondre aux besoins du peuple sans rompre avec cette logique de surarmement ? ...
Depuis le 7 juillet la gauche consacre tous ses efforts à trouver un premier ministre qui ferait consensus entre les différences forces. De Bompard (...)
Les Bulgares pourraient bien devenir champions du monde dans un sport non encore olympique : la tenue d’élections à répétition. Le 9 juin, les 6,6 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes pour renouveler leurs députés, et ce pour la sixième fois depuis 2021.
Sans surprise, l’abstention a battu un nouveau record : seulement 33,4% des citoyens se sont déplacés dans les bureaux de vote. La tenue des élections européennes le même jour n’a nullement contrecarré cette tendance. Du reste, la campagne électorale s’est surtout concentrée sur le futur parlement national et ses 240 députés. Sept partis et coalitions y seront représentés.
Schématiquement, le pays – en proie à d’immenses difficultés économiques et sociales, et où la pauvreté est endémique – voit s’affronter deux coalitions aussi atlantistes et économiquement libérales l’une que l’autre, mais antagonistes sur la manière de gouverner.
L’austérité budgétaire est officiellement de retour. La (presque) dernière étape visant à réactiver le « Pacte de stabilité » a été franchie à l’aube du 10 février, quand un accord formel a été trouvé entre représentants du Conseil de l’UE (les vingt-sept Etats membres) et de l’europarlement. Ce dernier devrait se prononcer en séance plénière en avril – une validation qui ne fait aucun doute. Juridiquement, le Pacte réformé entrera en vigueur au 1er janvier 2025. Mais la Commission européenne a annoncé qu’elle s’en inspirerait sans attendre.
Aucune capitale de la zone euro ne remet en cause le principe de la surveillance par Bruxelles des politiques budgétaires nationales. Mais, depuis longtemps, un clivage existe entre les pays qui plaident pour plus de « souplesse » dans cette gouvernance centralisée, et ceux qui jugent que la « rigueur budgétaire » doit primer sur toute autre considération. Dans ce second camp figurent traditionnellement les Pays-Bas, la Finlande, l’Autriche, et bien sûr l’Allemagne. Quant aux partisans de desserrer – un peu – le carcan, on les trouve entre autres du côté de Madrid, de Rome, mais aussi de Paris.
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Berlin a globalement eu gain de cause pour remettre en selle l'austérité, hors écologie et armements : de nouveaux tours de vis sur les budgets nationaux sont à prévoir
Le spectre d’un échec occidental en Ukraine a plané sur les chefs d’Etat et de gouvernement des Vingt-sept réunis à Bruxelles les 21 et 22 mars. Au point que ce Conseil européen de printemps a été presque exclusivement consacré à la guerre et aux dossiers qui y sont liés.
« La Russie ne doit pas l’emporter » affirme la déclaration finale dès son premier paragraphe. Cette proclamation pourrait sembler banale de la part de l’UE. Pourtant, il y a quelques mois encore, les dirigeants européens ne jugeaient pas utile de la marteler, tant la victoire de Kiev, massivement soutenu par les Occidentaux, semblait aller de soi.
Désormais, l’ambiance a radicalement changé. L’armée russe avance, notamment sur le front du Donbass. Et les forces ukrainiennes paraissent chaque jour en plus mauvaise posture. Quelques jours avant le sommet, Emmanuel Macron résumait l’état d’esprit de la plupart de ses collègues : « si on laisse l’Ukraine seule, si on la laisse perdre cette guerre, la Russie menacera à coup sûr la Moldavie, la Roumanie, la Pologne ». Le président du Conseil européen, le Belge Charles Michel, enchérissait peu après, dans le quotidien français Libération : « si nous n’apportons pas suffisamment d’aide à l’Ukraine pour arrêter la Russie, nous serons les suivants ».
Dans ces conditions, le sommet a pris des allures de conseil de guerre, sans cependant réussir à effacer les divergences et contradictions entre Etats membres. A propos notamment de cette question particulièrement sensible en période de restriction budgétaire : où trouver l’argent ? [...]
Les Vingt-sept ont martelé leur soutien à Kiev, mais sans aplanir leurs querelles sur le financement militaire, ni sur les importations agricoles provenant d'Ukraine
À quoi bon passer des dizaines d’heures à travailler un dossier pour se faire ratatiner par un Juge qui, malgré lui, n’y aura consacré que quelques minutes d’attention. Rien qu’au cours de ma dernière année d’exercice, j’ai été confronté à plusieurs décisions...
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MESSAGE D’UNE DE NOS LECTRICES : Ce soir, jeudi 13 mars 2025, je me suis rendue au Cinéma Écoles, 23, rue des Écoles (à Paris NDLR) pour y voir le documentaire « déprogrammé » par la 5, intitulé : « Algérie. Sections...
U ne étude récente réalisée par une association de patients montre qu’un Français sur trois est confronté au moins une fois à l’errance médicale, c’est-à-dire à l’absence de diagnostic et de traitement adapté. Ces résultats ne sont pas étonnants quand...
Pour l'Europe sociale, les lendemains qui chantent ne sont même pas pour après-demain. Et les cortèges du syndicalisme européen, semblant manifester à Bruxelles de temps en temps, sont au ras des pâquerettes question résultats sociaux au niveau des travailleurs...
Le président colombien condamne l'assassinat d'un leader social Le président de la Colombie, Gustavo Petro, a dénoncé dimanche l'assassinat de Jaime Gallego, dirigeant du mouvement progressiste Colombia Humana, par des membres du groupe armé Clan du Golfe,...
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Les militants communistes et antifascistes ukrainiens Mikhail et Alexander Kononovich, récemment arrêtés, risquent leur vie sous le régime de Zelensky. Accusés d'évasion du service militaire, ils dénoncent une tentative de les envoyer à la guerre de force...
C'est pour la bonne cause, contre la Russie de Poutine et pas contre la gentille Amérique de Donald Trump qui veut annexer sine die le Canada, le Groenland danois, le Panama et les terres riches ukrainiennes. C'est pour nous réarmer, a martelé manu militari...